Nicolas (Koh-Lanta) cash sur son alliance : "J’ai presque douté de Frédéric…"
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Nicolas (Koh-Lanta) cash sur son alliance : "J’ai presque douté de Frédéric…" Bientôt, c’est la finale de Koh-Lanta, le Feu sacré ! C’est aussi la dernière ligne droite pour Nicolas, un Corse de 43 ans qui a gagné la course d’orientation en un temps record. Pour Télé-Loisirs, Nicolas parle de son alliance avec Frédéric, Gilles, et Quentin, son amitié avec Julie, et sa vision des stratégies dans le jeu d’aventure de TF1. Nicolas : En une nuit et une journée, j’ai trouvé que ça fonctionnait bien. Avec Quentin, Gilles, et Frédéric, nos conversations étaient fluides – nous avons ri, parlé sérieusement, et discuté de notre travail et famille. Nous étions d’accord sur beaucoup de choses. Nous avons parié que nous pourrions faire une alliance très tôt dans l’aventure. C’était risqué, surtout le deuxième jour, mais nous avons discuté de l’alliance autour de la source d’eau potable et nous nous sommes vite mis d’accord. Dans Koh-Lanta, rien n’est sûr, et je suis fier que notre alliance ait tenu malgré les tentations ! C’est un moment historique. C’était un dilemme pour moi ! Je n’ai pas pu choisir Julie quand j’étais capitaine des Jaunes. Elle était l’une de mes préférées, mais j’avais choisi Clémence et Laura. Quand nous avons été remixés dans la deuxième équipe des Jaunes, Julie et moi avons tout de suite bien travaillé ensemble. Nous avons eu des conversations honnêtes, et j’ai senti que nous étions sur la même longueur d’onde. Je ne pensais pas que Julie était aussi stratégique que Clémence. Nous nous sommes rapprochés, mais j’ai fait la promesse de respecter l’alliance. Et pourtant, vous avez parlé du « faux secret » du collier d’immunité de Julie, même si elle vous avait demandé de ne rien dire… Je pense qu’elle savait que je le dirais aux garçons, et elle ne m’en a pas voulu. Je suis resté fidèle à l’alliance. Si je commençais à cacher des choses aux garçons, ce serait une trahison morale ! Je me devais de le dire à mes alliés. Finalement, elle était contente que je le dise… Et moi aussi, j’étais heureux pour elle ! On le voit dans l’épisode… Elle m’a libéré en me le disant, car j’aurais suivi l’alliance historique et j’aurais laissé éliminer Julie. Les garçons voulaient garder Tania, mais j’aurais respecté mon engagement envers l’alliance, malgré mon amitié forte avec Julie. Je ne lui en veux pas, et elle m’a enlevé un dilemme mental et moral : je n’avais plus à trahir l’alliance. Lorsqu’on lui demande pourquoi il n’a pas essayé d’inclure Julie dans l’alliance dès le départ de Gilles, Nicolas explique que cela aurait été plus compliqué que ça. Il n’était pas le seul à décider, car il devait également gérer Frédéric et Quentin, qui n’avaient pas beaucoup d’affinité
Nicolas (Koh-Lanta) cash sur son alliance : "J’ai presque douté de Frédéric…" Bientôt, c’est la finale de Koh-Lanta, le Feu sacré ! C’est aussi la dernière ligne droite pour Nicolas, un Corse de 43 ans qui a gagné la course d’orientation en un temps record. Pour Télé-Loisirs, Nicolas parle de son alliance avec Frédéric, Gilles, et Quentin, son amitié avec Julie, et sa vision des stratégies dans le jeu d’aventure de TF1. Nicolas : En une nuit et une journée, j’ai trouvé que ça fonctionnait bien. Avec Quentin, Gilles, et Frédéric, nos conversations étaient fluides – nous avons ri, parlé sérieusement, et discuté de notre travail et famille. Nous étions d’accord sur beaucoup de choses. Nous avons parié que nous pourrions faire une alliance très tôt dans l’aventure. C’était risqué, surtout le deuxième jour, mais nous avons discuté de l’alliance autour de la source d’eau potable et nous nous sommes vite mis d’accord. Dans Koh-Lanta, rien n’est sûr, et je suis fier que notre alliance ait tenu malgré les tentations ! C’est un moment historique. C’était un dilemme pour moi ! Je n’ai pas pu choisir Julie quand j’étais capitaine des Jaunes. Elle était l’une de mes préférées, mais j’avais choisi Clémence et Laura. Quand nous avons été remixés dans la deuxième équipe des Jaunes, Julie et moi avons tout de suite bien travaillé ensemble. Nous avons eu des conversations honnêtes, et j’ai senti que nous étions sur la même longueur d’onde. Je ne pensais pas que Julie était aussi stratégique que Clémence. Nous nous sommes rapprochés, mais j’ai fait la promesse de respecter l’alliance. Et pourtant, vous avez parlé du « faux secret » du collier d’immunité de Julie, même si elle vous avait demandé de ne rien dire… Je pense qu’elle savait que je le dirais aux garçons, et elle ne m’en a pas voulu. Je suis resté fidèle à l’alliance. Si je commençais à cacher des choses aux garçons, ce serait une trahison morale ! Je me devais de le dire à mes alliés. Finalement, elle était contente que je le dise… Et moi aussi, j’étais heureux pour elle ! On le voit dans l’épisode… Elle m’a libéré en me le disant, car j’aurais suivi l’alliance historique et j’aurais laissé éliminer Julie. Les garçons voulaient garder Tania, mais j’aurais respecté mon engagement envers l’alliance, malgré mon amitié forte avec Julie. Je ne lui en veux pas, et elle m’a enlevé un dilemme mental et moral : je n’avais plus à trahir l’alliance. Lorsqu’on lui demande pourquoi il n’a pas essayé d’inclure Julie dans l’alliance dès le départ de Gilles, Nicolas explique que cela aurait été plus compliqué que ça. Il n’était pas le seul à décider, car il devait également gérer Frédéric et Quentin, qui n’avaient pas beaucoup d’affinité