Jaime Lozano: la mejor opción para el Tricolor

  • l’année dernière
La presa amarillista golpea al deporte y Jaime Lozano es la mejor opción para la #SelecciónMexicana, así lo expresaron nuestros analistas.

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Transcript
00:00 Mais évidemment, il y a aussi le sujet du football, car je sais que beaucoup d'amis ne voient que ce genre de vitrine.
00:08 Mais j'aimerais partager avec toi une réflexion.
00:11 Si le Mexique n'avait pas gagné, imaginez... Je ne sais pas pourquoi il y a maintenant un plaisir pour le faillite.
00:18 Il y a beaucoup de collègues de notre équipe qui soutiennent leur journalisme en disant qu'il y a un faillite.
00:25 Je ne sais pas pourquoi ils n'aiment pas les triomphes, les réussites.
00:30 Par exemple, maintenant que je vois nos esclavistes triompher à Foucault,
00:33 les filles de l'artiste de Nadeau réussir un quart de place, je suis fier.
00:38 Et n'importe quel sportiste mexicain qui mette en haute notre flotte, nous devons le célébrer.
00:45 Et un titre dans la Coupe de l'Or, je pense que c'est pour le célébrer, avec tout ce que tu veux me dire.
00:50 Mais si le Mexique n'avait pas gagné, il y avait des collègues qui étaient prêts à continuer à dénoncer un sport qui est très populaire au Mexique.
01:01 Et je ne veux pas dire que les journalistes doivent aller à l'Angel.
01:05 Mais je crois que quand on obtient un triomphe, même si c'est de cette magnitude, et devant ces adversaires, c'est le moment de parler.
01:12 Il faut dire que c'est un triomphe important,
01:15 et malheureusement, on voit des pays comme le Panama qui ont augmenté leur capacité de football.
01:21 Je vous insiste, il ne s'agit pas de nous fêter avec la matraque à l'Angel,
01:25 mais je crois que ce sont des triomphes qu'il faut consigner et les remercier.
01:29 Et surtout, ce que faisait Jaime Lozano, j'aime le profil de Jaime Lozano.
01:34 J'aime sa série, j'aime son profil basque, j'aime comment il a réussi à en tirer le meilleur de ses joueurs,
01:41 et je ne sais pas si vous êtes d'accord avec moi, mais ce que nous avons vu de Romo, de Robelin,
01:47 n'avait pas l'air du tout pareil.
01:49 Et il est arrivé à Jaime et les a mis à jouer mieux.
01:51 Alors j'aimerais écouter votre réflexion sur ce sujet, monsieur Beraza.
01:55 Et je dirais que je crois que ce journalisme qui s'agit de toujours faire de la pierre le feu,
02:02 me semble quelque chose qui n'a pas de sens.
02:05 Je ne veux pas dire que la sélection mexicaine soit l'une des premières quatre au monde,
02:09 car elle ne nous donne pas la capacité pour cela,
02:13 mais je crois que ce serait un projet intéressant.
02:16 Nous voyons beaucoup de rénovation, nous voyons plus de jeunes, nous voyons un jeune technique.
02:21 J'apporterais pour cela, mais comme vous ne me demanderez pas mon opinion,
02:24 je l'ai déjà dit ici, et si vous aimez bien et si non, il reste à y aller.
02:28 Merci.
02:29 Merci.
02:30 Merci.
02:31 Bon, je vous écoute, monsieur Beraza.
02:37 Je dirais que j'aimerais que la Fédération ait un meilleur manquement dans tout le sens,
02:43 je l'ai dit le lundi.
02:44 Je ne comprends pas pourquoi Ivar Cisnéga est allé mettre son vestiaire de 11 balles avec ce qu'a fait Jaime Lozano.
02:50 Et je n'aimerais pas que la Fédération ait manqué ce sujet,
02:55 parce que si effectivement, il ne dépendait pas du match de ce lundi,
03:01 ne le dites pas,
03:02 si il y avait eu un problème, ne le dites pas, ne le dites pas.
03:04 Ou si tu vas sortir et dire, dis, c'est déjà le technique de la sélection,
03:07 que ce soit le lundi ou le dimanche.
03:08 Alors je crois que c'est le premier erreur de Rafal de Ivar Cisnéga dans la Fédération mexicaine de football,
03:12 car il y a des erreurs qui tombent.
03:14 Espérons, et je l'ai déjà dit, mon cher Pablo, que Lozano reste.
03:19 Avant le mondial, je disais non, je pense que c'est trop tôt,
03:22 car je pensais qu'ils pouvaient tuer Jaime Lozano avec un bateau
