Retrouvez le replay des derniers kilomètres de la 1ère étape du Tour du Luxembourg du 20/09/2023.
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00:00 Suite de notre semaine royale, la fin de la première étape du Tour de Luxembourg à gauche.
00:03 On attaque les 30 derniers kilomètres.
00:05 Julien Alaphilippe a coché cette étape pour une victoire.
00:08 Et puis à gauche, à droite, vous le voyez pardon, nos deux Français engagés dans le contre-la-montre individuel des championnats d'Europe.
00:13 Bruno Armiray qui va s'élancer dans quelques minutes en 15e position.
00:17 Sur la liste de départ, Rémi Cavagna lui partira un petit peu plus tard en 25e position.
00:22 Wood Van Aert en avant-dernière position.
00:24 Suspens pour aller chercher une médaille.
00:26 Vous pouvez suivre l'intégralité de ce contre-la-montre sur l'Equipe Live.
00:29 Si vous le souhaitez, le site l'équipe, l'application, vous connaissez le principe, l'onglet télé et vous y avez accès.
00:34 Et nous on surveille ça avec Pierre Roland qui est en poste pour surveiller ce contre-la-montre.
00:38 Théo Barbéducil, Christophe Ribelon vont nous faire vivre sans interruption cette dernière partie de cette première étape au Tour de Luxembourg.
00:46 Où en est Julien Alaphilippe ?
00:47 Ça roule pour revenir sur les échappés ?
00:49 Oui, c'est justement la formation Soudal Quick-Step de Julien Alaphilippe et de Rémi Cavagna que l'on retrouvera évidemment aux Pays-Bas
00:56 pour le contre-la-montre masculin qui roule en tête de peloton en compagnie de la formation Movistar pour Alex Arambo
01:03 et des Israël Premier Tech pour Corbyn Strong à la poursuite, Christophe, de ce trio qui va arriver au sprint intermédiaire de Mersch dans quelques instants.
01:11 Oui, on va y être dans 5 kilomètres.
01:13 Dans 5 kilomètres, donc 3, 2 et 1 seconde d'attribué.
01:15 Bon là, a priori, on a compris.
01:16 Je pense que c'est les 3 hommes de tête qui vont se disputer ces bonifications.
01:20 Donc il n'y aura pas d'incidence pour les favoris de ce Tour de Luxembourg.
01:24 Après, on ne sait jamais, mais en tout cas, c'est à noter.
01:26 On le sait, il y a des bonifs tous les jours.
01:27 Donc il y en a une en cours de route et il y en aura aussi à l'arrivée.
01:30 Edris Devenins pour la formation Soudal Quick-Step.
01:35 Uri Hollmann pour la formation Movistar.
01:38 Ce sont les deux hommes préposés à rouler en tête de peloton.
01:42 À noter une info de ces derniers jours, c'est à la formation Soudal Quick-Step,
01:46 on a souvent l'habitude de retrouver un homme à la poursuite des échappés devant le peloton.
01:50 Toujours, c'est un grand belge, Tim De Clercq.
01:54 Il a passé 7 années dans la formation de Patrick Lefebvre.
01:56 Et le belge qui va changer d'équipe la saison prochaine,
01:59 puisqu'il a signé la formation Little Trek.
02:02 On va changer d'air, changer d'air !
02:04 Ayer et ERE également de ce côté de cette formation Soudal Quick-Step,
02:08 puisqu'on avait tellement l'habitude de voir Tim De Clercq se mettre à rouler à 200 bornes de l'arrivée.
02:14 On va clairement changer d'époque dans cette Soudal Quick-Step.
02:17 On va changer d'époque pour la Soudal Quick-Step.
02:20 Par contre, je pense que pour lui, ça ne changera pas grand chose.
02:23 Du côté de l'équipe Little Trek, on a vu une équipe qui se renforce grandement pour l'année prochaine,
02:28 qui a eu une augmentation de budget, une équipe qui a vraiment envie de grandir.
02:32 On prend un coureur comme De Clercq,
02:34 tout simplement parce qu'on sait que l'année prochaine,
02:36 on va avoir le poids de la course à gérer, certainement sur beaucoup de courses.
02:40 Donc on va revoir Tim De Clercq, pas avec le même maillot, mais dans le même rôle.
02:45 Le rôle ne va pas changer ?
02:46 Le rôle ne va pas changer, ça c'est sûr.
02:48 Donc voilà, on verra De Clercq encore rouler à l'avant, mais sous les couleurs Little Trek l'année prochaine.
02:53 Et puis si vous avez allumé votre télé et que vous attendiez à retrouver Frans Piron pour l'équipe de choc,
02:59 évidemment, on sera juste après l'arrivée avec Pierre Bouby et Bertrand Latour.
03:05 On débriefera un petit peu justement ce tour du Luxembourg.
03:08 Et puis on parlera évidemment de l'actualité foot qui est riche avec le retour de la Ligue des champions
03:12 et ce qui se passe à l'Olympique de Marseille notamment.
03:15 Maths Wenzel, le luxembourgeois qui roule en tête de cet échappé.
03:27 C'est un jeune luxembourgeois de 20 ans, Christophe, qui évoluera justement dans l'équipe développement
03:32 la saison prochaine de la Ligue des champions, au côté d'un nom qu'on connaît bien.
03:37 C'est Axandre Van Peteghen, le fils de Peter, qui avait réalisé le doublé, notamment Paris-Roubaix.
03:46 Tour des Flandres, on se rappelle, c'était en 2003. C'est un jeune prometteur.
03:50 Le voici, le Dossard 196.
03:53 Maths Wenzel, qui porte donc les couleurs de la formation Léopard Pro Cycling,
03:57 qui est une équipe luxembourgeoise qui a l'habitude de développer des talents comme celui-ci.
04:01 Juste devant lui, on retrouve Vito Bret, lui également à 22 ans et jeune aussi.
04:08 Un peu le même profil que l'autre Belge, Lennert Tugels, qui ont tous les deux une pointe de vitesse.
04:13 Vito Bret, lui, rejoindra la saison prochaine le World Tour avec l'équipe intermarché ou anti-circus
04:19 destinée à intégrer le train, notamment d'Arne Marit et de Gerben Thyssen,
04:24 les sprinters maison de cette équipe intermarché.
04:27 Alors qu'on en parlait tout à l'heure, la relative discrétion de la formation UAE Team Emirates
04:31 est à moins de 25 km de l'arrivée. Les voici en tête de peloton.
04:35 Ils se découvrent, ça y est, on est en train de se découvrir du côté d'équipe UAE.
04:39 On est en train de venir se positionner à l'avant, tout simplement parce qu'on va rentrer dans ce final, dans ce money time.
04:44 On voit, il n'y a plus qu'une grosse trentaine de secondes.
04:47 Il reste un peu plus de 2 km, il reste 2 km à peu près pour aller au sprint intermédiaire.
04:52 Il doit rester 7-8 km pour aller chercher la dernière ascension du jour, la côte de Stadfelter.
05:00 Bien joué, 2 km à 7,5% de moyenne.
