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ZOOM EXTRA : Sur les plans du social, de la politique, du leadership et des valeurs : Comment faire face aux multiples crises auxquelles le pays est confronté ?
C’est le thème de l’émission Zoom Extra cet après-midi. Michael Jean Louis reçoit l’observateur Raj Ramlugun, le juriste Kris Valaydon, ancien cadre des Nations unies, ainsi que le juriste et observateur Dany Varaden.
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00:00:00 24 heures
00:00:03 Zoom Extra
00:00:16 Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Zoom Extra.
00:00:20 Je vous commence l'émission, excusez-moi pour faire appel à Shakespeare
00:00:24 qui fait en même temps dire une affaire pourrie au royaume du Danemark
00:00:28 Dans la République de Maurice, il y a un problème, une malaise, un sentiment bizarre
00:00:32 qui est parfois éclaté par un scandale, une crise constitutionnelle, institutionnelle
00:00:36 une caisse nous trouvait avec un blocage ici, une mise là-bas, corruption
00:00:41 à tel point que ce scandale n'éplie que la population
00:00:45 qui est aussi parfois, nous disons, capable de porter des responsabilités
00:00:49 dans tout ce qui est arrivé. Alors qu'il est social, institutionnel
00:00:53 qu'il est politique, qu'il est leadership, ou alors qu'il est valéant
00:00:57 qu'il est social, qu'il est valéant, comment nous faire pour nous affronter
00:01:01 sa bonne crise, multiple crise auquel le pays est confronté
00:01:05 euh, c'est la question qui nous perdent aujourd'hui avec nos trois invités,
00:01:09 trois observateurs, ancien syndicaliste, Chris en cinq-quatre des Nations Unies
00:01:15 et juriste, et juriste. Également, messieurs, bon après-midi, merci de
00:01:21 nous l'invitation. Et donc, vous rappelez qui euh, vous êtes capable
00:01:26 de participer aussi, vous tenez votre contribution à apporter, téléphone-nous
00:01:29 là au deux cent treize sept sept sept sept, deux cent treize sept sept sept sept,
00:01:32 à partir de dix-huit heures, le stand-up ouvert, et aussi moi invite-vous
00:01:36 tous, suive-nous, là on nous parle Facebook, Top FM, euh, Mauritius,
00:01:40 Côte-l'Août aussi, ou Côte-l'Avril, laissez une question ou laissez-nous
00:01:44 un commentaire, donc peut-être euh, Shakespeare dans l'impeffort, mais est-ce
00:01:47 qu'il y a vraiment un sentiment bizarre dans, dans le pays, est-ce qu'il nous
00:01:51 sentit qu'il y a une genre de malaise qui des fois est assez petit ou des fois
00:01:55 est assez très perceptible euh, dans le pays, pour commencer avec vous,
00:02:00 Radjom Lagane. Ouais, mais il y a un peu comme on dirait nous quand
00:02:03 apprends des mots pour Shakespeare, on go it's good been the eyes of the
00:02:06 beholder. Mais seulement, nous comptons du pays et nous comptons trouver une
00:02:13 qui-te-seuse meilleure, parce que tout à fait nous cause l'évolution,
00:02:16 l'évolution veut dire, nous allons tout le temps vers ce qui est meilleur,
00:02:19 dans la dialétique, c'est ça qui nous a causé. Mais nous nous sommes
00:02:22 disfonctionnement et des cadences. Maintenant, des cadences, nous nous
00:02:26 sommes assités dans qui les domaines et qui est-ce qui population, lui, euh,
00:02:30 quand il prend son bonne décision ou soit quand il évalue une décision qu'il
00:02:33 soit bonne dirigeant prend, il met-y un peu d'aspectif. Par exemple, si moi
00:02:36 me vous dirais, OK, mon l'opinion c'est qu'il y a la base de ma
