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L'actualité rallye du moment.
L'invité Rallye de Sport 7, Pascal Peronnet, président de l'ASA Ondaine arrive avec une actualité très riche et notamment le bilan du rallye des Noix de Firminy qui a connu un immense succès cette année. Faisant partie du comité directeur de la Finale des Rallyes 2023 d'Ambert, Pascal nous parle également de cet événement qui approche à grand pas !

Le basket adapté dans la Loire.
Le handicap n'a pas de barrière au sein du Chambon Feugerolles, grâce à sa section de basket adapté pour adultes.
Le plaisir est la rencontre avant tout.

Le skateboard, nouvelle discipline olympique Paris 2024.
Cette semaine, nous ouvrons une série Discipline et Sport des JO 2024 de Paris.
Pour débuter cette série, je vous donne rendez-vous dans le nouvel écrin de la Yellow Yard School de St-Etienne.
Vous l'avez compris, je me mets au skateboard, nouvelle discipline olympique, et pour un débutant comme moi, c'est "pas gagné", sensations fortes garanties.
Merci à Louis de m'avoir challengé et à Vincent Mermet de m'avoir coaché.


Emilie Grenon met dans le mille.
Emilie Grenon est arrivée sur le tard au tir à l'arc à Saint-Chamond. Elle pratique ce sport depuis plus de 10 ans et elle est devenue, depuis peu, vice-championne départementale de tir en extérieur. Emilie possède également plusieurs titres départementaux et rêve de porter un jour les couleurs de la France, et de représenter la France dans une compétition internationale.

A Sorbiers, il organise les 1er Omega Gym Games.
Un évènement plaisir autour d'un rassemblement sportif, un après-midi dédié aux défis sportifs, une première pour les salles indépendantes. Une compétition intersalles indépendantes de la région.


Rugby :Un Doc au cœur du jeu
Nous sommes allés à la rencontre du médecin de match de la coupe du monde de rugby

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Transcription
00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir, bonsoir, toutes et tous ravis de vous retrouver sur le plateau de Sportsfait.
00:22 [Applaudissements]
00:25 C'est l'émission du mois d'octobre et qu'est-ce que... Octobre est chaud mais c'est chaud aussi sur le plateau.
00:30 Sans plus tarder, sur le plateau, je vous demanderai de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité Salem !
00:35 [Applaudissements]
00:36 On va parler de quoi avec vous Salem ?
00:38 On va parler des Omega Gym Games, la toute première compétition multidisciplinaire qui allie force, endurance et combat.
00:47 C'est ce week-end et du côté de Sorbier.
00:49 À côté de vous, on l'applaudit, ligne en bas, portrait sportif.
00:52 Bonjour à tous, le portrait de la semaine, c'est Émilie Grenon.
00:57 Hé, t'as vu j'ai pris la flèche. Émilie Grenon, vice-championne régionale.
01:00 On allait faire son portrait, elle est au club de Saint-Chamond.
01:03 C'était de quel côté ?
01:04 Le portrait qu'on l'a fait...
01:06 De Sorbier !
01:07 Non, de Lattalodie.
01:08 Exactement, soyons précis. En face de vous, l'excellentissime Événie Desmire.
01:13 Bonsoir Julien, bonsoir à tous.
01:15 On va parler de quoi ?
01:16 On va parler du basket adapté qui se déroule du côté du club du Chambon-Feuillerold.
01:22 Et ils sont là, dans le public, on peut les applaudir.
01:24 Ils sont là, exactement.
01:26 Celui qui vous adule, Événie Desmire, est à côté de vous, il s'habille comme vous.
01:31 C'est Jean-Luc Fabergeant.
01:33 Bonsoir Julien, bonsoir à tous.
01:35 Ce soir, résumé du Rallye des Noix avec le président de la Zandenne, Pascal Perronet.
01:39 Exactement, et nous serons, on va voir en direct de Saint-Étienne, où Damien va s'essayer un des sports olympiques, le skateboard.
01:47 Parce que nous sommes à 298 jours des Jeux Olympiques.
01:51 On est là ou pas ? Est-ce qu'on le voit Damien ? Non, on le voit pas.
01:54 Bon, on le voit pas.
01:55 Ah, oui, voilà. Fais-nous un coucou. Non, il veut pas nous faire un coucou.
01:59 Et on parlera forcément de notre page rugby, voilà, avec Thomas.
02:02 Ça va Thomas, dans le public ? Ça réagit ?
02:04 Ça va Julien, merci. Oui, ça réagit.
02:05 Aujourd'hui, on ira à la rencontre de Nicolas Danse, le médecin de match de la Coupe du monde de rugby à Geoffroy-Guichard.
02:11 Et forcément, il est légérien. Effectivement, il est légérien.
02:14 Ça va de soi. Mais vous avez le droit de réagir, Thomas.
02:16 Cette table, elle est un peu petite. On l'a conçu petite, mais un jour, vous aurez peut-être votre place.
02:20 Merci Jean-Luc. Vous pourrez être invité quand j'aurai un peu d'ancienneté.
02:24 Exactement, quand j'aurai un beau dossier.
02:26 Alors Salem, on en a parlé, Omega Gym Club, c'est une toute nouvelle salle ou ça existait avant ?
02:31 Omega Gym Club, c'est une salle qui a été créée il y a deux ans, tout juste.
02:37 De A à Z ? Les moelons, c'est vous qui les avez montés ?
02:40 Pas tout à fait, mais on a repris cette salle avec mon frère jumeau, donc il y a plus de deux ans.
02:49 Et c'est une salle qu'on a restructurée esthétiquement et aussi dans le cadre...
02:54 Tout beau, regardez ça.
02:56 Votre frère jumeau, il est taillé comme vous, Salem ?
02:58 Exactement comme moi.
02:59 Comme Lilian en fait.
03:01 Quasi au même poids et il se fait les mêmes barres.
03:04 Ils ont le même programme.
03:06 Alors justement, ce qui est intéressant, c'est que vous, vous n'êtes pas du tout de la partie.
03:11 On parle du Covid, mais il y a du bien parce qu'au moment du Covid, vous vous êtes dit
03:16 "C'est pas ce que j'ai envie de faire, j'ai envie de faire autre chose". C'est ça, je ne me trompe pas ?
03:19 C'est exactement ça et en plus...
03:22 C'est cette période du Covid qui m'a permis de prendre du recul sur ma vie professionnelle
03:27 et ce que je voulais faire et ce que je ne voulais plus faire surtout.
03:30 Et du coup, à partir de là, il y a eu cette opportunité de reprise de salle.
03:35 Mais je vous avoue que c'était une réelle crainte.
03:38 C'est un gros saut, ça.
03:40 En plus de crainte, pourquoi on a envie de se monter seul et pas avec une ancienne déjà existante en faisant de la franchise ?
03:46 Moi, je suis passionné par ce sport et par d'autres sports également.
03:51 Et en fait, être franchisé, pour moi, ça restait comme du salariat.
03:55 À tout être indépendant, c'est ça.
03:57 À tout être indépendant, être libre de ce que j'avais envie de faire et être acteur et réalisateur de ma vie professionnelle.
04:02 D'ailleurs, autour de la table, qui est dans une salle de sport ?
04:05 Est-ce que c'est une franchise ou c'est un indépendant ?
04:08 Moi, je me suis inscrit au Badoo.
04:11 Arrêtez de rigoler !
04:13 Donc j'ai une carte d'accès à un club.
04:15 Pour l'instant, j'ai fait une séance mais je m'y mets sérieusement à partir de la semaine prochaine.
04:19 Là, je n'ai pas le temps en ce moment.
04:21 Je n'ai pas une minute pour moi.
04:23 Vous vous êtes posé la question, Jean-Louis, de dire indépendant ou salle de sport, peu importe.
04:27 Non, moi, j'ai pris le plus pratique, en fait.
04:29 La proximité ?
04:30 La proximité.
04:31 Est-ce que les gens pensent comme ça ?
04:33 Ou il y a une identité, il y a une ambiance ?
04:36 Voilà, en fait, ce que les gens vont rechercher dans une salle comme la mienne,
04:42 c'est plus la proximité, le conseil, parce qu'on ne laisse pas les gens à l'abandon.
04:46 Alors que tout ce qui est chaîne et franchise, etc., eux vont vous laisser vous entraîner.
04:53 Si vous savez vous entraîner, sinon, tant pis pour vous.
04:56 Ouais, c'est ça.
04:57 Non, c'est important.
04:58 Moi, je suis dans une salle aussi, mais pareil, plus par rapport à la proximité de la maison.
05:04 Mais tout ce que vous dites, Salam, c'est exactement ça.
05:06 C'est que dans les grandes franchises, sans citer de nom...
05:09 On peut, hein, à la Porte Fitness, Basic Fit ou Pico.