05:04 Je ne suis pas trop sûr de mon accent. C'est quoi ça, allemand ? Stadfelter ? Non, c'est pas allemand, je ne sais pas.
05:09 Bon, bref. Mais voilà, en tout cas, ça va être le point d'orgue de cette première étape.
05:18 On est en train de venir se replacer dans le peloton.
05:20 A noter, l'équipe israélienne, première étape, on a vu beaucoup rouler depuis tout à l'heure.
05:23 Elle est un peu plus en retrait maintenant.
05:25 On est revenu très proche des trois hommes de tête.
05:28 Il n'y a plus de réel intérêt à continuer à épuiser ses coéquipiers à l'avant.
05:32 On a arrêté de rouler là, aux côtés de la Sudal Quickstep et de l'équipe Movistar.
05:37 A priori, le meilleur grimpeur à l'issue de cette première étape reviendra à Mads Wenzel.
05:43 On surveillera tout de même ce qui se passera dans la côte de Stadfelter.
05:47 Mais si ces trois hommes ne sont plus à l'avant, il est clair que ce sera le luxembourgeois tout à l'heure
05:52 qui sera sur le podium pour revêtir cette tunique distinctive.
05:58 Puisque pour l'instant, le luxembourgeois cumule à 11 points sur ce classement.
06:06 On a mis des montées hors catégorie sur le Tour du Luxembourg.
06:09 Mais hors catégorie, c'est sûr qu'on a dans l'imaginaire, évidemment, les hors catégorie du Tour de France.
06:15 Mais le point culminant du Luxembourg, il ne dépasse pas les 600 mètres.
06:18 Donc on va un petit peu modérer, évidemment, les attendus au niveau de l'altitude.
06:24 Mais lorsque vous allez sur le nord du Luxembourg, vous avez des parties un petit peu typées ardennaises
06:31 que l'on retrouve aux Pays-Bas et en Belgique.
06:34 Et on y sera d'ailleurs vendredi pour l'Etat-Prenne avec l'enchaînement répété trois fois
06:40 d'une plus grande difficulté de plus de 4 km.
06:44 On aura le temps d'en reparler puisque ces trois hommes, justement,
06:47 à bord de la localité de Merche sont dans la localité de Merche.
06:51 Il y aura le sprint intermédiaire dans quelques hectomètres.
06:54 On se regarde un petit peu, j'ai l'impression, en vue de ce sprint.
06:57 Il y a des secondes de bonification.
06:59 Donc on sait que je ne suis pas sûr que ce soit vraiment l'enjeu pour ces trois hommes.
07:02 Je pense qu'on se dit peut-être pourquoi pas si on arrive à tenir les roues dans le final.
07:07 Et pourquoi pas être bien classé au classement général pour demain?
07:11 On sait que c'est important.
07:12 On sait que l'ordre des voitures est fait en fonction du classement général individuel.
07:16 Donc, si on prend des bonifications aujourd'hui et qu'on finit dans le temps du premier,
07:19 obligatoirement demain, déjà, on sera bien classé au général.
07:21 Et notre voiture perso d'équipe sera aussi bien placée dans la file des voitures.
07:26 A noter que dans cette formation bingo, ce maillot jaune fluo figure.
07:30 Le français est grimpeur, lui plutôt.
07:33 Alexis Guérin, que l'on a l'habitude de voir sur les antennes de la chaîne l'équipe.
07:37 Pas de sprinter dans cette formation bingo.
07:39 Cette formation Flanders-Baloise, également, n'est pas venue avec les éléments les plus rapides.
07:45 Pareil pour la formation Léopard.
07:47 On devrait retrouver à l'avance ces trois équipes dans les jours suivants
07:51 parce qu'ils sont plutôt destinés à prendre les échappées sur ce Tour du Luxembourg.
07:54 Montrer le maillot, finalement.
07:56 Oui, c'est ça.
07:56 Bien sûr, c'est des équipes qui ne sont pas vraiment là pour jouer au classement général.
08:00 Ils sont là pour se montrer, pour essayer d'aller chasser des étapes,
08:03 pour essayer de faire tous ces classements intermédiaires.
08:05 Le Grand Prix de la Montagne est bien sûr celui le plus connu, le plus réputé.
08:10 Aujourd'hui, on a accentué sur ces objectifs-là.
08:17 Et aujourd'hui, ça a été pour l'instant très bien fait.
08:19 A voir jusqu'où ça peut aller.
08:20 Mais c'est vrai que ce sont des équipes qu'on va très souvent citer, voire à l'avant.
08:23 Oui, Vito Bret, on l'a vu sur les antennes de la chaîne l'équipe.
08:26 Mais c'était en tout début de saison, peut-être que vous ne vous en rappelez pas, Christophe.
08:29 Il était meilleur grimpeur de l'Etoile de Bessèges, le Belge.
08:32 Alors que Leonard Tuggles, lui, avait remporté ce maillot distinctif un peu plus tôt,
08:38 fin janvier, sur la Tropicale à Misabongo.
08:41 On sait que c'est souvent une course de reprise,
08:43 notamment sur le continent africain, pour certaines équipes européennes.
08:46 Et là, on voit, ça y est, on voit bien l'attitude du peloton, la forme du peloton.
08:53 Maintenant, tout le monde veut être vichylant.
08:56 On a les Cofidis, là, sur la droite, l'équipe Loto.
08:58 On n'a pas parlé des Cofidis, Christophe.
09:00 Parce qu'eux aussi ont, pourquoi pas, un leader au classement général,
09:04 qui a brillé également, lui aussi, sur les routes du Tour de France.
09:07 C'est l'Espagnol, Ion Isagiré.
09:09 Oui, Ion Isagiré, gros coureur, qui est en plus en condition.
09:14 Je l'ai commenté au Grand Prix de Montréal, il termine 8e.
09:16 Quand je vois le niveau de performance qu'il y a eu au Grand Prix de Montréal,
09:19 c'est que ça va très bien pour Ion Isagiré.
09:22 Pareil, c'est un profil qui lui va bien sur ces 5 jours.
09:25 Il adore ça, les bosses comme ça, les étapes de puncher grimpeur.
09:30 Il aime ça, on la montre, c'est un coureur qui roule bien.
09:34 Je ne sais pas s'il n'a pas été champion d'Espagne.
09:36 En tout cas, c'est un coureur qui a des références.
09:38 Capable de faire des top 20 sur les grands tours.
09:40 Donc, voilà, on a une bonne carte à jouer du côté de l'équipe Cofidis.
09:46 Aussi bien pour le classement général que pour aller chercher des étapes.
09:50 Dans cette formation Cofidis, à noter un stagiaire, c'est le Britannique, Oliver Knight.
09:55 Ils sont 3, d'ailleurs, dans ce Tour du Luxembourg, à être stagiaires.
09:58 3 dans les équipes françaises, Oliver Knight à la formation Cofidis.
10:02 Et puis, on a 2 jeunes Français également dans l'équipe Arkea, Sam Six et Florian Dauphin.
10:07 Et Baptiste Gillet.
10:09 Allez, ce sprint intermédiaire, on y arrive tout doucement.
10:16 Le relais pour Mads Venzel.
