• l’année dernière
Transcription
00:00 Chez Platon, l'amour est intrinsèquement lié à la notion de désir.
00:06 - Bonne nuit. - Bonne nuit. Je t'aime.
00:08 Moi aussi, je t'aime.
00:10 Une couple d'affaires d'électricité à refaire, si vous voulez pas brûler vif dans la nuit.
00:15 Brûler vif? Dans quel sens?
00:17 - Ah, la vanne de neige, c'te brouillée là! - Dans quel sens, brûler vif?
00:20 - Hé boy, es-tu correct? - Oui!
00:29 T'as rencontré quelqu'un? T'as presque rien dit à table, tu m'appelles plus, pis t'es de bonne humeur.
00:33 Salut, j'arrête pas de penser à toi.
00:35 Salut, j'arrête pas de penser à toi.
00:38 J'pense que j'ai rencontré quelqu'un.
00:41 Tu penses que t'as rencontré quelqu'un?
00:43 Vous aimez comme si l'amour, c'était la mort.
00:45 C'est tellement beau. C'est qui, Antoine, ça a l'air beau.
00:48 Je sors d'où?
00:51 C'est comme s'il me ramenait à l'essentiel.
00:56 On a beau dire qu'on préfère les hommes qui lisent les gens croisés, au lit, ils sont moins talentueux.
01:00 Sylvain, c'est l'intellectuel de la famille. Ça me surprend pas qu'il soit avec une universitaire.
01:06 J'trouve juste ça nice que pour la première fois, il se reprenne avec un sex-symbole.
01:09 Ben oui!
01:10 - Olivier, frère d'elle? - Ah ben, Sylvain!
01:15 - Camélia? Comment? - Comme la dame au camélia.
01:19 - La dame au quoi? - Un roman, c'te roman.
01:25 - Dans mon monde, je parle très normalement. - Ça veut dire quoi, ça, dans ton monde?
01:28 - Hé, beauté! - Tu vas être ma femme pis c'est pas négociable.
01:33 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]