05:12 Basic Fit, par exemple, du côté d'André Zyboutéon, c'est vrai que c'est bien.
05:16 Les machines sont neuves, tout ça et tout, mais il n'y a pas cet accompagnement.
05:19 Et puis, il n'y a pas ce côté...
05:21 Ils ont des sportifs, vous avez des clubs, vous, non, qui viennent s'entraîner, non ?
05:24 On a, du coup, des partenariats qui ont été faits,
05:26 notamment avec le club de handball de Saint-Etienne.
05:28 Et des partenariats qui sont en cours avec d'autres clubs,
05:33 pareil, avec cette même mentalité familiale.
05:36 Alors, l'image, ça joue.
05:37 On en rigolait tout à l'heure, mais c'est vrai que quand on vous voit,
05:40 c'est vrai que tout à l'heure, le premier sujet, j'ai dit,
05:42 "Tiens, j'ai envie d'avoir un corps comme vous."
05:44 - Tu donnes envie, Salem ? - Ça joue énormément, ça.
05:47 Non, ça joue énormément par rapport au...
05:49 Ma femme aussi m'a envoyé un texte, elle me dit, "Ça donne envie, calme-toi."
05:52 Les gens vont s'identifier à la personne qui va les conseiller, etc.
05:56 Ce qui fait que, en fait, toutes ces chaînes-là
05:59 perdent ce côté passion et où on voit, en fait, les résultats...
06:03 - Ils font tout eux-mêmes. - Ils sont pas tout extérieurs.
06:07 Ouais, en plus, en ce moment, il fait pas très beau.
06:10 Je vous rassure, le 7, il fera soleil toute la journée.
06:13 Ah, mais on a regardé aussi pour toi.
06:15 Alors, ça, c'était avant, on va le voir après.
06:17 Le petit espace extérieur, c'était...
06:19 Parce qu'il faut expliquer, c'est une salle de sport, on a vu,
06:22 mais il y a aussi un dojo, une salle de combat.
06:25 En fait, c'est une salle où on a retrouvé pas mal de services.
06:29 Donc, tout ce qui est cours collectifs,
06:31 il y a des cours de cross-training, de pilates, de boxe anglaise.
06:35 C'est pour ça qu'il y a un gars en short qui me regarde méchamment.
06:38 - Et du MMA. - Encore.
06:40 C'est Herman qui est présent ici, qui donne les cours de MMA.
06:43 - Ouh là ! - C'est une excellence, c'est ça ?
06:45 - C'est... - Vous avez eu le combat ?
06:47 - Non, on a fait le combat... - 15 secondes, ceux.
06:49 - 15 secondes, même pour toi. - Impressionné, expérimenté.
06:52 Et voilà, c'est ce qui fait la différence.
06:54 Et la taille des cours, en fait, c'est 6-8 personnes en moyenne.
06:57 On est quasi sur de l'individualisé, alors que quand on est sur la chaîne...
07:00 Voilà, c'est ce qui fait la différence par rapport aux...
07:02 Ah, ça fait regretter ton abonnement, toi.
07:04 Mais je peux le résilier quand je veux.
07:06 - Peut-être que je vais changer. - Pas plus cher que les autres,
07:08 - voire même moins cher. - Les gens viennent encore à la salle,
07:10 - mais on n'en rend pas compte. - Oui.
07:12 Parce que là, par exemple, on est en plein mondial de rugby,
07:15 je suppose qu'on va avoir une augmentation du nombre de licenciés
07:18 sur les sports collectifs.
07:20 Les Jeux Olympiques qui arrivent vont faire augmenter le nombre de licenciés
07:23 dans l'intégralité des sports co.
07:25 Est-ce que la salle plaît encore ?
07:27 La salle plaît et plaira toujours.
07:29 En fait, c'est un moyen, en fait,
07:32 pour les personnes de déconnecter de leur vie professionnelle
07:36 ou privée, qui sont assez stressantes.
07:38 Et ça permet d'avoir, en fait, un exutoire dans sa journée.
07:41 Attends, ça réagit derrière toi. Thomas, qu'est-ce qui se passe dans le public ?
07:43 Est-ce que la salle, c'est pas aussi un complément
07:46 - pour les gens qui font du sports co ? - Bien sûr.
07:48 C'est pour ça qu'on accueille des clubs de sports co.
07:51 Alors moi, je vais dire, est-ce que c'est pas saisonnier un petit peu ?
07:54 Dès qu'ils commencent à faire jour... Oh, putain, je vais mettre mon body summer,
07:56 - ça va être un petit peu comme ça. - Après, il y a Stéphane...
07:58 - Ah, bah oui. - C'est bon, il est bon.
08:00 - Le mois de juin, c'est grosse période pour vous. - Le 1er juin, c'est toute la journée.
08:05 Septembre, janvier, c'est...
08:07 Non, mais il y a l'effet réseau social aussi.
08:10 On peut dire qu'aujourd'hui, on est beaucoup sur le paraître,
08:12 on veut se montrer, mais c'est vrai, tout ce qui est les réalités,
08:15 tout ça et tout, on voit de beaucoup de...
08:17 Et de plus en plus jeunes, moi, je vois à la salle,
08:20 parfois, il y a des jeunes de 15, 16 ans qui viennent
08:22 - et qui font des trucs... - Tant mieux, il faut se mettre au sport.
08:24 - Non, non, non. - Ah, bah alors...
08:26 Ah, il faut pas faire touer n'importe quoi, je veux dire, parce qu'on peut se laisser...
08:28 - Justement, là... - Si on n'a pas d'accompagnement...
08:30 - Il faut avoir les conseils et l'accompagnement adéquat. - Exactement.
08:32 Sinon, on est laissé à l'abandon et après, il y a le gros risque de blessure.
08:35 - Et justement, pour des adolescents, c'est... - Exact.
08:37 - C'est très compliqué. - Mais Salem Alouaz n'est pas là pour ça.
08:39 - Il est là pour la première édition. - Oui.
08:42 - Les JO des indépendants, c'est ça ? - Exactement.
08:45 Ça passera quoi, expliquez-nous ? C'est une après-midi, c'est une journée, c'est quoi ?
08:48 C'est donc une après-midi.
08:50 Donc, l'idée est venue grâce à Laurent, qui est coach, stagiaire chez nous.
08:55 Ah, les stagiaires sont bons. Moi, je pique toutes les idées des stagiaires.
08:58 Il est excellent.
09:00 Donc, je lui rends hommage sur cet événement.
09:04 Et en fait, cet événement sera un événement, une compétition multidisciplinaire
09:10 où chaque participant devra allier force, endurance et combat.
09:16 - C'est tout nous, ça. - Des vrais gladiateurs.
09:19 - Tous les quatre. - On ne peut pas y être parce qu'on n'est pas coach.
09:22 Je vous rassure, si vous n'avez qu'une seule de ces compétences,
09:27 vous pouvez participer à une seule épreuve, que ce soit la force, l'endurance ou le combat.
09:32 - On n'est pas obligés de faire les trois. - C'est un concours ? Comment ça se passe ?
09:34 C'est un concours. Donc, en fait, pour l'épreuve de force,
09:37 ce sera trois exercices à effectuer.
09:39 - Tu peux le faire, toi, l'épreuve de force. - C'est quand tu veux.
09:41 - On ne dit pas « fort comme mature » ? - Je ne suis pas dispo.
09:44 Moi, je suis dispo, moi, je viens.
09:46 - Il faut se lever les... - C'est notre BILIX à nous.
09:50 Ce sera développer, coucher, squat, soulever terre.
09:53 Donc, le gagnant sera celui qui mettra la charge la plus élevée.
09:57 - D'accord. - Très bien.
09:59 L'illiant l'entend, comme ça plaît.
10:01 Ce sont des appareils de cardio, du rameur, du tapis de course et du vélo.
10:05 - Jean-Louis, le tapis de course, c'est son ami. - Le but, c'est de brûler un maximum de calories.
10:08 Donc, 200 calories pour les hommes, 150 pour les femmes.
10:11 Et le gagnant ou la gagnante de l'épreuve sera celui ou celle qui atteindra cet objectif en moins de temps possible.
10:17 Aujourd'hui, une vingtaine d'inscrits, c'est ça ? Vous attendez presque 50 ?
10:20 - On est même à plus de 30. - Ça y est ? C'est top.
10:22 - 50, c'est un bon objectif ? - Une cinquantaine de personnes.
10:25 - Et au niveau du public, on attend un peu plus de 150 personnes. - Ça va être la grosse fête.
10:30 Voilà, dont Madame le maire de Sorbiers, qui sera présente et qui nous a soutenues pour l'événement.
10:36 - Et notre partenaire qui est InterSport. - À suivre.
