Les confidences coquines dans Les Z'amours
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Court métrageTranscription
00:00 *Bruit de clavier*
00:02 *Bruit de clavier*
00:04 *Musique*
00:10 Elle a réussi à nous faire chanter ?
00:12 Non, c'est... Oui.
00:13 Au départ, personne n'aurait voulu chanter, et puis tout d'un coup, elle nous a fait chanter quand même.
00:16 Faut dire Didier, hein, Didier, il a une belle voix, hein.
00:20 *Musique*
00:22 Et t'es juste à côté de moi, et il a une voix de ouf.
00:25 Ça donne bien.
00:27 Elle peut être susceptible, effectivement, mais c'est vrai qu'elle est sans arrêt en train de chercher l'objection.
00:31 J'ai l'impression qu'elle apprécie même pas ce qu'elle voit, elle cherche la critique.
00:35 Louise est franche du collier, c'est tout Victoria.
00:38 Viens voir Toto Plaza, je veux bien te consoler tous les jours s'il faut, moi.
00:43 Je suis gentleman.
00:45 À moi, y a un endroit où elle m'agresse sexuellement et régulièrement.
00:49 *Cris*
00:51 C'est le canapé du salon.
00:53 Exact, exact, exact.
00:55 Oh oui, j'attends, merde.
00:57 *Cris*
00:59 *Cris*
01:01 C'est bon, c'est bon, c'est bon.
01:03 *Cris*
01:05 Cyril !
01:07 Mais vas-y, mais...
01:09 Mais chauffe pas, chauffe pas toi aussi.
01:11 Mais Cyril, tu m'as fait la même chose à Yves Chirac.
01:13 *Cris*
01:15 Oh que c'est pas bien, donc.
01:17 Évidemment, on attendait la réponse, la suite, la contre-attaque.
01:20 Eh bien, la contre-attaque, la voilà.
01:22 C'est vrai que toi, Valérie, t'étais donc chez le numéro 1.
01:24 Benoît, non ?
01:25 Et à part tomber sur un collègue un peu relou, même totalement relou, misogyne, un peu violent et malpoli, tout s'est bien passé ?
01:30 Toi, j'ai bossé, j'ai fait la soirée du champion.
01:33 C'est un drame la télé, quand même.
01:35 C'est terrible, on dit des choses.
01:36 On regarde la télé, on se dit "j'ai vu ça, ça doit être vrai parce que c'est dit à la télé".
01:40 Ah non, c'est pas vrai, c'est souvent faux la télé.
01:42 Moi, je dis "ne regardez pas la télé".
01:44 Non.
01:46 Monsieur, monsieur, vous restez là.
01:49 Écoutez.
01:51 Non, putain, putain.
01:52 La situation dégénère, Nicolas appelle Cédric en renfort.
01:56 Je suis garé, je suis stationné, il n'y a pas les clés sur le contact.
02:00 Ils vont tous se faire enculer.
02:02 Tu sais quoi ? Ils vont tous se faire enculer.
02:05 Moi, j'ai travaillé pour gagner ma vie, on me fait chier depuis des années.
02:08 Alors, ça commence à bien faire.
02:10 Prenez ce qu'il y a, prenez ce qu'il y a, vous m'entendez ?
02:12 Putain, mais il ne faut quand même pas déconner.
02:14 Plus on travaille dans la vie, plus on emmerde les gens.
02:16 C'est même un ferlin, ça.
02:18 Il y a 70 000 euros.
02:20 Yélo ! Vous n'avez pas fait autant de dur que j'ai travaillé dans ma vie.
02:23 Quand vous avez fait autant de dur que j'en ai fait dans ma vie, vous pourrez faire quelque chose.
02:26 Quelle honte, mais quelle honte de faire ça.
02:28 Le maintien à domicile est trop risqué, pas tenable.
02:32 Et donc, on est amené à prendre cette décision.
02:33 Il faut savoir qu'on entre en maison de retraite à l'âge de 84 ans.
02:36 Il ne vous reste plus beaucoup d'années, Michel, mais presque.
02:38 Alors, moi, je peux me permettre.
02:41 Mais il va encore me virer pour la dixième fois.
02:45 J'espère que vous allez profiter du plaisir de faire cette dernière chronique, Céti.
02:49 C'est qui ? Nous écoutons avec plaisir !