10:20 Et bien, on y est passé d'ailleurs avec Vito Brett qui est allé chercher les 5 points et les 3 secondes.
10:25 Devant justement, Mads Venzel et Eleanor Tuggles.
10:28 Derrière, les anciens membres de l'échappée matinale ont été repris par le peloton.
10:34 Ils étaient 4 tout à l'heure à ouvrir la route.
10:37 Un coéquipier de Mads Venzel qui a lâché dans la première ascension du triptyque de mi-étape,
10:42 c'est Jacob Eriksson, le Suédois qui est passé en tête pour l'Atudor.
10:46 Enfin, non pas en tête, mais qui a mené le peloton derrière pour l'Atudor.
10:54 Arrivée 20 km, ça veut dire que dans 6 km, on est au pied de la bosse.
11:00 Dans 6 km, on est au pied de la dernière ascension du jour.
11:02 Alors que là, on nous remontre, je suppose, le passage au sprint intermédiaire.
11:04 Bon, finalement, on s'en est complètement désintéressé.
11:08 Oui.
11:08 On est passé dans l'ordre, il n'y a pas eu de sprint.
11:11 J'avais l'impression que c'était à dire qu'on se regardait un petit peu à l'amorce de ce sprint,
11:14 mais en fait, non, pas du tout.
11:16 Le peloton à son tour aux 20 km avec les trains qui commencent à se mettre en place tout doucement.
11:23 On a vu cette formation que finissent remonter.
11:25 La Lotto Destini, également placée sur la droite de votre écran.
11:29 On n'a encore pas parlé, mais on peut parler de toutes les équipes.
11:33 Encore, Christophe.
11:34 Là aussi, joli collectif, la Lotto Destini.
11:37 Il y avait Florian Wermerch qui était peut-être dédié au classement général,
11:40 en tout cas dans la liste des pré-inscrits.
11:43 Mais finalement, le Belge a été retenu par sa sélection, notamment aux Pays-Bas.
11:47 Donc, on retrouvera Florian Wermerch aux côtés des Arnaud Delis et des Wout van Aert.
11:52 Aux Pays-Bas ce week-end.
11:55 On va peut-être jouer plusieurs cartes dans cette formation Lotto Destini.
11:59 On a Victor Campennaerts, on a Pascal Encorne également,
12:01 qui a une belle pointe de vitesse, l'ancien champion des Pays-Bas.
12:05 Et puis Maxime Van Riels, qui grimpe bien et qui a remporté l'année dernière le Saudi Tour
12:10 sur des ascensions un peu similaires, des ascensions un peu punchy avec pas mal de pourcentages.
12:15 C'est vrai que c'est une équipe qui, comme ça sur le papier,
12:17 on n'a pas vraiment des noms qui ressortent obligatoirement.
12:20 Ce n'est pas les noms qu'on cite en premier, mais en tout cas, c'est une équipe qui est là sur les courses,
12:24 qui est tout le temps actrice de la course, qui a tout le temps des coureurs qui sont placés,
12:28 aussi bien au général que pour les étapes.
12:32 Après là, si on regarde, ils étaient trois à l'avant.
12:34 Donc déjà, on est en train de faire le job, ça c'est sûr,
12:36 pour être placé aujourd'hui à l'amorce de la dernière ascension.
12:38 Et si on regarde, c'est Victor Campennaerts qui était en troisième position.
12:42 Campennaerts, on le sait, un coureur très volontaire, qui sait rouler très vite aussi.
12:46 Donc voilà, on mise peut-être, pourquoi pas, sur...
12:50 Peut-être pas en tout cas, parce que Campennaerts pour moi, ce sera...
12:53 Il n'est pas assez puncher pour l'emporter sur une étape comme aujourd'hui,
12:55 mais pourquoi pas rester placé tous les jours et faire la différence sur le contrôle à monte.
12:58 On va aussi avoir ce type de profil de coureurs qui ne sont pas capables de gagner des sapeurs
13:03 en arrivant au sommet, mais par contre, qui peuvent tout à fait se permettre tous les jours
13:08 de finir très proche du premier, voire dans le temps du vainqueur,
13:11 et puis faire la différence seulement sur le contrôle à monte.
13:14 Donc, à voir la stratégie de l'équipe Lotto Destini.
13:17 Mais là, quand on regarde, pour moi, on roule pour Campennaerts.
13:21 On sait que le contrôle à montre était l'ancienne spécialité, entre guillemets, de Victor Campennaerts.
13:31 Au début de sa carrière, il s'en est un petit peu détourné pour tenter de jouer les premiers rôles
13:36 sur les classiques et sur les étapes difficiles des grands tours.
13:40 Pour l'instant, sans résultat notable, mais on a eu un changement de physionomie de carrière,
13:45 en tout cas d'ambition du côté du Belge. C'est sûr que forcément, un jour, ça va payer.
13:50 Théo, Christophe, regardez ce qui se passe du côté des championnats d'Europe en pleine semaine royale.
13:54 Voici Rémi Cavagna qui s'élance dans le contrôle à montre masculin.
13:58 Rémi Cavagna, l'une des grandes chances françaises pour nous offrir une première médaille dans ces championnats d'Europe.
14:03 Le voici parti, on surveillera son premier temps intermédiaire, bien sûr.
14:06 On vous le rappelle, si vous souhaitez suivre l'intégralité de ce contrôle à montre,
14:09 c'est sur l'équipe live.
14:11 Nous, on suit ça en fil rouge avec vous pour ce final du Tour de Luxembourg.
14:15 Juste après, ce sera l'équipe de choc. Là aussi, France-Pyrrhon avec Pierre Bouby et Bertrand Latour
14:21 surveilleront ce qui se passe du côté du contrôle à montre.
14:23 Allez, on revient au dernier kilomètre de ce Tour du Luxembourg avec vous.
14:27 Et oui, et les équipes qui commencent à se mettre en place, Christophe,
14:30 parce qu'on arrive tout doucement au pied de cette côte de Staffelter
14:34 qui pourrait jouer un rôle dans le final, évidemment.
14:37 Qui va jouer un rôle, c'est sûr. En tout cas, ça va faire au minimum un gros écrémage
14:41 après à voir si des coureurs vont tenter leur chance,
14:43 s'il va y avoir un mouvement collectif pour essayer de tout faire exploser.
14:45 Mais c'est sûr qu'il va y avoir une sélection.
14:46 De toute façon, ça va monter vite. Ça monte 2 kilomètres à 7,5%.
14:50 Donc c'est loin d'être anodin.
14:52 On a vu qu'il y a déjà de la fatigue.
14:53 Tout à l'heure, on a vu sur le triptyque, les ascensions qu'il y avait au milieu de l'étape.
14:58 On avait déjà pas mal de coureurs en difficulté.
15:00 Donc voilà, il y a de la fatigue déjà.
15:03 Honnêtement, pour moi, il va y avoir une sélection. On va tenter des choses.
15:06 À noter, on a vu, tout à l'heure, on en parlait, l'équipe Lidl qui est en train de remonter à droite.