00:02:39 dysfonctionnement et de ma décadence, il d'abord vient de nos bonnes valeurs
00:02:43 qui nous nous rabassaient souvent, nous ressassaient et ça m'a une valeur là
00:02:47 si l'IP n'a aucune importance dans la population à part pour les discours,
00:02:50 qu'il y a une valeur d'intégrité, d'honnêteté, qu'il y a une rigueur de
00:02:53 discipline, etc. Mais là, quand on peut faire de bon progrès, c'est quand on
00:02:58 sait qu'on peut gagner matériellement et pas qu'à partir de "the means"
00:03:02 comme on dit en anglais, ou plus qu'à partir de "the ends" et de "the ends"
00:03:06 qui sont les dernières choses qu'on peut faire, c'est quand on sait qu'il y a
00:03:08 des choses qu'il faut trouver, il y a des choses qu'il faut faire, il n'y a pas
00:03:10 qu'à faire, il ne faut pas s'intéresser à toutes les choses qui sont là-dessus,
00:03:12 comment on peut gagner, etc. Et voilà, alors moi je pense que vraiment,
00:03:15 depuis des années, ça peut continuer au niveau de la leadership, au niveau
00:03:19 de l'institution, au niveau de la moralité publique, nous ne sommes pas capables
00:03:24 d'y aller, qui nous peut descendre, c'est un descendre aux enfers.
00:03:28 Moi, je ne suis pas pour mettre en ambiguïté là.
00:03:30 Chris, voilà, donc, je trouvais qu'il y a... enfin,
00:03:33 où pensez-vous que le temps qu'il y a, vous avez toujours écrit à l'eau sauvage
00:03:36 ce sujet-là, dans l'opinion qui est publiée dans la presse écrite ?
00:03:41 Oui, moi, je ne suis pas un ciseau, je suis un gardien de théorie, mais c'est moi
00:03:45 qui me trouve dans d'autres pays, nous prévions une période d'échéance politique
00:03:50 qui ne peut pas commencer hier, ni en 2014, ni en 2010, mais il a commencé bien avant.
00:03:57 Quand on place l'histoire à Boris, quand on connaît une grande élite avec,
00:04:01 on va dire ça, des hôtes, curés, hantiles, créations de partis de travail, tout ça là,
00:04:06 elle est venue même jusqu'à, vous pensez, jusqu'à 1900, la première élection générale
00:04:12 suffragine USL, qui finit la inauguration communaliste, la première élection...
00:04:18 - 50 quoi ? - 50, 59, mais c'est ce qui l'amène communaliste,
00:04:26 ce fait, pour bien des raisons, parce qu'avant, tu l'amènes curé, tout ça là,
00:04:30 ça tient une période de développement politique, comment dire, après,
00:04:36 il ne suit pas une période d'échéance politique qui ne commence, et moi,
00:04:39 je pense, c'est en 1960, à peu près, dans cette époque là.
00:04:43 Là, on commence à avoir une cassure de la population allemande,
00:04:47 qui n'a pas de qui pour ou contre l'indépendance, et même l'indépendance là,
00:04:52 qui fait un petit peu de road-shop, ça c'est une grande question,
00:04:55 si pas pour, tu veux être ministre, pour dire ce pays là,
00:05:00 mais l'échéance politique là, elle continue, elle accélère,
00:05:04 après, il y en a un moment, il y a un petit pic de développement,
00:05:10 par exemple, une prise de conscience en 1969 avec l'arrivée de l'MMM,
00:05:14 ou bien en 1980, un mouvement populaire, ben dis-moi une seule, une réunification.
00:05:19 Après, il y a une raison, oui, encore, mais sinon, en général,
00:05:23 même dans une période d'échéance politique qui est encore là,
00:05:26 si pas nous tous le font, ça ne nous va qu'à dire,
00:05:30 parce que chaque fois qu'on voit un gouvernement venir,
00:05:32 on dit, on va le dire.
00:05:34 On est encore tous le fond, mais nous.
00:05:36 Chaque fois que nous faisons tous le fond, là, nous l'avons vu mille fois l'autre là, là.
