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Transcription
00:00 Votre père, notamment dans une interview à Paris Match en juin 2021, lui parlait de sa campagne, la campagne japonaise Hiromi.
00:09 — Eh ouais. Eh ouais. Mais écoutez, ça, ça fait partie de la plainte. Et il y a des enregistrements, beaucoup, qui vont démontrer le contraire.
00:24 — C'est-à-dire ? — Ah bah vous allez voir. Enfin, vous allez voir peut-être pas. J'en sais rien.
00:28 Parce que ça, c'est les plaintes qui sont aujourd'hui au parquet. Donc je pense pas que vous en preniez connaissance un jour. Je sais pas trop.
00:38 — Mais pour vous, il n'y avait pas, il n'y a jamais eu de relation amoureuse entre les deux ? — Non.
00:46 — Il y a ces deux plaintes. La première plainte, vous le disiez, a été déposée par l'avocat de votre père. Ça s'est fait à l'initiative de votre père ?
00:55 — Ça, je peux pas vous répondre. Écoutez, là, vous posez beaucoup de questions. Mais en tout cas, ça s'est fait...
01:02 Ça s'est fait, comment dire, après concertation de tout le monde. — Parce que vous expliquez dans le communiqué que vous avez publié
01:11 que votre père, même si la situation ne lui allait pas, l'a accepté pendant un temps. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus là-dessus
01:20 sur la position de votre père par rapport à elle, par rapport à cette situation, par rapport à ce qui se passait aussi à Douchy ?
01:25 — Ça, je l'explique très bien dans la dépêche, si vous voulez. J'ai dit que j'ai respecté jusqu'à un certain point son désir de ne pas être soigné,
01:35 en tout cas pris en charge par une assistance médicalisée inconnue, je dirais. Donc c'était... Voilà, c'était un petit peu...
01:43 Ce que j'explique, je dis que c'est un peu le prix qu'il avait choisi de payer. Et puis un jour, il s'est rendu compte que voilà, que ça n'allait plus.
01:53 — Ça a été récemment, ça, fin juin ? — Oui. Oui, oui.

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