"Ganamos Copa Oro y se nos olvidan cosas":Cristopher Rivera

  • l’année dernière
Pese a que se ganó la #CopaOro, la #SelecciónMexicana tiene mucho que trabajar, aquí el análisis.

#ImagenDeportiva
Transcript
00:00 Je me sentais comme si Henry Martin avait pu sortir un peu avant le match.
00:05 Ce sont simplement des appréciations.
00:07 Je le voyais déjà malade depuis un moment,
00:09 sans la capacité de se démarquer et de se rendre confortable dans l'endroit rival.
00:17 Le fait de jouer contre Jimmy Luzano, c'est bien sûr un bon travail.
00:20 C'est le titre, il n'y a rien à dire.
00:23 Un titre est un titre.
00:25 Et la sélection mexicaine a fait ses mérites.
00:28 Je pense simplement que ce titre est capable de faire le maquillage
00:37 d'un fonctionnement qui n'est pas encore le meilleur de la sélection nationale.
00:42 Il a réussi à la sélection,
00:44 au-delà de la situation avec Kakaf, ou de la situation avec Panama,
00:47 ou de n'importe quel autre problème.
00:49 Je pense que cette sélection a un potentiel,
00:52 ou peut-être encore plus potentiel en termes de football.
00:55 Je suis presque convaincu de ça.
00:58 Ce n'est pas de la nuit à la matinée.
00:59 Bien sûr que Jaime Luzano a fait un bon travail
01:02 et a servi ce tournoi,
01:04 en débutant dans la sélection majeure,
01:07 pour voir ses pièces, comme n'importe quel autre entraîneur de ce planète.
01:10 C'est la réalité.
01:12 Mais il y a une ligne très fine,
01:14 et je ne veux pas dire peur,
01:16 c'est ce...
01:19 ce danger que courre l'environnement tricolore de manière constante
01:25 de dire que nous avons gagné la Coupe d'Or
01:28 et que nous oublions beaucoup de choses.
01:31 Comment est-ce que cette sélection est capable
01:36 de répondre en termes de football,
01:39 mais il faut simplement donner plus d'air,
01:42 c'est en processus, etc.
01:44 C'est-à-dire que cette sélection, avec ce titre de Coupe d'Or,
01:47 peut être maquillée de nombreux défauts.
01:51 Ceux de qui ce n'est pas le coupable, évidemment,
01:52 comme le sait Jaime Lozano à 100%, aujourd'hui c'est le technique,
01:55 mais cela mène à des problèmes très sérieux en termes de sport.
02:00 Je ne voyais pas la sélection la plus spectaculaire de la Coupe d'Or,
02:04 je ne l'attendais pas évidemment,
02:06 mais je crois que cette sélection a un marge de manoeuvre pour,
02:11 comme le disait Hugo, les fans qui sont très contents aujourd'hui,
02:15 mais qui sont vraiment contents,
02:16 et qui le seront encore plus dans le futur.
02:19 Je ne sais pas si dans une autre Coupe d'Or,
02:21 il y aura un match de la Coupe d'Or,
02:22 mais cette sélection a un marge de manoeuvre pour moi,
02:25 pour avancer dans un processus d'adaptation.
02:27 Pour quelques instants,
02:28 l'un des centrales de Panama a été expulsé,
02:30 pendant des secondes.
02:31 Il m'a dit que j'avais confondu,
02:33 c'était l'autre qui était à des kilomètres de distance,
02:35 il m'a dit que l'amarilla était pour l'autre.
02:37 Exactement.
02:38 C'était une joue que je n'avais pas faite, évidemment.
02:41 Et que, précédemment, Cummings a commis une très claire amarilla
02:44 au milieu du terrain,
02:45 et l'arbitre s'est fait un mort,
02:47 il a fait des bêtises à Edson Alvarez au milieu du terrain,
02:49 il a laissé se suivre la joue, c'est-à-dire,
02:51 il a dit "je vais compenser",
02:52 mais dans la compétition,
02:53 ils ne le touchent pas,
02:54 ils ne le saignent pas à Rubén Limpi.
02:56 Au niveau des circonstances,
02:57 mais quelqu'un doit être remis en premier.
03:00 Et,
03:01 non, ne me malinterprètez pas,
03:03 au Mexique, on gagne avec toutes les lois.
03:06 Continue avec tes élocutions.
03:08 Moi, pour moi,
03:10 pour commencer, ce que j'applaudis à Jimmy Lozano,
03:12 c'est que, malgré les absences de blessures,
03:15 de suspension, etc.,
03:17 il a pu faire un 11 qui l'a convaincu,
03:20 et, si tu te fiches, il n'y a pas eu de changements,
03:22 sauf le sujet d'Edson Alvarez,
03:23 quand il a dû être remis en premier par blessure.
