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00:00 Le lait qui provient de ces vaches coûte plus cher.
00:04 Au Nouveau-Brunswick, les consommateurs doivent payer près de 30 % de plus que le reste du Canada pour acheter leur lait chez l'épicier.
00:11 Au Nouveau-Brunswick, on a un système de fixation des prix.
00:15 Donc, ce n'est pas la quantité qui est fixée, c'est le prix à l'hectolitre ou au kilogramme qui est fixé.
00:21 Donc, ça peut avoir une influence.
00:23 8,34 $, c'est ce qu'il faut débourser pour avoir 4 litres de lait.
00:27 C'est la Commission canadienne qui fixe le prix final.
00:29 Un lait qui est réglementé, ça permet d'avoir, de permettre aux consommateurs d'avoir une équité en termes de prix dans les différents formats qui sont ouverts.
00:38 La hausse des coûts d'emballage, de fabrication, de transport et de distribution influence directement le prix du lait.
00:45 Le producteur veut vendre à environ 1 $ le litre.
00:49 Le transformateur, par la suite, veut vendre à environ 2 $, 2,2 $ le litre au détail.
00:55 Cette augmentation permet au producteur laitier de trouver un certain équilibre avec les frais qu'il doit débourser pour l'essence, le transport et l'engrais, entre autres.
01:04 Les coûts de production, par exemple, à la ferme, ont monté environ de 2 %.
01:10 En transportant une grande quantité versus une petite quantité, la quantité de gaz reste quasi équivalente.
01:21 Et dans ce contexte-là, un des objectifs, c'est de s'assurer que les producteurs laitiers ont un revenu qui soit adéquat.
01:28 Selon l'économiste, la note reste toujours plus salée pour le consommateur.
01:32 C'est habituellement rare qu'on voit une baisse des prix. Vous ne verrez pas dans le cas du nouveau produit qu'un spécial sur le lait.
01:41 Mylène Thomas, CIMT TVA, Edmonstone.

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