15:10 Et j'ai vu une autre équipe aussi qu'on n'a pas évoqué,
15:12 mais l'équipe Uno-X, qui pour moi, est une équipe, pareil,
15:16 dont on ne les cite peut-être pas parmi les grands favoris au départ.
15:21 Je dirais qu'ils se font un petit peu oublier,
15:22 mais c'est une équipe qui est toujours là, qui est toujours présente, qui est volontaire aussi,
15:25 qui tente des choses en course.
15:26 Et là, ils ont les deux frères Johansen et notamment Tobias Johansen,
15:30 qui lui, est un coureur d'avenir, un coureur qui a déjà montré qu'il pouvait gagner des courses,
15:35 qu'il était capable de s'imposer aussi bien dans des ascensions qu'au classement général.
15:40 Donc voilà, une équipe Uno-X, ça suit une équipe, pour moi, qui a un profil très, très intéressant.
15:45 Oui, Tobias Johansen, que vous avez commenté il n'y a pas très longtemps,
15:48 sur les routes du Tour de Grande-Bretagne, il avait pris la deuxième place du classement général.
15:52 Il avait tenté de faire la course sur le peu qu'il avait à faire la course, malheureusement.
15:58 On s'en rappelle.
15:59 Et Tobias Johansen, au rendez-vous, en tout cas,
16:02 il avait terminé d'ailleurs quatrième de l'Artic Race of Norway, juste avant chez lui en Norvège.
16:08 Cette équipe Uno-X qui a disputé son premier Tour de France, on le rappelle, cette année,
16:15 avec une belle troisième place, notamment à Cotterey pour Tobias Johansen.
16:30 Ça sent la fin, pour les trois hommes là.
16:33 Je pense que peut-être même avant le pied ou en tout cas dans la boîte, c'est sûr, on les aura repris.
16:38 Attention, il y a une petite partie à découvert avant l'ascension.
16:42 On le voit là-bas, il n'y aura plus d'abri.
16:45 Et puis pour faire finir justement ce Tour d'horizon, avant cette côte de Staffelter,
16:53 il y a une équipe dont on parle finalement très, très peu durant toute la saison,
16:57 notamment sur les grands tours, c'est la Jumbo-Bismarck.
16:59 Bon, un petit peu ironique évidemment, mais cette équipe Jumbo-Bismarck,
17:03 elle est présente également sur ces routes du Tour du Luxembourg, à la différence de l'année passée notamment.
17:09 Et elle est venue avec un leader belge, mais ce n'est pas Wood Vandaert.
17:13 Non, ce n'est pas Wood Vandaert, c'est Tij Benoet.
17:15 De toute façon, on a toujours des leaders de rechange dans cette équipe.
17:17 On en a, je ne sais pas, je dirais une bonne dizaine.
17:19 Non, mais oui, Tij Benoet qui est un coureur en forme aussi,
17:22 qui est un coureur qui est très bon à puncher, grimper.
17:26 Peut-être un petit peu moins bon sur le contrôle à monte,
17:27 mais on l'a dit, ce sera hyper ouvert.
17:29 Il n'y a pas vraiment de coureurs qui sortent du lot au niveau du contrôle à monte pour jouer le général.
17:35 Donc voilà, à voir ce que ça peut donner dans cette équipe.
17:38 Après, à voir ce qu'il vaudra sur cette course.
17:42 Mais Steven Kruijswijk que j'ai vu énormément rouler sur le Tour de Grande-Bretagne,
17:46 qui est un coureur qui revient aussi à la compétition,
17:49 qui est en train de parfaire sa condition,
17:51 ça certainement pour essayer de faire une belle fin de saison.
17:55 A voir à quel niveau il sera.
17:58 Et puis on a la présence d'Archie Ryan, le jeune prometteur irlandais
18:02 qui est membre de l'équipe développement de l'IAM Bobisme,
18:07 qui fait un peu ses premiers pas dans le poton professionnel.
18:11 Lui qui a gagné sur le Tour de l'Avenir cette année à Valsenie,
18:15 à Goulienneige sur la Ronde de l'Isard l'année dernière.
18:17 Bref, un grimpeur pur irlandais.
18:19 Alors c'est un peu contradictoire, certes,
18:22 même s'il y a eu évidemment beaucoup d'Irlandais qui savaient très bien grimper
18:25 et qui rouleront l'année prochaine dans la formation IF.
18:28 On a l'habitude de l'IAM Bobisme, d'aller chercher les talents, de les développer,
18:32 mais aussi ça montre qu'on est un peu capable de les perdre aussi.
18:35 De toute façon, c'est compliqué.
18:36 Il y a un nombre limité de coureurs par équipe, c'est 30 coureurs.
18:40 Donc on ne peut pas aller au-delà.
18:41 Donc de toute façon, c'est clair que quand on veut se renforcer,
18:44 quand on veut comme ça accéder,
18:46 on voit les ambitions très élevées de cette équipe.
18:49 Cette année, ils ont remporté les trois grands tours.
18:51 Ça ne s'était jamais fait dans l'histoire du cyclisme,
18:53 avec trois coureurs différents en plus.
18:55 Donc ça montre la densité de cette équipe.
18:58 Le tout, gagner les trois grands tours.
19:01 Mais en plus de ça, quand on voit en parallèle le Tour d'Espagne qui vient de se terminer,
19:06 quand on cite des coureurs comme Dijbenoud, quand on voit Wood Van Aert,
19:09 qui est aussi au départ des championnats d'Europe actuellement,
19:12 il y en a plein d'autres.
19:15 Donc voilà, c'est quand même une équipe qui s'est incroyablement densifiée
19:21 au niveau de ses coureurs et qui est capable aujourd'hui de jouer quasiment sur tous les tableaux.
19:29 Je pense à Olaf Koy aussi, qui est un des coureurs les plus rapides du peloton aujourd'hui.
19:33 En tout cas, il est dans le top 5 sur coureurs jeunes aussi qui en devenir.
19:37 Donc voilà, c'est impressionnant quand même ce qu'est capable de faire cette équipe Jumbo-Visma,
19:42 et comment elle est capable de magnifier les différents coureurs qu'elle a au sein de son équipe.
19:51 Alors que là, on est en train, ça y est.
19:53 Fin d'aventure pour Vito Brett qui a...
19:55 Enterré la hache de guerre.
19:56 Yes !
19:57 C'est bon, c'est terminé.
19:59 Avec ses compagnons déjà payés.
20:01 On s'est dit à demain peut-être, parce que souvent on voit les mêmes.
20:03 On se dit merci aussi.
20:04 On se dit merci aussi.
20:05 Moi, je n'aimais pas trop faire ça, mais bon, je trouve que c'est...
20:10 Je trouve que c'est plus une déception de ne pas réussir à mener à bien une échappée.
20:16 J'ai un peu de mal à...
20:18 Comment on pourrait dire ?
20:20 Je ne sais pas.
20:21 Enfin, à se congratuler pour ce qu'on a fait alors que ça n'a pas marché.
20:24 Mais voilà.
20:25 En tout cas, c'est sûr que ces des coureurs qu'on va revoir dans la semaine, c'est souvent
20:29 le cas sur les courses par étapes.