00:05:40 C'est-à-dire qu'on nous l'a vu mille fois l'autre là, là, l'autre là,
00:05:42 pas si bon même, mais il y a les comme ça même,
00:05:44 ben là, nous encore là, et ça, ce danger là-dedans,
00:05:48 nous tous ça dans les autres pays,
00:05:50 il finit par des affaires comme le printemps arabe,
00:05:53 vous connaissez au cinéma ou au barrack, après même, c'est temps,
00:05:56 il fait des vidéos, après dans...
00:05:58 A Tunisie.
00:05:59 Le printemps arabe, là, il venit comme ça,
00:06:02 il n'est pas soutenable dans le long terme de l'histoire.
00:06:05 Des changes politiques, là, il finit par des affaires violentes qui arrivent,
00:06:09 mais c'est ça qui est dans ces pays-là.
00:06:11 Parce qu'il peut reprendre après, quand il ne crase pas autour,
00:06:14 pour bien difficilement, il va vous faire prendre 55 ans,
00:06:17 qu'il a construit ce pays-là,
00:06:19 il vous prend quelques fois plus pour remettre ce pays-là,
00:06:22 qu'il soit au niveau des affaires matérielles,
00:06:24 mais qu'il soit au niveau du monde même,
00:06:26 il va refaire sa "lame" mauricienne,
00:06:28 sa "spirit" qui génère bien le Mauricien,
00:06:31 l'unit, tout ça, il vous prend beaucoup d'années.
00:06:34 Vous comprenez ? Un bagarre, s'il y est arrivé,
00:06:36 il pourrait sûrement prendre forme d'un bagarre communal,
00:06:39 pas nécessairement de bagarre de classe,
00:06:41 c'est ça le danger aussi,
00:06:43 il pourrait craser ce pays-là plus,
00:06:45 et il pourrait prendre plus de 55 ans pour revenir là-dedans.
00:06:48 Mais ça, des changes politiques, là, il peut aller...
00:06:50 Il est caractérisé par une faillite de l'élite politique.
00:06:54 Vous voyez, ça, au niveau intellectuel, ça,
00:06:56 l'élite politique qui est née dans l'Azoz,
00:06:58 vous voyez, ça, le Parlement, là, il va fonctionner.
00:07:00 Vous voyez, ça, il y a des gens qui viennent au pouvoir, là,
00:07:03 qui vont être invités, je vais dire,
00:07:05 qui vont être invités, là.
00:07:08 Nous avons même des invités qui, en 1968,
00:07:11 quand il a fait la première constituante,
00:07:13 avec des invités parlementaires, "lame" ou "lame",
00:07:16 le père, je me rappelle que c'est là,
00:07:18 ou des politiciens de l'époque-là.
00:07:20 - Un grand suivi de votre père, oui.
00:07:22 - Il a fait la première constituante pour ça.
00:07:24 Mais sa constituante, elle parle, elle parle,
00:07:26 elle fait la première constituante pour ça,
00:07:28 même des gens qui ont dit, il y en a là.
00:07:30 Parce qu'il y a des gens-là, qui le font eux-mêmes.
00:07:32 C'est un déterminant, je vais dire,
00:07:34 qui détermine, parce que moi,
00:07:36 je crée la première constituante.
00:07:38 Pour une raison donnée, pour faire la constituante,
00:07:40 il faut faire pour des gens qui comprennent.
00:07:42 - Allez, nous reviens là, peut-être,
00:07:44 qui nous faisait faire, parce que ça,
00:07:46 c'est un aspect important,
00:07:48 qui nous faisait faire, mais dans l'hiver,
00:07:50 souvent, on nous évoque, donc, quand on cause crise,
00:07:52 on cause crise climatique, on cause crise financière.
00:07:54 Là, aujourd'hui, cette crise qui nous est là,
00:07:56 comment on va définir, là?
00:07:58 - Oui, nous donne crise livrée.
00:08:00 Mais prenez aussi que crise finit expliquée.
