• l’année dernière
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-07-21##
Transcription
00:00 www.cadalvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.
00:06 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Deloval.
00:10 Bonjour à tous, merci d'être avec nous sur Sud Radio pour cette émission si particulière.
00:15 C'est la toute dernière de C'est votre avenir.
00:18 Après cinq saisons, Alexandre et moi avons décidé de prendre un autre chemin.
00:21 Donc on va faire les choses un peu différemment aujourd'hui.
00:24 Je vous invite à nous rejoindre dès maintenant au 0826 300 300, que vous soyez déjà passé à l'antenne ou pas.
00:31 On veut partager cette dernière avec vous.
00:33 Donc n'hésitez pas à venir échanger avec nous, nous dire ce que l'émission vous a apporté,
00:38 comment ça vous a aidé à surmonter vos difficultés, les anecdotes, les souvenirs que vous gardez de l'émission.
00:44 C'est nous qui avons besoin de vous aujourd'hui parce qu'on est vraiment nostalgique avec Alexandre.
00:48 N'est-ce pas Alexandre ? Bonjour.
00:50 Bonjour Trina, bonjour à tous.
00:51 Alors effectivement, c'est la dernière et pour cette dernière, je vais vous laisser faire l'émission toute seule.
00:56 Je m'en vais m'amuser avec mes collègues de travail.
01:00 Vous savez qu'on a besoin de vous pour la dernière quand même.
01:03 Vous voulez que je reste quand même ?
01:04 Bien sûr que je veux que vous restiez.
01:05 Je pense que nos auditeurs aussi, j'en suis sûre.
01:08 Bon alors je vais rester un petit peu, mais quoi que...
01:10 Attendez, je vais aller m'amuser, je vais revenir.
01:12 On va demander à Sonia si elle veut que vous restiez ou pas, mais je pense savoir la réponse.
01:16 Bonjour Sonia.
01:17 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
01:19 Et bien sûr, je veux qu'il reste.
01:21 Voilà, comme ça il n'a pas le choix, il est obligé de rester.
01:23 Non mais là aujourd'hui, je n'ai pas la tête au travail.
01:25 Oui, bah oui.
01:27 Bon, bienvenue Sonia, vous nous appelez d'où ?
01:30 Je vous appelle du secteur de Lourdes en fait, aux alentours de Lourdes.
01:35 Très bien.
01:36 Je vous avais eue il y a quelques mois.
01:37 Oui.
01:38 Je n'étais pas du tout dans le même état d'esprit.
01:40 Il y a vraiment eu un avant et un après.
01:44 J'ai expliqué à Aude que ça a été comme des pierres blanches sur mon chemin.
01:48 Vous m'avez redonné espoir.
01:50 Rappellez-nous pourquoi vous avez appelé.
01:52 J'ai appelé, c'était dans un contexte un petit peu professionnel et sentimental aussi,
01:59 suite à une reconversion professionnelle.
02:02 Les conseils d'Alexandre m'ont beaucoup aidée, m'ont recentrée et m'ont aidée à me renforcer intérieurement.
02:12 Ça a été une reconstruction en fait, vraiment.
02:15 Chaque jour, je me sens déjà mieux.
02:17 Je sais que tout n'est pas réglé, mais je suis sur le bon chemin.
02:21 C'était quoi comme reconversion professionnelle ?
02:23 J'étais soignante en fait et j'avais dû, suite au refus du vaccin, me reconvertir.
02:33 Actuellement, je suis auxiliaire de vie à mi-temps et je continue mon activité de bien-être dans les massages, l'énergie.
02:41 Vraiment, je m'éclate.
02:44 D'accord. Donc Alexandre, vous avez prédit quoi exactement ?
02:47 Il m'avait dit, j'avais un questionnement par rapport à ma vie professionnelle, si j'étais sur la bonne route,
02:53 et par rapport à ma vie intime, parce que je me posais beaucoup, beaucoup de questions.
02:57 Il a vraiment fermé exactement ce qu'il y avait, c'était le mental qui moulinait.
03:01 Et il m'a dit qu'il fallait que je me recentre en fait sur moi, sur mes priorités,
03:06 et que tout allait s'aligner et effectivement, tout n'est pas réglé.
03:11 Mais au niveau de mon couple, je vois bien que plus je me solidifie, plus ça a un impact sur l'extérieur, en fait,
03:17 sur tout ce qui m'entoure.
03:18 Parce que je me souviens de ce témoignage, vous aviez refusé la vaccination.
03:22 Vous êtes infirmière, c'est ça ?
03:23 Oui, c'est ça.
03:24 Et en fait, votre mari n'était pas d'accord avec vous, je crois que c'était quelque chose comme ça ?
03:28 Alors, il ne s'est jamais positionné, mais ça avait eu un gros impact au niveau financier, du coup ça l'avait mis en insécurité.
03:35 Même les mots qu'avait employé Alexandre, parce qu'il m'avait dit, il avait résumé en disant,
03:40 "ben voilà, quand on est désarmé, on est maladroit", ça a tout résumé, en fait, ça m'a aidé à comprendre.
03:45 Parce que mon mari, il intériorise beaucoup ses sentiments, et tout ça,
03:51 et ça m'a beaucoup aidé à me mettre à sa place à lui aussi, et à comprendre ce qui avait pu se passer.
03:58 Vous lui aviez dit à votre mari que vous passiez dans l'émission ?
04:01 Oui, il ne l'a jamais visionné, mais je lui en avais parlé, oui.
04:05 Est-ce qu'il était d'accord avec ça ? Comment il prenait la chose ?
04:09 Il respecte beaucoup, parce que même je vois au niveau, moi à la maison, j'ai mes petits hôtels avec des anges, avec des pierres,
04:18 j'ai mon petit monde, et il respecte, c'est quelqu'un qui est athée, mais qui a beaucoup de respect pour ce que je peux vivre, et j'ai cette chance-là.
04:27 C'est déjà quelque chose que vous faisiez avant, tout ce qui est pierre, etc., un peu peut-être méditation aussi ?
04:33 Voilà, après ce n'est pas dans mon domaine de bien-être, mais personnellement depuis des années, oui.
04:42 À la suite de votre passage, est-ce que vous avez éprouvé le besoin de réécouter le podcast de l'émission ?
04:48 J'ai trouvé incroyable, il faut que je vous le raconte, parce que hors de ma compagnie, j'en ai la chair de poule,
04:54 et en fait, j'ai eu le besoin de réécouter l'émission la veille, sans savoir ce qui se passait.
05:02 Elle m'a appelée hier en me disant "C'est la dernière vendredi, qu'est-ce que vous en pensez ? Est-ce que vous aimeriez participer ?"
05:09 Et j'ai dit "oui", et j'ai trouvé incroyable d'avoir eu ce... comme si on était connectés.
05:13 J'ai eu besoin de réécouter les propos, nos échanges, parce qu'ils n'avaient pas du tout le même...
05:19 À ce moment-là, au moment où j'avais besoin, ils ont eu un impact, et là, il y avait encore d'autres choses qui venaient me parler.
05:24 Voilà, mais j'ai trouvé rigolo.
05:27 C'est de la synchronicité, on est d'accord.
05:29 On peut appeler ça de la synchronicité, et puis aussi, c'est une heure de rendez-vous,
05:34 qui devait se prévoir pour justement parler de vous, et puis témoigner à l'antenne,
05:39 et pourquoi pas aussi pour connaître encore la suite des choses.
05:43 Mais c'est bien, je sens que vous avez travaillé sur vous, vous avez travaillé sur votre intériorité,
05:48 vous avez avancé sagement, vous avez suivi aussi vos convictions,
05:52 et je crois que c'est ce qu'il y a de plus important, et tous les télémoniages qu'on a pu avoir
05:57 durant toutes ces années, on a eu des auditeurs qui, parfois, avaient du mal à trouver leur chemin,
06:05 leur voie, leur orientation, et puis, par certains mots, ça peut forcément avoir un impact sur l'individu,
06:14 que ce soit en bon ou en négatif, parce que...
