• l’année dernière
Des naturistes débarquent en direct !
Transcription
00:00 *Bruit de téléportation*
00:02 *Bruit de démarrage*
00:04 *Rires*
00:06 - Bonjour, alors attendez !
00:08 *Rires*
00:10 - Bonjour, bonjour !
00:12 *Rires*
00:14 *Rires*
00:16 - Sans rigoler, j'ai l'impression...
00:18 - J'ai l'impression d'être dans un bar
00:20 au Cap d'Acre, qu'est-ce que je vous sers ?
00:22 *Rires*
00:24 *Rires*
00:26 - Si lui arrive quelque chose,
00:28 je me sacrifie pour elle, ouais, clairement, ouais.
00:30 C'est comme ça. - C'est très beau aussi.
00:32 - Ouais, ouais, ouais, mais c'est clair et net.
00:34 - Dis-lui. - Non mais tu le sais, si il t'arrive quelque chose,
00:36 je t'en donnerai ma vie pour te rassurer, c'est clair. Non mais c'est comme ça.
00:38 - L'entendre dire ça, vraiment, ça me touche
00:40 profondément et ça me fait hyper plaisir.
00:42 Je pense qu'on fermait les yeux
00:44 sur ce qui se passait entre nous, parce que
00:46 on n'était pas vraiment là pour ça, on était là pour découvrir
00:48 nos prétendants et prétendantes. - Il essaye de dire un truc
00:50 gentil, du coup, mais c'est pas dit qu'il y arrive.
00:52 - Regardez la réponse, putain !
00:54 - Non. Non. Non.
00:56 Oui, si, il m'a fait rire une fois
00:58 dans un film, et voilà, c'est tout.
01:00 - Si, si, il m'a fait rire une fois
01:02 dans un film. - Merci, dis-dieu !
01:04 - Oh, bah...
01:06 - Merci. - Une fois, c'est bien. - J'ai bien entendu.
01:08 - J'ai bien entendu. - C'est bien, déjà.
01:10 - Booba donne rendez-vous à Carice le 5 avril
01:12 au Palais 12 de Bruxelles.
01:14 Depuis leur bagarre à Orly, les deux
01:16 rappeurs veulent régler leur compte lors d'un
01:18 combat public. - Ta seule issue,
01:20 c'est la bagarre. - Une bagarre qui doit rapporter
01:22 gros. - 300 000 euros garantis.
01:24 - Mais Booba, c'est peut-être un peu avancé.
01:26 La salle de spectacle en question étudie
01:28 encore le dossier, et à la mairie de Bruxelles,
01:30 on ne soutient pas le combat.
01:32 - Voilà, je pensais être quelqu'un de
01:34 reconnaissant. Je viens
01:36 de très loin. Je suis né à Kinshasa,
01:38 etc. Je suis arrivé en France.
01:40 Je devais pas venir en France, ça devait être un autre frère
01:42 à moi. Et en dernière minute, ça a été moi, finalement,
01:44 qui suis monté dans l'avion. Donc,
01:46 toutes ces choses... Toutes ces choses
01:48 sont là dans ma tête à chaque fois. Je me sens comme
01:50 un privilégié parce que, voilà, c'est pas normal
01:52 ce qui m'arrive. - Toi, tu dégages les chaises basses
01:54 et les canapés mous. Me faire faire un selfie
01:56 à mon âge quand je suis pas maquillée, c'est saoulant. Mais me
01:58 demander comment c'était de mon temps, c'est saoulant, parce que moi,
02:00 je vis ici et maintenant. La pub
02:02 nous a rendus addicts aux antirides, alors que
02:04 la beauté, c'est le sourire. Arrêtez avec le cholestérol.
02:06 Le bon Medoc, c'est le rock'n'roll. Basique.
02:08 Simple. Basique. On m'appelle pas Madame.
02:10 On m'appelle pas Madame. - Ouais !
02:12 - Ah, le beau texte !
02:14 - Ah, le beau texte !
02:16 - Ah, le beau texte !
02:18 - Ah, le beau texte !
02:20 - Ah, le beau texte !
02:22 - Ah, le beau texte !
02:24 - Ah, le beau texte !
02:26 - Ah, le beau texte !
02:28 - Ah, le beau texte !
02:30 - Ah, le beau texte !
02:32 - Ah, le beau texte !
02:34 - Ah, le beau texte !

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