• l’année dernière
Transcription
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00:24 Pour nous, c'était un jeu extraordinaire,
00:26 en termes de journalisme,
00:28 parce que nous avions commencé à faire des bêtises.
00:30 Ce qu'il veut refléter dans ses indications,
00:32 c'est ce qu'il voit sur un tapis.
00:34 Ce qu'il veut voir, c'est si il est vraiment capable
00:37 de moquer la force policière.
00:38 Il n'y avait pas de chaîne de télévision
00:39 qui ne tenait pas un programme de succès,
00:41 il y avait une véritable convulsion.
00:42 Le seul qui définit l'alarme sociale,
00:44 ce qui provoque l'alarme sociale,
00:45 c'est la séquence des coupes.
00:47 Ce type, comme nous le laissons,
00:49 il arrive le roi des coupes.
00:51 Il tuait de nuit,
00:53 il tuait du jour,
00:54 on ne savait pas quand,
00:56 ni où.
00:57 Il sortait, disons, à la casse.
01:00 Il allait tuer.
01:02 Un tir en argande,
01:05 il a réapparu.
01:06 Tout le monde se pose la même question.
01:08 Cet crime est l'œuvre de l'assassin de la barrage.
01:10 La victime est un minimum immobilier
01:14 de l'escénario du crime.
01:15 C'est l'éternel oublié.
01:16 J'avais trois coups.
01:20 Et à mon fils,
01:21 il a été tiré à la tête.
01:23 Il y avait un énorme charc de sang.
01:28 C'était très cruel
01:30 qu'il ait fait ça devant moi.
01:32 L'intérêt de la ballistique
01:40 c'est de trouver un arme.
01:42 L'intérêt de l'investisseur
01:44 c'est de trouver un auteur.
01:48 Et l'intérêt des médias
01:50 c'est de leur donner de l'advertissement
01:52 et de faire quelque chose de populaire.
01:54 Le crime est l'œuvre de l'assassin de la barrage.
01:58 Le crime est l'œuvre de l'assassin de la barrage.
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