TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 Je trouve ça formidable. C'est un peu comme le café suspendu.
00:02 Vous allez dans un bar, vous payez un café pour une personne qui viendra qui n'a pas les moyens.
00:06 Et bien là, c'est avec le téléphone.
00:07 Et en plus, ces migrants, comme ça, ils seront en lien avec des associations.
00:10 Ils ne seront pas perdus. Il y aura un contact.
00:12 Donc je trouve l'initiative formidable.
00:14 - Notamment pour les chèvres, pardon.
00:15 - Je ne comprends pas très bien parce qu'on leur donne un téléphone,
00:17 mais jusqu'à preuve du contraire, il faut un abonnement, il faut un opérateur pour pouvoir téléphoner.
00:21 Donc je ne vois pas très bien.
00:22 J'ai cru comprendre qu'ils étaient dans le plus grand dénuement.
00:26 Alors, est-ce qu'ils vont payer un abonnement SFR, oui, etc. pour appeler leur famille, etc.
00:30 Je comprends très bien le concept.
00:31 Si ça va être un téléphone qui ne sert à rien...
00:33 - C'est démago.
00:33 - Mais donc c'est quoi ? C'est un...
00:35 - C'est une démagogie.
00:36 - C'est quoi ? Gilles, est-ce que vous avez les infos ?
00:37 Parce que c'est vrai qu'il a raison, il faut un abonnement.
00:39 - Non, il faut peut-être donner...
00:40 - En tout cas, ce ne sera pas fait pour appeler l'étranger,
00:43 puisque ce sera fait pour établir le lien avec l'association.
00:46 - Mais un abonnement, même pour ne pas appeler l'étranger, tu as besoin d'un abonnement.
00:48 - C'est complètement démago.
00:49 On sait que ces gens-là, ils sont dans une énorme misère.
00:51 A priori, malheureusement, leur parcours, il est destiné à être chaotique.
00:54 Et là, pour se donner une bonne conscience, on va leur offrir un smartphone.
00:57 Encore une fois, qui paye l'abonnement ? Pour faire quoi ? Qu'est-ce qu'ils vont faire avec ?
00:59 Ils ne vont pas jouer à Candy Crush alors que les pauvres, ils vont peut-être être envoyés dans leur pays.
01:02 Non, mais c'est n'importe quoi.
01:03 - Moi, les candidats de l'association...
01:05 - C'est vrai, c'est complètement démago.
01:06 - Bon, Delphine.
01:08 - Et encore une fois, pourquoi est-ce qu'on ne donne pas ces smartphones
01:11 à des travailleurs qui n'arrivent pas à boucler leur fin de mois
01:14 ou à des SDF qui sont dans nos rues ?
01:17 - L'un n'empêche pas l'autre. On n'est pas obligés de poser des misères.
01:19 - Oui, déjà, si c'est un smartphone, je pense qu'on peut déjà aider des gens
01:21 qui sont vraiment dans le besoin et qui se lèvent malgré tout tous les matins en France.
01:24 - Là, en l'occurrence, on dit que c'est aussi beaucoup pour les femmes isolées avec enfants.
01:28 C'est ce que dit l'association, et notamment pour les aider dans un centre
01:32 qui s'appelle Refugees Women's Center pour les soins médico-sociaux,
01:34 pour le suivi des soins médico-sociaux.
01:36 Et c'est pour qu'elles ne soient pas dans la nature quand on a besoin de les suivre là-dessus.
01:39 - Oui, Gilles.
01:41 - Mais ça a fait travailler des gens, Cyril. C'est pour ça que j'aime bien.
01:43 Il a fallu recycler les téléphones et on les donne à des gens démunis.
01:46 Je trouve que c'est à la fois humanitaire et utile,
01:48 parce que des gens qui ont un téléphone, on peut les localiser.
01:51 On sait où ils sont. Ils ne sont pas perdus.
01:53 Et donc, on peut les sortir de ces situations difficiles. Voilà.
01:56 - Oui, Raymond.
01:56 - C'est pas parce que tu lui as donné un téléphone que tu vas le localiser.
01:59 S'il a envie de faire des trucs pas bien, il fera des trucs pas bien avec ou sans téléphone.
02:03 Moi, ça ne me dérange pas qu'on donne 500 smartphones.
02:05 C'est une association. C'est un truc. Ce n'est pas de l'argent public.
02:08 Ça ne me dérange pas qu'on leur donne des téléphones. Ce qui me dérange, moi,
02:11 c'est qu'il y a des gens qui ont besoin de téléphones.
02:13 Et eux, on les laisse sans téléphone. C'est toujours les deux points de mesure.
02:15 On va aider des gens n'importe comment, dans tous les sens.
02:18 Et les gens qui travaillent, on ne les aide pas beaucoup.