20:31 Souvent, en plus, s'ils ont déjà marqué des points pour le Grand Prix de la Montagne,
20:33 ils vont vouloir aller se battre pour ce classement général.
20:37 Et d'ailleurs, il n'y en a qu'un qui s'est relevé.
20:39 Oui, c'est Vito Brecht, Lennart Tegels et Max Venzel.
20:42 Eux, continuent leur barou d'honneur alors qu'on aperçoit à l'arrière-plan la tête
20:47 de peloton qui était dans le virage précédent.
20:49 L'écart est de 18 secondes.
20:51 Voici ce peloton qui arrive derrière dans cette portion en faux plat descendant.
20:54 On est tout simplement dans l'approche de cette côte de Staffelter.
20:57 On va commencer à accélérer, à jouer des coudes.
21:01 En tout cas, en tête de peloton, on a vu les little tracks autour d'Axel Kirsch, le champion
21:05 du Luxembourg, et puis d'autres collectifs également.
21:10 Ça y est, ça commence à être un petit peu la guerre à frotter.
21:13 Richard Carapaz dans les premières positions.
21:15 On a remonté Alex Arambourou.
21:17 Elle est belle cette image du hélicoptère.
21:18 Là, on voit bien comment ça frotte un petit peu de tous les côtés,
21:21 comment on essaie de s'organiser.
21:23 Chaque équipier essaie d'amener son leader le mieux placé possible.
21:27 L'équipage des deux airs citroëns, c'est un petit peu perdu pour remonter Félix Gall
21:32 et Beno Connors.
21:33 L'équipe Loto Destin qui est bien regroupée sur la gauche.
21:36 L'équipe Israël Premier Tech aussi qui fait un bon travail au centre de la route.
21:39 L'équipe Soudal Quick-Step qui est en train de se regrouper aussi.
21:44 Il me semble que c'était Alexis Guère qui a tenté d'accélérer en tête de peloton
21:48 avec son maillot fluo de la bingo.
21:50 Les Djembo Visma, on est à l'arrière.
21:52 On est loin pour l'instant.
21:54 Valentin Madouas, plein écran avec son maillot tricolore.
21:57 On va surveiller.
21:58 Valentin Madouas, on le rappelle, Thibaut Pinot et David Goddieu ont abandonné.
22:01 Ils sont souffrants, ils sont malades.
22:03 Donc, on va voir s'il n'y a pas un virus dans cette équipe.
22:05 On va voir les premières réponses, voir si le Français peut revenir, peut remonter
22:13 évidemment dans ce peloton.
22:15 Ensuite, il y aura très peu de répit.
22:19 On va finir cette côte de Staffelter.
22:21 Il y aura une toute petite partie de transition descendante pour arriver justement au pied
22:27 ensuite vers le plateau du Kirchberg.
22:29 Le Kirchberg, c'est vraiment la place centrale du Luxembourg, là où il y a toutes les activités
22:35 financières et économiques.
22:37 C'est l'équipe Uno-X qui est là pour Tobias Johannessen.
22:44 Ça y est, c'est fini.
22:45 Pour l'échapper, on a repris tout le monde.
22:47 Échappé, repris à 12 km au pied de cette côte de Staffelter.
22:50 Il était placé bizarrement le 7 novembre.
22:54 Il a pris des risques.
22:55 On a pris à droite pour un coureur de la formation AG2R Citroën Team.
23:02 C'était peut-être pas plus mal.
23:03 Je pense que c'était pas plus mal quand même parce que j'ai l'impression qu'il y a pas
23:06 mal de coureurs qu'on était obligés de freiner dans cette entonnoire-là.
23:11 L'équipe Uno-X qui est en train d'emmener devant l'équipe IF.
23:16 On va aller chercher cette bosse.
23:21 On aura fait ce demi-tour sur l'échangeur.
23:26 On rappelle l'année dernière que Valentin Madouas avait remporté cette étape au sommet
23:40 du Kirchberg.
23:41 Mais il avait fait la décision finalement dans l'ascension finale.
23:44 Vraiment dans la dernière montée, la côte de Staffelter n'avait pas fait véritablement
23:48 de dégâts.
23:49 En tout cas à l'avant de la course, certes ça avait fait un écrémage derrière.
23:53 Mais la décision avait été faite par Valentin en contrant Kevin Genietz notamment.
23:58 Et on assiste aux premières attaques en tête de peloton.
24:01 C'était pas vraiment…
24:02 Non, c'était plus pour emmener vite.
24:04 C'était plus pour emmener vite et fort le pied.
24:06 On a vu dans un premier temps c'était Andréa Mador pour l'équipe IF qui était en train
24:09 de rouler.
24:10 Ensuite, un coureur de l'équipe Arka-Samsic.
24:12 Mais honnêtement, je ne l'ai pas reconnu.
24:14 Et alors là maintenant c'est Alpecina qui est en train de faire le forcing.
24:19 Déjà Richard Carapaz dans les premières positions pour l'équipe IF.
24:23 On a remonté finalement Victor Campenaert.
24:25 C'est Richard Carapaz qui suit.
24:27 Et là c'est Jens Kuekelaer qui est en train d'emmener Richard Carapaz en deuxième position.
24:33 Il ne faut pas se tromper, en deuxième position.
24:34 Il a son maillot de champion d'Équateur.
24:37 Et on a Michael Wood également dans la roue de Richard Carapaz en troisième position.
24:42 Et derrière le peloton qui s'étire inlassablement évidemment sur le tempo mis par la formation
24:49 IF.
24:50 On a envie de durcir évidemment.
24:51 On ne veut pas arriver avec les coureurs les plus rapides.
24:56 Ça y est c'est fini pour Kuekelaer.
24:57 On a fait peut-être une petite erreur du côté de cette équipe IF.
25:01 On a mis la charrue avant les bœufs.
25:04 Parce que Richard Carapaz était seul lorsqu'il a fallu déclencher derrière.
25:09 Et là on prend toute la largeur de la route pour le peloton désormais.
25:13 Ça temporise là.
25:14 Malheureusement pour la stratégie IF, il n'y a personne qui a voulu prendre le relais.
25:19 On aperçoit Marc Hirschi là-bas avec son maillot UAE là.
25:22 Juste au côté de Richard Carapaz.
25:24 À prendre en compte Christophe, c'est le vent.
25:26 Visiblement.
25:27 Il a l'air défavorable.
25:28 Il a l'air défavorable.
25:29 Félix Galles à droite là, le numéro 12 pour l'équipe AG2 Arla Mondial.
25:33 Non Citroën pardon.
25:34 Citroën.
25:35 À plein centre c'est Axel Lorenz, notre champion du monde d'espoir pour la formation Alpecin
25:39 de König avec son dossair numéro 23.
25:42 Cérine Kragen-Wersen qui est remontée également.
25:47 Kripton Hermanns qui est là également.
25:50 On temporise dans cette ascension.
25:52 Ça, ça va faire le jeu.
25:54 Des cours les plus rapides de ce peloton.
25:56 C'est dur pour Jonas Rutsch, l'Allemand de cette formation IF.