03:25 Au milieu du terrain, hein?
03:26 Au milieu du terrain,
03:27 la columne vertébrale de l'équipe
03:28 a été pratiquement la même
03:30 dans toute la Coupe du Monde.
03:31 Je pense que c'est très positif.
03:32 Jimmy a trouvé l'équipe,
03:34 et je vais te dire,
03:34 le type qui m'a le plus convaincu de cette Coupe du Monde,
03:36 en retirant les moments difficiles de
03:39 le petit Sánchez,
03:40 qui me semble être appelé à être un grand footballeur
03:43 dans le national.
03:45 Mais Orbelin Pineda, je l'ai adoré.
03:47 Et je vais te dire quelque chose de très important,
03:49 comment le techniqueur a le sentiment
03:51 quand un footballeur est bien sur le terrain.
03:54 Le pass pour Santi Jiménez
03:56 vient précisément d'Orbelin Pineda,
03:58 le type le plus clair du terrain du jeu.
04:01 Et ils avaient suggéré, à un moment,
04:04 je l'écoutais sur la télé,
04:06 et la volpe dit,
04:07 "le sujet est que si tu veux mettre Diego Lainez,
04:09 il devait être Orbelin."
04:11 Et là, Jimmy Lozano,
04:12 il me semble qu'il a cette lecture,
04:13 et il voit que le footballeur a une excellente performance,
04:16 il a eu un grand tournoi,
04:17 et il était le type le plus incisif,
04:19 qui n'avait pas le droit et la vision
04:22 pour terminer les jouées,
04:23 mais le type le plus clair du match
04:25 était Orbelin Pineda,
04:26 et je crois qu'il l'a fait au cours de ce tournoi.
04:28 Je pense que ce sont de magnifiques nouvelles
04:31 que nous voyons Orbelin,
04:33 des moments et passages fantastiques en Québec,
04:36 qui lui ont permis d'émigrer à Chivas,
04:38 qui lui ont appelé l'attention
04:40 pour émigrer au football européen,
04:42 où il n'a pas eu l'opportunité,
04:44 au Celta, sous la direction technique
04:46 de Caudet,
04:47 et Matias Almeida, qui le connaît,
04:49 lui donne l'opportunité,
04:51 et je pense que c'est ce qui lui a besoin de confiance.
04:53 C'est un type avec un grand talent,
04:55 je crois, qui peut être,
04:56 je ne vais pas dire le leader,
04:57 mais au moins,
04:58 le moteur qu'a besoin le Média,
05:00 pour créer et distribuer le match,
05:02 je pense que c'est Orbelin Pineda.
05:04 Je me reste avec ça,
05:05 avec les grands moments de Johan Vázquez,
05:07 combien de fois il a été immunisé et séparé
05:09 parce qu'il n'a pas aimé Gérardo Martino,
05:11 on ne sait pas pourquoi,
05:13 mais on savait que à Tokyo,
05:14 parce que tu l'as vu de près,
05:16 à Tokyo, c'était César Montes et Johan Vázquez,
05:19 inamovibles en défense centrale.
05:21 Et je crois qu'ils ont eu un grand comportement
05:23 dans ce tournoi olympique.
05:24 Je crois que si tu donnes à cette couple de centrales
05:27 la confiance,
05:28 aujourd'hui, Jorge Sánchez, encore une fois,
05:30 bien en haut,
05:31 mais à la défensive,
05:32 on sait qu'il a ses défauts.
05:33 Il y a un coup de tête du Panaméen,
05:35 à la minute 60,
05:36 qui arrive seul, sans marque,
05:38 comme Jorge s'habitue de se déorienter
05:40 et de perdre, de ne pas sentir la marque,
05:42 que si le Panaméen avait bien le tête,
05:44 on parlerait d'autre chose.
05:45 Et en contrepartie, avant,
05:46 dans la première partie,
05:47 une jouée de crack,
05:48 où il fait un auto-pass,
05:49 où, par là-bas,
05:50 il se réclame la peine,
05:51 la jouée est polémique,
05:52 mais la manière dont il élabore
05:54 cette jouée de danger,
05:55 Jorge Sánchez,
05:56 il te montre qu'il est un type
05:58 qui a vraiment ses capacités,
05:59 mais à l'heure de se récuperer,
06:01 il se met dans beaucoup de problèmes.
06:03 Et la cérése ou la guinda dans le pain,
06:05 comme disent les Argentiniens,
06:07 le moment,
06:08 quand tu es appelé à être
06:10 l'héros d'un match,
06:12 il se lève Santi Jiménez,
06:13 et je te disais qu'il y avait une jouée
06:15 avant où Henry pique,
06:16 et tu dis que les jambes ne le donnent plus,
06:18 il entre,
06:19 et de main en main avec le central panaméen,
06:21 il contrôle, il se tourne,
06:22 il l'emporte pour la puissance,
06:24 il définit,
06:25 de façon fortunée,
06:26 il va au but,
06:27 mais je pense que quand tu es appelé
06:28 à être l'héros,
06:29 même si tu t'enlèves,
06:30 et Santi a pris son opportunité,
06:32 combien de fois on l'avait...