00:08:02 Quand on peut dire
00:08:04 qu'on arrive dans cette qualité situation-là,
00:08:06 qu'on finit, qu'on arrive jusqu'ici,
00:08:08 c'est parce que le système
00:08:10 de démocratie qu'on a implementé
00:08:12 à Maurice Poulain-Dépendance,
00:08:14 c'est le même système qu'il y a dans plusieurs pays
00:08:16 où tout passait les mêmes affaires.
00:08:18 C'est le même système élection.
00:08:20 Et ici, ce qu'ils nous font faire avec notre système élection,
00:08:22 ce qu'ils nous appellent "elected representative",
00:08:24 notre système de démocratie-là,
00:08:26 nous font fosser complètement,
00:08:28 déformer complètement,
00:08:30 comme on dit, nous, c'est qui?
00:08:32 C'est la classe politique
00:08:34 avec complicité des capitalistes.
00:08:36 Les capitalistes qui financent les partis politiques,
00:08:38 c'est-à-dire les politiciens.
00:08:40 Et les politiciens, comment Christine explique ça,
00:08:42 ils viennent avec leurs campagnes communales,
00:08:44 ça, ils finissent fosser le système,
00:08:46 ils viennent avec campagnes communales.
00:08:48 Tous les politiciens,
00:08:50 ils viennent avec ces campagnes-là
00:08:52 et avec fraude et corruption.
00:08:54 Maintenant, nous verrons, nous, dans une situation
00:08:56 que de partout, ils cadenassent
00:08:58 parce que c'est un premier ministre
00:09:00 qui détient tout le pouvoir.
00:09:02 Les peuples, quand ils vont voter,
00:09:04 ils prennent ce pouvoir, ils le donnent à un premier ministre.
00:09:06 Maintenant, le premier ministre, la seule personne
00:09:08 à Maurice qui détient tout ce pouvoir-là,
00:09:10 il place ce banc du monde partout
00:09:12 et il met le bal.
00:09:14 À ce moment-là, tous ces politiciens
00:09:16 qui, avec lui, font le bal des vôtres,
00:09:18 tout va en pire,
00:09:20 ils arrivent là pour boire du sang
00:09:22 et c'est là que le système infini fosse complètement.
00:09:24 Ce qui veut dire,
00:09:26 nous ne sommes plus dans une démocratie.
00:09:28 Dans la démocratie, nous avons deux systèmes.
00:09:30 Il y en a un qui s'appelle
00:09:32 la démocratie représentative,
00:09:34 ça veut dire
00:09:36 démocratie représentative
00:09:38 et l'autre, c'est la démocratie directe.
00:09:40 Le fait qu'il y ait deux systèmes,
00:09:42 nous trouvons qu'un système
00:09:44 n'est plus bon,
00:09:46 la démocratie représentative
00:09:48 n'est plus bonne, il arrive là pour nous shifter
00:09:50 maintenant, le deuxième système,
00:09:52 c'est la démocratie directe.
00:09:54 C'est ça la solution qui nous est là maintenant,
00:09:56 qui arrive là pour nous changer le système,
00:09:58 un changement systémique,
00:10:00 un changement profond, un vrai changement,
00:10:02 là, nous serons capables de trouver une liaison.
00:10:04 Si nous poussions un petit petit petit
00:10:06 chose, nous n'aurions pas trouvé qu'il nous parle loin avec ça.
00:10:08 Mais comment on peut dire une démocratie directe
00:10:10 qui opère au dire ?
00:10:12 Que nous vous ai comprend ? C'est quoi la démocratie directe ?
00:10:14 Bon, dans nos
00:10:16 définitions
00:10:18 du mot démocratie,
00:10:20 nous vous apprends à lire comme ça,
00:10:22 "a form of government in which the common people
00:10:24 hold political power
00:10:26 and can rule either directly"
00:10:28 C'est ça la démocratie directe, là, ça.
00:10:30 "can rule either directly
00:10:32 or through elected representative"
00:10:34 Ça veut dire système élection, là, ça.