10:39 - Ça va en perdre des calories. Moi, je pense qu'il vous faut un responsable. - Et à manger.
10:43 Parce qu'il y a à manger, après.
10:45 - Il faut bien récupérer les calories. - Justement, pour les non-sportifs et aussi pour les sportifs,
10:49 - il y aura barbecue et... - Ah bah, on vient pour le barbecue, c'est bon.
10:53 Au milieu du barbecue, il y a trois épreuves, c'est escalope assaisonnée, brochette et merguez.
10:59 - On fera l'animation. - Exactement.
11:03 Vous nous avez préparé, en fin d'émission, si on a encore un peu de temps, une petite démo, un petit exercice avec vous.
11:08 - Voilà, une petite démo avec les deux coaches. - Mais moi, c'est très rêche, mes costumes. Ils sont pas soupes.
11:12 - Non, mais ne t'inquiète pas, je vais te faire un délire. - Je vais te faire un délire.
11:16 - Je vais te faire un t-shirt. - Écoutez, sans plus tarder, on me dit dans l'oreillette que Damien est prêt.
11:20 Alors, on lance une petite virguile et on retrouve Damien en duplex.
11:23 Alors, comme on l'avait dit en préambule, nous sommes à 298 jours des Jeux Olympiques.
11:33 Et on ouvre une nouvelle page. Damien a décidé de nous présenter tous les sports qui sont présents aux Jeux Olympiques
11:38 dans la Loire. Donc, Damien, vous vous trouvez où, mon cher ami ?
11:42 Salut à tous, on se retrouve aujourd'hui à la School Yard de Saint-Etienne pour parler skateboard.
11:48 Vous le voyez derrière moi. Pour attaquer une nouvelle série autour des JO 2024 et des sports qui y seront.
11:54 Et donc, nous allons retrouver Vincent. Vincent, je suis là pour toi aujourd'hui pour parler skate.
12:01 Alors, qu'est-ce que ça fait d'avoir ce sport qui rentre finalement chez vous ?
12:05 C'est cool, c'est une fierté. C'est un sport qui a longtemps été mis sur le banc et pas très sérieux.
12:13 Et puis, voilà, maintenant, on fait partie des sports olympiques avec les médailles.
12:19 Donc, aux JO de Tokyo en 2020 et puis en 2024.
12:22 Et donc, vous êtes la seule école finalement de skate de la Loire ?
12:26 Oui, oui, on est la seule école de skate de la Loire et c'est le seul skatepark ouvert de la Loire.
12:31 Le premier et le seul skatepark.
12:33 Vous voyez tout à l'heure, 350 adhérents et une toute nouvelle tour pour l'écran.
12:38 Magnifique. Et donc, je crois que tu m'as prévu une petite surprise avec Louis, c'est ça ?
12:44 Oui, tu es venu pour pratiquer. Donc, on va faire ça avec lui qui est derrière là-bas.
12:48 Et il va te faire découvrir un peu tout de part les modules.
12:52 Tu vas voir, tu vas tout de part. Je te dis que je ne savais pas du tout ce que faire de skate.
12:56 Je vais débarquer zéro.
12:57 Ouais, détends-toi, c'est cool.
12:58 Skate, je suis sûr.
12:59 Ouais, ouais, ouais.
13:00 Ça va bien se passer.
13:01 Pas d'appréhension ?
13:02 Non.
13:03 Allez, mais écoutez, plus qu'à mettre les protections, garder forcément le casque et je vous dis à tout à l'heure.
13:08 Il a encore le sourire, mais je suis un peu inquiet moi pour Damien.
13:12 Parce qu'il me dit "ouais, je fais du snow". Je dis "c'est pas pareil".
13:15 Il a mis le casque et la casquette.
13:18 Mais il n'enlève jamais sa casquette, ça fait partie de la protection, du package.
13:21 Je vais l'amener en Turquie bientôt pour des implants.
13:24 Ecoute, il va être content d'apprendre ça.
13:27 On le retrouve en fin d'émission, il va s'essayer une vraie session de compétition.
13:31 On va voir face à qui.
13:32 Dans quelques instants, on va parler de...
13:34 Du meilleur sport au monde.
13:36 Bah oui.
13:37 Forcément, c'est le meilleur sport au monde.
13:38 On parle de basket.
13:39 Allez, on applaudit.
13:42 On parle du meilleur sport et surtout, surtout, surtout, on va parler...
13:48 Alors, on parle de basket quotidiennement dans Sportset, mais ce soir, on met l'accent sur le basket adapté.
13:55 Donc, ça peut nous arriver dans notre vie, sur un accident de la vie, ça peut arriver à tout le monde d'avoir un handicap.
14:05 Et du coup, le club du Chambon-Faugerold n'a pas résigné.
14:11 C'est vraiment lancé cet objectif de créer cette section.
14:15 Ils sont pionniers dans la loi.
14:16 Alors, il n'y a pas que dans la loi.
14:18 Il n'y a pas que, oui, c'est ça.
14:19 Par contre, j'ai fait un peu mes... Je me suis renseigné.
14:21 Et c'est vrai que c'est la section qui marche peut-être le mieux du côté de la loi.
14:25 C'est dû à quoi ? C'est une volonté du club.
14:28 C'est une volonté aussi des coachs, du président, des bénévoles.
14:32 Et moi, je trouve ça exceptionnel parce qu'il ne faut pas qu'il y ait de barrière, comme on dit.
14:37 Ah ben non.
14:38 Voilà, il n'y a pas de frontière.
14:39 Le sport, c'est fédérateur.
14:40 Et aujourd'hui, donner l'opportunité à des adultes parce que, on va le dire, ils le disent aussi, mais bientôt, il va y avoir aussi pour les enfants.
14:49 Donc, ça continue.
14:50 Mais aujourd'hui, donner l'opportunité à des adultes de pratiquer du basket, mais vraiment pour le plaisir.
14:56 Mais ils sont là dans le public.
14:57 Ils sont là, ils sont là.
14:59 On peut en faire les autres.
15:00 Ils n'avaient pas mis le maillot, là.
15:02 Ah oui, ça change de couleur, les maillots.
15:04 On allait à leur rencontre.
15:07 On allait du côté du Champ-Montfeuille-Rolles, un sujet tourné par Lilian Barg.
15:12 Ah, c'est vrai, Lilian ?
15:13 Ah bon ?
15:14 Ah bon.
15:17 On va parler du sport adapté.
15:20 Il n'y a pas beaucoup de clubs dans la Loire qui ont cette section-là au sein de leur club.
15:25 Non, une section basket, c'est assez rare.
15:27 On est quelques clubs.
15:28 Où est venue l'idée de mettre ça en place ?
15:30 C'était avant que j'arrive au club.
15:31 C'était une de nos entraîneuses qui a voulu lancer le concept.
15:38 Du coup, Maxence a repris le relais derrière.
15:40 Et du coup, moi, en arrivant à la présence l'année dernière, on a continué à essayer de la développer et de la mettre un peu plus en lumière.
15:46 Et là, c'est les parents qui amènent leur…
15:48 Oui, le but du jeu, c'est que ça soit en dehors de leur centre.
15:51 C'est vraiment eux qui fassent la démarche d'venir au club.
15:54 Même si au tout départ, le club va dans les centres, etc., pour faire connaître le basket et faire connaître le coach.
16:00 Mais ensuite, c'est eux qui font la démarche d'entrer dans le club.
16:03 On met les pieds dans chaque case.
16:04 Arrivé ici, on fait le petit parcours.
16:07 Maxence, tu es le coach de la section adaptée au niveau du club du Champ-Montfeuille-Rolles.
16:12 Tu coaches aussi une équipe U20, on va dire…
16:15 Lambda.
16:16 Lambda.
16:17 C'est ça.
16:18 Comment on s'adapte pour préparer les entraînements ?
16:19 Dure au début, parce que je suis quelqu'un de très exigeant sur le tapis.
16:24 Mais non, on s'adapte finalement.
16:27 Chaque personne qui arrive au sport adapté, on va essayer d'amener un petit objectif.
16:33 Quand on les voit, ils prennent du plaisir.
16:35 La notion de plaisir, elle y est, là, non ?
16:37 Carrément.
16:38 Surtout après, quand on fait les matchs.
16:40 Alors là, il marque un panier, c'est la Coupe du Monde.
16:43 Benjamin, alors, est-ce que ça te plaît le basket ?
16:47 Oui.
16:48 Du coup, est-ce que tu progresses ? Tu joues quel poste ?
16:52 Partout.
16:53 Partout ? Tu peux jouer Mönner ?
16:55 J'essaie de faire Mönner.
16:57 En défense.
16:59 En défense aussi.
17:00 Quel est ton joueur, quelle est ta star que tu préfères ?
17:03 Parker.
17:05 Tony Parker.