06:18 Et je suis ravi que mes mots ont pu faire résonance, et puis surtout,
06:26 je crois qu'au moment où vous étiez dans cette période de changement, de transition dans votre vie,
06:32 c'était peut-être un moment important pour vous réaligner dans votre existence.
06:38 - Complètement. - Et je reviens à dire qu'au moment de cette période du Covid,
06:43 parce qu'on a traversé une période difficile avec cette histoire du Covid,
06:47 et on a subi aussi, malheureusement, mais je crois qu'il n'y a pas une majorité,
06:54 mais quand même une partie des personnes, où ça a été justement le moment pour réfléchir sur soi,
06:59 pour se réaligner, pour se réorienter, pour peut-être prendre aussi des décisions,
07:03 et puis, à un moment donné, se réveiller, pas d'un cauchemar, mais de réveiller d'une situation
07:08 et d'aller vers de nouvelles prises de conscience, et c'est votre cas.
07:11 - Un révélateur, tout à fait. - Et Sonia, je vais vous poser une question
07:15 que je vais poser d'ailleurs à tous nos auditeurs aujourd'hui.
07:17 Qu'est-ce que vous attendiez exactement en nous appelant ?
07:21 Est-ce que c'était de la prédiction pure dont vous aviez besoin ?
07:25 - J'avais besoin d'être éclairée. Vraiment, quand je vous ai appelées, je me sentais vraiment perdue.
07:33 Dépressive aussi. Je savais que ça n'allait pas durer, mais je sortais de cet état-là.
07:40 Et je vous le redis, parce que moi j'aime beaucoup les images,
07:44 j'avais vraiment l'impression que c'était des pierres blanches.
07:48 Ça m'a aidée vraiment à retrouver le chemin.
07:53 - Mon chemin. - C'est très fort en tout cas, les termes que vous utilisez.
07:58 - Et j'espère que vous êtes un exemple pour tous ceux qui nous entendent
08:02 et qui aussi ont besoin d'avancer, d'évoluer. Il faut croire en soi.
08:06 C'est ce qu'il y a de plus important.
08:08 - C'est vrai que la plus grande détresse qui soit, elle n'y dure pas.
08:12 Et vraiment, ça j'ai à cœur de le dire, parce que j'ai vraiment touché le fond à un moment donné.
08:17 Et je me disais, mais c'est pas possible, tu ne vas pas remonter.
08:20 Si, ça se fait à un moment donné, on ne sait pas quand, mais ça peut durer.
08:25 Ça peut durer 15 jours, ça peut durer 6 mois, ça peut durer 1 an, 2 ans, 5 ans.
08:29 Mais quand c'est le moment, ça se fait et les choses s'inversent.
08:32 Il suffit d'un peu de bonheur et tout recommence. Vraiment, je tiens à transmettre ça.
08:37 - Et est-ce que vous y ayez jusqu'à dire que les mots d'Alexandre vous ont aidé à remonter ?
08:41 - Oui, parce que c'était de l'espoir.
08:44 Et puis, il m'a recentrée, parce que c'est dans mon métier de soignant par le passé,
08:49 quand il disait de s'appuyer sur ça, sur cet espoir, cette bienveillance.
08:54 Moi, je crois au pouvoir des mots de cette bienveillance qu'on transmet.
08:59 Pour moi, les mots et les livres aussi sont porteurs de cette énergie-là.
09:03 Ça a relancé l'espoir en fait.
09:06 - Et c'est pour ça justement, vous savez, je sais que beaucoup d'entre vous attendent des prédictions,
09:12 de ce que je peux dire en termes de perception.
09:16 Mais ce qui est le plus important, c'est aussi l'interprétation des choses.
09:22 Et parfois, même si ça peut m'arriver, parce que je suis comme tout le monde,
09:27 je suis un être humain, donc je peux avoir des erreurs d'interprétation ou de la notion du temps.
09:32 - C'est tout à votre honneur de dire ça.
09:34 - Oui, bien sûr, mais je sais l'admettre.
09:37 - C'est une humilité, Alexandre.
09:39 - Oui, mais parfois, c'est dans l'erreur,
09:41 et c'est quand on se trompe qu'on justement se remet en question et on réfléchit sur soi.
09:46 Et moi, des fois, ça peut arriver, je peux avoir des personnes qui peuvent me dire
09:52 "Oui, vous vous êtes trompé sur ci, sur ça",
09:54 mais je crois que chaque individu est responsable de sa vie et de ses actes.
09:59 Et moi, je ne suis juste un canal d'information pour essayer d'apporter aux autres.
10:04 Et ce qui est le plus important, c'est la manière dont vous exprimez les choses à l'individu,
10:09 quel que soit l'individu.
10:11 - Oui, c'est très juste, je vous dis là-dessus, parce que l'interprétation fait énormément.
10:15 Vous êtes, comme vous le dites, un canal d'information,
10:18 mais à nous de l'interpréter, de le comprendre en fonction de notre vie,
10:22 notre existence, du problème actuel qu'on traverse à ce moment-là.
10:25 Donc, c'est important que vous précisez ça, Alexandre.
10:29 - Moi, ça m'avait rassuré aussi par rapport à ma vie intime,
10:32 le fait de savoir qu'il y a...
10:34 Je le sens, ce lien avec mon mari, ce lien profond,
10:37 mais à un moment donné, il y avait des choses qui étaient tellement,
10:40 tellement de perturbations autour que j'en étais aveuglée.
10:44 Et je me posais beaucoup trop de questions,
10:46 c'est le mental qui prenait vraiment le relais.
10:49 Mais vraiment, Alexandre m'a su vraiment le décrire en disant
10:52 "Cessez de vous poser des questions, est-ce qu'on s'aime ?"
10:55 Non, c'est pas ça, il faut se recentrer.
10:58 - En tout cas, on est ravis que ça ait pu vous aider.
11:02 - Merci beaucoup. - Et merci à vous.
11:04 - Moi, je voulais vous remercier encore une fois,
11:06 c'est une dernière chose que je voulais dire.
11:08 J'ai eu un bonheur immense à vous écouter en faisant mes tournées
11:13 pendant toutes ces années, où vraiment, il y a cette notion de famille,
11:18 on se sent connecté aux autres êtres humains.
11:20 Enfin, moi, j'ai entendu des histoires qui m'ont bouleversée
11:23 où j'en voyais vraiment de la...
11:26 J'avais l'impression d'être de tout cœur avec la personne
11:28 et dans sa problématique, et vous avez porté ça,
11:31 et vous portez ça au niveau de votre équipe.
11:33 Les personnes qu'on peut avoir dans les coulisses aussi,
11:36 cette notion de famille, alors merci pour cela.
11:38 Et bonne route à tous les deux.
11:40 - C'est gentil. - Et quoi qu'il en soit,
11:42 on continuera toujours à le faire.
11:44 - Ça c'est sûr, ça fait partie de nous, ça, de toute façon.
11:46 - Vous le portez, oui, tout à fait.
11:47 - Merci beaucoup, vraiment, Sonia.
11:49 Prenez soin de vous. - Merci à vous.
11:51 - Bonne route. - Bonne route.
11:52 - A vous aussi.
11:53 Allez, venez nous rejoindre sur Sud Radio.
11:54 Je vous le rappelle, c'est une émission spéciale aujourd'hui,
11:57 puisque c'est la dernière de "C'est votre avenir",
11:58 donc on attend vos témoignages, vos souvenirs
12:00 de l'émission au 0826 300 300, à tout de suite.
