Si l’Algérie n’a pas encore intégré le BRICS ce n’est que partie remise ! En observant bien, l’Algérie est déjà dans les BRICS. Elle est même un allié d’une fidélité infaillible dont les principes et la résistance à l’adversité ne sont plus à démontrer. Son admission officielle ne sera que formelle.
Des analyses « à chaud » tendent à montrer que l’Algérie a subi ce « refus » suite à une sorte de « véto » de l’Inde pour « contrer » la Chine visant à l’empêcher d’avoir « plus de pouvoir » au sein du BRICS. Rien que ça ? C’est comme si la Chine et la Russie n’ont pas déjà cette force économique, politique et militaire pour craindre qui que ce soit dans le Monde. L’Inde également ! C’est trop simpliste comme argumentation ! Spéculer ainsi, veut dire qu’il y aurait de graves divergences au sein des BRICS et donc des BRICS faibles et sans avenir. Ce qui va dans le même sens que la propagande actuelle anti BRICS des atlantistes !
D’autres commentateurs nombreux, surtout des réseaux sociaux, ont réagi avec une façon qui relève plus du sentiment (du pathos) qu’avec raison et réalisme. Ils vont jusqu’à mettre en doute le sérieux des ‘‘5’’ du BRICS qui, selon eux, ont admis des pays dont la « fidélité » serait douteuse en argumentant par la citation de leurs faits et gestes passés ; désavouant en quelque sorte les pays fidèles qui auraient subi un « échec ».
On observe donc que chacun réagit selon « ses » critères et ses sentiments sans même savoir ce dont il s’agit, comment, pourquoi ! Que dire avant de donner quelques bribes d’explications : « La patience conduit au salut, la précipitation court au malheur. » (Proverbe turc)
Quand il y a des amis (ou nouveaux amis) qui se bousculent au portillon pour se faire admettre, la première réaction est de dire aux amis sûrs et fiables d’ajourner leur demande ! Les Algériens ont ce genre de comportement lors des fêtes, quand il y a beaucoup d’invités. Ce sont les proches qui se servent en dernier.
L’Algérie à la fidélité indéfectible, dont le PIB est supérieur à celui de l’Éthiopie, peut donc attendre parce qu’elle ne pose pas de difficulté. C’est aussi le cas d’autres pays dont l’admission n’est pas discutable ni urgente.
Les adversaires peuvent déblatérer autant qu’ils peuvent, le processus reste irréversiblement sur la même voie anti-impérialiste et anti-colonialiste.
À notre sens, ce n’est ni un « refus » ni un « échec » pour les autres candidats. C’est un ajournement pour cause de priorité. En politique, il doit y avoir des raisons que notre raison ignore. Il doit y avoir des raisons géostratégiques et géopolitiques dans leurs calculs. Il doit y avoir aussi une « tactique » surtout avec ce qui se passe au Niger et les forces en présence ! Il faut également tenir compte de la Grande Route (dite de la soie) qui passe par cinq pays inté
Des analyses « à chaud » tendent à montrer que l’Algérie a subi ce « refus » suite à une sorte de « véto » de l’Inde pour « contrer » la Chine visant à l’empêcher d’avoir « plus de pouvoir » au sein du BRICS. Rien que ça ? C’est comme si la Chine et la Russie n’ont pas déjà cette force économique, politique et militaire pour craindre qui que ce soit dans le Monde. L’Inde également ! C’est trop simpliste comme argumentation ! Spéculer ainsi, veut dire qu’il y aurait de graves divergences au sein des BRICS et donc des BRICS faibles et sans avenir. Ce qui va dans le même sens que la propagande actuelle anti BRICS des atlantistes !
D’autres commentateurs nombreux, surtout des réseaux sociaux, ont réagi avec une façon qui relève plus du sentiment (du pathos) qu’avec raison et réalisme. Ils vont jusqu’à mettre en doute le sérieux des ‘‘5’’ du BRICS qui, selon eux, ont admis des pays dont la « fidélité » serait douteuse en argumentant par la citation de leurs faits et gestes passés ; désavouant en quelque sorte les pays fidèles qui auraient subi un « échec ».
