Gilbert Collard élève la voix contre Laurence Ferrari dans Punchline

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Gilbert Collard élève la voix contre Laurence Ferrari dans Punchline
Transcript
00:00 Tous les jours, ils viennent en aide aux gens qui sont dans la rue.
00:02 - Et qu'est-ce que vous faites du rapport de la... Ah, parce que vous pensez que tous... Oui.
00:06 - Oui. - Oui, oui.
00:07 - Régulièrement. Régulièrement. - Régulièrement, oui.
00:09 - Je vous parle pas en mon nom, mais je vous... - Non, mais vous êtes française aussi.
00:11 - Régulièrement, des Français qui, en ces temps de froid, se penchent au chevet des SDF.
00:15 - Ça, pour être très franc... - La Croix-Rouge ne le fait pas.
00:17 - C'est le genre de propos... - Les bénévoles de la Croix-Rouge ne le font pas.
00:20 - Qu'est-ce que vous faites du rapport de la Cour des comptes ? - C'est un mission de la Cour des comptes.
00:21 - Non, mais franchement... Vous le voyez pas, ça ? - Mais évidemment que tous ces gens se...
00:24 - C'est de solidarité des Français. - Mais évidemment que tous ces gens se mobilisent.
00:27 - Ils font pas la différence entre les migrants et les SDF. - Et heureusement...
00:29 - Ils sont tous ceux qui sont à la rue en ces temps polaires. - Qu'est-ce que vous faites du rapport de la... Allez, arrêtez vos blablas.
00:33 - C'est pas du blabla. C'est la réalité. C'est le coeur des Français. - Qu'est-ce que vous faites du rapport de la Cour des comptes ?
00:35 - Non, la réalité, c'est que la Cour des comptes nous a dit, et qu'il y a que les aveugles pour ne pas le voir
00:39 et les sourds médiatiques pour ne pas l'entendre,
00:42 quelle que soit la mobilisation de la Croix-Rouge, du Samu, de tous ces gens qui se dévouent,
00:46 la Cour des comptes nous a dit "Attention ! L'hébergement des migrants impacte l'hébergement des SDF."
00:52 Et ceux qui ne veulent pas le voir laissent les clodos mourir dans la rue. Voilà.
00:57 - Et là, je serais intransigeant là-dessus. - D'accord. Inutile d'élever la voix, monsieur Gouin.
01:00 - Non, j'élève la voix parce que j'ai l'impression que vous n'entendez pas. - J'entends très très bien.
01:02 - Vous entendez, là ? - Oui. Et les Français aussi.
01:05 - Honneur aux Français qui, eux, viennent en aide à tous les gens qui sont dans la difficulté.
01:09 - Mais franchement, qu'est-ce que ça vous coûte de le dire ? - N'élevez pas la voix, c'est pas la peine.
01:11 - Mais qu'est-ce que ça vous coûte de le dire ?
01:13 Non mais, attend, quand vous avez dit, avec votre voix médiatique tout à fait compatible avec les aéroports,
01:21 quand vous avez dit... - Oh, quelle insulte. Franchement.
01:24 - Qu'est-ce que vous avez contre les hôtesses de l'air ? - C'est pas de votre niveau, maître Collet.
01:27 - Qu'est-ce que vous avez contre les hôtesses de l'air ? - C'est pas de votre niveau, ces attaques machistes.
01:29 - Qu'est-ce que vous avez contre les hôtesses de l'air ? - Franchement. Me traiter d'hôtesse de l'air ?
01:32 - Mais je vous ai pas traité d'hôtesse de l'air. - Assumez vos propos.
01:35 - Mais je vous ai pas traité d'hôtesse de l'air, c'est vous qui dites du mal des hôtesses de l'air.
01:38 - Oh, maître Collet. - C'est vous qui êtes machiste.
01:40 - Je dis que vous avez une voix digiaphone. - Franchement.
01:42 - C'est pas une insulte. - Vous perdez du temps d'antenne alors qu'on pourrait parler plus de tout.
01:44 - Mais non ! - Allez, on va faire une pause.
01:46 - Vous me dites que j'élève le ton. J'apprécie votre voix de confessionnaire.
01:49 - Et vous dites que ma voix ressemble à celle d'un aéroport. - Non ! D'une hôtesse qui annonce "Bonjour, le vol, Paris, Marseille, Aurélien Vaud".
01:57 - Vous allez reprendre vos esprits. - Mais non, j'ai pas perdu mes esprits.
01:59 - On fait une petite page de pub et on retrouvera les jeunes parce qu'ils ont des questions très claires à vous poser.
02:03 - Je suis pas mon teubour. - A tout de suite dans Punchline.

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