17:06 Je pense que c'est bien pour eux, ça leur permet déjà au niveau activité de faire quelque chose.
17:10 Puis même au niveau social, d'apprendre l'esprit d'équipe, de travailler avec les autres.
17:14 Puis non, pour le moment, ça leur permet déjà juste de passer un bon moment, d'être ici.
17:18 Puis ils rencontrent des personnes d'autres foyers avec qui ils sont au travail,
17:21 mais au final, ils viennent faire du sport avec eux, donc c'est dans un autre contexte.
17:23 Allez, on va jouer au lancé-pande.
17:25 Vas-y.
17:26 Bravo !
17:29 C'est toi qui as gagné.
17:32 Du coup, président, vous êtes fier d'avoir cette section ?
17:35 Très fier.
17:36 Très fier, parce que du coup, c'est bien pour un club d'avoir une section sport adaptée.
17:40 Le handicap ne doit pas être une barrière pour assouvir une passion et pratiquer du sport.
17:45 Et donc, de voir moi et mes coachs, parce que là, du coup, j'ai mon salarié,
17:48 mais j'ai d'autres coachs qui viennent me donner un coup de main.
17:50 Et c'est un vrai plaisir et une vraie fierté, oui.
17:53 En tout cas, bravo et merci pour ce que vous faites, président.
17:56 Qu'est-ce qui m'a surpris ?
17:58 Oui, ce que je vous présente.
17:59 Oui, alors vous pouvez applaudir.
18:02 Parce que je sais que vous êtes là parce que vous faites du basket et il y a de l'émotion encore plus.
18:06 Ah non, il y a beaucoup d'émotion.
18:07 Franchement, on est ressortis avec Lilian, on en parlait, on disait que, ben voilà,
18:10 il en faut plus des clubs comme dans la Loire ou même en France,
18:15 pour qu'ils donnent l'opportunité de pouvoir pratiquer du sport dans un premier temps.
18:19 Et en plus de ça, notre sport à nous, le basket, c'est encore plus paisant.
18:22 Et qu'est-ce qui m'a surpris ? C'est le nombre.
18:24 Il y a beaucoup de personnes, parce que ce qui est bien, c'est qu'il y a des centres, en fait,
18:27 qui sont accompagnés par leurs éducateurs, les moniteurs.
18:30 On l'a vu dans le reportage.
18:32 Et puis, il y a des individuels, des personnels, où la famille accompagne, vient aider.
18:37 Alors, c'est un peu plus compliqué. On en parlait avec Gérald, le président, et Maxence, leur coach.
18:41 C'est un peu plus compliqué de déplacer et puis surtout de faire des matchs,
18:45 de trouver d'autres clubs pour faire des matchs.
18:48 Parce que c'est vrai que dans le basket, on aime la compétition, on aime faire les matchs.
18:51 Mais quand on voit la bonne humeur, la bonne ambiance qu'il y avait ce soir...
18:55 Il y a une bonne ambiance ou pas dans ce club ?
18:57 Oui !
18:58 Quand on a vu ça...
19:00 Il ne parle pas soi-même de la torture, je vous le dis.
19:02 On ne peut que féliciter tout d'abord le président et bien sûr toute son équipe.
19:05 Et puis surtout, un big up, vraiment un grand merci à Maxence et son équipe de coach qui sont là aussi.
19:09 Coucou, Maxence !
19:11 On peut applaudir.
19:13 Il faut adapter les entraînements.
19:15 Il faut adapter les entraînements, il faut adapter les entraînements.
19:20 Ce n'est pas toujours évident.
19:21 Maxence, c'est le gars qui met des cerceaux au sol, c'est toi ?
19:24 C'est un travail pas évident du tout.
19:28 Donc, on tire notre chapeau pour cette belle initiative, cette belle section.
19:32 C'était un très beau sujet.
19:33 Merci à vous.
19:34 Dans quelques instants, on va parler rallye avec notre spécialiste.
19:36 Rallye, à la banane !
19:44 Pour être présent ce soir, tu es président de la Zandene.
19:52 On va largement parler du rallye des Noix de Fermier qui avait lieu il y a une semaine.
19:56 La dernière fois qu'on t'avait invité, on t'avait présenté comme un ancien pilote.
19:59 Aujourd'hui, on va enlever le mot "ancien" parce qu'en fait, tu es relativement actif en tant que pilote.
20:05 Je crois que tu l'as piqué. La dernière fois, tu l'as piqué.
20:07 - Quoi, ça ? - Non, parce qu'il l'avait arrêté.
20:09 Il n'était pas en VH ? Il n'était pas en VH non plus du tout ?
20:12 Il a attaqué un chauffeur de sport en VH.
20:14 On ne parle plus de VH, on est d'accord.
20:16 - Oui, les deux. - Encore.
20:17 Tu as acheté une nouvelle voiture.
20:19 On va voir certaines de tes voitures.
20:22 Pascal, je pense qu'il y a eu la Ford Escort RS 2000, donc là, c'est du VH.
20:27 Ensuite, en moderne, on t'a vu avec une Mitsou.
20:29 - Ah ouais, c'est ça. - Une VW, tu sais, une grosse Mitsou.
20:32 On va la voir aussi à l'écran.
20:33 Et puis, on te voit surtout avec une Clio R3.
20:36 Donc, c'est les Clio 3 RS qu'on va voir également.
20:39 Et puis, plus récemment, je ne pense pas qu'on t'ait vu encore au volant.
20:43 Je pense que c'était ton fils qui était à la Montée Historique du côté de Marles avec ses 205 rallye groupants.
20:48 - C'est ça. - Alors, bon.
20:50 Et puis, tu es un ancien pilote de 205 rallye.
20:52 Donc, je pense que c'est pour ça que tu l'as acheté également.
20:54 Donc, parmi toutes ces voitures, qu'est-ce que tu peux dire sur cette activité de pilotage que tu as reprise ?
21:00 J'arrive à un âge certain, donc je recherche le plaisir avant tout, les expériences.
21:04 Donc, 4 roues motrices, propulsion, traction, moderne, VHC.
21:08 - Je ne suis plus là pour pas de temps. - Tout y passe.
21:10 Tout y passe, effectivement.
21:11 On va se calmer un petit peu peut-être sur le moderne pour rejoindre la réfection.
21:15 Peut-être me focaliser un peu sur le VH à partir de samedi, sur la fin de la saison, une année prochaine.
21:21 Après, on verra.
21:22 Donc, c'est à dire qu'il sera présent en tant que concurrent au Rallye Montbrisonnel dans l'édition VH.
21:26 Tout à fait. On prend du plaisir, peu importe, dans les deux tours.
21:30 Toujours du plaisir.
21:31 Puis, Pascal a encore un très bon coup de volant.
21:33 - Ça, je peux vous le garantir. - Pas un coup de rein parce que ça ne marche pas en voiture.
21:36 Je n'ai pas dit ça.
21:37 - C'est bien d'avoir quand même un président qui est actif. - Actif.
21:43 - Actif quoi ? - Oui, c'est bien parce que la station est là.
21:46 Donc, il faut la souviens.
21:47 C'est le meilleur endroit pour voir les attentes des pilotes, des commissaires et ainsi de suite.
21:52 Donc, j'y prends beaucoup de plaisir.
21:54 Pour moi, c'est utile.
21:55 Et puis, surtout, on voit tous les copains, les amis.
21:57 Donc, ça reste un sport très convivial quand même.
22:00 - Oui. - Alors, on va parler maintenant du rallye des notes sur Mini
22:02 que la Zandane organise depuis très longtemps.
22:04 Donc, c'était cette année la 45e édition.
22:06 Troisième édition en véhicule historique.
22:08 Tu as aussi rajouté cette année des preuves de régularité en véhicule historique.
22:13 Des chiffres assez impressionnants en termes de nombre de concurrents.
22:18 C'était un petit peu inattendu cette année peut-être ?
22:20 - Ah bon, ce mois ? - Oui, tout à fait.
22:21 Au contraire, on avait parié sur une édition un petit peu faible
22:25 compte tenu de la finale qui est très proche.
22:27 On a été surpris.
22:29 Effectivement, on avait quatre épreuves inscrites.
22:31 Le moderne, le VHC, le VHRS et le VMRS.
22:34 VHRS, VMRS et de la régularité.
22:36 Trois raisons, je pense à cela.
22:38 Effectivement, d'abord avant tout l'hommage à Alexandre du Colat.
22:41 Tout à fait.
22:42 Des équipages étaient là pour rendre hommage à Alexandre.
22:44 Le deuxième point, effectivement, le VHC fonctionne bien sur cette épreuve.
22:47 Donc, on a beaucoup de chance.
22:48 Ça amène un peu de monde.
22:50 La Zandane a beaucoup de licenciés.
