• l’année dernière
Le PSG a battu sèchement l'OM hier soir 4-0, avec des buts de Kolo Muani , Ramos et Hakimi.
Le Vestiaire revient aujourd'hui sur la métamorphose du PSG sous Luis Enrique : une nouvelle mentalité , un nouveau style ...
Une nouvelle ère commence pour le troupe de Mbappé !

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00:00 PSG-OM, la claque
06:20 Le style Luis Enrique décrypté
15:19 La nouvelle ère

Mots clés:
#PSGOM #PSG #LuisEnrique

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Sport
Transcription
00:00 Bienvenue sur le vestiaire, sur la première chaîne 100% Duo dédiée à l'actualité du football.
00:04 Et aujourd'hui, on va se parler de la star du Paris Saint-Germain,
00:07 Louise Henriquet, la star Saint-Louis.
00:09 Thomas, comment ça va ?
00:11 Écoute, moi ça va très bien ce matin.
00:14 J'ai digéré la défaite du Réal.
00:16 Mais toi, comment tu vas après l'humiliation, la petite fessée face au Paris Saint-Germain ?
00:21 Violent quand même, non ? Tu ne t'y attendais pas ?
00:23 Disons qu'il y a toujours un sentiment d'espoir quand tu joues un classique.
00:28 Mais il y a de la frustration, beaucoup de colère aussi par rapport à la prestation des joueurs.
00:33 Parce qu'ils n'ont rien montré hier, manque d'agressivité.
00:38 Et en fait, il n'y a qu'un club qui a disputé le classique hier, c'est le PSG.
00:42 Le contexte était quand même défavorable à Marseille avec la semaine cataclysmique qu'ils avaient passé.
00:49 Oui, mais il ne faut pas se cacher après.
00:52 Semaine ou pas semaine, il y a un moment à chaud, moi j'ai dit que c'était lié aussi à la semaine.
00:56 Mais quand tu prends un peu de recul, chaque année c'est la même.
00:59 Et franchement, ça saoule de se dire…
01:01 Les 4-0, ce n'est pas chaque année quand même, tu exagères.
01:04 Non, mais il y a trois ans c'était 4-0, l'année dernière il y a eu 1-0.
01:08 Mais tu sens qu'en fait, tu es toujours en limite.
01:10 Tu es toujours en limite et tu ne peux pas faire la différence.
01:13 Aujourd'hui, on va se parler du PSG et on va essayer de regarder justement…
01:17 On va faire un focus sur Louis pour voir comment il a métamorphosé ce Paris Saint-Germain.
01:22 Ah, j'étais pas mal en prono là.
01:24 C'était pas mal avec notre partenaire Unibet, on vous rappelle les pronos qu'on avait réalisés.
01:29 Victoire du PSG pour Thomas, j'avais joué le nul.
01:31 Toi tu avais dit 3-0, et j'avais dit 1 partout.
01:34 Bon, le PSG, je voyais bien le PSG confirmer défensivement, tu sais après la belle prestation contre Dortmund.
01:42 Et je t'avais dit que si deux vances arrivaient à bien combiner,
01:46 cette défense marseillaise m'avait un peu inquiété contre l'Ajax et ça s'est confirmé hier soir.
01:50 7 buts en question de match quand même.
01:52 C'est ça, et 6 sur les 7 premières rencontres au préalable.
01:57 Le choc psychologique n'a pas eu lieu.
01:58 En tout cas, c'est notre partenaire Unibet, n'oubliez pas que si vous jouez avec le lien qui est dans la description,
02:02 jouer comporte des risques, donc jouez exclusivement avec responsabilité.
02:07 C'était très important de le rappeler.
02:10 Alors, la claque 77% de possession, 15 tirs à 6,
02:13 surtout la stat qui fait mal du côté de l'OM, c'est 0 tir cadré.
02:19 Pareil qui a pris la mesure de l'OM.
02:22 Dans tous les compartiments, statistiques.
02:24 Moi, ce qui m'a marqué au delà des statistiques, c'est vraiment,
02:27 on en parlera dans la slide suivante,
02:29 mais l'impression que le PSG a totalement asphyxié cet OM qui n'arrivait pas à ressortir le ballon
02:35 et qui avait un pressing démentiel toute la rencontre.
02:38 Ouais, il y a de ça, il y a ce non match des Marseillais,
02:43 cette faute sur Mbappé, le coup franc d'Hakimi qui lance la rencontre.
02:47 Et c'est symptomatique, tu le dis très bien.