00:10:36 Ça veut dire dans sa définition là,
00:10:38 il y en a deux systèmes dans sa
00:10:40 définition là. Il y en a un système qui veut tout faire,
00:10:42 c'est "elected representative".
00:10:44 C'est un qu'il appelle "démocratie représentative",
00:10:46 là, ça. Ça veut dire vous votez un élu,
00:10:48 vous votez un... Ouais. Mais quand on a un vote un élu,
00:10:50 qu'est-ce qu'il veut faire ? On prend le pouvoir, on donne élu là.
00:10:52 Et ça, élu là, il est le représentant
00:10:54 du premier ministre, qu'il vient dans
00:10:56 sa conscription. Quand on fait une "donne-ça-représentant-du-premier-ministre-là",
00:10:59 ça a pouvoir, là, ce qui veut dire, on peut
00:11:01 donner le premier ministre, ça a pouvoir, là.
00:11:03 Ici à Maurit, une seule personne qui détenait le pouvoir
00:11:05 politique à Maurit. C'est pour cela qu'il nous donne
00:11:07 une dictature concentrée,
00:11:09 parce que le premier ministre, une fois qu'il est fini
00:11:11 "place sur un pion partout", qui est redévable
00:11:13 envers lui, là, là qu'il nous trouve.
00:11:15 Partout, quatre d'ici,
00:11:17 aucune institution n'a pas fonctionné,
00:11:19 parce que nous finirons dans une
00:11:21 dictature. C'est le premier ministre qui décide
00:11:23 n'importe quoi.
00:11:25 Mais, qu'il arrive maintenant,
00:11:27 le public, il résiste politiquement
00:11:29 pas au droit, c'est parce que, il est dans une situation
00:11:31 que... Tu sais, il n'y a plus aucun
00:11:33 pouvoir, il n'y a plus aucun droit maintenant.
00:11:35 Ce qui pourrait venir, c'est de décider ça même.
00:11:37 Est-ce qu'il y a une façon, on va dire par exemple,
00:11:39 est-ce qu'il y a une façon, bon, il est vrai qu'il nous trouve, il déploie
00:11:41 le système, tout le monde y était,
00:11:43 il nous trouve les failles du système,
00:11:45 le problème, quand il y a
00:11:47 au moins de représentants qui allent dans le parlement,
00:11:49 et surtout maintenant, peut-être que
00:11:51 les armées du parlement
00:11:53 fonctionnent de cette façon,
00:11:55 aussi bien ou aussi mal,
00:11:57 est-ce qu'il, comment nous sommes, ça?
00:11:59 Donc, comment la population
00:12:01 peut-elle participer
00:12:03 davantage dans la prise de décision?
00:12:05 Vous savez, nous, vous avez
00:12:07 une courage, comme
00:12:09 le fameux dit-on,
00:12:11 "it takes two to tango".
00:12:13 Les dirigeants, ils sont sortis,
00:12:15 là autour, il y a un parquet de partis,
00:12:17 qui représentent
00:12:19 la manière de faire la politique autrement.
00:12:21 Sans qu'il y ait, bien souvent, une articulation
00:12:23 qui veut dire autrement,
00:12:25 et ça autrement, là, est-ce qu'il répond à l'attente
00:12:27 de sa population, là, il y en a, est-ce qu'il y a une compensation?
00:12:29 Ou est-ce qu'il envisage un changement?
00:12:31 Il n'y a pas de match de football,
00:12:33 nous, on ne peut pas attendre l'équipe d'excel, on tient le 30,
00:12:35 et ça, il y a une implication énorme. Mais ça, il demande
00:12:37 beaucoup de réflexion, qui a un problème,
00:12:39 comment on percevra un problème,
00:12:41 et qui a un élément,
00:12:43 qui a un paramètre, qui peut prendre en considération.