22:51 Donc, les licenciés de la Zandane font les rallyes de l'Asa.
22:54 C'est assez logique.
22:55 Voilà, trois explications.
22:57 Le tracé, je crois qu'on va y revenir un petit peu.
22:59 On va en parler justement de deux spéciales.
23:00 La spéciale de l'Abori qui arrive pas loin de Périgneux.
23:02 Et puis l'autre qui arrive du côté de Saint-Maurice-en-Gourgois.
23:04 Donc, je vais peut-être te laisser les décrire, les spéciales.
23:07 Même si, moi, je les ai découvertes justement la semaine dernière.
23:11 Mais tu es mieux placé que moi pour en parler.
23:12 Donc, je te laisse en parler.
23:13 - J'espère qu'il t'a pris du plaisir.
23:14 - Ah oui, non, mais franchement, j'ai adoré les spéciales.
23:16 Je reviendrai l'année prochaine, d'ailleurs.
23:17 - Bon, écoute, merci.
23:18 Ce sont des spéciales rapides, techniques, assez faciles à reconnaître.
23:22 Il n'y a pas de gros pièges.
23:23 Ce n'est pas très coûteux.
23:25 C'est vite reconnu.
23:26 C'est vite reconnu.
23:27 C'est une boucle.
23:28 Voilà.
23:29 Et puis l'ancienneté, la notoriété, soyons un peu prétentieux.
23:32 - C'est bien, ça, d'être prétentieux.
23:34 - Moi, ce que je rajouterais, c'est que la facilité relative des spéciales
23:37 fait qu'en fait, les gens très affûtés,
23:39 c'est difficile d'aller les chercher quand on ne connaît pas trop le terrain.
23:42 - C'est le défaut du pays.
23:44 - Voilà.
23:45 Il n'y a pas le côté technique.
23:46 C'est vraiment, il y a un peu du parkeur.
23:48 Mais par contre, il y a un plaisir énorme en termes de pointe de vitesse et de sensation.
23:51 - Il n'y a pas eu une petite nouveauté aussi, d'ailleurs, de nuit ?
23:53 - Il y a eu une nouveauté, là.
23:55 Il y aurait une nouveauté dans deux ans.
23:56 Je vais parler sous le contrôle de mon comité directeur.
23:58 - Attention, elle est derrière.
23:59 - Elles sont derrière.
24:00 - Elles sont derrière.
24:01 - Attention.
24:02 - C'est vrai.
24:03 - La nouveauté, c'était une superbe...
24:04 Alors, une nouveauté, ce n'était pas une,
24:05 parce qu'en 2017, nous avions déjà fait cette spéciale en ville.
24:08 A l'époque, c'était une idée de la Zandene qui a été reprise cinq ans plus tard,
24:12 donc en 2023, par le maire de Firmini.
24:14 - C'est bien un amoureux de voir des amoureux automobiles.
24:18 - Oui, c'est ça.
24:19 - Au moment où elle bannit un peu.
24:20 - Le but, c'est de promouvoir le sport dans la ville,
24:22 parce qu'effectivement, c'était la campagne.
24:23 C'est une certaine, entre guillemets, clientèle.
24:25 On amène le rallye en ville.
24:27 Ça fait découvrir à des jeunes, à des moins jeunes, à des citadins.
24:30 - Pas beaucoup de public, quand même.
24:31 C'est vrai.
24:32 Est-ce qu'il y a eu beaucoup de public ?
24:33 - Il y a eu beaucoup de public dans les spéciales.
24:34 - Ah, dans les spéciales, oui.
24:35 - Dans les spéciales, en deux temps, également,
24:36 parce qu'effectivement, on a pris du retard.
24:39 Donc, la super spéciale en ville avait pris du retard.
24:41 Et tous les spectateurs qui étaient venus sont repartis,
24:43 croyant que c'était un horaire fixe.
24:45 On avait pris du retard.
24:46 Donc, ils sont revenus, sont partis.
24:48 Et ils sont revenus après.
24:49 Effectivement, le maire est un petit peu inquiet.
24:51 Mais en effet, il y avait suffisamment de monde pour animer ça.
24:54 - Alors, avant de parler du sujet suivant, je voulais aussi...
24:58 Donc, on va parler de la finale, en fait.
25:01 - À Amber.
25:03 - À Amber, voilà.
25:04 - Vous êtes tous excités par cette finale.
25:06 - Il y a un événement exceptionnel qui a lieu dans 15 jours.
25:08 C'est la finale des rallyes d'Amber.
25:10 Alors, toi, tu fais partie du comité d'organisation.
25:13 - C'est ça.
25:14 - Par contre, il faudrait...
25:15 La première personne à citer à l'occasion de cette finale,
25:18 je pense que c'est Thierry Dupéché,
25:20 qui est le président de l'Asa Livre d'Eau Forêt.
25:22 Donc, je te laisse expliquer un petit peu
25:24 comment est venue, en fait, la finale à Amber.
25:26 Parce que c'est quand même la première fois qu'on a une finale aussi proche de chez nous.
25:29 - C'est ça. C'est une volonté farouche du président de la Ligue Auvergne de Sport Automobile
25:32 qui, depuis 3-4 ans, n'arrêtait pas de nous...
25:35 d'insister sur le fait qu'il fallait faire une finale.
25:37 Un seul a levé la main, c'est Thierry Dupéché,
25:39 l'Asa Livre d'Eau Forêt.
25:41 - Et pas Macron, parce que Macron, chaque année...
25:43 - Oui, mais c'est... Macron... Là, on parle de la Ligue Auvergne.
25:45 - Ah oui. - Là, parce qu'il a dit...
25:47 C'est le président de la Ligue Auvergne qui voulait la finale dans la Ligue Auvergne.
25:49 - Il faut reprendre ce que c'est, effectivement.
25:51 Tous les pilotes de France qui se sont qualifiés dans leur ligue respective
25:55 seront au rendez-vous. Il y aura environ 200-210 équipages.
25:58 Donc, on est vraiment sur le gratin du sport automobile amateur.
26:02 C'est l'équivalent niveau...
26:04 C'est pratiquement l'équivalent d'un chapeau-d'oeuvre de France.
26:06 Donc, c'est très intéressant.
26:07 Donc, pour en revenir, effectivement, le comité d'organisation,
26:10 nous sommes neufs autour de la table à travailler quotidiennement
26:13 depuis le mois de décembre 2022.
26:15 Donc, c'est lourd, quand même.
26:17 Ça demande beaucoup de travail.
26:20 C'est un travail qu'on n'a pas l'habitude de faire dans la région,
26:22 parce qu'on est vraiment sur un niveau du championnat de France.
26:26 - Les contraintes par rapport à un rallye national, comme le Val d'Anse,
26:28 par exemple, que tu organises chaque année au mois de mai,
26:30 il y a quand même un niveau supérieur et plus d'exigence.
26:33 - Un niveau supérieur, une attente très, très forte de la FFSA,
26:36 qui est quand même le principal contributeur financier de la finale.
26:39 Deuxièmement, il y a quelque chose qui nous met la pression,
26:41 c'est ce qu'on appelle les grands événements.
26:43 Donc là, c'est repéré au niveau de la préfecture,
26:45 comme il y aura entre 30 et 40 000 spectateurs.
26:47 - Ah oui, et autant ?
26:48 - Oui, oui.
26:49 - 40 000 spectateurs ?
26:50 - On attend.
26:51 - Ça fait énormément.
26:52 - Pareil à Sorbet, ce week-end ?
26:53 - Pareil à Sorbet.
26:54 C'est un peu moins, un peu la queue dehors.
26:56 Et donc, effectivement, ça nous met un peu la pression
26:58 en termes de sécurité, en termes de logistique.
27:00 La logistique est très, très lourde.
27:02 Il y aura 200 commissaires.
27:04 Et on a Eveline qui est derrière moi, qui les a recrutés.
27:06 - C'est vrai, Eveline ?
27:07 - On peut faire un clin d'œil aux commissaires.
27:09 - Complètement, parce que les commissaires pour ENOA,
27:11 qui ont commencé, pour certains, à 5h du matin,
27:13 et qui ont fini à 2h du matin,
27:15 ce qui fait une amplitude d'horaire importante.
27:17 - Mais expliquez un petit peu à Salem,
27:19 je vois qu'il y a un peu comme moi,
27:21 le sport automobile, on ne connaît pas trop.
27:23 Pourquoi vous êtes excité que ça se passe à Amber ?
27:26 C'est la première fois que ça se passe sur notre territoire ?
27:29 - Alors, il y a eu une finale en 1985.
27:32 - C'est juste ça, en 1985.
27:34 - A l'époque, c'était une finale des rallies régionaux,
27:36 qui était à Vichy, et donc c'était un niveau inférieur.