12:03 - Sud Radio, "C'est votre avenir", Trina Magdine,
12:06 Alexandre Delovane.
12:07 - De retour dans "C'est votre avenir".
12:08 Si vous nous rejoignez sur Sud Radio,
12:10 sachez que c'est la toute dernière de l'émission.
12:12 Donc je vous invite à venir partager ça
12:14 avec Alexandre et moi, un seul numéro,
12:16 celui du standard 0826 300 300,
12:20 et c'est le numéro qu'a composé Isabelle.
12:22 Bonjour Isabelle.
12:23 - Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
12:25 - Bonjour.
12:26 - Bienvenue Isabelle, vous nous appelez d'où ?
12:28 - Je vous appelle du Gard.
12:30 - Du Gard, très bien.
12:31 Alors vous étiez passée deux fois dans l'émission ?
12:34 - Exactement.
12:35 Une fois pour avoir des renseignements
12:37 au niveau professionnel,
12:39 parce que c'était très complexe à ce moment-là,
12:41 et une autre fois encore pour un suivi
12:44 au niveau professionnel et amoureux tant qu'à faire.
12:47 Et c'est vrai que j'ai beaucoup, beaucoup apprécié
12:51 l'intervention d'Alexandre et votre émission globalement.
12:55 - Bon, alors rappelez-nous exactement vos témoignages,
12:57 en tout cas en quelques mots.
12:59 - Alors en quelques mots, je devais ouvrir une entreprise,
13:02 oui je changeais de cap on va dire, voilà, tout simplement.
13:05 Et je devais avoir une caravane, j'avais les fonds,
13:09 et Alexandre disait "non, non, non, vous ne l'aurez pas".
13:11 Alors que j'avais les fonds, ce que je ne comprenais pas,
13:14 et au final ça ne s'est pas fait, effectivement.
13:16 On parlait d'art-thérapie,
13:18 au final j'ai effectivement ouvert un cabinet d'art-thérapie,
13:22 sauf que je suis plus artiste qu'autre chose,
13:25 et que c'est plus là-dedans que je m'oriente,
13:27 et c'est là-dedans que me voyait Alexandre aussi.
13:29 Donc tout est parfait, voilà.
13:32 - D'accord, donc qu'est-ce que ça vous a apporté concrètement
13:36 les prédictions, les conseils, le ressenti d'Alexandre ?
13:39 - Déjà d'y voir plus clair, tout simplement,
13:41 parce qu'il y arrive des moments dans la vie
13:44 où à force d'être confronté au même problème,
13:48 on ne voit pas clair, on est un peu perdu.
13:51 Et d'avoir une écoute qui est attentive,
13:53 d'avoir quelqu'un qui est réceptif, empathique,
13:57 et qui est surtout, je dirais, sincère dans sa démarche,
14:00 c'est-à-dire qu'il n'hésite pas à dire que ça ne sera pas bon,
14:04 si c'est pas bon, ou bien au contraire,
14:07 il guide avec cœur, et ça c'est très très important,
14:12 et ça apporte une aide considérable.
14:15 - Je ne sais pas si je vais pouvoir franchement finir l'émission.
14:18 Vous me remplissez de bonheur et d'amour,
14:21 je suis vraiment en train de me dire ça,
14:23 parce que vous qui êtes si humble, Alexandre,
14:25 quand moi je vous fais des compliments,
14:27 vous avez déjà du mal, alors aujourd'hui c'est votre tour !
14:30 - J'en prends plein la figure, mais positivement,
14:32 mais vraiment j'ai cette sensibilité-là,
14:35 et je suis vraiment très touché.
14:37 - Vous savez, ça fait 12 ans qu'on se connaît,
14:39 on va essayer de ne pas pleurer maintenant,
14:41 et vous m'apprenez depuis tout ce temps
14:43 qu'il faut savoir accepter les compliments,
14:46 donc, hein, appliquez !
14:48 - Vous en êtes où dans l'art-thérapie aujourd'hui ?
14:51 Parce que c'est quelque chose que vous envisagiez avant d'appeler,
14:53 mais que vous n'aviez pas encore concrètement fait, c'est ça ?
14:56 - Alors disons que j'avais passé le diplôme,
14:59 j'avais tous les diplômes, j'avais tout ce qu'il fallait,
15:01 à savoir que le diplôme, j'avais surtout passé pour moi,
15:04 personnellement c'était plus une démarche pour me rassurer,
15:08 me dire que j'avais des compétences,
15:09 alors que je savais très bien que je les avais,
15:11 c'était vraiment plus identitaire, on va dire.
15:14 Mais l'art-thérapie, c'est pas là-dedans que je me dirige essentiellement,
15:19 j'en fais, mais c'est plus l'art globalement,
15:24 dans lequel je m'épanouis et que je produis,
15:27 je donne des cours, et c'est plus là-dessus que je m'oriente,
15:31 et c'est d'ailleurs ce que m'avait dit Alexandre,
15:33 tant que je lui en parlais, il me disait
15:35 "oui mais moi je vous vois plus dans la sculpture",
15:37 et c'est vrai que je suis en plein dans la sculpture en fait,
15:40 donc en fin de reste, ce qu'il m'a prédit n'est pas encore arrivé,
15:45 mais j'ai hâte d'y être.
15:47 - Qu'est-ce que vous avez éprouvé au moment où il vous a parlé de la sculpture,
15:51 alors que vous n'en aviez pas parlé ?
15:53 Qu'est-ce que ça fait comme impression ?
15:55 Moi je la connais l'impression, mais pour tous nos auditeurs ?
15:58 - Eh bien l'impression que ça fait, c'est tout simplement
16:01 qu'on accepte d'être soi, et on se dit que finalement
16:03 le chemin qu'on avait décidé de prendre inconsciemment
16:06 n'est pas si, comment dire, si idiot
16:11 qu'au final on ferait bien de se faire confiance,
16:14 et ça nous conforte en fait dans nos choix.
16:19 Et c'est pas rien, c'est important,
16:21 parce que je dirais que quand on appelle, c'est qu'on a un manque de confiance,
16:24 et il faut avoir confiance également en la personne
16:27 avec qui on en parle, pour pouvoir être à l'écoute.
16:32 - Et c'est ce que Alexandre ferait.
16:36 - On est ravis.
16:38 - Merci encore de ce si beau témoignage.
16:41 Ce que je voudrais ajouter, effectivement,
16:43 on a tous je crois une mission de vie,
16:45 et parfois on a l'impression qu'on est missionnés à aller
16:48 dans cette voie-là, ou dans ce chemin-là,
16:50 et on peut se tromper aussi,
16:52 et c'est pour ça que quand on persévère,
16:54 et qu'on a du mal à avancer,
16:57 il faut se poser quand même les bonnes questions,
17:00 il faut se donner ce temps de réfléchir avec soi-même,
17:03 d'être à l'écoute de son intériorité,
17:06 et puis de prendre en compte aussi
17:09 de ce qui est dit par votre entourage,
17:12 par tout ce qui peut apporter des éléments positifs ou négatifs,
17:18 quand ils sont argumentés, et que ça soit constructif.
17:21 Si vous avez autour de vous des personnes
17:24 qui vont uniquement apporter des arguments
17:27 sans pour autant donner quelque chose d'essentiel ou de positif,
17:33 là peut-être qu'effectivement il faut prendre du recul
17:37 et continuer votre voie.
17:39 Mais cette mission de vie qu'on a tous en soi,
17:42 et je crois que tout le monde est voué à aller vers sa mission,
17:46 quand on la découvre et quand on la vit,
17:49 eh bien on est beaucoup plus heureux comme ça,
17:51 et c'est peut-être ce que vous êtes en train de vivre
17:53 comme nous on est en train de vivre aujourd'hui.
17:55 - Exactement, et je vous en remercie très sincèrement.