06:34 bon, moi non,
06:35 mais beaucoup de gens l'avaient coupé
06:36 de dire que c'est dans les moments clés,
06:38 que Santi ne s'apparaît pas,
06:39 aujourd'hui c'était un des moments,
06:41 et le monsieur a levé la main,
06:42 Henry Martin a eu une bonne action,
06:43 il a été annulé par un but au premier temps,
06:45 mais parfois il faut chercher ces variantes,
06:47 et il ne s'est pas caché de Santi Jiménez,
06:49 le équipe panaméenne est très mal arrêtée,
06:51 mais je, en plusieurs occasions,
06:53 j'ai vu les avant-gardes mexicains,
06:55 qui quand ils sont de main en main avec un central,
06:57 ne savent pas quoi faire,
06:58 et ce type qui est un petit tank,
07:00 il a vraiment senti la marque,
07:01 il s'est tourné,
07:02 et avec la puissance,
07:03 il s'emporte au central panaméen,
07:05 et je pense que c'est...
07:07 je te dis,
07:08 mettre le moineau au cadeau,
07:09 parce que c'était juste le résultat,
07:11 je pensais,
07:12 jusqu'à un certain point,
07:13 dangereux qu'ils se fassent à temps extra,
07:15 parce que l'équipe mexicaine est déjà fatiguée,
07:18 malgré le fait que le Panama
07:19 venait avec la charge des temps extras
07:22 contre les Etats-Unis,
07:24 mais je pense que Jimmy
07:25 a su résoudre le problème,
07:27 je le répète,
07:28 je ne sais pas si dans le projet,
07:29 ou si ils ont demandé un projet à Jaime Lozano,
07:31 si il existe dans les mains
07:32 de ceux qui dirigent le football mexicain,
07:34 ou si c'est déjà le projet Lozano,
07:36 mais je pense que,
07:37 en regardant ce que font nos voisins,
07:39 Christopher,
07:40 tant les Etats-Unis,
07:41 que le Canada,
07:42 et même le Panama,
07:43 qui répètent la formule avec Christensen,
07:45 c'est le nom de...
07:46 c'est Christensen, n'est-ce pas?
07:48 Le Panama, le Canada et les Etats-Unis,
07:50 qui sont des hommes de bas profil,
07:52 comme entraîneurs,
07:53 qui déclenchent la structure du football
07:55 américain et canadien,
07:57 et qui leur donnent la responsabilité,
07:58 parce qu'ils savent à quoi veut jouer l'équipe.
08:00 Je crois que si tu déclenches à Jaime Lozano,
08:03 il a déjà son corps technique,
08:04 et tu lui dis que c'est ce que nous voulons pour l'année 2030,
08:08 ce qui est une folle idée,
08:09 ce qu'ils ont prévu,
08:10 je pense que Jaime Lozano est le bon candidat,
08:12 parce qu'encore,
08:13 dans l'année précédente,
08:15 il voulait être partie du corps technique de Gerardo Martino.
08:18 On ne sait pas ce qui s'est passé,
08:20 mais il s'est déjà incorporé au monde.
08:22 Et la tirade était que,
08:23 après les Jeux Olympiques,
08:24 il allait s'incorporer avec Gerardo Martino
08:26 comme partie du corps technique.
08:28 Je ne me souviens pas bien ce qui s'est passé,
08:30 mais c'était le type que j'avais considéré.
08:32 Je suis d'accord avec l'idée
08:34 qu'il n'y a pas besoin de chercher absolument rien.
08:36 Tu as la solution à la maison.
08:38 Les joueurs le respectent,
08:39 ils l'apprécient.
08:40 Et cette base de Tokyo 2020
08:43 est la même que nous représentent en Qatar,
08:46 qui en ont eu plusieurs.
08:47 D'autres ne sont pas des titulaires,
08:48 par circonstances étranges,
08:50 mais qui savent en faire le plus de profit possible.
08:53 Même Antuna,
08:54 qui est un peu rejetée par les gens,
08:57 mais qui est Alvarado, Antuna,
08:59 qui peut même empêcher l'Allianz.
09:01 Je suis sûr que Jimmy Lozano
09:03 peut faire un bon travail
09:04 si ils lui laissent le temps nécessaire.
09:06 Oui, je suis d'accord.
09:07 Je crois qu'il n'y a pas besoin de se déplacer.

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