• l’année dernière
Transcription
00:00 Madame la ministre, pourquoi c'est important pour vous d'être présente aux Invictus Games à Düsseldorf ?
00:04 Alors je leur avais promis d'être présente pour les supporter, j'étais allée les voir lors des entraînements
00:09 et c'est évidemment dans le cadre de la politique que je mène aussi en faveur du personnel d'une manière générale
00:14 mais évidemment aussi de notre personnel qui a été blessé en opération, en entraînement ou même en dehors de la défense
00:21 mais qui en tant que membre de la défense, eh bien évidemment doit être considéré, accompagné dans sa reconstruction.
00:29 Alors on propose au niveau du travail un travail adapté mais aussi un sport adapté.
00:35 Et aujourd'hui évidemment avec ces Invictus Games, on voit vraiment que le courage, les entraînements, la persévérance
00:42 leur permet finalement de faire de leurs limites au niveau capacité physique un moteur pour se dépasser.
00:50 C'est vraiment important pour moi de renforcer toute la politique en matière d'intégration des personnes blessées au sein de notre département
00:57 en proposant un travail civil pour ceux qui ne peuvent plus être militaires au sein du département ou dans un autre département fédéral.
01:07 A côté de cela évidemment on participera encore à des jeux comme ici et puis développer une véritable politique
01:14 qui tient compte aussi des évolutions dans le cadre des améliorations au niveau de la médecine.
01:19 Notamment au niveau des prothèses, une meilleure prise en charge.
01:22 Nous sommes occupés vraiment à améliorer encore la prise en charge de ces personnes.
01:27 C'est fondamental dans la société en général et évidemment la défense c'est le reflet de la société.
01:32 Nous devons accorder une place importante aux personnes qui ont pu être blessées de par les circonstances de la vie.
01:38 Alors je ne tiens pas nécessairement ici de chiffres.
01:41 L'essentiel c'est d'être là qu'ils soient 10, qu'ils soient 20, qu'ils soient 50.
01:45 Il faut être là pour les personnes qui en ont besoin.
01:48 Il y a des personnes qui ont été blessées physiquement, il y en a d'autres qui ont été blessées moralement, psychologiquement.
01:55 Et donc là aussi il y a une cellule psychologique qui accompagne chacun des militaires qui le souhaitent.
02:01 [SILENCE]

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