02:20 - C'est les associations. Ils aident ce qu'ils veulent.
02:21 - C'est pour ça que j'ai mis oui.
02:22 C'est pour ça que j'ai mis oui, mais on aurait voulu aussi que cette association-là...
02:26 Ce qu'ils vont dire, les gens, sur l'association,
02:27 ils vont dire « moi, je ne donne plus à cette association-là ».
02:29 - Je vais vous dire, vous allez voir le sondage.
02:31 Vous allez voir le sondage et regardez, on va réagir après.
02:34 Regardez ce que pensent nos téléspectateurs.
02:36 91 % de nos téléspectateurs sont choqués par ces 500 smartphones offerts à des migrants à Cali.
02:44 Il y a beaucoup de choses qui reviennent, comme vient de dire Delphine.
02:48 Est-ce que quelqu'un comprend que les gens soient choqués ou pas du tout ?
02:51 Parce qu'il y en a un qui comprend.
02:52 - Moi, je comprends parfaitement.
02:53 - Là, sur le plateau, c'est le tout contraire.
02:55 Alors, ou vous êtes très débatteux, ou vous ne dites pas ce que vous pensez.
02:58 Non, non, mais on voit bien, ici, il y a 90 %.
02:59 Ou vous ne dites pas ce que vous pensez et vous êtes démagots, ou bien le sondage est bizarre.
03:04 Alors, Aurélien ?
03:04 - Non, on pense exactement comme les gens.
03:06 Et on se dit tous, on se dit « ok, c'est très bien qu'ils aient des téléphones ».
03:09 - Et les associations donnent à qui ?
03:10 - Ce n'est pas l'argent public, c'est une association qui a fait ça.
03:13 Mais en contrepartie, les gens qui sont chez eux, ils disent « moi, j'ai une carte prépayée,
03:17 je ne peux pas téléphoner, moi, je veux changer mon téléphone, mais je n'en ai pas.
03:19 Lui, il se retrouve avec un téléphone tout neuf, je ne vais pas demander de venir là.
03:22 Il y a plein de gens qui vont tout mélanger.
03:24 Il est venu, on l'accueille, en plus, il faut un téléphone, alors pourquoi on ne lui offre pas un cabriolet ?
03:29 Pourquoi on ne lui offre pas des sous pour aller au restaurant ?
03:31 Pendant que moi, je vais bosser et que je n'arrive pas à boucler les fins de mois.
03:33 C'est ça, les gens, ce qu'ils disent.
03:35 Le message est mauvais, en fait.
03:37 On n'offre pas des téléphones comme ça, ça ne changera pas sa vie.
03:39 Venez, on essaye de le faire venir, qu'il s'installe correctement,
03:42 on essaye de lui trouver une insertion, qu'il ait du boulot.
03:44 Mais les téléphones…
03:45 - Après, moi, je vais me faire l'avocat aussi de l'association.
03:47 L'association… Alors, dans ce cas-là, on critique ceux qui y aident.
03:53 La dernière fois, ils avaient critiqué aussi Bernard Arnault, les infus ou mis,
03:56 parce qu'il avait donné 10 millions d'euros au Resto du Monde.
03:58 On critique ceux qui ne font rien et on critique ceux qui font.
04:00 Donc, à un moment, c'est vrai que c'est compliqué de trouver le bon curseur.
04:08 Parce que l'association, elle s'est dit "je vais aider les gens"
04:11 et voilà, l'association, elle fait ce qu'elle veut.
04:14 - Mais on ne critique pas le fait qu'ils le fassent.
04:17 On critique qu'aujourd'hui, en France, il y a une précarité qui est trop grande.
04:20 Il y a des gens qui sont vraiment sous ce plafond de verre
04:22 et aujourd'hui, on sait qu'un téléphone, ça coûte très très cher.
04:24 Donc, ces gens-là, ces travailleurs pauvres,
04:26 je préfère qu'ils économisent pour pouvoir manger ce prix du téléphone
04:31 et qu'il soit un peu plus confortable tout le mois durant
04:34 plutôt que de le donner à des migrants qui, en plus de ça,
04:36 viennent un peu de manière illégale en France.
04:38 - Alors, Gilles, tu es d'accord avec Lafine ?
04:40 - Non, je ne suis pas d'accord.
04:41 Parce que je comprends que les gens soient choqués,
04:45 mais à mon avis, ils sont choqués pour de mauvaises raisons.
04:47 - Non, non, non, mais pourquoi ?
04:49 - Non, mais je comprends que les gens soient choqués.
04:51 - Mais pourquoi ?
04:52 - Parce que, en fait, c'est des téléphones qui sont reconditionnés.
04:57 OK, ils sont vendus 70 euros le téléphone.
05:00 Et donc, après, il y a un pour 10 ou pour 100 qui sont donnés à ces gens-là.