03:25 qui, qui sait, aurait pu être encore bien droité pour la Coupe du Monde.
03:29 Aujourd'hui, je crois que c'est la meilleure option,
03:32 pas parce qu'il est le meilleur technique,
03:33 il ne s'agit pas de faire le meilleur technique pour diriger une sélection.
03:36 Comme dans une sélection, il faut toujours avoir les meilleurs.
03:39 Parfois, il faut un joueur qui peut apporter quelque chose de différent à d'autres.
03:42 En leadership, il peut être un peu tronc, comme on dit dans le long,
03:45 mais qui peut apporter quelque chose à la banque ou même au terrain.
03:48 Et Lozano, je crois qu'il le fait bien.
03:50 Mais je crois aussi que c'est clair que les joueurs ne se sont pas congéniés avec le technique précédent.
03:55 Parce que Jaime Lozano n'est pas Pep Guardiola.
03:57 Il ne peut pas que ces joueurs puissent jouer comme ils jouent
04:00 et que ce qui se passait avant était un véritable désastre.
04:02 Donc, ça parle de nouveau de ce que le footballeur mexicain aime tomber des techniques.
04:06 C'est très facile. Il y a des joueurs très consacrés dans la sélection
04:09 qui aiment tirer des techniques si quelque chose ne les plaît pas.
04:12 En ce qui concerne Monsieur Beraza, je crois que c'est bien de jouer avec un technique national.
04:21 Je le dirais parce qu'il y a une façon plus facile d'entendre la idiosyncrasie du joueur.
04:26 Ils ont vécu, au moins Lozano l'a vécu, depuis qu'il est sorti de Pumas,
04:32 puis comme sélectionné, puis il est passé par Tigres.
04:35 En fin, c'est un homme avec un bagage footballiste.
04:37 Je crois qu'il comprend très bien tout ce qui se passe au football mexicain,
04:42 ce qui est très particulier, ce que tu as mentionné.
04:45 Je crois que cela lui donne une capacité de gestion plus grande que ceux qui ne le comprennent pas.
04:49 Bien sûr, ça peut se passer. Mais dans le cas de Kestava,
04:51 c'est un techniqueur qui sait parfaitement de quoi il s'agit au football mexicain.
04:54 Même étant étranger, il connaît cette sensibilité.
04:57 Il a joué ici depuis longtemps. Il a été un joueur succèsfait au Mexique.
05:00 Il a dirigé au Mexique de manière succèsfaite.
05:03 Il a gagné ces titres, même si quelqu'un veut lui mettre un astérisque.
05:06 Il est un demi-champion du football mexicain.
05:08 Je crois que cela s'est terminé en s'y trouvant.
05:11 Je crois qu'il ne faut pas exagérer, car nous avons très peu de mémoire.
05:16 Je crois que nous avons le football que nous méritons,
05:19 précisément grâce à cette manque de mémoire.
05:21 Je ne vais pas parler des médias de communication.
05:24 Ce n'est pas mon travail de critiquer les médias ou non.
05:26 Mais je crois que l'ambiance est là.
05:29 Il semble qu'il a oublié ce qui s'est passé au monde.
05:32 Il semble qu'il a oublié ce qui s'est passé il y a quelques semaines contre les États-Unis.
05:35 Et pour gagner une Coupe du Monde, où les États-Unis ont pris leur équipe B,
05:38 le Canada a pris une équipe alternative, et il a gagné la Coupe du Monde.
05:41 Ce n'est pas de ne pas respecter le Panama, il faut juste mettre les choses où elles sont.
05:44 Si l'on cherche le Panama dans son histoire,
05:46 le Panama n'a pas grand-chose à présumer au football.
05:49 Donc, gagner la Coupe du Monde au Panama, en jouant à la maison,
05:52 je ne pense pas que ce soit pour... ni aller à l'Angel,
05:55 je ne le ferais pas, qui le ferait,
05:57 ni pour mettre ce triomphe comme le réveil du football mexicain,
06:02 le retour du football mexicain.
06:03 Il y a beaucoup à améliorer.
06:05 Je suis d'accord avec toi, mais...
06:07 Bien sûr, mais on ne peut pas dire que ce n'est pas quelque chose qui vaut la peine de triompher.
06:12 Non, non, le tournoi...
06:13 Les arbitrages, quand tu as...
06:15 C'est bien qu'il soit gagné.
06:16 Ils ne te marquent pas les pénales, quand...
06:18 Enfin, maintenant, la finale au SoFi Stadium a eu une brillante importance.

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