17:58 - C'est nous qui vous remercions Isabelle.
18:00 Bonne continuation à vous.
18:02 - A vous également. Au revoir.
18:04 - Allez on retrouve Sébastien. Bonjour Sébastien.
18:07 - Bonjour, bonjour à toute l'équipe. Alexandre, Trinam, bonjour.
18:10 - Bienvenue Sébastien, vous nous appelez d'où ?
18:12 - Du Var.
18:13 - Alors vous avez découvert l'émission il y a quelques mois seulement ?
18:16 - Oui c'est ça, à peu près entre l'hiver et le printemps.
18:19 - Et vous étiez passé avec nous à l'antenne ?
18:21 - Oui tout à fait.
18:22 En fait c'est simple, j'avais besoin d'éclatissement
18:26 sur une relation avec une femme que je côtoyais.
18:30 On s'était rapprochés,
18:32 et je voulais savoir un peu ce qu'il en était pour le futur,
18:36 mais voilà pour savoir un petit peu si notre relation allait continuer.
18:39 - Oui, et qu'est-ce qu'il avait prédit Alexandre ?
18:42 - Alors il m'avait dit que, si je me souviens bien,
18:46 il m'avait dit que oui il y aurait peut-être quelques explications,
18:49 quelques dialogues entre nous deux,
18:52 mais qu'après ça le ferait tranquillement.
18:56 Mais en fait pas du tout.
18:58 Je fais partie du pourcentage de personnes
19:01 où je pense que ça ne marche pas,
19:02 et ça m'a fait beaucoup rire parce que ça n'a pas fonctionné,
19:05 et finalement cette personne est retournée avec l'homme avec qui elle était,
19:12 parce qu'elle était en train d'être sur une rupture,
19:15 c'était un peu cette transition-là.
19:18 Je l'ai pris avec beaucoup de recul et beaucoup de philosophie,
19:21 et je me suis dit que je fais partie du pourcentage où ça ne marche pas,
19:25 et ça m'a fait rire quand même malgré tout.
19:28 - Voilà un témoignage intéressant aussi.
19:30 Moi j'accepte, j'accepte, j'inter.
19:34 Alors est-ce que je me suis trompé ou est-ce que vous vous êtes trompé aussi ?
19:38 Ça c'est une autre question.
19:40 Vous savez parfois, on ne veut pas être,
19:43 c'est ce que je viens de dire à notre ancienne auditrice,
19:46 on ne veut pas être à l'écoute de soi et on reste persuadé
19:49 ou on reste focalisé sur une idée, sur quelque chose,
19:53 et on influence cette information auprès d'une personne comme moi.
19:58 Donc à ce moment-là, c'était peut-être une information télépathique,
20:04 et donc j'ai capté et j'ai retransmis un peu votre désir et votre envie.
20:10 Alors est-ce que je me suis trompé ou je ne me suis pas trompé ?
20:13 Peut-être que dans l'avenir cette personne peut...
20:15 - La vieillesse de l'avenir nous le dira.
20:16 - Et voilà, cette personne peut revenir.
20:18 - Parce que le temps n'est pas facile à...
20:20 - Le temps n'est pas facile.
20:22 Et puis, ce que j'apprécie, c'est que vous ne m'en tenez pas rigueur.
20:28 - Ah bah non, non, il n'y a pas de soucis.
20:30 - Et ça c'est une preuve d'ouverture d'esprit et d'intelligence.
20:34 - Bah écoutez, c'est gentil, mais de toute manière,
20:36 ce genre d'émission c'est vrai que c'est très agréable
20:38 parce que c'est toujours très général.
20:41 Des fois vous avez des convictions, quand j'entends à la radio,
20:44 des convictions sur certaines personnes,
20:46 mais globalement ça reste toujours dans le bon esprit,
20:48 c'est très global, très ouvert aussi de votre part.
20:50 Donc c'est très agréable à écouter en tant qu'auditeur.
20:52 Et c'est pour ça que j'ai eu cœur à vous écouter quand j'étais sur les routes.
20:56 Enfin voilà quoi.
20:57 - C'est gentil, mais quand vous parlez de convictions,
20:59 j'ai juste besoin d'un éclaircissement sur ça.
21:02 - Non, par exemple, quand Alexandre est arrêté sur une date,
21:07 sur un oui ou un non sur quand il y a des auditeurs ou auditrices
21:11 qui posent des questions, voilà, il y a quelque chose, je pense,
21:14 de la part d'Alexandre, il y a quelque chose de très très sûr.
21:17 Donc ça c'est quelque chose de bien arrêté.
21:19 Moi, me concernant, ce n'était pas le cas.
21:21 Et justement, c'est ce qui m'a permis aussi d'avoir un peu de recul
21:23 et de me dire, au final, peut-être que je n'ai pas donné
21:25 les bonnes informations ou peut-être des mauvaises informations.
21:28 - Pour précision, ce ne sont jamais des convictions qu'Alexandre donne.
21:33 Que ce soit bien clair.
21:34 - Alors le mot est mal choisi, effectivement.
21:36 - Ce sont des ressentis.
21:38 Mais il y a toujours des choses qui peuvent se tromper.
21:40 - C'est bien d'en parler.
21:41 - Et c'est pour ça que votre attitude, et je trouve que c'est intéressant aussi
21:45 de laisser la parole à des personnes qui ont vécu une expérience différente.
21:49 Et je ne le prends pas du tout mal.
21:50 Au contraire, pour moi, c'est important d'avoir un échange, de discussion.
21:56 Voilà.
21:57 Alors moi, je retiens quand même, parce que vous savez que j'ai appris
22:01 à travers ce métier à écouter beaucoup l'individu.
22:05 Et la première question que Trina vous a posée, c'est
22:08 ce que vous a dit Alexandre, et vous avez été un petit peu en disant
22:11 "Alors si je me souviens bien, il y a un peu d'hésitation."
22:14 Donc peut-être qu'à ce moment-là, vous, vous avez envie d'entendre
22:18 certaines choses et peut-être, pas oublié, mais vous avez filtré
22:24 certaines informations.
22:26 Mais je ne suis pas en train de vouloir tirer la couverture vers moi
22:29 et vous rendre responsable.
22:31 Pas du tout.
22:32 Bien en contraire.
22:33 Sébastien, dans tout le cas, merci.
22:34 - Oui, merci.
22:35 Et bonne continuation à vous, Sébastien.
22:37 - Merci, à vous aussi.
22:38 - A bientôt.
22:39 - Au revoir.
22:40 - Allez, vous aussi, venez partager cette dernière émission avec vous
22:41 dans la joie et la bonne humeur.
22:43 0826 300 300 sera de retour dans quelques minutes, promis.
22:46 Trina Magdine, Alexandre Delevanne.
22:48 - Et merci d'être avec nous sur ce Radio, toujours en compagnie
22:51 de notre co-scientif Alexandre Delevanne pour cette toute
22:53 dernière de C'est votre avenir.
22:55 Et bien sûr, on attend vos témoignages et vos retours sur l'émission,
22:58 que vous soyez passé à l'antenne ou pas d'ailleurs.
23:00 N'hésitez pas à venir nous raconter les souvenirs que vous en gardez
23:03 au 0826 300 300.
23:05 Alexandre, qui dit dernière émission, dit dernière superstition du jour.
23:09 - Oui, mais avant toute chose, vous parliez de souvenirs.
23:12 Trina, quel est votre dernier ou quel est votre plus grand souvenir
23:17 durant ces cinq années ?
23:19 - Impossible de répondre, j'en ai tellement.
23:21 - Comment ça, c'est impossible ?
23:22 - Mais...
23:23 - Mis à part que vous passiez votre temps à siffler dans les couloirs,
23:25 est-ce qu'il y a eu d'autres souvenirs sur lesquels vous...