00:12:45 Mais, vous savez, il est là, il est
00:12:47 très compliqué dans sa situation,
00:12:49 pour qu'à part, bon, il y a le modèle
00:12:51 que moi, Dany, je peux dire,
00:12:53 il y a l'idéal, moi, je peux dire que
00:12:55 l'idéal, c'est ce qu'il peut dire, c'est vrai.
00:12:57 Mais, est-ce que sa population-là, lui,
00:12:59 qui comprend ce qu'il veut dire quand on parle de pouvoir,
00:13:01 vous savez, je vais faire un petit peu,
00:13:03 comment on dit, on va citer, vous savez, tous les grands
00:13:05 philosophes, même de gauche parfois,
00:13:07 après coup, je vais dire comme ça, c'est qu'ils sont plus
00:13:09 méfiés
00:13:11 sur la masse. Tout.
00:13:13 Même ce que les grands révolutionnaires
00:13:15 disent, parce qu'une fois qu'ils
00:13:17 sont instrumentalisés, devinez-le, c'est Rakanon,
00:13:19 mais des gars qui font, à travers
00:13:21 un intellectuel qui hijackent une classe
00:13:23 moyenne, ou la bourgeoisie,
00:13:25 c'est qui mord, c'est la classe la plus méprisante,
00:13:27 c'est la classe qui vient plus, moi, en moyenne, beaucoup du monde
00:13:29 n'en peut entendir. C'est à vous de l'intérêt.
00:13:31 Mais, sur la même dynamique-là, lui, au propre sens, ça,
00:13:33 tu vois, le même, parce qu'il y a des, non, mais c'est un type
00:13:35 l'économie. Là, il y a une bizarre qu'il ne dit pas en rapport,
00:13:37 si vous permettez moi, Michael,
00:13:39 il dit que c'est l'enjeu principal qui est là.
00:13:41 Pour moi, à mon âme, la vie,
00:13:43 l'enjeu principal, je vous dis,
00:13:45 c'est le non, l'enjeu
00:13:47 climatique de l'environnement, qui doit
00:13:49 être au centre de toutes les affaires
00:13:51 qui est en termes d'aménagement du territoire,
00:13:53 qui est en termes de l'infrastructure
00:13:55 qu'on peut mettre à côté. Si on peut faire un développement
00:13:57 économique qui peut rendre,
00:13:59 qui peut dégrader
00:14:01 l'économie, c'est-à-dire qui peut dégrader
00:14:03 l'environnement. Mais,
00:14:05 je ne sais pas qui dit que ça n'a pas de sens,
00:14:07 sur les autres qui le disent, là,
00:14:09 on pourra comprendre ça. Deuxième chose.
00:14:11 Une autre chose qui nous gagne en termes de service de justice sociale.
00:14:13 Comment on développe
00:14:15 un système économique qui est accepté,
00:14:17 qui fait un consensus, qui amène
00:14:19 une justice sociale, qui n'est pas...
00:14:21 Comment dire, moi, moi, je dis des affaires,
00:14:23 souvent, nous causons... Et ça, c'est une
00:14:25 affaire qui m'a trouvé, qui résonne un petit peu,
00:14:27 dans les gens qui épousent sa philosophie
00:14:29 démocratie participative, ou soit démocratie
00:14:31 directe, etc.
00:14:33 Souvent, on a vu dans les mondes, quand il y a une élite,
00:14:35 il y a tout le temps une "top-down approach",
00:14:37 "triple-down effect".
00:14:39 Je vous dis, de tous les trouvées qui capitalisent,
00:14:41 jamais ça ne "triple-down effect" n'est pas "enrich"
00:14:43 pour "empower" les gens qui sont en bas. Si il y a une démocratie,
00:14:45 si on la prend de façon simple,
00:14:47 enfin, à ma hauteur, c'est une de ces études,
00:14:49 on ne fait pas ça, on ne fait rien, comme ça, n'importe qui.
00:14:51 Décision qu'un gouvernement
00:14:53 démocratique prend,
00:14:55 par ici, on va trouver que ça a des gens qui plient au bas,
00:14:57 là, n'importe quelle décision.
