• l’année dernière
Transcription
00:00 C'était bien plus tôt que son temps. Le défilé, le format, les vêtements...
00:04 La Margiela a été la dernière révolution qu'on a eue en mode.
00:10 Ça n'a jamais essayé de nous plaire, mais c'était agréable à cause de ça.
00:19 Il est dans les top 10.
00:22 De retour à la première place.
00:26 Il est dans les top 10. De retour à la fin du 19e siècle.
00:31 Est-ce que tu as tout dit que tu voulais dire en mode ?
00:37 Non.
00:42 Oui, c'était très smart de ne pas vouloir être vu.
00:49 Ça a évoqué un énorme mystère.
00:52 Au début, je me suis dit qu'il n'allait pas continuer.
00:55 À un moment, il va dire "Ok, je suis là". Et il n'a jamais fait ça.
00:59 Je n'aime pas l'idée d'être une célèbre.
01:02 L'anonymat est très important pour moi.
01:05 Et ça me balance. Je suis comme tout le monde.
01:09 C'est comme quand Andy Warhol est sorti.
01:12 Il a brisé le monde de l'art de toutes les manières.
01:15 Je savais que parfois, ce que tu n'aimes pas vraiment peut devenir très excitant.
01:24 Je savais que j'avais un goût.
01:26 Mais je ne savais pas que ça allait devenir un style.
01:31 Certaines des vêtements ont été fabriqués.
01:38 Mais le reste du rôle de la fabrique est toujours attaché aux vêtements.
01:44 Je veux dire...
01:46 C'est comme un mouvement social.
01:49 On nous a fait un favori.
01:52 Il nous a fait penser plus.
01:54 Tu ne peux pas dire quelque chose de mieux que "Waouh".
01:58 Je vois sa déconstruction comme un étude de ce qui fait un vêtement.
02:07 Tu ne peux dire que c'est brillant.
02:10 C'est beaucoup plus profond que les vêtements.
02:18 Il n'y a plus de saisons.
02:21 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
02:24 Les saisons ne sont plus là.
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