23:28 - Non, mais j'ai trop de bons souvenirs.
23:30 Franchement, je ne peux pas répondre à ça.
23:32 Que ce soit les témoignages forts de nos auditeurs,
23:34 où on a eu les larmes quand même,
23:36 parce qu'on a eu des témoignages extrêmement touchants.
23:38 Vous, vos fourrires, vos maladresses, monsieur Pierre-Richard.
23:43 - Merci.
23:44 - Il y en a trop, il y en a trop.
23:46 - Oui, c'est vrai qu'en off, c'est pas mal.
23:49 - Je ne vois pas des off à toi, si on voulait aller là-dessus.
23:51 - J'en ai beaucoup.
23:53 D'ailleurs, j'ai beaucoup de photos vous concernant,
23:56 en train de faire des grimaces, des choses comme ça.
23:58 - Moi, j'ai des vidéos de vous.
23:59 - Oui, vous pouvez.
24:00 Allez, balançons.
24:02 - Vos meilleurs souvenirs, à vous.
24:04 Vous n'avez pas répondu.
24:06 C'est dur.
24:07 - C'est dur, oui, c'est très difficile.
24:09 Mais sincèrement, il y a des stories qui m'ont fait beaucoup rire.
24:12 - Des stories ?
24:13 - Oui, qu'on a fait ensemble, qui m'ont fait beaucoup rire.
24:15 - D'accord.
24:16 - Ou à un moment donné, oui, je ne sais pas,
24:18 pour séduire un public ou quoi que ce soit.
24:20 Mais on était un peu dans cette effervescence
24:23 quand les débuts de l'émission.
24:25 - Oui, je suis d'accord.
24:26 - Et je crois qu'on se permettait d'être un peu extravagant
24:31 dans certaines attitudes.
24:33 - Oui, mais ça plaisait beaucoup à nos auditeurs.
24:35 C'est ce qu'on a eu comme retour en tout cas.
24:36 - Oui, mais on a vieilli depuis.
24:38 Je pense que je ne jouerai plus avec une peluche
24:41 comme vous l'avez pu le faire.
24:43 - Qu'est-ce que...
24:44 Allez, votre superstition.
24:45 - Alors, vous savez que dans les croyances et les superstitions,
24:49 on dit qu'il ne faut jamais dire adieu.
24:52 Et j'ai choisi cette superstition aujourd'hui
24:54 par rapport à aujourd'hui, à notre dernière émission.
24:58 Mais il faut plutôt dire au revoir
25:00 car sinon ça pourrait vous porter malheur.
25:03 Alors aujourd'hui, je ferai attention à ne pas dire adieu à vous les auditeurs,
25:09 mais simplement vous dire temporairement au revoir
25:11 car je veux conjurer ce sort
25:13 pour vous réentendre prochainement sur les ondes.
25:16 Ça, c'est le principe et la philosophie
25:19 de la parole résistante et créatrice.
25:21 Voilà.
25:22 Et je vais conjurer le sort.
25:23 - Alors, créatrice, je connaissais,
25:24 mais la parole résistante, je connaissais.
25:26 - Oui, d'une parole résistante,
25:27 de dire je vais arriver à un moment donné, je réapparaîtrai.
25:31 - Oui, parce que ça fait partie du même procédé que l'attraction.
25:36 - Exactement.
25:37 - Avec les choses.
25:38 - J'ai voulu donner peut-être un autre terme.
25:40 - Oui, j'ai vu, vous êtes beau à l'étape.
25:42 - Oui, bien sûr, il lutte contre tout aspect négatif ou autre
25:49 et il obtiendra, il arrivera un jour à réapparaître.
25:52 - C'est très bien, bravo.
25:53 On retrouve Sophie.
25:55 Bonjour Sophie.
25:57 - Est-ce qu'on a Sophie ?
25:58 - Sophie ?
25:59 - Oui.
26:00 - Bonjour Sophie.
26:01 - Bonjour.
26:02 - Bienvenue Sophie, vous nous appelez d'où ?
26:04 - De Bordeaux.
26:05 - Très bien.
26:06 Alors là, c'est un témoignage un peu particulier
26:07 parce que vous vivez des phénomènes paranormaux
26:10 ou qu'il y a un petit peu urgence.
26:12 - Tout à fait, tout à fait.
26:14 Oui, depuis pas mal d'années.
26:17 Pas mal d'années.
26:18 Donc au début, c'est dans un logement que j'occupe depuis 24 ans.
26:24 Alors au début, je n'en avais pas vraiment confiance.
26:28 J'entendais, mais je passais outre parce que, bon, voilà, des fois, on passe outre.
26:33 Et puis au fil du temps, voilà, ça revenait de manière récurrente.
26:38 Et comme moi, j'ai des frayeurs nocturnes depuis mon enfance,
26:44 donc les deux ensemble ont fait qu'à un moment donné,
26:50 j'y ai prêté un peu plus attention
26:52 et ça a un petit peu répercuté sur mes peurs.
26:59 - Quels sont ces phénomènes ?
27:02 - J'entends les voix, j'entends parler.
27:05 Alors ce n'est pas en continu,
27:09 ce sont des bribes de phrases qui arrivent sans que je n'y attende pas,
27:12 de jour comme de nuit.
27:14 Quand c'est la nuit, vu que je vis seule, ça me terrorise.
27:19 Voilà, parce que c'est quelque chose que je ne gère pas du tout.
27:22 - Vous avez parfois des visites d'amis ou de famille ?
27:26 - Euh... Non, non, non.
27:29 - Vous n'avez jamais personne d'autre qui est entré dans votre maison ?
27:32 - Ah si, si, j'ai des tierces personnes qui sont venues, mais...
27:36 - Personne n'a entendu ce genre de choses ?
27:38 - Non, non, non.
27:39 - Et ça fait combien de temps que vous entendez ça ?
27:41 - Oh, ça fait plusieurs années. Plus d'une dizaine d'années.
27:45 - Et vous êtes dans l'appartement depuis ?
27:47 - 24 ans. - Depuis 24 ans.
27:50 Les terreurs nocturnes dont vous nous parliez, vous les aviez enfants ?
27:55 - J'ai dû les avoir peut-être vers l'adolescence.
28:00 - Est-ce que vous savez si ça a été déclenché suite à quelque chose de particulier ?
28:05 - Je ne sais pas. Je n'ai pas fait de lien jusqu'à maintenant.
28:08 Bon, je sais que j'ai eu un parcours un petit peu particulier, assez chaotique,
28:12 mais après je n'ai pas vraiment fait de lien. Je ne sais pas.
28:15 Je ne pourrais pas vous inventer une réponse, je ne sais pas.
28:17 - D'accord. Et donc là, vous cherchez à le vendre cet appartement ?
28:21 - Non, je suis en location. Je suis en location.
28:24 - D'accord. Donc vous êtes toujours dedans actuellement ?
28:26 - Oui, oui. Actuellement, non.
28:28 Pour l'instant, je suis hébergée par un membre de ma famille
28:32 parce que je ne peux plus rester dans cet appartement-là.
28:35 - Ah oui. Ah oui, donc c'est à ce point-là. D'accord.
28:37 - Oui, oui.
28:38 - Bon, alors, Alexandre, est-ce que vous arrivez à ressentir
28:41 si effectivement il y a des phénomènes paranormaux ou pas ?
28:44 Est-ce que ça peut être autre chose ? Comment l'expliquer ?
28:46 Comment s'en débarrasser ?
28:48 - Alors, déjà, je vais vous poser une question, Sophie.
28:51 Qu'est-ce que vous entendez comme voix ? Qu'est-ce qu'on vous dit ?
28:54 - Alors, c'est très varié. C'est soit des voix d'hommes, de femmes, d'enfants.