27:38 Ensuite, il y a eu une finale des rallies nationaux,
27:40 qui a été créée au début des années 90,
27:42 et puis on a fusionné, ça a été vraiment la finale des rallies.
27:44 Donc aujourd'hui, quand on parle de finale des rallies,
27:46 c'est déjà un niveau supérieur à ce qui s'était fait à Vichy.
27:48 Et depuis la finale de Vichy, on n'a rien eu près de chez nous.
27:51 - Et puis, en 1985, l'ADA.
27:53 - En 1985, messieurs, vous n'étiez même pas nés.
27:55 - C'est gentil, mais si, certains.
27:58 - Moi, je me rappelle, j'avais suivi la finale.
28:00 - C'est un événement vraiment national.
28:02 - Tous les meilleurs pilotes français de chaque ligue seront présents.
28:05 - Ça va rouler fort.
28:07 - C'est du très haut niveau.
28:09 - Pour qu'il y ait 40 000 spectateurs.
28:11 - Donc, effectivement, les erreurs qu'on peut faire
28:13 dans nos organisations respectives, les petites erreurs
28:15 ou les petits ranquements, on n'a absolument pas le droit de le faire.
28:17 C'est pour ça qu'on est assez nombreux dans un premier cercle.
28:19 On est neuf. Autour de ce cercle, on est 30.
28:21 - Vous soutenez un petit peu. Vous amenez votre expérience.
28:23 - Même si ça n'a pas été toujours très simple,
28:25 on a des visions parfois différentes de notre sport.
28:27 Mais à un moment donné, on se réunit, on se soude.
28:29 - La date, rappelez-moi, c'est quand ?
28:31 - C'est le... - Dans 15 jours.
28:33 - 12, 13 et 14 octobre. - Est-ce qu'on peut dire que tout est prêt ?
28:35 - Oui, pratiquement. 95 %.
28:37 Il y a une grosse réunion demain qui va commencer à 15 h
28:40 et qui devrait finir sur le coup des minuits.
28:42 - Ah oui !
28:44 - Une révelue d'électifs importante.
28:46 On va lister tous les aspects du rallye.
28:48 Il y a 2-3 bricoles qui manquent encore.
28:50 - Mais confiant, c'est bon. - On est confiant.
28:52 - À propos d'effectifs, quels sont les pilotes
28:54 qui vont s'illustrer ? C'est ma dernière question, je vous rassure.
28:56 - Ah non, mais rassurez-moi.
28:58 - Je veux que tu l'exécites un peu, mais c'est la dernière question.
29:00 - Je me focaliserai sur les pilotes de la Zandene.
29:02 - Peut-être sur les pilotes de la Zandene, effectivement.
29:04 - Quels sont nos chances ?
29:06 - De Lorme, qui sont là, à 3 voitures,
29:08 que vous avez déjà reçues ici.
29:10 - Le Papa et le De Fiston sont qualifiés cette année.
29:12 - Pour moi, c'est les favoris dans leurs catégories respectives.
29:15 Aurélien Laffont, qui est très rapide en R3.
29:18 - Il est au R3T. - Je vais essayer de ne pas en oublier.
29:20 Sébastien Hergé et Laurent Drevet en N2.
29:23 - Classe N2. - Classe très relevé.
29:25 Ils vont très vite, comme on dit dans le jargon.
29:27 Ils sont cintrés, un peu, les gars.
29:29 - Ah oui, oui. - Très tranquillons.
29:31 Avec la Porsche, qui va sans aucune prétention.
29:33 Ça fait 2 ans qu'il a démarré le rallye.
29:35 Et maintenant, il a fini 2nd en R1,
29:37 avec une auto, certes puissante, mais encore faut-il
29:39 être capable de l'emmener.
29:41 Qui ai-je oublié ?
29:43 - Ils nous pardonneront, j'espère.
29:45 - Ah, bah oui, mais je pense... - Non, mais président, vous avez oublié
29:47 - Non, mais je pense qu'il n'est pas dans le gratin.
29:49 - Je ne suis pas qualifié.
29:51 - Merci à vous. À se suivre prochainement.
29:53 Vous savez qu'on a pris un petit peu de retard, comme vous,
29:55 justement, à Firmini.
29:57 Parce qu'on vient de me dire "j'ai envie de 10 minutes".
29:59 Parce qu'il est toujours en train de se plaindre. "Ouais, mais moi,
30:01 j'ai pas fait mes 7 minutes."
30:03 - Vous avez fait 10 minutes. - Ah bon ?
30:05 - Ah, ça passe vite. - J'ai pas du temps passé.
30:07 - C'est tellement passionnant. - Alors, on va parler rugby.
30:09 - Vous avez fait du rugby, vous ? - Oui.
30:11 - C'est vrai ? - Oui, bien sûr. 2e, 3e année.
30:13 - Vous avez encore le ballon, exactement. Vous avez encore le petit coudrin.
30:15 - Maintenant, je ferai du rugby, ce sera en première ligne.
30:17 - Oui, moi je serai derrière.
30:19 Non, non, non. Mais écoutez, on ne va pas
30:21 ouvrir notre page à rugby et même coupe du monde.
30:23 Vous allez voir.
30:25 [Musique]
30:27 [Applaudissements]
30:29 - Alors, on l'a vu en ce moment,
30:31 le corps médical est à l'honneur.
30:33 En ce moment, jouera ou jouera pas Dupond,
30:35 mais ce n'est pas la question du jour, Thomas.
30:37 Sauf si vous l'avez, la réponse.
30:39 - Non, personne n'a la réponse, Gilles.
30:41 - Actuellement. Il a repris l'entraînement, c'est tout.
30:43 - Ça, c'est bien. On a vu ses premières images.
30:45 C'est joli. Et du coup, le corps médical
30:47 a l'honneur pourquoi ? - Oui, le corps médical
30:49 a l'honneur sur cette coupe du monde puisqu'on a
30:51 un Ligérien, Nicolas Danse,
30:53 qui est médecin du sport et médecin généraliste
30:55 à Monistrol-sur-Loire, mais qui est un passionné
30:57 de rugby puisqu'il était joueur.
30:59 Il était président de club, il a été
31:01 arbitre et maintenant, il est... - Même dans le top 14 ?
31:03 - Et maintenant, il est médecin, effectivement,
31:05 pour les matchs de top 14. - Ah ouais ? Et là ?
31:07 - Et il est présent sur cette coupe du monde sur tous les matchs d'Geoffroy Guichard.
31:09 - Alors, Guichard et... Les autres, là.
31:11 Comment ça s'appelle ? Ceux qui vont être prochainement
31:13 en Ligue 2. On n'est pas d'accord, mais moi, oui.
31:15 - Mais comment ça se passe, Thomas ?
31:17 Dans les clubs, comme le basket, le foot et tout,
31:19 ils ont leur médecin attitré par club.
31:21 Là, c'est le médecin du stade Geoffroy Guichard.
31:23 - Non. - Enfin, comment ça se passe ?
31:25 - Toutes les sélections ont, effectivement,
31:27 leur staff médical, mais il y a aussi un médecin
31:29 indépendant qui est là pour analyser
31:31 tout ce qui se passe sur le terrain et les éventuels
31:33 chocs. - Mais on va y revenir.
31:35 Soyez patient, mon petit.
31:37 La première question que vous lui avez posée, c'est quoi ?
31:39 - La première question, c'était
31:41 "Quel est vraiment son rôle sur le terrain ?"
31:43 - Ah, attends, on va faire ça. - Donc, médecin bord de terrain.
31:45 - Alors, le rôle du médecin de match,
31:47 il est surtout connu par rapport aux
31:49 commotions cérébrales, c'est-à-dire les chocs
31:51 qui sont reçus à la tête. C'est-à-dire que pendant
31:53 le match, on doit surveiller
31:55 tous les contacts qui peuvent entraîner
31:57 ce qu'on appelle une commotion cérébrale.
31:59 Donc, tous les chocs au niveau du visage,
32:01 au niveau de la tête,
32:03 au niveau du crâne. Donc, voilà.
32:05 Le rôle pendant le match, c'est essentiellement celui-ci.
32:07 Surveiller également les saignements.
32:09 Mais il y a toute une autre partie aussi,
32:11 avant le match, où on doit rencontrer
32:13 les arbitres, rencontrer les médecins
32:15 d'équipe, rencontrer les
32:17 équipes soignantes de terrain
32:19 pour organiser tous les soins
32:21 qui vont avoir lieu pendant
32:23 la rencontre. - Il est indépendant ?
32:25 - Il est indépendant. Il est là pour analyser
32:27 tout ce qui se passe sur le terrain et pour éventuellement
32:29 demander la sortie d'un joueur.
32:31 Il a prononcé le mot.
32:33 - Il l'a dit. C'est quoi ? - C'est le mot "commotion".