On observe donc que chacun réagit selon « ses » critères et ses sentiments sans même savoir ce dont il s’agit, comment, pourquoi ! Que dire avant de donner quelques bribes d’explications : « La patience conduit au salut, la précipitation court au malheur. » (Proverbe turc)
Quand il y a des amis (ou nouveaux amis) qui se bousculent au portillon pour se faire admettre, la première réaction est de dire aux amis sûrs et fiables d’ajourner leur demande ! Les Algériens ont ce genre de comportement lors des fêtes, quand il y a beaucoup d’invités. Ce sont les proches qui se servent en dernier.
L’Algérie à la fidélité indéfectible, dont le PIB est supérieur à celui de l’Éthiopie, peut donc attendre parce qu’elle ne pose pas de difficulté. C’est aussi le cas d’autres pays dont l’admission n’est pas discutable ni urgente.
Les adversaires peuvent déblatérer autant qu’ils peuvent, le processus reste irréversiblement sur la même voie anti-impérialiste et anti-colonialiste.
À notre sens, ce n’est ni un « refus » ni un « échec » pour les autres candidats. C’est un ajournement pour cause de priorité. En politique, il doit y avoir des raisons que notre raison ignore. Il doit y avoir des raisons géostratégiques et géopolitiques dans leurs calculs. Il doit y avoir aussi une « tactique » surtout avec ce qui se passe au Niger et les forces en présence ! Il faut également tenir compte de la Grande Route (dite de la soie) qui passe par cinq pays inté
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00:00 Si l'Algérie n'a pas encore intégré le BRIC, ce n'est que partie remise.
00:08 En observant bien, l'Algérie est déjà dans les BRIC.
00:12 Elle est même un allié d'une fidélité infaillible dont les principes et la résistance
00:16 à l'adversité ne sont plus à démontrer.
00:18 Son admission officielle ne sera que formelle.
00:22 Des analyses à chaud tendent à montrer que l'Algérie a subi ce « refus » suite à
00:28 une sorte de « veto » de l'Inde pour « contrer » la Chine visant à l'empêcher d'avoir
00:33 plus de pouvoir au sein du BRIC.
00:36 Rien que ça ? C'est comme si la Chine et la Russie n'ont pas déjà cette force économique,
00:41 politique et militaire pour craindre qui que ce soit dans le monde.
00:44 L'Inde également ? C'est trop simpliste comme argumentation.
00:49 Spéculer ainsi veut dire qu'il y aurait de graves divergences au sein des BRIC et
00:54 donc des BRIC faibles et sans avenir.
00:56 Ce qui va dans le même sens que la propagande actuelle anti-BRIC des atlantistes.
01:01 D'autres commentateurs nombreux, surtout des réseaux sociaux, ont réagi avec une
01:06 façon qui relève plus du sentiment, du pathos, qu'avec raison et réalisme.
01:10 Ils vont jusqu'à mettre en doute le sérieux des cinq du BRIC qui, selon eux, ont admis
01:16 des pays dont la « fidélité » serait douteuse en argumentant par la citation de leurs faits
01:21 et gestes passés, désavouant en quelque sorte les pays fidèles qui auraient subi
01:25 un « échec ».
01:26 On observe donc que chacun réagit selon ses critères et ses sentiments sans même savoir
01:32 ce dont il s'agit, comment, pourquoi.
01:34 Que dire avant de donner quelques brides d'explications, la patience conduit au salut, la précipitation
01:41 court au malheur.
01:42 Proverbe turc.
01:43 Quand il y a des amis, ou nouveaux amis, qui se bousculent au portillon pour se faire admettre,
01:49 la première réaction est de dire aux amis suret fiables d'ajourner leur demande.
01:53 Les Algériens ont ce genre de comportement lors des fêtes, quand il y a beaucoup d'invités.
01:59 Ce sont les proches qui se servent en dernier.
02:01 L'Algérie a la fidélité indéfectible, dont le PIB est supérieur à celui de l'Ethiopie,
02:08 peut donc attendre parce qu'elle ne pose pas de difficultés.
02:10 C'est aussi le cas d'autres pays dont l'admission n'est pas discutable ni urgente.
02:15 Les adversaires peuvent déblatérer autant qu'ils peuvent, le processus reste irréversiblement
02:21 sur la même voie anti-impérialiste et anti-colonialiste.