28:59 C'est des... Comment dire ? Des messages souvent négatifs.
29:08 Des fois négatifs.
29:10 Des fois, ça peut me réveiller d'un coup dans la nuit.
29:12 Alors, je dors avec... Je dormais...
29:14 Du moment où j'y étais, je dormais toutes les nuits avec la lumière allumée.
29:18 Je ne pouvais pas dormir dans le noir. Ce n'est pas possible.
29:21 - D'accord.
29:22 - Voilà. Et quelques fois, ça me réveillait.
29:24 J'entendais des fois qui disaient "elle ne nous voit pas, elle ne nous entend pas".
29:28 Vous voyez ?
29:29 - Est-ce que vous êtes... Aucun jugement de ma part, hein.
29:32 Mais est-ce que par rapport à vos terroirs nocturnes,
29:34 vous avez été suivie par un thérapeute ?
29:36 - J'ai eu à un moment donné, oui, pendant plusieurs mois, oui,
29:41 vu une thérapeute, mais qui n'était pas vraiment ouverte sur le sujet.
29:46 Voilà. Très cartésienne, je pense.
29:48 Et qui a préféré me donner un traitement plutôt que de m'écouter véritablement.
29:53 - Un traitement qui n'a pas failli faire, donc ?
29:55 - Non, que je n'ai pas pris.
29:57 Parce que je n'ai pas envie de rentrer dans la gamme du "j'y reviens".
30:01 Et que pour moi, ce n'était pas la solution.
30:03 - Alexandre ?
30:04 - Oui. Et puis, une autre question, Sophie.
30:06 Peut-être, est-ce que vous avez été...
30:08 ou est-ce que ces dernières années, vous avez pris des médicaments
30:12 ou un traitement un peu lourd ?
30:14 - Non, du tout.
30:15 - Non, du tout.
30:16 Alors, moi, c'est difficile de vous dire si c'est un phénomène paranormal ou autre,
30:20 mais mon sentiment, j'ai l'impression que pas complètement.
30:23 Pas complètement.
30:24 Et je crois que chez vous, il y a un problème d'abandon
30:28 qui a été vécu auparavant.
30:31 Et à la suite de cet abandon-là...
30:34 Alors, quand je parle d'abandon, ce n'est pas forcément d'un abandon familial.
30:37 Ça peut être d'un abandon affectif ou autre.
30:40 Il s'est créé une peur,
30:42 et c'est ce qui vous a amené à avoir des terreurs nocturnes.
30:47 Et peut-être que ça s'est amplifié par cette notion, je dirais, de voix,
30:54 par cette notion d'entendre.
30:57 Et vous avez cristallisé toutes ces informations.
31:00 Alors, je ne suis pas en train de dire qu'il faut aller voir absolument un psy
31:04 et que vous êtes malade.
31:06 Pas du tout, je ne me permettrais pas.
31:08 Mais je crois qu'il faut arriver à identifier tout ça
31:12 pour pouvoir voir s'il y a de la cohérence avec votre vie,
31:18 avec votre existence, avec vos événements du quotidien.
31:23 Et s'il n'y a pas de cohérence ou si ça ne se tient pas,
31:26 c'est peut-être tout simplement d'un point de vue neurologique
31:29 où il faut peut-être se faire aider et accompagner
31:33 pour guérir des blessures émotionnelles.
31:35 Et puis, l'hypnose peut être aussi une manière de vous aider
31:41 ou d'une thérapie au travers de l'hypnose
31:43 pour essayer justement d'aller en profondeur sur des traumatismes du passé
31:49 où il y a eu quelque chose de comme ça.
31:51 Est-ce que vous avez eu déjà un sentiment d'abandon affectif ?
31:55 Sentiment d'abandon, oui.
31:58 Oui, oui, parce que oui, comme un très grand nombre de personnes, oui.
32:02 Je parle de vous, Sophie.
32:05 Oui, oui, parce que je pense qu'à la suite de ça,
32:09 il y a peut-être eu quelque chose qui s'est enclenché
32:13 et qui a créé toutes ces terreurs nocturnes et ça s'est amplifié.
32:17 Mais sincèrement, je sens que ça va aller mieux, ça va s'améliorer.
32:22 Mais essayez d'identifier et essayez de voir s'il y a de la cohérence
32:26 avec votre quotidien, avec votre vie.
32:29 Et si ce n'est pas le cas, peut-être rapprochez-vous de la médecine
32:35 et notamment au travers de l'hypnose, ça peut être intéressant.
32:38 Ça peut être d'une grande aide.
32:39 Merci en tout cas beaucoup Sophie pour votre témoignage.
32:41 On passe maintenant au dernier range du jour.
32:44 Oui, du jour, c'est votre avenir, mais vous savez que demain ils sont encore là.
32:49 Oui, bien sûr, vous avez compris.
32:50 Ils n'arrêtent jamais eux.
32:51 Oui, je sais.
32:52 Alors, aujourd'hui, on fête les victors et aussi les hectors.
32:56 Les dictons du jour, quand il pleut à la Sainte-Victore, la récolte n'est pas d'or.
33:00 Ah, dommage.
33:01 Comment ça dommage ?
33:02 Que ce ne soit pas d'or ?
33:03 Il ne pleut pas.
33:04 Dans aucune région de France, vous êtes sûr ?
33:06 Si, mais je n'ai pas regardé la météo.
33:07 Je n'ai pas écouté Rémi-André.
33:08 Bravo.
33:09 C'est bravo, oui.
33:10 J'étais un peu perturbé pour démarrer cette émission, c'est pour ça.
33:13 Alors, l'ange qui gouverne cette journée, c'est Miaël.
33:16 Il est mignon, il fait miaou miaou.
33:18 Il aide à la fécondité et à la réussite matérielle.
33:21 Il crée l'équilibre de la polarité entre le féminin et le masculin.
33:26 Il donne la réussite aux associations.
33:29 Et sa formule d'invocation est celle de dire "apporte-moi secours à toute forme d'injustice".
33:34 Alors, pour faire une bonne invocation, c'est simple, il faut visualiser deux couleurs, magenta et turquoise.
33:41 Sa pierre de chance, c'est le jaspe vert.
33:44 Vous savez que la pierre de jaspe existe en plusieurs variétés.
33:48 Cette pierre a été largement exploitée par les Égyptiens,
33:51 qui en faisaient des amulettes en forme de scarabée,
33:54 qui est un symbole de vie éternelle.
33:57 On en avait parlé, on avait pas su y aller.
33:59 Exactement. Et ils portaient ces amulettes comme talismans.
34:02 Alors, c'est une pierre d'ancrage à la terre,
34:06 qui agit sur la perception de la réalité.
34:09 Elle équilibre les émotions et renforce sa propre estime de soi.
34:13 Le jaspe vert est bon aussi à l'utilisation des massages.
34:16 Mais vous, vous avez un bracelet avec du lapis lazuli et du quartz.
34:22 C'est mon ange gardien qui me l'a offert.
34:24 Vous avez trouvé où ce bracelet ?
34:26 Je pense que hier, je vous ai demandé de faire un inventaire sur tous les bracelets que vous m'avez pris durant toute cette saison.
34:31 Oui, mais j'avais pas assez de papier à la maison.
34:33 Ah, vous êtes en train d'avouer que vous m'avez pris beaucoup de bracelets de pierres.
34:36 Pas autant que j'aurais voulu.
34:38 Oui, je sais.
34:39 Allez, on accueille Marjolaine.
34:41 Oui, pas d'anniversaire du jour tout seul.
34:44 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
34:47 Bonjour Marjolaine, vous nous appelez d'où ?
34:49 Je suis en vacances, je suis à Cran, en Mayenne.
34:53 Très bien, bonnes vacances.
34:55 Très belle région.
34:56 Vous avez vos temps ?