05:04 Ça fait partie, si vous voulez, de ce qu'on appelle l'économie circulaire.
05:07 Donc, c'est pour ça que pour moi, ce n'est pas choquant.
05:09 Ce n'est pas au détriment d'autres gens
05:11 puisqu'il y a plein de gens qui, pour 70 euros,
05:13 des milliers, 28 000 déjà, je crois, auront un téléphone.
05:16 - Oui, mais là, il est gratuit.
05:17 - Là, il est gratuit.
05:18 - Oui, mais 70 euros, ce n'est pas rien.
05:20 Qu'est-ce que tu racontes ?
05:21 - Non, mais ce n'est pas non plus...
05:22 - 70 euros, tu sais ce que c'est, 70 euros ?
05:23 - C'est un bon...
05:24 - Non, mais qu'est-ce qu'il raconte ?
05:25 - Ça, il a dit.
05:26 - 70 euros, c'est énorme.
05:27 Aujourd'hui, il y a des Français qui ne peuvent pas mettre 70 euros.
05:30 - Bien sûr, Cyril.
05:31 - Non, mais tu parles de 70 euros, on dirait que tu dis que c'est un bal.
05:34 - Je ne suis pas d'accord.
05:35 70 euros, c'est énorme.
05:36 - Oui.
05:37 - Tu es fou, quoi.
05:38 Je te le dis, 70 euros, c'est énorme.
05:39 - J'entends parfaitement.
05:40 - 70 euros, c'est un abonnement.
05:41 Tu sais, les gens, aujourd'hui, ils ne peuvent pas sortir.
05:42 - Oui, mais je sais.
05:43 - Ils ne peuvent pas faire de loisirs.
05:44 70 euros, c'est presque un abonnement à Canal toute l'année.
05:48 - Au sport, au salon de sport.
05:49 - Voilà, exactement.
05:50 Parce que les gens ne peuvent pas sortir,
05:51 donc forcément, le loisir, c'est chez eux aussi.
05:53 Donc, 70 balles, tu es fou, quoi.
05:54 C'est énorme.
05:55 Donc, ne dis pas que les téléphones, ils sont donnés.
05:56 70 euros, ce n'est pas donné.
05:57 - Tu n'as pas dit ça.
05:58 - Oui, mais ton raisonnement, il est fou.
06:01 Excuse-moi.
06:02 Parce que 70 euros et gratuit, ce n'est pas pareil.
06:04 - Par rapport au prix d'achat d'un téléphone neuf, 70 euros, c'est déjà...
06:08 - Mais entre 70 euros et de la gratuité, ça n'a rien à voir.
06:11 - Oui, oui.
06:12 - Non, mais je te le dis.
06:13 Excuse-moi, voilà.
06:14 - J'entends ce que vous dites.
06:15 - Non, mais Jean-Michel.
06:16 - Oui, et puis en plus,
06:17 je pense qu'ils ne s'en serviront pas, des téléphones,
06:19 parce qu'il n'y a pas d'utilité.
06:20 Après tout le monde n'a pas d'opérateur ni rien.
06:21 Donc ça va être des objets de trafic, ils vont les revendre.
06:24 - Il y a des cartes prépayées.
06:25 - Qui va payer les cartes prépayées ?
06:27 - Ils ne sont pas arrivés.
06:28 - C'est la société.
06:29 - C'est l'association.
06:30 - Pas du tout.
06:31 - Tu ne peux plus donner un téléphone à un homme.
06:32 - Non, l'association, ils ne peuvent pas.
06:33 - Dans leur communiqué, ils disent que les téléphones,
06:34 ça va servir par exemple s'ils tombent en pleine mer d'un zodiac
06:36 pour appeler les secours.
06:37 Il n'y a pas de réseau en pleine mer.
06:38 De toute façon, ça ne sert absolument à rien.
06:39 Ou s'ils tombent du camion pour appeler les secours.
06:41 Je trouve que la communication est vraiment bancale.
06:43 - Non, mais après, moi aussi, il y a des gens,
06:46 et s'ils n'avaient rien fait, on aurait dit,
06:47 ils ne font jamais rien.
06:48 - On peut faire un stand-up téléphonique
06:49 où tout le monde peut venir téléphoner gratuitement.
06:51 Ils distribuent des téléphones à tout le monde.
06:53 - Si on fait de l'idéologie, on trouve ça bien.
06:54 Et si on fait de la politique, je comprends comme Delphine
06:57 qu'effectivement aujourd'hui, en France,
06:59 on est très tendu par rapport à ces sujets.
07:01 On est totalement sur la préférence nationale.
07:03 Il y a eu plein de faits divers sans aide,
07:05 dans une généralité immonde, avec malgré tout,
07:07 des migrants, avec des histoires de vol, de viol,
07:10 de drogue et tout ça.
