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Clash sur Elise Lucet : la question de Bruce Toussaint énerve Rachida Dati
Transcription
00:00 - La dernière chose, je sais que vous en avez marre d'en parler, mais je voulais juste vous demander un mot sur Elise Lucet.
00:04 - Oui, juste avant, vous avez... Non, mais vous voyez comme quoi. Vous dites "vous parlez de déontologie".
00:08 - Ouais. - On en a parlé avant, vous l'avez dit. Non, non, on est entre nous, on en parle, je n'en parlerai pas dans l'interview.
00:12 - Ah non, je ne vous ai pas dit que je n'en parlerai pas. - Bah d'accord. Bon alors d'accord.
00:14 - Non, je vous ai dit qu'on en parle avant. - OK. Non, non, non, non. Mais allez-y, allez-y. Vous avez toujours raison, M. Toussaint, c'est pas grave.
00:19 - Non, mais sincèrement... - C'est bon, allez-y. - Je ne vous ai jamais dit qu'on n'en parlerait pas. - Allez-y, vous, ça ne marche pas. - Je vous ai dit ça ? - Oui, c'est ce que vous m'avez dit.
00:25 - Je vous ai dit ça ? - Oui. - Vous êtes sûre de vous ? - Oui, parce que j'ai dit "mais on ne va pas revenir là-dessus". Vous m'avez dit "non, non, c'est juste entre nous".
00:31 - J'ai dit qu'on en parlait avant, mais je n'ai pas dit qu'on n'en parlerait pas après. - Non, non, c'est juste entre... Non, mais allez-y.
00:35 - Je vous laisse... Gérard Lanvin a pris la défense d'Elise Lucet cette semaine dans cette affaire quand même qui prend de l'ampleur.
00:43 - Je prends de l'ampleur chez des gens comme vous. - Du coup, on peut se détendre. - Alors là, je vais vous dire, M. Toussaint, comment vous...
00:51 - Mais moi, je suis très détendu aussi, regardez. - Oui, mais je suis totalement détendue. - La question que je voulais vous poser, c'est que justement, en se détendant un tout petit peu,
00:58 est-ce que vous ne trouvez pas que, bon, aujourd'hui, je ne sais pas, vous pourriez vous dire "après tout, est-ce que j'étais un peu trop loin, peut-être que je pourrais aller la rencontrer, discuter avec elle" ?
01:12 Avant cette interview, vous m'avez dit "oui, on pourra parler, c'est entre nous". Vous m'avez dit "non, non, c'est juste, je voulais savoir, parce que vous avez raison, les pratiques pour être allé au Parlement européen, on ne rentre pas comme ça".
01:22 - Oui. - Donc je voulais savoir... Non, mais il faut dire les choses. Il faut arrêter. - Vous dites quoi ? Je vous ai dit "vous avez raison" ? - Oui, vous m'avez dit...
01:27 - Vous avez raison sur quoi ? - De dire... Effectivement, de dire "parce qu'on ne rentre pas au Parlement européen comme ça". - C'est vrai ? Je vous ai demandé comment ça s'était passé.
01:33 - Voilà. Et vous m'avez dit "oui, parce que moi, j'y suis allée, on ne rentre pas comme ça". - Et alors, quel rapport avec le reste ?
01:37 - Parce qu'elle a pris un faux prétexte. Elle a voulu rentrer au Parlement européen. Et vous ne pouvez pas accéder au bureau des parlementaires. C'est interdit.
01:44 Donc ils prennent des faux prétextes pour essayer d'aller ailleurs. Voilà. Donc voilà la pratique de votre consoeur. Voilà.
01:51 - Toujours pas détendue sur cette affaire. - Je suis totalement détendue. Mais vous n'aimez pas qu'on dise les choses. C'est marrant.
01:56 - Mais bien sûr que si. - Vous n'aimez pas qu'on mette en cause votre corporation ? - Mais vous venez depuis des années dans cette...
01:59 - Non, depuis des années, peut-être pas exagérée non plus. - Mais on dit toujours les choses avec moi.
02:03 - Mais c'est tout ça, ça fait combien de temps que vous êtes là ? - Deux ans et demi. - Bon voilà, ça fait pas des années non plus.
02:07 - Mais ça fait quelques années qu'on se connaît, non ? On fait des interviews ensemble. - Oui, mais... - Sur le canal, sur Europe. Bref !
02:12 - La prochaine fois, sur un autre média, peut-être. - Merci beaucoup, Rachel Hattie. Bonne journée.

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