34:57 Ah oui, on a vos temps.
34:59 Vous étiez passée deux fois dans l'émission ?
35:02 Oui, tout à fait. Malgré que j'aurais voulu passer tous les jours.
35:06 C'est gentil.
35:08 Vous souhaitez avoir votre horoscope ?
35:11 Non, ça j'ai quitté le matin, c'est de dire déjà.
35:17 Rappelez-nous les deux témoignages rapidement.
35:20 Alors le premier, j'étais en fin de course, en fin d'émission.
35:23 Je pense qu'on n'avait pas été tout au bout, tout au bout,
35:26 mais ça m'avait rassurée parce que peut-être que c'était le mieux.
35:28 Ça m'a évité d'en savoir plus.
35:30 Et du coup, c'était plus sur l'amour, sur mon couple qui battait de l'aile.
35:40 C'est les dix ans qui arrivent et on se pose toujours des questions.
35:45 Qu'est-ce qu'il faut faire ?
35:48 Mais de toute façon, je n'étais pas prête à faire quoi que ce soit.
35:51 Donc, on m'a dit que c'était rien, que c'était juste un petit tracas passager.
35:56 Et si le tracas passager continue, je vis avec pour l'instant.
36:01 De toute façon, je n'ai pas l'intention de faire autrement.
36:04 Parce que il faut aussi se donner les moyens de faire autrement.
36:06 Et pour l'instant, je ne les ai pas.
36:08 Et du coup, il faut vivre avec et il faut que la vie soit belle et heureuse tous les jours.
36:14 Donc, c'est à nous aussi d'en tirer le positif.
36:18 Et ça, je pense que ça m'a aidée aussi.
36:20 Parce que si on nous dit que ça ne va pas durer et que ça va casser,
36:25 on va tout faire pour que ça ne fasse pas.
36:28 Oui, ça peut influencer en effet.
36:31 Voilà, exactement.
36:32 Qu'est-ce que ça vous a apporté ?
36:35 Ça m'a déjà apporté de la résilience et aussi essayé de prendre sur moi tant qu'on peut.
36:44 Ça m'a apporté aussi...
36:46 Alors moi, je suis quelqu'un qui est assez énerveuse de base.
36:49 Je suis très étudie, j'aime bien faire mille choses à la fois.
36:52 Et ça m'a fait réfléchir, tout simplement.
36:56 Parce que peut-être que j'en fais trop, tout simplement.
36:58 Et que mon mari non plus n'arrive pas à me suivre.
37:01 Ça, c'était le premier passage.
37:06 Alors, dites-nous rapidement le deuxième alors.
37:08 Le deuxième, c'était il n'y a pas très longtemps, il y a moins d'un mois.
37:11 Et là, ça m'a vraiment aidée.
37:16 C'était sur le travail.
37:18 Parce que pareil, comme tout, je suis très speed aussi en travail.
37:23 J'ai plein de choses qui me montent à la tête et j'ai envie de tout faire.
37:27 Et je n'avais certainement pas vu que la chose que je détestais le plus actuellement,
37:37 c'était d'être le cul en dessous de chaise.
37:39 Je ne parle pas français, ce n'est pas très joli.
37:41 Non, mais vous dites les choses comme vous les pensez.
37:43 Vous savez, on parle vraiment sur cette radio.
37:45 Voilà, exactement.
37:47 C'est une expression française.
37:49 Et en fait, là, j'ai mis un terme, aujourd'hui même, à l'immobilier.
37:55 Pour d'autres choses qui sont déjà en route et qui sont déjà d'actualité.
38:03 Je suis prof de danse.
38:05 Ça, ça marche bien.
38:07 J'ai une perspective dessus.
38:11 Et j'ai aussi l'aérien qui est en sommeil.
38:17 Et Alexandre m'avait dit de ne pas aller trop vite.
38:21 Il faut attendre qu'on me propose quelque chose.
38:23 Qu'il y ait quelque chose à apprendre.
38:27 Bon, c'est très complet.
38:29 Je garde toujours ces petits trucs dans la tête.
38:31 Oui, il le faut.
38:33 Et ça aide.
38:35 En espérant qu'Alexandre continue à nous aider.
38:37 Évidemment, je suis votre serviteur.
38:39 J'espère qu'Ethrina a une petite soeur cachée quelque part.
38:43 Pour ?
38:45 Pour continuer avec Alexandre.
38:47 Ah, et est-ce qu'Alexandre a un petit frère caché pour continuer avec Alexandre ?
38:51 Non, Alexandre a envie de continuer.
38:55 Trudence, si, on vous a jamais dit le contraire.
38:59 Bon, ça va.
39:01 Merci à vous Marjolaine, vous êtes adorable.
39:05 A bientôt Marjolaine.
39:07 Au revoir, à très bientôt.
39:09 Soud Radio, 0826 300 300, si vous aussi vous voulez partager cette dernière émission avec nous.
39:13 Et nous raconter ce qu'elle vous a apporté, on revient dans un très court instant.
39:17 Soud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Delevagne.
39:21 Et de retour sur Soud Radio pour la dernière partie de la dernière de C'est votre avenir.
39:25 On vous attend pour partager ce moment particulier avec nous.
39:27 Et témoigner à l'antenne 0826 300 300.
39:31 Bonjour Vanessa.
39:33 Bonjour Trina.
39:35 Bienvenue Vanessa, vous nous appelez d'où ?
39:37 Du Gers.
39:38 Très bien, donc vous, vous étiez passée deux fois dans l'émission.
39:40 Et je me souviens, il y avait plusieurs hommes qui vous tournaient autour.
39:42 Tout à fait.
39:44 C'était la séductrice.
39:46 Tout à fait.
39:48 J'ai plusieurs hommes et il y a un couple exactement.
39:50 Ah oui, c'était ça.
39:52 Oui, tout à fait.
39:54 Donc, j'ai donné réponse aux deux hommes.
39:56 Mais avec un, j'ai arrêté parce qu'il était vraiment trop, je le sentais trop, trop, trop dans les sentiments.
40:02 Et moi, j'aime bien que les sentiments soient vraiment réciproques.
40:06 Donc, j'ai préféré arrêter pour ne pas faire souffrir.
40:10 Et après, oui, effectivement, il y avait l'ostéopathe.
40:12 Donc, bon, du coup, comme dirait la dame du couple, c'est un sex-friend.
40:18 Effectivement, on se voit comme ça de temps en temps.
40:22 Et en ce qui concerne le couple, j'ai été très, très prise ce dernier temps par du théâtre.
40:28 Parce que je fais du théâtre.
40:30 Et vu que les représentations ont eu lieu, je vais être un peu plus disponible pour voir éventuellement ce que ça peut donner.
40:38 Mais je sens que monsieur est très, très jaloux de l'idée que j'ai des sex-friends.
40:44 Alors que ça ne dérange pas du tout, madame.
40:46 Mais voilà.
40:48 Creusez un petit peu, là. Expliquez-nous un peu plus en détail, peut-être pour les auditeurs qui découvriraient votre témoignage.
40:54 Eh bien, du coup, j'avais parlé justement, j'avais quelques sex-friends.
41:00 Et lui, il avait dit, mais ça va durer longtemps.
41:04 Si, soir, tu comptes t'arrêter un jour.
41:08 Je dis pas dans le média, moi, j'ai pas envie.
41:10 Elle m'avait dit, mais moi, ça me gêne pas. Il n'y a pas de souci.
41:14 Et récemment, je suis tombée sur un de leurs amis, un ami à eux, qui est venu leur faire des travaux.
41:22 Et il a discrètement dit qu'il tenterait bien quelque chose avec moi.
41:26 Et effectivement, il m'a bien dit, cet homme-là, qu'il avait fait la gueule.
41:30 Quoi, monsieur ?