00:14:59 On ne peut pas bénéficier, plus qu'on peut bénéficier là-haut,
00:15:01 il y a quelque chose qui est "wrong",
00:15:03 il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, ça veut dire
00:15:05 quelque part, on fait quelque chose pour soutenir
00:15:07 l'intérêt des gens qui le désignent.
00:15:09 Alors, moi, je me trouve que ça,
00:15:11 ça me donne une réflexion un peu à long terme,
00:15:13 mais pour nous faire commencer,
00:15:15 d'une façon un peu plus, pour résumer,
00:15:17 nous devons être capables, les gens,
00:15:19 je suis dans un consensus aujourd'hui, nous devons être capables
00:15:21 de prendre en compte nos moyens d'actualité,
00:15:23 nous devons être dans l'environnement, et aussi nous devons avoir
00:15:25 une considération pour nos voisins. Pour nous faire ça,
00:15:27 nous, les politiciens, nous, les leaders,
00:15:29 nous devons avoir une connexion avec la masse, là,
00:15:31 pour nous trouver ce "duplicité" et aussi,
00:15:33 ce vrai problème qu'il y a là, ce "capacité"
00:15:35 de réagir, de comment les gens peuvent
00:15:37 avoir un pouvoir pour sortir de l'état.
00:15:39 Mais si nous faisons cette théorie, nous pouvons faire des discours
00:15:41 qui nous permettent de trouver des gens qui peuvent
00:15:43 voter en bidon. C'est tout.
00:15:45 Après l'élection, nous venons de donner la main
00:15:47 et nous tapons le vote pour nous disparaître.
00:15:49 Voilà un peu ce que moi, mon constat était,
00:15:51 nous disons qu'il y a sur ce,
00:15:53 au niveau du leadership, le plus facile,
00:15:55 parce qu'il y a tout beaucoup de données devant nous,
00:15:57 mais aussi nous disons qu'il y a une pédagogie
00:15:59 à travers beaucoup de
00:16:01 mécanismes qui existent, qui dit "dédication",
00:16:03 qui dit "t'as laissé une occasion pour que
00:16:05 la responsabilité de la religion,
00:16:07 qui nous contente, qui ne nous pas contente,
00:16:09 qui nous a fait enlever les gens dans la religion,
00:16:11 a un rôle pour eux, pas pour prosélytiser,
00:16:13 mais pour avoir une valeur qui nous consiste à
00:16:15 nous décrier. Il y a une source
00:16:17 dans la moralité qui appelle ce qui est
00:16:19 qui est ton religion, c'est lui-même.
00:16:21 Je résume tout.
00:16:23 Il dit "be good, do good".
00:16:25 Je ne vois pas de religion qui dit ça.
00:16:27 Mais si nous comprenons ça,
00:16:29 nous, les politiques,
00:16:31 même si nous faisons rien, nous n'arrivons pas à faire
00:16:33 rien pour faire dire nos vies. Mais quand nous réalisons
00:16:35 que nous faisons des choses, quand nous faisons des blessures,
00:16:37 quand nous faisons des blessures,
00:16:39 nous faisons des blessures.
00:16:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:57 C'est ce qui nous fait vivre.
00:16:59 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:13 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:15 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:17 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:19 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:21 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:23 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:25 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:27 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:33 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:17:37 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:39 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:57 C'est ce qui nous fait vivre.
00:17:59 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:13 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:15 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:17 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:19 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:21 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:23 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:25 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:18:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:33 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:35 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:37 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:18:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:57 C'est ce qui nous fait vivre.
00:18:59 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:13 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:15 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:17 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:19 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:21 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:23 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:25 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:27 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:19:31 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:19:35 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:20:03 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:20:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:13 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:15 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:17 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:19 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:21 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:23 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:25 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:27 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:20:31 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:23:01 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:24:01 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:24:21 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:24:39 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:57 C'est ce qui nous fait vivre.