26:03 Vous apercevez le maillot vert de l'équipe pro-continentale Global Seaside King qui
26:08 est la seule équipe à être à 4 coureurs ici alignée au Luxembourg.
26:12 Et là-bas c'est Steven Kroeschweig pour l'équipe Jumbo-Visma.
26:21 J'en parlais tout à l'heure.
26:22 Qui a l'air plutôt d'être au service d'un autre de ses coéquipiers, certainement Benut.
26:30 Allez, l'attaque d'un coureur de la formation Flanders-Baloise.
26:33 Voilà la première vraie hausse fensive dans cette côte de Staffelter.
26:37 Michael Woods qui prend sa roue.
26:38 On avait Ulissi là juste derrière pour l'équipe Europe.
26:40 Mais qui n'a pas bougé.
26:41 Il y a Beno Connors aussi qui est là pour l'équipage 2 Air Citroën.
26:44 Derrière c'est Kroeschweig qui est en train de faire l'effort.
26:47 Alex Higuera également là pour la bingo avec son maillot fluo.
26:51 Et qui tente de faire le jump sur les deux hommes, le Français.
26:54 Il est en train de le faire.
26:56 Il est en train de faire le jump.
26:57 Derrière Kroeschweig qui temporise un peu, qui lisse un peu son effort.
27:01 Michael Woods qui n'a pas fait de double jump.
27:11 Pas de double attaque pour l'instant pour le Canadien qui a seulement suivi l'attaque
27:16 de ce coureur de la formation Flanders-Baloise.
27:18 Curieux l'attitude déjà de Kroeschweig.
27:23 J'ai un peu du mal à essayer de comprendre pourquoi il roule comme ça.
27:27 Et puis surtout je trouve que dans le peloton on a l'air un peu résigné.
27:31 Je n'ai pas l'impression qu'il y ait beaucoup de coureurs qui sont intéressés pour lancer
27:35 des offensives dans cette ascension.
27:39 Ce n'est pas grave.
27:41 Le tempo de Steven Kroeschweig derrière.
27:44 On est à portée de fusil.
27:45 Seulement une quinzaine de mètres entre ce trio.
27:48 Michael Woods a tenté un petit relais pour tenter d'animer cet échappé Alex Siguera
27:58 à présent.
27:59 L'équipe UAE bien représentée en tête de peloton.
28:05 On essaye de deviner le placement de Marc Hirschi.
28:08 On s'est replacé pour la formation AG2R Citroën dans les premières positions.
28:12 On rappelle les présences de Félix Gall et de Ben O'Connor.
28:17 Les deux meilleurs grimpeurs de cette formation chambérienne.
28:20 On annonce 5 secondes certes d'écart mais on n'est vraiment pas loin pour la tête
28:30 de peloton.
28:31 Alex Siguera qui continue d'insister.
28:34 Il aimerait bien qu'on laisse un peu plus de champ à cette tentative d'échapper.
28:39 Il demande un relais.
28:43 On va essayer de voir le 2 sars du coureur de l'équipe Top Sport dans Flanders Baloise.
28:55 C'est le 2.
28:58 C'est Camille Bonneux.
29:00 C'est une équipe 100% belge dans cette Flanders Baloise.
29:05 Derrière le peloton qui s'est un peu aminci mais qui reste assez fourni.
29:11 Pour l'instant le tempo de Steven Kruijswijk n'est pas forcément délirant.
29:17 Ce n'est pas un tempo pour faire exploser ce peloton.
29:20 C'est juste un tempo pour maintenir un écart avec l'échappée.
29:24 Cette équipe de Jumbo-Visma a un garçon qui va bien au sprint.
29:28 C'est Tim Van Dijk qui a préposé les sprints pour Olaf Kooi notamment.
29:35 Mais ça semble un peu trop dur ce final pour le néerlandais.
29:40 On est passé au sommet du Grand Prix de la Montagne.
29:43 Il ne s'est quasiment rien passé dans cette ascension.
29:45 On a vu Woods qui s'est écarté.
29:47 Je pense qu'il a compris que ça ne sert à rien d'insister.
29:49 Il n'a pas voulu prendre de relais.
29:51 Il a un vrai sprinter derrière.
29:53 Il est plus là en protection.
29:57 Il était là pour essayer de faire le break.
30:00 Mais il a compris qu'aujourd'hui il ne ferait pas le break.
30:02 En tout cas pas sur cette attaque.
30:03 Il préfère s'économiser.
30:05 Pantamados est toujours là avec son maillot bleu blanc rouge.
30:12 Lorenz Pitti également.
30:13 On sait qu'il a une belle pointe de vitesse.
30:15 Mais il était dans les dernières positions de ce peloton.
30:17 Alors que c'est ressorti derrière à la bascule.
30:20 Christophe avec un coureur de la Formule 1.
30:23 C'est Movistar ?
30:24 Est-ce que ce n'est pas Mühlberger qui est sorti de l'Autriche ?
30:28 Ça semble bien.
30:29 Oui, c'est les couleurs sur les manches.
30:35 C'est bien la Movistar.
30:36 Et c'est Gregor Mühlberger qui est sorti juste après la banderole de la fin du classement
30:41 de la montagne.
30:42 Et qui revient dans la descente sur les 3 hommes de tête.
30:45 Est-ce que ça va redonner vie à cette offensive ?
30:50 On a vu l'équipe UEE.
30:54 Même un G2R Citroën est en train de rouler à l'avant du peloton.
30:57 Il a perdu ses lunettes, non ?
30:59 Oui, il a perdu ses lunettes.
31:00 Michael Woods.
31:01 Mühlberger qu'on avait vu lever les bras sur les antennes de la chaîne L'Equipe.
31:09 C'était à la fin du mois d'août sur les routes du Tour d'Allemagne.
31:13 Il avait remporté l'étape de Winterberg.
31:15 Un petit peu comme ça, en baroudeur grimpeur, comme il en a l'habitude.
31:19 Mais on voit qu'il ne prend pas de relais.
31:21 Mühlberger a fait le jump pour un petit peu tuer dans l'œuf cette offensive.
31:25 Parce que lui derrière, tout comme Michael Woods, il a un sprinter avec Alex Aramburu,
31:31 l'Espagnol et Alex Higuin.
31:32 Il a bien compris qu'il se traînait un petit peu des poids morts dans cette échappée.
31:37 Et il relance dans cette descente.
31:39 Théo, Christophe, du côté des championnats d'Europe avec le contrôle à montre masculin,
31:46 on va plus vite que sur les descentes les plus rapides de votre course.
31:51 Il y a des fusées en ce moment.
31:53 Wood Van Aert est à plus de 60 km/h en ce moment.
31:55 Là, c'est Yves Lampard qui va arriver dans quelques minutes.
31:58 On surveille.
31:59 Mais pour l'instant, on est sur des temps canons signés Tarling et Van Aert.
32:03 Rémi Cavagna est en train de s'accrocher.
32:06 Wood Van Aert qu'on voit à l'image.
32:08 Wood Van Aert qui est à plus de 60 km/h et qui est en train de faire sensation sur ce chrono.