07:13 Donc effectivement, je peux comprendre.
07:15 Mais malgré tout, je trouve que c'est quand même
07:16 une belle initiative à partir du moment
07:17 où c'est une association.
07:19 - Est-ce que de la même manière, à ce moment-là,
07:20 est-ce qu'on ne peut pas...
07:21 Enfin, tu ne veux pas qu'on les nourrisse,
07:22 tu ne veux pas qu'on leur donne des vêtements ?
07:24 Parce que malgré tout, on les nourrit,
07:26 on leur donne des vêtements, on leur donne des tentes.
07:27 - Non, mais d'accord.
07:28 Non, mais nourrir, c'est le besoin primaire.
07:29 - Il y a des Français qui sont aussi dans la rue...
07:31 - Non, mais là, elle dit un truc bien, Delphine.
07:34 - Nourrir, c'est le besoin primaire.
07:36 Tu ne laisses pas des gens crever de faim
07:37 s'ils sont sur ton sol.
07:38 - Bien sûr, tu as raison.
07:39 - En revanche, leur donner un smartphone,
07:40 je suis désolée, un smartphone serait bien,
07:41 on ne leur donne pas un Nokia ou quoi que ce soit,
07:43 on leur donne un smartphone,
07:44 eh bien ça, je pense qu'on peut le donner
07:45 à des gens aujourd'hui qui sont dans le besoin.
07:47 - Peut-être qu'ils font les deux.
07:48 - Mais oui, là, non, peut-être.
07:49 - Peut-être qu'ils font les deux, mais ce n'est pas le problème.
07:50 - C'est pour les audiences, Mario Boss, toujours.
07:51 - C'est 70 euros.
07:52 - Non, je suis désolée.
07:53 - 70 euros, voilà, pour les audiences, c'est 70 euros.
08:22 - Je ne suis pas désolée.
08:23 - Je ne suis pas désolée.
08:24 - Je ne suis pas désolée.
08:25 - Je ne suis pas désolée.
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09:40 - Je ne suis pas désolée.
09:41 - Je ne suis pas désolée.
09:42 - C'est vrai qu'elle a un niveau tellement haut par rapport à toi que ça doit être difficile.
09:45 - Allez là.
09:46 - J'adore Gilles Verdez sauf dans les débats, vous le savez.
09:55 - Et puis en plus, pour terminer, on pourrait...
09:57 - Qu'est-ce que t'as toi encore ?
09:58 - On pourrait peut-être aider en priorité les migrants qui veulent s'installer en France,
10:05 travailler en France, plutôt que ceux qui n'ont qu'une envie, c'est de se barrer de France
10:07 pour aller en Angleterre.
10:08 - En Angleterre, sélectionner ces migrants, c'est la plus belle fois que tu le dis.
10:09 - Ils sont à Calais, ils n'ont qu'une envie, c'est de partir en Angleterre.
10:12 - Donc on aide des gens qui ne veulent pas rester en France, en plus.
10:15 Et dont ceux qui restent en France.
10:16 - Ce sont des personnes vulnérables.
10:18 - Mais t'as pas travaillé le dossier, laisse tomber.
10:19 Tu ne veux pas travailler.
10:20 Bosse un peu et tu reviendras.
10:22 - Excuse-moi, mais toi, t'as travaillé un dossier ce soir ?
10:24 Regarde devant toi, t'as pas une fiche, tu sais même pas ce qu'elle a en conducteur.
10:27 Alors allons, s'il faut dire un truc.
10:28 - Qu'est-ce qu'il y a ?
10:29 - T'as tout dans la tête ?
10:30 - Bien sûr.
10:31 - De quoi on va parler ce soir ?
10:32 - T'as quoi dans la tête ?
10:33 - De quoi on va parler ce soir ?
10:34 - Bah, les Valangoria.
10:35 - Les Valangoria.
10:36 - Les Valangoria.
10:37 - Pascal, n'attendus pas, qu'est-ce que tu penses de tout ça ?
10:38 - De quoi ?
10:39 Des téléphones ?
10:40 - Pas des Valangoria, elle va arriver dans un instant.
10:41 - Les Valangoria, je suis ravie de faire sa connaissance.
10:42 Moi, j'étais fan de Desperate Housewives.
10:43 Donc, comme beaucoup, c'est ça la question.
10:44 - Tu te dis pas que c'est des téléphones ?
10:45 - Non, c'est des téléphones.
10:46 - C'est des téléphones.
10:47 - C'est des téléphones.
10:48 - C'est des téléphones.
10:49 - C'est des téléphones.
10:50 - C'est des téléphones.
10:51 - C'est des téléphones.
10:52 - C'est des téléphones.
10:53 - Pas des téléphones.
11:09 (rires)
11:10 [Musique]