41:32 Du coup, ouais, j'ai compris.
41:34 Alors, ce qu'on veut savoir, parce qu'on est un petit peu pressés par le temps, c'est ce que vous a apporté le ressenti d'Alexandre, l'émission ?
41:40 Alors, disons que, bon, là, ça m'a confirmé tout ce qu'il m'a dit par rapport à toutes ces personnes.
41:50 Mais surtout, j'avais appelé aussi par rapport à ma fille, parce qu'un jour, j'ai failli la perdre,
41:54 parce que j'ai dû passer devant un juge des affaires familiales pour violences conjugales.
41:59 Il m'avait rassurée, effectivement. Mais je vis très bien avec ma fille. Ma fille, je l'ai gardée.
42:04 Voilà. J'avais surtout besoin, quand j'ai appelé Alexandre, d'être rassurée sur mon...
42:11 Parce qu'on me dénigrait souvent sur le fait que j'étais souvent...
42:15 On me disait, oui, t'es une mauvaise maman, t'es une mauvaise maman, mais en fait, non.
42:19 Ce que ça vous a surtout apporté, c'est que ça vous a rassurée et ça vous a aidée, par conséquent, à avancer.
42:25 Énormément. Énormément. On est ravis de ça.
42:28 Ça a été... Votre connaissance à tous les deux a été un grand merci pour moi.
42:35 Et puis j'adore vos taquineries, tous les deux, qui continuent encore aujourd'hui.
42:39 J'ai adoré. Ça a mis de la lumière dans mes journées. J'ai adoré.
42:43 Mais si je peux me permettre, et je suis heureux que cette prédiction pour votre fille s'est réalisée,
42:49 par contre, votre histoire de sex-friend, j'ai rien compris.
42:52 Il va falloir exposer le sujet.
42:55 Et Vanessa est une tombeuse. C'est comme ça.
42:58 Elle fait craquer les gens. Les hommes, les femmes, tout le monde.
43:01 Ce serait intéressant de savoir un peu plus loin, mais on n'a pas le temps.
43:04 On n'a plus le temps, malheureusement.
43:05 En tout cas, vraiment, merci du fond du cœur, Vanessa, pour votre témoignage.
43:09 Et bonne continuation.
43:10 Merci à vous. Et à vous aussi pour votre futur projet.
43:16 Merci beaucoup, Vanessa. Merci et à bientôt.
43:19 Merci à vous. Au revoir.
43:21 Voilà, Alexandre. Une page se tourne.
43:24 Une page se tourne, oui, mais une autre page arrive.
43:27 Oui, bien sûr. En tout cas, merci de m'avoir accompagnée dans cette folle aventure.
43:32 Merci pour votre bienveillance, votre humilité. C'est pas fini.
43:35 Vous n'aimez pas ça, mais c'est comme ça. Votre humour et bien sûr, votre don indéniable de percevoir l'avenir.
43:40 Vous avez convaincu les plus sceptiques. C'était pas chose facile.
43:44 On n'a pas très creusé, le directeur général de Sud Radio, qui rentre en ce moment dans le studio avec des bouquets de fleurs.
43:49 Merci beaucoup. C'est vraiment très gentil. C'est très touchant. On ne s'y attendait pas.
43:54 Merci beaucoup. On peut chanter, peut-être.
43:57 Alors, Prédaïk, allez-y. Comme ça, on va pleurer.
44:00 Ce n'est qu'un au revoir, tous les deux.
44:04 Et un grand merci, surtout, parce que chanter, c'est bien, Frédéric.
44:08 Il fait beau, il fait beau. Il n'est pas question de traiter de fleurs.
44:11 Oui, tout de même.
44:14 Un grand merci à tous les deux. Alexandre, Trina, pour toutes ces années, vous avez apporté beaucoup de bonheur aux auditeurs.
44:22 Vous allez contribuer et continuer à en donner là où vous irez, bien sûr.
44:27 Les aventures seront belles et les aventures seront toujours belles aussi, évidemment, à l'écoute de Sud Radio.
44:31 On vous embrasse tous.
44:34 Merci à la direction. Merci à mes réalisateurs.
44:37 Ils sont très nombreux. Quentin, Bastien, Maxime, Benoît, Thibault, Lucille, John, Jamel.
44:43 Merci aux standards de Sud Radio, Aude et Manu. Vous êtes des vrais de vrais.
44:46 Merci aussi à Zach et Jordan. Merci à Pascal, le secrétaire général de Sud Radio.
44:51 Il sait pourquoi. C'est quelqu'un d'exceptionnel. Je le remercie beaucoup pour tout.
44:54 Et j'ai une pensée particulière, il le faut, pour Bruno Dubois, l'ancien directeur d'antenne de Sud Radio.
44:59 C'est grâce à lui que j'ai pu animer cette émission pendant cinq saisons.
45:03 Donc, Alexandre, vous êtes d'accord avec moi ?
45:06 Bien sûr.
45:07 Merci à vous, chers auditeurs.
45:11 Vraiment merci pour votre gentillesse, votre confiance, votre fidélité.
45:15 Sans vous, cette émission n'aurait jamais pu être ce qu'elle a été.
45:18 Donc, on espère vous avoir apporté autant que vous.
45:20 Vous nous avez apporté et prenez soin de vous.
45:22 Merci. Et je voulais juste rajouter, je sais que vous avez été nombreux à essayer de nous joindre.
45:26 Malheureusement, tout le monde n'a pas pu passer durant ces cinq années.
45:30 Mais il ne faut jamais désespérer. Gardez confiance et la route est devant vous.
45:35 Et plein de bonnes choses pour vous tous.
45:37 Bonne route à tous.
45:38 Bonsoir Frédéric Brindel. C'est dur.
45:40 Bonsoir. Je vous ai apporté des bonbons parce que les fleurs, ça les périssable.
45:45 Voilà, allez-y, vous ferez plaisir.
45:48 Et ça, c'est pour vous, Alexandre.
45:49 Vous avez eu des cadeaux aussi.
45:50 C'est aussi un cadeau pour vous.
45:51 Venez nous rejoindre sur la chaîne YouTube, bien sûr, pour les images.
45:54 Il y a des fleurs, il y a tout ça.
45:55 Merci.
45:56 C'est très lourd. Aidez-moi.
45:57 On vous souhaite le meilleur. Mais vous seul, Alexandre, savez ce qui va vous arriver.
46:03 On le sait déjà.
46:04 Mais je ne sais pas plus que vous tous.
46:06 Allez, le programme des Vraies Voix, puisque ça continue.
46:09 Oui, les Vraies Voix. Alors nous, nous arrivons dans un instant.
46:11 J'aurais le plaisir de présenter l'émission, bien sûr, avec Julie de Bélair.
46:14 17h30, nous avons un débat qui est en plein sur l'actualité avec la nouvelle arrivée des ministres,
46:22 et notamment de Gabriel Attal.
46:23 La question, Gabriel Attal, va-t-il dynamiser l'éducation nationale ?
46:28 17h30, vous répondez à cette question.
46:30 Et puis 18h30, nous nous intéressons à cette proposition du Rassemblement national
46:35 concernant les émeutes et donc les réparations post-émeutes.
46:40 Faut-il appliquer le principe du casseur-payeur ?
46:44 Est-ce surtout applicable ?
46:46 Nous vous posons cette question.
46:48 Bref, plein de beaux débats.
46:49 Et puis je vous pose une question. Est-ce que Trina Magdine et Alexandre Delevanne vont nous manquer ?
46:55 Vous répondez à 100% sur le compte Twitter de Sud Radio.
46:58 Oui, je vous embrasse. Vous êtes fabulées tous les deux. Gros bisous.
47:00 Merci Frédéric. Allez, à bientôt.
47:02 16h17 heure sud radio c'est votre avenir Trina Magdine

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