02:24 A notre sens, ce n'est ni un « refus » ni un « échec » pour les autres candidats.
02:30 C'est un ajournement pour cause de priorité.
02:33 En politique, il doit y avoir des raisons que notre raison ignore.
02:37 Il doit y avoir des raisons géostratégiques et géopolitiques dans leurs calculs.
02:42 Il doit y avoir aussi une « tactique », surtout avec ce qui se passe au Niger et les forces
02:48 en présence.
02:49 Il faut également tenir compte de la « grande route », dite de la soie, qui passe par
02:54 cinq pays intégrés en priorité.
02:56 Si l'on se fie aux critères généraux lancés par la VROF, l'Algérie est éligible
03:01 ainsi que d'autres, le poids, l'autorité et la position du pays candidat sur la scène
03:05 internationale, ceux qui partagent la même vision, qui croient en la multipolarité,
03:10 en la nécessité de relations internationales plus démocratiques et plus équitables, qui
03:15 insistent sur la croissance du rôle du Sud global dans les mécanismes de gouvernance
03:19 mondiale.
03:20 Selon Sputnik.
03:21 L'admission de l'Iran dans la première priorité après douze ans d'attente pour
03:26 être admis comme membre à part entière l'Organisation de coopération de Shanghai
03:30 (OCS) doit être analysée en relation étroite avec celle de l'Arabie Saoudite et les
03:35 Émirats dans les efforts que la Chine, avec la Russie, a déployés pour les réconcilier
03:39 et les sécuriser contre toute adversité en particulier celle des USA et d'Israël.
03:45 Cette « réconciliation » et « sécurisation » sont absolument impérieuses et urgentes
03:50 pour en faire un facteur de paix dans la région, loin de toute menace, et ce, en liaison avec
03:55 la question cardinale palestinienne et la situation en Syrie.
03:59 Stabilité que redoutent les USA et Israël pour maintenir leur hégémonie.
04:03 L'admission de l'Egypte et de l'Éthiopie, en priorité, est à voir surtout sur la question
04:09 de l'exploitation du Nil afin que ces deux pays ne tombent dans une guerre destructrice
04:13 et inutile profitant aux Occidentaux qui ne souhaitent que ces situations afin de se présenter
04:17 comme « réconciliateurs » et « porteurs de paix » dont le monde connaît les conséquences
04:22 fatales.
04:23 Le BRIC est le moyen inespéré, en antidote, d'empêcher ce néocolonialisme prédateur
04:29 par la mise à leur disposition des moyens financiers et humains importants, en parallèle
04:34 avec son expertise dans sa gestion et son exploitation.
04:36 Dans ce cadre, les pays des BRIC sont de « bons partenaires » pour l'Afrique, a affirmé
04:42 Dilma Rousseff, présidente de la Nouvelle Banque de Développement (NBD) des BRIC,
04:48 ajoutant que la banque financerait des projets d'infrastructures physiques et numériques
04:52 en Afrique, ainsi que des projets éducatifs.
04:54 La Nouvelle Banque de Développement a le potentiel d'être le chef de file de projets
04:59 qui répondent aux défis les plus urgents des pays africains.
05:02 L'Argentine, comme l'Égypte, en priorité est un pays important dans son continent qui
05:08 peut, avec le Brésil, constituer une véritable force pour contrer les provocations des éthiopiens.
05:12 L'Argentine a été, de tout temps, la cible des USA et du Royaume-Uni.
05:19 Son choix d'adhésion aux BRIC consolidera son indépendance, d'autant qu'elle est
05:24 déjà membre du G20, avec l'Arabie Saoudite, ce qui renforcera aussi la position du BRIC
05:29 dans ce forum de coopération économique international.
05:32 Reste l'Indonésie, l'Algérie, le Bahreïn, deux pays d'Afrique de l'Est et de l'Ouest,
05:38 et le non-nommé, le Mexique pays ami des BRIC peut-être le Nigeria et la Thaïlande,
05:42 la Turquie.
05:43 Comme on dit, chaque chose en son temps.
05:46 Le BRIC semble vouloir que les régions qui lui sont favorables soient sécurisées en
05:51 priorité pour ne pas passer sous les fourches codines d'un Occident toujours prédateur
05:55 et amateur des chaos, des guerres et des injustices.