02:49 Le deuxième but de Colomagny, c'est peut-être l'image de la soirée,
02:53 cette joie qu'il a apportée, même si après, il a eu des mots déplacés
02:56 qui devraient être, je l'espère, condamnés par la Ligue.
02:59 On le verra.
03:01 Cette joie, il y a cette reprise qu'il va avoir, le ballon frappe le poteau.
03:07 Il y a deux joueurs du PSG dans la surface de réparation.
03:09 Il n'y a pas hors-jeu d'ailleurs.
03:12 Je ne vais pas me cacher derrière le hors-jeu.
03:15 Ce que je remarque surtout, c'est qu'il y a deux joueurs du PSG
03:19 qui vont aller chercher la reprise pour marquer.
03:22 Gigo et Mbemba ne sont pas là.
03:26 Ça montre l'abnégation, l'agressivité qu'ont eu les joueurs du PSG.
03:32 Et puis après...
03:33 Et Colomagny qui a débloqué son counter-bute avec le PSG,
03:36 c'est important à signaler.
03:37 Lui qui avait été, pour l'instant, des prestations en demi-tinte.
03:41 Il a fait beaucoup de mal à l'OM.
03:43 Il avait été passeur décisif contre Lens quand il était rentré.
03:46 Mais là, il débloque son counter.
03:49 Il est passeur décisif sur Gonzalo Ramos.
03:51 Gonzalo Ramos qui marque son premier but également.
03:54 Mbappé qui est sorti, on va en parler.
03:56 Gonzalo Ramos, Colomagny qui débloque leur counter.
03:59 Dembélé qui fait sa première passe décisive.
04:02 Et si je sors de mon côté supporter du PSG,
04:07 le touffé de Marseille.
04:10 Ah ouais, putain, en même temps...
04:11 On va la garder.
04:14 On va la garder celle-là.
04:15 Supporteur de l'OM, tellement je suis à la rue.
04:20 Si je sors de mon côté supporter de l'OM,
04:23 le touché de balle de Gonzalo Ramos sur le quatrième but,
04:26 il est phénoménal.
04:27 Il a le temps de contrôler.
04:29 Et après, il va te faire un délicieux extérieur du pied.
04:32 C'est là où tu vois que l'inefficacité marseillaise a pesé.
04:36 Parce que Vitinha, lui, il a deux occasions, malheureusement.
04:40 Et Dieu sait que je suis un supporter de Vitinha côté OM,
04:44 je précise.
04:47 Il n'a pas marqué.
04:48 Et là, Gonzalo Ramos, lui, de son côté, c'est clinique.
04:51 Deux buts.
04:52 Ouais, deux buts.
04:54 Je l'avais dit dans l'avant-match,
04:55 si devant, ils arrivent à être efficaces,
04:57 à être complémentaires,
04:59 ça pourra faire d'énormes dégâts.
05:01 Dembélé qui débloque, Colomagny, Ramos.
05:05 L'absence de Dembapé, finalement,
05:07 elle ne s'est pas tant ressentie que cela hier soir.
05:09 Mais on en parlera après.
05:11 Ouais, elle ne s'est pas fait ressentir,
05:13 mais la transition, elle est parfaite.
05:15 Mbappé qui sort sur blessure à 31e minute,
05:19 touché à la cheville.
05:20 Alors, on ne sait pas encore si c'est grave ou pas.
05:25 Lucenne Riquet a plutôt été rassurant en conférence de presse.
05:29 Mais avec Mbappé, tu sais que le PSG est dangereux,
05:33 même s'il a tiré énormément de ballons,
05:35 mais il a tiré énormément de défenseurs.
05:36 Sans Mbappé, on va reparler de la tactique dans quelques secondes,
05:41 mais c'est fort.
05:43 Parce qu'à la différence de l'année précédente,
05:45 où tu avais Neymar et Messi qui étaient un peu en concurrence
05:49 pour avoir le leadership de cette attaque,
05:51 là, tu as vraiment un matériel offensif
05:52 qui est au service d'Mbappé et au service de l'entraîneur.
05:56 Et je trouve que c'est beaucoup plus sain
05:57 au sein de l'effectif de Paris.
06:00 Ça se traduit au niveau des résultats.
06:01 Alors, bien sûr, il y avait un temps d'adaptation
06:03 pour les nouvelles recrues.
06:04 On l'avait dit, Colomagny, Ramos,
06:06 c'est un nouveau collectif, nouvelle ville, nouveau pays, etc.