32:15 Et Cavagna, il s'accroche pour espérer décrocher le podium.
32:19 On refait un point dans quelques instants.
32:20 On est avec vous.
32:22 Le groupe de tête qui est en train d'être repris par la tête de peloton avec le retour
32:28 des Soudal Quick-Step à l'avant.
32:30 Christophe pour Julien Laphilippe notamment.
32:32 Julien Laphilippe, Van Wilder aussi qui aujourd'hui ne doit pas perdre de temps.
32:36 Et pourquoi pas aussi Van Wilder qui peut tout à fait bien figurer aujourd'hui sur l'arrivée.
32:41 On le sait.
32:42 Attention, il a failli tomber Alex Siguère.
32:43 Il a déraillé.
32:44 Là, ça aurait pu être...
32:45 Là, ça faisait un château de cartes.
32:47 Il tombait en première position du peloton.
32:48 Ça, c'est bien fini.
32:51 Mais on l'a vu l'année dernière.
32:53 On se rappelle Varantin Mados qui avait réussi à faire la différence.
32:55 Cette ascension finale, elle est difficile.
32:57 Il y a des différences à faire.
32:59 On ne va pas jouer le classement général aujourd'hui.
33:02 On ne va pas tout tuer aujourd'hui.
33:03 Mais en tout cas, ce n'est pas dit encore qu'on arrive à 20, 30, 40 coureurs au sprint.
33:08 Et l'approche sera très rapide.
33:11 Ce sera en faux plat descendant jusqu'au pied de la dernière montée finale.
33:15 On a Aurélie Imparra, pointe laquelle pour l'équipe asiatique de Vastuelen.
33:18 Qui replace ses équipiers.
33:20 Arkea Samsic aussi qui remonte bien à l'avant.
33:24 Très jeune équipe formation.
33:29 Une équipe bretonne.
33:30 Très jeune Arkea Samsic autour de Jente Biermans, le Belge,
33:35 qui a une belle pointe de vitesse.
33:37 On a Ewen Koscius, également le jeune français,
33:41 pour la formation d'Emmanuel Hubert.
33:44 On remonte également Yoni Zagire sur la droite de votre écran.
33:50 Et à gauche, on est en train de remonter pour l'équipage Buzer Citroën.
33:56 Franck Bonamou en troisième position.
33:58 Travail de Bastien Tronchon à l'avant du peloton.
34:06 Yoni Zagire est bien à l'abri de ses coéquipiers.
34:11 On aperçoit Kevin Genietz pour la groupe AMAF DG également en train de se frayer un chemin.
34:18 On sait qu'il avait attaqué l'année dernière.
34:22 Le premier à 2,6 km de l'arrivée à peu près dans les pentes les plus accentuées
34:29 de cette montée vers le Kirchberg.
34:31 Et à nouveau pour l'équipe Loto Destini, on roule pour Kampenarts.
34:35 On le voit, Kampenarts en deuxième position.
34:36 Regardez, il ne prend pas le relais.
34:37 Il reste au chaud.
34:39 On a perçu le maillot tricolore de Valentin Amadois en train d'être replacé
34:42 justement par l'ancien champion du Luxembourg.
34:46 Attention à cette épingle à gauche là.
34:49 On est abordé avec pas mal de vitesse.
34:50 Ça passe pour tout le monde.
34:51 La grosse relance en tête de peloton.
34:54 Ça va étirer encore davantage.
34:58 On a vu un beau travail de l'équipe Cofidis aussi pour replacer Yoni Zagire.
35:01 Allez, c'est parti.
35:02 On est au pied de cette ascension.
35:05 On a Marc Hirschi là-bas, bien placé aussi dans la roue de Kampenarts.
35:11 Toujours l'équipe IF, l'équipe israélienne.
35:14 Première tech aussi.
35:15 Deux équipes qu'on a beaucoup vues à l'avant depuis tout à l'heure.
35:20 À nouveau, on a Yannick Péret, qui est en train de se déplacer.
35:24 Il est en train de se déplacer.
35:25 Il est en train de se déplacer.
35:26 Il est en train de se déplacer.
35:27 Il est en train de se déplacer.
35:28 Il est en train de se déplacer.
35:29 Il est en train de se déplacer.
35:30 Il est en train de se déplacer.
35:31 Il est en train de se déplacer.
35:32 Il est en train de se déplacer.
35:34 À nouveau, Kampenarts qui a récupéré un équipier qui s'est mis juste devant lui.
35:38 Félix Gall à gauche pour l'équipe israélienne qui attaque.
35:41 Félix Gall qui attaque.
35:42 La grosse attaque de l'Autrichien qui fait sa reprise.
35:45 On le rappelle depuis la Classica Sainte-Sébastienne, sans vraiment de repères.
35:49 Il a passé son mois d'août à s'entraîner, son début de mois de septembre également.
35:55 Derrière, on a essayé de réagir pour l'équipe israélienne.
35:57 C'était Hugo Houlle.
35:58 Hugo Houlle, le Canadien, qui a essayé de réagir.
36:00 Il a fait le trou. Félix Gall.
36:02 C'est là qu'avait Kevin Geniette s'attaquer l'année dernière.
36:06 Derrière, l'équipe Loto-Destiny qui est en train de faire le travail.
36:09 Félix Gall en train un peu de plafonner.
36:12 On aperçoit Valentin Mados en 15e position du peloton dans la roue de Richard Carapace notamment.
36:17 Félix Gall toujours avec quelques longueurs d'avance.
36:24 Vainqueur d'étapes sur les routes du Tour de France cette année.
36:26 C'était à Courchevel, l'étape reine avec le col de la Lose notamment.
36:30 Attention derrière le coureur de l'équipe Loto-Destiny qui plafonne, qui n'arrive pas à revenir.
36:34 Quand il va s'écarter, ça va être important.
36:37 Ça va être un moment important, crucial pour savoir si Félix Gall va pouvoir mener à bien son offensive.
36:42 Si derrière, on prend le relais tout de suite, si on tergiverse 5-10 secondes.
36:46 Attention, Félix, il est sur ce type d'ascension là.
36:51 Il aime bien ça.
36:52 Et derrière finalement, réagit l'équipe Arkea encore.
36:55 Avec l'équipe Arkea-Samsic.
36:57 Campenaers toujours en deuxième position.
37:00 On a Marc Hirschi qui est là en quatrième position.
37:06 On a Beno Connors aussi, coéquipier de Félix Gall, qui est là en sixième position.
37:10 Félix Gall repris par ceux qu'il reste du peloton à présent.
37:15 Tamadou Aski a reculé un petit peu.
37:20 On continue pour Arkea-Samsic.
37:22 Regardez, on est en train encore de faire une différence.
37:27 C'est suivi par un cours de la formation loto.
37:29 C'est suivi par la sudale Quick-Step.
37:32 C'est Campenaers qui est là, qui contre.
37:35 Aikil Ademan-Bilder dans la roue également.
37:38 Et là, c'est une grosse attaque de la part de Victor Campenaers,
37:41 qui tente vraiment de faire la différence.
37:43 Richard Carapaz qui réagit derrière également.