32:35 Puisqu'on en parle de plus en plus, les commotions
32:37 cérébrales dans le monde du rugby,
32:39 ça peut faire peur aux parents
32:41 de jeunes enfants.
32:43 - On en parle depuis peu quand même au rugby.
32:45 - Ça fait quelques années quand même
32:47 qu'on en parle.
32:49 Mais justement, on a demandé
32:51 à Nicolas Danse s'il y avait plus de commotions
32:53 maintenant par rapport à avant, puisque
32:55 le rugby, comme les autres sports, est de plus en plus physique.
32:57 - Il y a plus d'impact. - Ça évolue.
32:59 - Ça va plus vite. - Bah oui, ils ont tous assombé.
33:01 Du coup, c'est tout ce qu'on se dit.
33:03 - Alors, l'évolution,
33:05 oui, on trouve qu'il y a plus de commotions qu'avant
33:07 mais en fait aussi, il y a un meilleur dépistage.
33:09 C'est-à-dire, là, aujourd'hui,
33:11 on a un congrès médical avec une formation
33:13 notamment sur les commotions cérébrales.
33:15 La Fédération française
33:17 met aujourd'hui 500 000 euros
33:19 pour les dépistages,
33:21 tout ce qui est vidéo,
33:23 pour les dépistages des commotions sur les terrains.
33:25 Donc, effectivement, on en voit beaucoup plus,
33:27 on en dénombre beaucoup plus qu'avant.
33:29 Il est vrai aussi que le rugby
33:31 est devenu plus un sport d'affrontement.
33:33 Avant, il y avait le French Flair,
33:35 on faisait pas mal de passes,
33:37 on essayait l'évitement,
33:39 alors que maintenant, il y a beaucoup plus d'affrontements
33:41 et c'est vrai qu'il semblerait quand même qu'il y a plus de
33:43 choc à la tête. - Qu'est-ce qu'il raconte,
33:45 quoi, rien du tout ? - Non, mais que tu sois amateur
33:47 ou pro, si tu as des séquelles sur les commotions... - Mais ils ont pas les médecins
33:49 dans le monde amateur, justement, c'est ça ? - Bah oui.
33:51 - Non, mais il y a un film qui a été fait, ce que tu disais,
33:53 qui a été un film vrai, en plus, sur l'après,
33:55 sur le football américain. - Ouais, c'est le football américain.
33:57 - Après, il y a un meilleur
33:59 suivi des joueurs, alors que ce soit haut niveau,
34:01 mais même dans le monde amateur,
34:03 c'est mieux suivi, etc.
34:05 Et quand les joueurs prennent des chocs
34:07 au niveau de la tête, il y a des protocoles
34:09 de reprise qui sont un peu plus longs.
34:11 Le joueur, s'il sort sur commotion à la demande
34:13 de l'arbitre, normalement, il peut pas rejouer
34:15 avant 23 jours. Voilà, il y a
34:17 un meilleur suivi.
34:19 - On aime se faire mal au rugby, hein.
34:21 - Mais non, on se fait pas mal au rugby. - C'est avant tout un sport d'évitement.
34:23 - On met un casque. - En tout cas,
34:25 le seul truc, c'est que quand les joueurs sortent sur blessure,
34:27 ils sortent sur blessure. C'est une vraie blessure.
34:29 - Ils sont vraiment blessés. - Ah, mais voilà.
34:31 Pas comme au foot, où ça revient et on peut revenir.
34:33 Exactement. Est-ce que vous lui avez posé
34:35 juste son meilleur souvenir ou pas ? Alors,
34:37 la Coupe du Monde n'est pas finie, mais il est
34:39 au cœur, quand même, des matchs.
34:41 - Ouais, il est au cœur des matchs. Après,
34:43 ses meilleurs souvenirs, il en a plein, parce qu'il a suivi
34:45 l'équipe de France Jeunes, aussi, en tant que médecin.
34:47 Et il a été aux quatre coins
34:49 du monde, justement, avec certaines équipes
34:51 de France Jeunes, les moins de 18.
34:53 Voilà, là, forcément, c'est des
34:55 super souvenirs de faire ces matchs de Coupe du Monde.
34:57 - C'est une petite pépite, encore, que Thomas a trouvée, hein.
34:59 On peut vous le dire, ça fait trois fois de suite, hein.
35:01 - Et puis surtout, on est fiers, c'est que c'est un Nigérien.
35:03 - Ah bah oui, c'est un Nigérien. Voilà.
35:05 Merci à vous, Thomas. Dans quelques instants,
35:07 portrait de sportif avec Lilian Bard.
35:09 (applaudissements)
35:11 (musique)
35:13 - C'est un rythme effréné
35:15 qui est autour de la table. - Il emperche sa flèche.
35:17 - Il emperche sa flèche.
35:19 - Elle est tombée. Alors, justement,
35:21 mais cette personne, on la connaît un petit peu,
35:23 non ? - On la connaît, parce qu'Emilie est venue,
35:25 vous savez, c'était en extérieur, au mois
35:27 de juin dernier, pour faire une démo
35:29 avec Damien. - Exactement.
35:31 - Ah oui, oui. - De tir à l'arc,
35:33 puisque c'était le club de... - Damien a dit "ouais, ouais, attends,
35:35 calme-toi, Damien". - On parle pas de lui, tout de suite.
35:37 - "Non, ton lit, Damien, laissez-moi, moi."
35:39 - Donc, ils étaient venus faire le tir à l'arc
35:41 sur la partie extérieure, donc,
35:43 de la télé, et j'ai voulu
35:45 la rencontrer parce que, à l'occasion
35:47 de leur venue, du coup, au mois de juin,
35:49 ils avaient évoqué la compétition
35:51 régionale qui se passait début juillet.
35:53 - Ah, ça s'est pas tombé
35:55 dans l'oreille d'un sourd. - Eh non, c'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd.
35:57 Et puis, en plus, il avait bien dit
35:59 "et ce portrait-là, tu l'as pas fait".
36:01 - Je trouve que tu l'imites très bien, Damien.
36:03 - Je l'imite très bien, Damien. Il m'en voudra, je pense.
36:05 - Il apprécie. - Et donc, effectivement,
36:07 il fallait, je me devais
36:09 de recontacter Émilie...
36:11 - Tente pas le dos, Salem, parce que lui, il tire dans le dos.
36:13 - C'est ça que j'ai l'oeil.
36:15 - Non, il y a...
36:17 Je me permettrai pas.
36:19 - Non, je ne t'en prépare pas.
36:21 - Donc, j'ai recontacté
36:23 Émilie Grenon, et effectivement, elle avait bien
36:25 fait un
36:27 très beau... - Elle a scoré. - Très belle performance,
36:29 puisqu'elle a fait vice-championne du
36:31 cours régional. Elle termine deuxième.
36:33 Et puis, on se devait d'aller
36:35 faire son portrait, donc je suis allé
36:37 à sa rencontre.
36:39 - C'est une passion
36:57 que mon conjoint avait,
36:59 et du coup, il m'a donné...
37:01 A force de le voir tirer en compète, ça m'a donné
37:03 l'envie d'en faire.
37:05 Je suis vice-championne régionale, de tir à l'arc
37:07 extérieur. L'année coulée,
37:09 j'ai trois titres de championne départementale.
37:11 Mon conjoint a donc
37:13 commencé au club de Saint-Chamond, première
37:15 compagnie d'archers de Saint-Chamond.
37:17 Et c'est une ambiance très
37:19 conviviale, très familiale, et en fait,
37:21 je m'y plais bien.
37:23 Mon objectif, ben, pour cette
37:25 année, quand on va commencer
37:27 une nouvelle saison, ça serait aller régional, aussi bien
37:29 en salle qu'en extérieur.
37:31 C'est dans mes objectifs, et si c'est atteignable,
37:33 je peux pas le dire au jour d'aujourd'hui, je sais pas.
37:35 Alors, tirer à l'arc intérieur, c'est quand on est
37:37 en salle, à 18 mètres.
37:39 Moi, je suis en arc à poulies,
37:41 mais il existe différents arcs, arc classique,
37:43 arc nu, sans viseur,
37:45 et donc poulies.
37:47 Quand je me mettais en compétition,
37:53 je finissais tout le temps en larmes.
37:55 Je m'effondrais en larmes,
37:57 et maintenant, les compètes, je m'éclate parce que
37:59 ça me permet vraiment de
38:01 voir que je suis capable, en fait,
38:03 et ça me donne énormément confiance en moi.
38:05 Ça sera la photo du podium
38:11 de la Ligue, où j'ai été très fière
38:13 de mon parcours, mais en même temps,
38:15 j'ai été très déçue. Il faut savoir que
38:17 j'ai terminé à
38:19 égalité, au même nombre
38:21 de 10, et c'est les 10+
38:23 qui nous ont différenciés avec, donc,
38:25 mon adversaire.