06:09 Mais de ce qu'on a vu quand même depuis le début de la saison,
06:13 on voit quand même que Luis Enrique imprime sa patte.
06:16 Justement, transition parfaite avec cette deuxième partie
06:19 de cette nouvelle star, Luis Enrique,
06:21 qui a métamorphosé le PSG.
06:24 Alors, on va prendre des pincettes,
06:26 la saison va être encore longue,
06:27 mais tu sens déjà qu'il y a une patte.
06:30 Sur la gauche, Thomas, je te présente la tactique
06:31 qui était présentée comme habituellement,
06:33 on le voit à la télé en 3-4-3,
06:35 mais ce qui surprenait hier,
06:37 c'était le côté assumé de mettre Bradley Barcola dans le milieu
06:41 et on savait qu'il allait se retrouver finalement en 4-4.
06:45 Exactement.
06:46 Sur la droite, on voit la position moyenne
06:49 des joueurs du Paris Saint-Germain
06:51 sur l'ensemble de la rencontre.
06:53 C'est dingue.
06:54 Alors, c'est lié aussi à la faiblesse marseillaise,
06:57 on ne va pas se cacher,
06:58 avec le côté bloc bas, pas d'agressivité.
07:02 Mais tu vois la ligne de 5 devant,
07:06 parce que moi, le joueur qui me marque le plus dans ce schéma-là,
07:10 c'est Hakimi.
07:12 Et en fait…
07:13 Il profite de l'espace libéré par les attaques.
07:15 Exactement.
07:16 Et ne vous méprenez pas si vous regardez cette slide,
07:20 ce n'est pas un 4-3-3 avec les quatre défenseurs qui sont en haut.
07:23 Non, non, c'est un 3-3-4 avec Hakimi qui a une position hybride
07:29 et c'est le quotidien de l'équipe sur la version digitale aujourd'hui
07:32 et qui le présente très très bien.
07:34 Sur le deuxième but, Barcola qui fixe la défense marseillaise.
07:38 Le duo Rongier-Veretout, complètement à la ruière,
07:41 qui est absorbé par l'attaque du PSG.
07:45 Et on a Hakimi qui va se retrouver à 25 mètres des buts
07:50 et qui est super chaud en ce moment et qui va se retrouver seul.
07:53 Ce que j'ai beaucoup apprécié dans le dispositif tactique de Louis Sandriquet,
07:56 c'est qu'il a titularisé Barcola parce qu'il avait envisagé
08:00 que Marseille fasse un bus devant la défense,
08:03 donc il a amené un attaquant supplémentaire.
08:05 Ça, c'est très malin de sa part.
08:06 Et si tu peux remettre la slide, quelque chose que j'aime beaucoup aussi avec Hakimi,
08:11 c'est qu'il y a un équilibre avec Lucas.
08:13 Lucas ne va jamais monter comme le fait le Marocain
08:17 et du coup, il apporte cet équilibre en étant le troisième défenseur central.
08:21 Oui, c'est ça.
08:22 C'est pour ça que je ne suis pas sûr qu'avec un Nuno Mendes,
08:26 il y ait autant d'équilibre.
08:29 Non, mais ça va se…
08:30 Bon déjà, Nuno Mendes joue un match sur deux,
08:32 mais ça va apporter une nouvelle touche tactique au PSG
08:38 et une nouvelle corde à l'arc de Louis Sandriquet.
08:41 Et quand tu as une palette d'offensive aussi impressionnante,
08:46 ça te laisse plusieurs cartes à jouer quand tu es en difficulté dans un match.
08:50 Donc c'est plutôt une force.
08:53 Elle est très intéressante, cette équipe du Paris Saint-Germain,
08:55 parce qu'on a l'impression que les joueurs ont compris le message de l'entraîneur
08:59 et quand tu regardes l'équipe jouer, tu vois qu'il y a un fil conducteur.
09:03 Tu vois ?
09:04 Oui, c'est vrai.
09:06 Ce n'est pas le cas de toutes les équipes en Europe.
09:08 C'est vrai et c'est une patte que Louis Sandriquet
09:11 est en train de mettre en place au fur et à mesure des rencontres.
09:14 Là, je te présente la slide face à Lens.
09:16 On avait déjà en différentes phases offensives
09:20 ce 4-2-4 qui était employé avec un Vitignar qui était positionné plus haut.
09:24 Un Vitignac qu'on a tous les deux apprécié face à Dortmund,
09:27 dans une position plus à droite.
09:30 Et là, c'était face à Lowell.