37:45 Attention, il fallait réagir.
37:47 Alors maintenant, ça va être un petit peu moins dur.
37:49 Maintenant, ça va être la partie un peu plus facile.
37:52 Il y a les Campenaers qui continuent d'insister.
37:54 On a André Abadjoli également pour cette sudale Quick-Step.
37:57 Il a dû quitter un peu prématurément Remco Evenpool sur les routes de la Vuelta.
38:02 Et le contre.
38:03 Le contre au moment où tout le monde était un petit peu asphyxié.
38:06 Tout le monde avait besoin de souffler là.
38:08 On a réagi vite là.
38:10 Van Wilder qui a réagi tout de suite.
38:12 De toute façon, à ce moment-là, on l'a vu.
38:14 Là, il est dans les valentins Maddox.
38:15 Il ne faut pas laisser 30-40 mètres d'avance à un coureur.
38:18 Après, c'est hyper compliqué de s'organiser pour revenir.
38:20 Attention là, dans ces moments où on se regarde un petit peu,
38:25 où on se relève, on a besoin de souffler.
38:27 C'est là où ça peut bénéficier à un coureur.
38:31 On a Serand Kragh-Andersen pour l'équipe Alpecin de Queninck également.
38:34 On remonte pour la Movistar.
38:47 Valentin Madoise dans ce premier groupe.
38:49 On n'a pas aperçu, un junior à la Philippe pour l'instant.
38:51 Dans ce final.
38:53 Ben O'Connor qui fait l'effort.
38:56 Kish Benout en première position.
38:57 Michael Woods qui fait le tempo à l'avant.
39:00 On a Ciccone aussi en deuxième position pour l'équipe Littletrack.
39:03 On a Aaron Buru qui est là pour Movistar.
39:07 On va voir une trentaine de coureurs finalement.
39:09 Au moins, dans cette arrivée, qui va se jouer vraisemblablement au sprint.
39:15 Le gros travail de la formation Uno-X.
39:17 C'est Anton Charming qui est en train de rouler.
39:22 Là, on est dans le dernier virage à gauche.
39:24 Dernier virage à gauche.
39:25 Allez, Anton Charming qui accélère.
39:27 Corbin Strunck qui est là également.
39:29 Ulyssi qui est là pour l'équipe UAE.
39:31 Diego Ulyssi qui accélère.
39:33 Mais ça va être un petit peu juste pour l'ancien vainqueur d'étapes sur les routes d'Italie.
39:38 Alex Aramburu qui accélère également pour revenir.
39:42 Woods qui a réussi à s'imposer au sprint.
39:45 Je pense que c'est Woods, Théo.
39:47 Moi, je vois Corbin Strunck plutôt.
39:50 Bon, alors Strunck, très bien.
39:53 On va regarder ça.
39:56 Il semble que Corbin Strunck s'impose sur cette première arrivée au Kirchberg.
40:00 Devant, Alex Aramburu.
40:03 Diego Ulyssi qui a tenté sa chance également.
40:07 Et pour la formation Alpecin de Konink.
40:12 Il me semble que c'est Sören Kragen-Nersen qui était là pour le sprint.
40:16 On n'a pas vu Julien Alaphilippe dans le final.
40:19 Il est là aux alentours de la 20-25ème place.
40:22 Valentin Madouas également présent dans le groupe de tête aux côtés du champion d'Irlande.
40:26 Ben Illy, Victor Kampenarts également a tenté sa chance dans le final.
40:30 Mais c'est un sprint qu'on a eu ici sur cette première étape avec une victoire sans appel.
40:37 Pas besoin de photo finish.
40:38 Donc victoire de Corbin Strunck qui était le plus fort sur cette première étape.
40:42 Ça veut dire qu'on peut passer à l'équipe de choc rapidement alors Théo et Christophe.
40:46 Des nouvelles de Julien Alaphilippe peut-être avant cela.
40:49 Franck Spiron nous attend pour l'équipe de choc.
40:52 Le contre-la-montre a surveillé également en fil rouge du côté des championnats d'Europe.
40:56 Mais sur ce finish, il espérait cette étape Julien Alaphilippe.
41:00 Mais il n'a pas pu se mêler à la victoire, à la lutte en tout cas.
41:02 Non, non, non, il n'a pas pu. On ne l'a jamais vu.
41:05 On ne l'a jamais cité dans le final. On ne l'a pas vu du tout aux avant-postes.
41:08 A priori, il est dans ce premier groupe, ce qui me semble quand même l'avoir aperçu à un moment donné.
41:12 Mais pas de nouvelles, en tout cas pas de nouvelles encourageantes sur une arrivée qui lui convenait parfaitement.
41:17 Il n'a pas existé sur ce final Julien Alaphilippe.
41:20 Allez, on rappelle les positions. On regarde une dernière fois le sprint avant de filer la main à l'équipe de choc.
41:26 France est déjà en place. Elle va nous donner le programme dans un instant.
41:28 Corbin Strunck s'impose et sera le nouveau leader de ce Tour du Luxembourg.
41:33 Il sera le premier leader tout simplement le cours de la formation Israël-Premier Tech.
41:37 Il s'impose devant Sören Kragh-Andersen et Alex Aramburu, l'Espagnol de la formation Movistar.
41:42 Et la confirmation du classement et du classement général dans l'équipe de choc.
41:46 France, promis pour ceux qui nous regardent.
41:48 Le chrono également que vous allez suivre côté des championnats d'Europe en fil rouge.
41:53 On vous donne la main rapidement parce que c'est très calme du côté de Marseille.
41:57 Vous avez besoin d'un peu de temps.
41:58 On va peut-être voir si Julien Alaphilippe est du côté de Marseille parce qu'on ne le trouve pas sur votre course.
42:02 Donc oui, une semaine apaisante du côté de l'OM.
42:05 On a plein de choses à vous dire avec un déplacement qui se fera sans coach, sans président.
42:09 On sera sur place pour vous donner les dernières infos.
42:11 Et puis la Ligue des champions, réussie hier pour Paris.
42:13 Les débuts ce soir pour Lens du côté de Séville.
42:15 Le 15 de France, veille des bleus face à la Namibie.
42:18 On se posera plein de questions là aussi.
42:19 On a plein de petites infos cruciantes.
42:20 Et le foot de salle aussi.
42:21 On suit le foot de salle ce soir en direct sur la chaîne équipe.
42:23 Et puis Romain Aran est au plus près des coureurs du côté du Tour du Luxembourg
42:27 pour vous offrir une réaction de Julien Alaphilippe.
42:29 Ou du côté de Groupama FDJ, on le rappelle, l'abandon de Thibaut Pinot.
42:33 Malheureusement malade pour ce qui devait être la dernière course par étape de sa carrière.
42:37 Très courte pause.
42:38 Franck Spiron avec Bertrand Latour, avec Pierre Bouby et toute la bande pour l'équipe de choc.
42:42 Et ils surveillent ce qui se passe du côté du cyclisme pour vous également.
42:45 L'équipe live pour le chrono des championnats d'Europe si vous le souhaitez en intégralité.
42:49 [Musique]