38:27 Un rituel ?
38:29 Un rituel ? Quand je monte mon arc,
38:33 je commence toujours par ma place table,
38:35 et ensuite, je mets mon viseur.
38:37 Et aussi, mon rituel, c'est que
38:39 je ne commence pas une compète sans
38:41 m'échauffer. J'ai passé le diplôme d'encadrante
38:43 l'année dernière, et donc, j'ai la joie
38:45 de pouvoir accueillir et
38:47 coacher. Moi, je m'occupe surtout
38:49 des premières années pour
38:51 l'initiation et la découverte.
38:53 Le tir à l'arc, ça serait me retrouver en équipe de France.
38:55 Vraiment, c'est mon rêve.
38:57 Ça s'est joué...
38:59 Au 10+, il y a le
39:01 10 et le 10+ !
39:03 Déjà, quand on est dans le 10, logiquement,
39:05 c'est qu'on est au centre.
39:07 Non, mais on ne le connaît pas, nous !
39:09 Déjà, si j'ai pas tué le pigeon à côté...
39:11 Quand on est à 4, déjà, quand on est sur la cible,
39:13 on est content. C'est déjà pas mal, hein !
39:15 Et là, on parle donc des 10+, donc c'est vraiment le centre du centre.
39:17 Ça se joue à quelques millimètres,
39:19 quoi. Elle a des ambitions,
39:21 c'est beau ! Bleu, blanc, rouge,
39:23 comme tout le monde, je pense.
39:25 Comme beaucoup de personnes, on a envie
39:27 de porter le maillot
39:29 de l'équipe nationale. Et bien, voilà.
39:31 Et qui dit équipe nationale, qui dit Jeux Olympiques,
39:33 et Damien est en
39:35 compétition mode
39:37 Jeux Olympiques, n'est-ce pas Damien ?
39:39 Dams ? Oui ?
39:41 Regarde comme il sourit !
39:43 Je suis en mode démo, et plutôt en mode
39:45 Jeux Olympiques avec Louis, 12 ans.
39:47 Le mode Jeux Olympiques, c'est quoi ?
39:49 Faire le plus grand nombre de figures,
39:51 on appelle ça des tricks, c'est ça ? En une minute ?
39:53 C'est bien ça ? Oui. Allez, ben écoute, je te suis,
39:55 on va y aller. Déjà, la rampe, elle est
39:57 hyper élevée pour moi, je vais pas la prendre.
39:59 Je vais essayer de prendre le module juste après.
40:01 On dirait pas comme ça,
40:03 mais sincèrement, c'est chaud.
40:05 Hop, le plan est cliné.
40:07 Ah, il est fort !
40:09 Oui, même Louis a du mal,
40:11 c'est bien que c'est pas si évident que ça.
40:13 Il aurait dû s'entraîner avant, en fait, non ?
40:15 Il s'entraînerait quoi ?
40:17 Ah !
40:19 Bon,
40:21 vous l'avez compris, c'est pas
40:23 facile. Maintenant,
40:25 à vos notes, qui de nous deux, entre
40:27 Louis et moi, a vancu la décision ?
40:29 C'est Louis.
40:31 Louis, mais,
40:33 cherche pas à l'autre, on est durs.
40:35 Non, t'es mauvais.
40:37 Merci. Il a fait 20 secondes, il transpire.
40:39 L'autre, il est au bout de sa vie.
40:41 Un petit verre de...
40:43 Un petit verre de grenadine.
40:45 Ben oui, t'es avec Louis, il est mineur.
40:47 Non, mais c'est dur.
40:49 Il s'est attaqué à quelque chose de...
40:51 Donc là, il a fait le vrai format.
40:53 C'était une minute sur une minute.
40:55 Ouais, je pensais qu'il en avait un peu moins.
40:57 Tu sais qu'il nous reste deux minutes,
40:59 ou une minute, pile poil. Salem, tu nous as préparé
41:01 un truc. D'ailleurs, Thomas, t'as le micro.
41:03 Je crois que t'as la maracas.
41:05 Juste rapidement, tu peux nous faire
41:07 une petite démo ? Qu'est-ce qu'il y aura ce week-end ?
41:09 Tiens. Et si t'as besoin de cobayes,
41:11 prends Julien.
41:13 Il y aura beaucoup de cobayes.
41:15 Ah ben oui !
41:17 Les gars, je suis le plus costaud de tous.
41:19 Qu'est-ce qu'il faut faire ?
41:21 Est-ce qu'on voit la différence ?
41:23 Il a manqué un peu de poil.
41:25 Ah ben là, ça seche un peu mieux.
41:27 C'est Laurent qui a été à l'initiative des Omega Gym.
41:29 Ah c'est toi ? C'est le stagiaire, salut.
41:31 J'adore les stagiaires. Tu veux pas venir travailler avec moi ?
41:33 C'est un peu décerbant, là.
41:35 Et ce sera votre boulot pour le circuit training.
41:37 Le cardio et l'endurance.
41:39 Eh vas-y, qu'est-ce qu'il faut faire ?
41:41 Tu l'as tordu exprès, là ?
41:43 C'est qui s'est trop entraîné dessus, en fait ?
41:45 Regarde le dos droit.
41:47 Là, c'est un deadlift.
41:49 Oui, bien sûr. Tous les jours, je fais des deadlifts.
41:51 On va faire une flexion au niveau du genou.
41:53 Et remonter.
41:55 Eh ben, tu vois.
41:57 Ça fait partie de l'une des épreuves
41:59 qu'on aura pour les Omega Gym.
42:01 Avec du poids, par contre.
42:03 Un petit peu plus de poids.
42:05 On peut lancer des petits objets.
42:07 On peut monter à combien ?
42:09 Après, sur les compétitions,
42:11 ça monte vraiment très très haut.
42:13 Oui, des 180, 200 kg.
42:15 Après, on a du cardio ?
42:17 Du cardio.
42:19 Qui fait le cardio, ici ?
42:21 Le studio était en petit.
42:23 On n'a pas pu ramer les appareils.
42:25 Et le combat, il est derrière ?
42:27 Le combat, c'est Herman qui va
42:29 être l'animateur.
42:31 Il va faire une petite démonstration.
42:33 Ça sera quoi ?
42:35 Il faut un micro.
42:37 Les caméras sont derrière.
42:39 Il est beau, le moustachu.
42:41 Il aura quoi en combat ?
42:43 On va faire de la boxe anglaise.
42:45 Du vrai combat ou en body ?
42:47 Non, du coup, on va faire avec casque.
42:49 Ah ouais, je ne peux pas.
42:51 J'ai une ambition.
42:53 C'est la boxe anglaise.
42:55 Toi, tu ne sais rien.
42:57 Faites du MMA, s'il vous plaît, avec Julien.
42:59 Il veut bien voir du MMA avec Julien.
43:01 C'est une spécialité, en plus.
43:03 Tu ne tapes pas le visage, par contre.
43:05 On a des projections.
43:07 Ça sera quoi ?
43:09 Oh oh !
43:11 Il va te montrer.
43:13 Comment on fait, les gars ?
43:15 30 secondes.
43:17 À la touche, au visage, avec un casque.
43:19 Il n'y a pas de cage ?
43:21 Il n'y a rien du tout.
43:23 C'est pendant 2 minutes.
43:25 Le but, c'est de toucher le plus son adversaire.
43:27 Ça définira le vainqueur.
43:29 On en trouve dans les salles du MMA ?
43:31 Oui.
43:33 Au Megajim Club.
43:35 C'est un club de l'espoir.
43:37 C'est un club de l'espoir.
43:39 C'est un club de l'espoir.
43:41 C'est un club de l'espoir.
43:43 C'est un club de l'espoir.
43:45 C'est un club de l'espoir.
43:47 C'est un club de l'espoir.
43:49 C'est un club de l'espoir.
43:51 C'est un club de l'espoir.
43:53 C'est un club de l'espoir.
43:55 C'est un club de l'espoir.
43:57 C'est un club de l'espoir.
43:59 C'est un club de l'espoir.
44:01 C'est un club de l'espoir.
44:03 C'est un club de l'espoir.
44:05 C'est un club de l'espoir.
44:07 C'est un club de l'espoir.
44:09 C'est un club de l'espoir.
44:11 C'est un club de l'espoir.
44:13 C'est un club de l'espoir.
44:15 C'est un club de l'espoir.
44:17 C'est un club de l'espoir.
44:19 C'est un club de l'espoir.
44:21 C'est un club de l'espoir.
44:23 C'est un club de l'espoir.
44:25 C'est un club de l'espoir.
44:27 C'est un club de l'espoir.
44:29 C'est un club de l'espoir.
44:31 *Musique d'outro*

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