Pour son premier match après le départ de Mikautadze, Metz a inscrit deux beaux buts dans le nul obtenu contre Reims. Pour le coach László Bölöni, son équipe n’avait pas besoin d’être libéré de l’influence de son ancien buteur.
Category
🥇
SportTranscription
00:00 compte de leur effectif. Je crois que le match nul
00:09 lequel on a obtenu aujourd'hui, on ne l'a pas arraché, on l'a obtenu aujourd'hui, je
00:13 crois que c'est bien. Ils vont entendre des
00:20 joueurs, mes joueurs, de ma part, ils vont entendre des choix, des défauts, des
00:26 froids, des critiques et des encouragements aussi, positifs et négatifs
00:35 comme toujours. Je crois que le match nul on a largement mérité. On n'a pas eu
00:41 vraiment une chance de vraiment avoir envie de défendre le résultat. C'était un
00:53 match avec un bon niveau à mon avis, avec un bon rythme élevé, avec des actions
01:01 rapides, avec des exploits techniques intéressants et avec quatre buts
01:10 phénoménaux. Ça ne libère pas, ça ne libère pas. Ils n'ont pas été emprisonnés par Mikotazi,
01:15 pas du tout. La porte est ouverte pour tout le monde pour qu'il marque des buts.
01:19 Tu le marques si tu peux. Quand tu ne peux pas, Mikotazi qui a marqué,
01:23 tant mieux. Mais non, non, non, il ne se libère personne. Mikotazi n'a pas pris un
01:26 otage personne et nous non plus, on n'était pas en otage. Merci beaucoup.