09:32 Face à Lowell, c'est là où on peut faire peut-être une transition avec une nuance à apporter.
09:38 Les limites, tu veux dire, de ce schéma ?
09:40 Voilà, c'est que tu as une zone libre sur le terrain qui se retrouve
09:44 et donc là, c'est à l'adversaire de la prendre à son compte.
09:48 Mais ce PSG dans un 4-2-4 peut se retrouver aussi dans un déséquilibre
09:52 et on l'a vu hier.
09:54 Alors oui, je vais passer à la limite déjà et après, on parlera de l'homme-clé.
09:59 Le PSG s'est retrouvé en difficulté face à Nice et face à Lyon avec Skriniar et Donnarumma.
10:06 Donnarumma, lui, il a fait un très grand match face à Lyon, il a fait un moins bon match face à Nice.
10:10 Skriniar, on l'a vu, face à Nice, il était en difficulté.
10:16 Paris, dans les phases de transition, peut concéder des situations.
10:20 Hier, Vitiglia, on en a eu deux et malheureusement pour l'OM et pour nous,
10:25 clairement, enfin pour moi, ça n'a pas fait but.
10:29 Il y avait cette volonté, il y a cette agressivité sur laquelle le PSG peut parfois se retrouver en difficulté.
10:36 Et c'est quelque chose qu'il va falloir noter.
10:38 Je vais remettre la slide parce qu'effectivement, c'était un faible OM hier soir
10:41 qui n'a pas su exploiter cette faille du milieu de terrain.
10:45 Dortmund, c'était la même chose.
10:46 Lors du débrief, je t'avais dit attention au repli défensif, à la transition défensive du PSG
10:52 qui ont mal été exploités par Adeyemi, qui était pourtant rapide.
10:56 Lyon l'avait fait avec 17 frappes lors de ce match-là.
10:59 Moi, j'ai hâte quand même de voir le PSG face à un adversaire, par exemple, tel que Newcastle,
11:03 qui en a mis huit ce week-end.
11:05 Comment les Anglais vont exploiter cette faille-là ?
11:07 Parce que oui, les scores sont là, quatre buts contre Lyon, mais c'est un faible Lyon.
11:11 Quatre buts contre Marseille, c'est un faible OM.
11:14 Je ne remets pas en cause le niveau du PSG, mais il faut quand même regarder également l'adversité.
11:19 C'est vrai, et ça va être intéressant de voir justement, le Nice a été un bon exemple.
11:25 Newcastle, dans dix jours, va être un bon test aussi pour jauger ce Paris-Saint-Germain.
11:31 Quoi qu'il en soit, Louis-Henriquet, il peut compter sur un homme de base.
11:35 Alors, abonnez-vous si vous êtes nouveau sur la chaîne,
11:41 parce qu'on va faire une vidéo sur Ougarte dans les prochains jours.
11:44 Parce que clairement, ça mérite d'être étudié.
11:47 C'est la belle surprise du PSG, Ougarte qui remplace un Verratti qui a quitté le PSG.
11:53 On en parlera juste après, d'ailleurs, dans ce PSG qui grandit en ce début de saison.
11:58 Ougarte, c'est l'homme-clé, l'homme de base, tellement il est impressionnant dans les duels disputés.
12:04 Oui, l'homme-clé, le symbole de ce nouveau PSG, comme j'ai envie de dire,
12:08 parce qu'il est au four et au moulin, très agressif.
12:11 Il apporte une vraie mentalité à cette équipe.
12:14 Quand tu vois qu'il y a un mec qui se débat, qui court partout,
12:17 tu as envie de l'aider, si tu veux. Il apporte une onde positive à cet effectif.
12:20 Et en plus de ça, même balle au pied, il n'est pas maladroit.
12:23 On l'a vu faire ce rôle un peu, pas de régista, mais tu sais,
12:27 où il distribuait un petit peu le jeu passe-courte, passe-longue.
12:30 Et il était ultra, ultra complet hier soir.
12:32 Donc, ce n'est pas juste un mec qui fait du pressing.
12:35 Exactement. Et on l'avait vu contre l'OL, être présent sur les quatre buts du PSG en première mi-temps.
12:39 Je te présente une slide, elle n'était pas prévue.
12:41 C'est DataScoot qui l'a fait, qui l'a sorti il y a quelques minutes sur Twitter.
12:44 C'est les duels défensifs joués et le pourcentage de réussite dans les cinq grands championnats.
