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Le 22 juin 1995 à l’émission " Nulle Part Ailleurs "

Interview de Johnny qui est l'invité

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Transcription
00:00 (Applaudissements)
00:18 - Non mais Johnny, c'est incroyable, ça fait 43 ans que tu fais ce métier, t'as commencé t'avais 10 ans.
00:24 - Non, t'as pas 43 ans que je fais ce métier.
00:26 (Rires)
00:28 - Il a commencé à 10 ans et il n'était même pas né pour une partie quand même.
00:35 - C'est pour ça, c'est une des raisons pour lesquelles j'ai dit que de toute façon, peu importe un parti politique,
00:42 quel que soit la ville, j'irai chanter pour mon public.
00:45 - Même à Orange.
00:47 - Où que ce soit.
00:48 - Le public compte plus que le parti.
00:51 - Voilà.
00:52 (Applaudissements)
00:58 - Je vous rappelle que la dernière fois que Johnny nous a rendu visite, c'était il y a à peu près un an,
01:02 et c'était avec son club de bikers, les Desperados.
01:05 Vous êtes toujours président du club, qu'est-ce qui se passe ?
01:07 - Non, alors je voulais dire un truc ce soir, c'est que j'ai eu beaucoup de problèmes avec les autres clubs,
01:11 que ce soit les Los Angeles, que j'aime beaucoup, les Bandidos et d'autres clubs que je ne citerai pas,
01:17 et il y en a beaucoup.
01:19 Moi, je n'ai pas eu vraiment le temps de m'occuper de ce club, parce que j'avais mon métier, je faisais plein de choses,
01:25 et il y a eu plein de conneries qui auraient été faites.
01:29 Je voulais réactifier ça ce soir, c'est que ce club de motos que je ne voulais plus réduire est devenu un petit peu un club de fans.
01:39 Moi, un club de fans, c'est un club de fans, mais pas un club de motos.
01:43 Donc, j'ai démissionné il y a 8 mois, et je voulais que tout le monde sache que je ne suis plus président de ce club.
01:49 - Alors, je n'ai pas l'air d'un con, dis donc.
01:51 - Moi, si on m'en dit que j'ai vu une moto...
01:53 - Oui, mais tant pis. Mais attends, mais j'ai toujours vu une moto, hein.
01:55 - Ah bon, d'accord.
01:57 - Le côté, on se rassemble le week-end pour... et boys could pour faire une virée, moi, ça me contre.
02:02 Je préfère faire ça avec 3, 4 potes.
02:04 - Et les types qui vont déclencher des bagarres dans des bars en disant "c'est la bande à Johnny", ça marche pas, ça ?
02:07 - Oui, alors, il y a plein de conneries qui auront été faites comme ça dans le genre.
02:09 Après, c'est les autres qui font les conneries, et après, on dit "oui, mais c'est Johnny qui est le président, donc ça me retombe dessus".
02:15 Qu'on sache une fois pour toutes, je ne suis plus président de ce club.
02:18 - Rideau ! Rideau sur la moto de le club, en tout cas !
02:21 - La moto non, le club oui.
02:24 - Et, il y a 2 ans, presque jour pour jour, c'était la performance au parc, hein.
02:31 - Il y a 2 ans.
02:32 - 2 ans, oui.
02:33 - 2 ans et 3 jours.
02:35 - C'est ce que je voulais vérifier.
02:37 - Ça reste quand même un immense succès, quoi.
02:39 - Et un immense souvenir.
02:41 - Pour moi, c'est un immense souvenir, parce que c'était... c'est quelque chose dans ma vie que je n'oublierai jamais.
02:47 Bercy, comme j'ai dit justement dans un interview, Bercy, c'est ma résidence secondaire.
02:55 Bercy, c'était un grand truc.
02:58 - Le parc.
02:59 - Pardon, le parc.
03:00 - Le parc était un très grand truc.
03:01 - Mais je referai le parc où je referai le nouvel endroit qu'ils vont faire.
03:05 - Mais je le ferai dans 2 ans.
03:09 - Un grand truc.
03:11 - Et pour l'instant, il faut quand même rappeler qu'il y a une date intermédiaire.
03:15 - Tu as reloué ta résidence secondaire à Bercy à partir du 12 septembre.
03:19 - À partir du 12, quoi.
03:20 - Le 11 même, disent-ils les premiers.
03:22 - Non, non, le 12.
03:23 - Et vous dites 12 ?
03:25 - Le 11.
03:26 - Bon, le 11.
03:28 - Alors, une époque pour les fans, alors.
03:30 (Rires)

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