VIDEO - ONPC : regardez le vif échange entre Eric Duppont-Moretti et Christine Angot
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00:00 – Je me sens… – Mais moi je sens qu'il y a une ambiance…
00:02 – Chaque fois… – Pardonnez-moi de vous le dire,
00:04 on est ici dans une émission qui est aussi une émission de divertissement.
00:07 – Pas seulement, pas seulement.
00:08 – Pardon, ça plombe le truc là depuis tout à l'heure.
00:10 [Rires]
00:11 – Non, non, mais… [Applaudissements]
00:15 – Pas seulement c'est vrai. [Applaudissements]
00:20 – Je peux prendre la parole ?
00:21 – Mais du coup, je voulais vous dire, quand le moment est politique,
00:26 on parle politique, on est loin du divertissement à ce moment-là.
00:28 – Vous êtes très agressif, monsieur.
00:30 – Non, mais je trouve que la vie privée, par exemple, de madame…
00:32 – Vous êtes très agressif. [Cris]
00:34 Si, vous êtes très agressif.
00:36 – Si vous voulez un jour… – Vous êtes très agressif.
00:38 – Non, mais madame, pas du tout. Je le trouve un peu choquant.
00:42 Vous avez le droit de critiquer son livre, vous avez le droit de ne pas l'aimer,
00:45 moi je ne connais pas madame.
00:46 – En plus, j'ai aimé, vous voyez, toutes les histoires de Fillon,
00:48 tout ça, moi ça m'a passionnée, je trouvais ça très intéressant.
00:50 – Mais je trouve ça d'une… – Quoi ?
00:51 – Est-ce que vous… [Rires]
00:53 – Je parle de choses sociales, je parle d'homogénéité,
00:57 de groupes sociaux dans lesquels vivent les gens.
00:59 – Madame Angot, vous me permettez de dire… – C'est une vraie question.
01:01 – … les gens qui vivent là-dedans.
01:03 – C'est une vraie question. – Vous ne me laissez pas me poser ma question.
01:05 – Mais ce n'est pas là-dessus, madame Angot. – Tant pis, ce n'est pas grave.
01:07 – Pardonnez-moi, madame Angot, attendez, pardonnez-moi.
01:09 – Ce n'est pas grave, ce n'est pas le problème que vous avez avec moi.
01:11 – Non, mais madame, je n'en ai strictement aucun, je vous l'assure.
01:13 – Ça fait quand même deux fois que je ne parle pas d'une façon qui vous convient.
01:15 – Non, quand on fait ce que vous faites, il faut que vous acceptiez le principe d'une contradiction.
01:17 – Mais qu'est-ce que je fais ? Est-ce que vous me permettez de répondre à votre phrase ?
01:21 – J'étais en train de vous dire, madame, simplement…
01:25 – Cette défense ne sera pas structurée.
01:26 – Je ne suis pas une journaliste, vous n'avez pas à m'interrompre comme une journaliste.
01:29 – Alors, vous n'avez pas à m'inviter, alors…
01:31 – Ça, ça, ça… – Pardon ?
01:33 – Mais je ne vous ai pas invité, monsieur. – Mais quoi alors ?
01:35 – Moi, je ne choisis pas les invités. – Votez Dubosc !
01:37 [Rires et applaudissements]
01:39 – Christine, je vais prendre la défense des deux,
01:43 parce que, à la fois, je comprends la question de Christine,
01:45 on va écouter parce que ce sera intéressant la réponse.
01:47 – J'ai simplement dit, monsieur… – On pourra entendre la réponse quand même de Viergeld Kallmeyl.
01:49 – Le curriculum britain ne me paraît pas forcément indispensable, notamment les relations…
01:53 – Je ne sais pas si madame a envie d'en parler. – C'est dans tous les portraits.
01:55 – Pardon, là, je suis obligé de défendre Christine Langot, il n'y a pas un portrait.
01:59 – C'est dans tous les portraits. – Il n'y a pas un portrait sur Viergeld Kallmeyl où on ne raconte pas…