12:49 Il y a plusieurs joueurs qui sortent du lot, notamment Blanco d'Alaves et João Paulinha,
12:54 qui a failli signer du côté du Bayern, avec un nombre de duels importants disputés,
12:59 qu'on voit sur la gauche et en ordonnée, on voit le pourcentage de duels remportés.
13:05 Et regarde notre ami Ugarte, qui remporte, qui dispute 12 duels par match et qui remporte plus de la moitié.
13:12 Ça te montre la performance et encore, on a l'impression qu'il en a sous le pied.
13:17 Ce PSG, c'est un vrai homme de base important.
13:20 Il vient d'arriver, donc obligatoirement, il sera encore meilleur dans dix matchs.
13:24 Il aura encore plus de repères avec le milieu.
13:28 Il aura encore mieux compris le message de Luis Enrique.
13:30 Il gagnera encore en confiance.
13:32 C'est un début de championnat rêvé pour lui.
13:36 Et quand on l'avait présenté avec notre ami Trivela,
13:39 on ne s'attendait pas quand même à ce qu'il apporte autant d'impact à ce Paris Saint-Germain.
13:43 On le voyait un peu comme aller, pas un milieu de rotation, mais un milieu qui allait être titulaire,
13:49 mais qui ne serait pas majeur comme ça dans le 11 parisien.
13:55 Toute proportion gardée, on pouvait s'attendre à une arrivée type Vitinha l'année dernière,
13:59 côté PSG, un joueur qui vient dans la rotation, qui s'adapte et puis on verra ce qu'il va donner.
14:04 Non, là, clairement, c'est l'homme de base, l'homme de base avec Zahir Emri,
14:09 dont il a encore porté les louanges hier du côté de Luis Enrique.
14:13 Non, non, ce PSG est en train de se transformer et Luis Enrique en est pour beaucoup.
14:20 D'ailleurs, le style de Luis Enrique, pour clôturer cette partie-là,
14:23 avant de passer à la slide sur le Nacer El Khalaifi,
14:29 là, on voit le style clairement du PSG par rapport aux autres équipes de Ligue 1.
14:34 Paris étant bas à droite, un style lent et complexe dans le style de passe.
14:39 Ça dénote complètement avec les autres équipes de Ligue 1, mais c'est la patte de Luis Enrique.
14:43 On se rappelle avec le Barça, on se rappelle aussi avec la Sémifinals.
14:47 Oui, alors avec le Barça, il avait aussi un jeu très vertical.
14:51 Il avait conservé le côté possession de Guardiola, mais il avait ajouté la verticalité
14:58 parce que c'est vrai qu'à l'époque, le Barça était très horizontal dans sa façon de jouer.
15:01 Il avait réussi à apporter cette verticalité au Barça.
15:04 Là, il est en train d'installer sa patte.
15:08 Je pense qu'il faudra faire un bilan d'ici peut-être décembre, janvier,
15:12 parce que je pense que le jeu du PSG va encore évoluer d'ici là.
15:16 Écoute, on va passer à la dernière partie, Thomas.
15:18 Je te propose d'échanger sur ces trois hommes, Nacer El Khalaifi, Luis Campos, Luis Enrique.
15:24 Pour l'instant, elle a l'air d'être l'entente parfaite avec ce changement de stratégie.
15:29 C'est la lune de miel, tout va bien.
15:30 Oui, ce changement de stratégie.
15:33 Messi out, Neymar out, Verratti out.
15:37 Changement d'ambition.
15:40 Aujourd'hui, on veut avoir une équipe cohérente, une équipe qui joue bien.
15:44 Adi Nacer El Khalaifi, on a lâché le côté obnubilé par la Ligue des champions.
15:53 Exactement.
15:54 Je cite, je le dis entre guillemets.
15:56 Tu en penses quoi de ça ? Tu penses que c'est éphémère ?
15:59 Tu penses que ça peut vriller dans les prochaines semaines ?
16:01 Non, je pense qu'on est sur une nouvelle ère du Paris Saint-Germain.
16:05 Il y a même une meilleure entente avec les supporters.
16:09 On savait qu'il y avait un froid avec les supporters et le club,
16:11 notamment parce que les supporters ne se reconnaissaient pas à travers leur équipe.
16:15 On a vu hier soir des scènes de Liès avec comme meneur Zahir Emri qui a seulement 17 ans avec le mégaphone.
16:22 C'est quand même incroyable.
16:24 Et on voit un public heureux parce qu'ils ont enfin une équipe.
16:28 Et c'est ce que voulait faire cet été le Paris Saint-Germain.
16:31 Et pour l'instant, évidemment, on fera un bilan plus tard en fin de saison, etc.
16:34 Mais pour l'instant, le pari de Nacer, de Luis Enrique est réussi.
16:39 Maintenant, il faudra aussi des résultats.
16:41 Il faut qu'une équipe joue bien, qu'elle fasse plaisir aux supporters.
16:44 Mais on se doute bien qu'il y a des ambitions européennes
16:46 et que le PSG ne va pas se contenter d'une simple Ligue.
16:49 Non, c'est clair.
16:50 Mais c'est vrai que cette entente, là, on aurait pu avoir des points de friction sur de nombreux dossiers.
16:54 Le dossier Verratti, par exemple.
16:56 Est-ce que Nacer a été poussé à le faire partir ?
16:58 Quand tu vois que Luis Enrique lui a dit clairement "avec moi, tu ne tiendras pas".
17:04 C'est quand même des mots forts.
17:05 C'est ce qui semble qu'il aurait dit.
17:07 Le dossier Mbappé qui est explosif cet été.
17:10 Pour autant, on a d'un côté Nacer qui a tapé du poing sur la table.
17:14 On avait Luis Campos qui souhaitait lui être plus tempéré dans la volonté de ne pas braquer qu'il y a un Mbappé.
17:22 Finalement, on a Luis Enrique qui a été tendu, mais qui a peut-être aussi poussé pour que Mbappé revienne.
17:29 Et là, on aurait pu exploser.
17:32 Et finalement, pour l'instant, tout le monde met de l'eau dans son vin et ça a l'air de bien prendre.
17:38 Mais je trouve que Luis Enrique a aussi apporté un discours de calme en disant qu'il était très satisfait du Mercato.
17:45 Et qu'il se voyait rester très longtemps au Paris Saint-Germain et qu'il était très surpris du niveau des installations.
17:50 Donc lui est venu, je trouve, rassurer un petit peu l'ambiance qu'il pouvait avoir au début de saison, qui pouvait être délétère.
17:59 Tu mets d'un point très important.
18:02 Hier sur Prime, en avant-match, les commentateurs mettaient en avant le fait que le PLG était resté très tard dans son centre d'entraînement qui a été créé,
18:10 qui a été réalisé cet été, enfin qui a été terminé cet été, était resté très tard pour finaliser les dispositifs tactiques pour aller disputer cette rencontre.
18:21 Et ils ont été ouverts pendant la nuit avant d'arriver au Parc des Princes hier soir.
18:24 Ça dénote justement la volonté d'avoir un groupe uni.
18:30 C'est le début de la saison, mais tu sens quelque chose qui est en train de se créer, une union, une unité.
18:38 Un effectif, un groupe.
18:40 Depuis Zlatan, depuis l'époque Zlatan, je n'avais pas vu une équipe comme ça, sur la mentalité du moins.
18:48 Et on verra, évidemment, il faudra jauger ce PSG au moment où va y avoir ses premiers quacks.
18:55 Là il y a eu Nice, mais il y a eu double réaction. Dortmund, Ligue des champions, Marseille, Ligue 1, classique quand même, c'est important.
19:02 Il faudra voir s'il y a deux, trois matchs avec des matchs nuls défaites.
19:08 Mais tu sens ici qu'il se passe quelque chose et il faut le préciser et ça dénote avec l'adversaire, l'OM hier, qui lui a vécu une semaine cauchemardesque.
19:16 Je pense pour conclure que le PSG a mangé son pain noir pendant les dernières années et que cette ère là ne pourra être que meilleure.
19:25 Sur ces bonnes paroles côté parisienne, on va se quitter pour aujourd'hui peut-être.
19:32 Peut-être qu'on se retrouvera tout à l'heure à 17h, on verra.
19:34 N'hésitez pas à nous dire en commentaire ce que vous avez pensé de ce PSG, ce que vous pensez de ce PSG, est-ce que Louis Sennerique est là, nouveau star ?
19:42 Alors que Tavo est en train de s'éteindre, c'est ça ?
19:44 Exactement.
19:45 Donc abonnez-vous, n'hésitez pas à nous donner votre avis dans les commentaires, je vais sauver le petit soldat Christophe qui est en train de dépérir.
19:52 Mais j'ai pas de verre d'eau là, j'ai pas de verre d'eau aujourd'hui.
19:54 Et on vous dit soit ce soir, soit demain. Ciao les amis.
19:57 Ciao.

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