00:24:59 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:07 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:25:21 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:25:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:33 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:35 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:37 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:39 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:57 C'est ce qui nous fait vivre.
00:25:59 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:13 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:15 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:17 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:26:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:33 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:35 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:37 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:26:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:53 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:55 C'est ce qui nous fait vivre.
00:26:57 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:27:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:11 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:13 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:27:25 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:27 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:33 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:35 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:37 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:39 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:41 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:43 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:45 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:47 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:49 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:51 C'est ce qui nous fait vivre.
00:27:53 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:28:01 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:34:01 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:03 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:05 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:07 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:09 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:11 C'est ce qui nous fait vivre.
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00:34:19 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:21 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:23 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:25 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:27 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:29 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:31 C'est ce qui nous fait vivre.
00:34:33 Vous voyez l'affaire.
00:34:35 Ce qui fait qu'au niveau de ce parti là,
00:34:37 vous, si vous êtes pro-démocratie,
00:34:39 vous exigez une bonne gouvernance et un bon gouvernement,
00:34:41 ce qui fait que vous êtes pratiquement
00:34:43 comme on disait, il y a des monarques,
00:34:45 il y a des monarques comme lesquels,
00:34:47 un parti d'administration, surtout mainstream,
00:34:49 quand vous êtes un parti d'administration,
00:34:51 vous avez une propriété du parti.
00:34:53 Quand vous êtes élu,
00:34:55 vous prenez le gouvernement, vous avez une propriété du gouvernement,
00:34:57 et par extension, vous avez une propriété du pays,
00:34:59 si ce n'est pas plus que ça.
00:35:01 Si vous êtes un pays autour de vous,
00:35:03 à un moment donné, vous avez une maîtresse
00:35:05 qui peut agir en tandem
00:35:07 pour contrôler le pays,
00:35:09 si ce n'est pas Madame,
00:35:11 c'est ça le rot, la vraie pourriture.
00:35:13 C'est ce que je veux dire
00:35:15 d'une façon simple.
00:35:17 C'est ce que je veux dire aux gens qui sont fidèles au parti,
00:35:19 qui travaillent, MMM,
00:35:21 MSM, si vous avez une dignité,
00:35:23 vous avez besoin d'un accord qui populationne,
00:35:25 même s'il peut obliger des malvaux de vous,
00:35:27 il peut vous faire un service,
00:35:29 mais votre caractère et votre dignité
00:35:31 rappelle votre idée d'abord à l'autre,
00:35:33 que le pays est passé, parce qu'il ne veut pas être droit là.
00:35:35 Nous parlons de loin. L'anglais est comme
00:35:37 le français en tous les sens constitution,
00:35:39 pourtant il y a un problème là-bas.
00:35:41 C'est une chose de premier ministre,
00:35:43 c'est une chose de ministre, sans qui je ne serai pas là.
00:35:45 Ça va être un grand débat là,
00:35:47 comme a dit Christiane, avec raison.
00:35:49 Avec même constitution,
00:35:51 avec une mentalité,
00:35:53 une éthique plutôt, qui se tient là longtemps,
00:35:55 ça l'éthique là, les vignes de la collective là,
00:35:57 elle est obligée,
00:35:59 il faut que vous vous réveillez,
00:36:01 au niveau du parti politique, sinon tôt ou tôt,
00:36:03 vous ne pouvez pas y aller.
00:36:05 C'est une chose qui va se faire,
00:36:07 mais pour le moment, dans ce parti,
00:36:09 je vous dis, c'est le moment pour vous de partir.
00:36:11 Il faut y aller.
00:36:13 Si dans ce parti,
00:36:15 ça boucle, il n'a pas le pouvoir absolu,
00:36:17 il a une raison, il raconte l'histoire.
00:36:19 Si je suis fréquenté dans ce parti politique,
00:36:21 je me rappelle un parentésan de passant,
00:36:23 je me rappelle le parti émergent qui est là.
00:36:25 Souvent, moi, moi, moi,
00:36:27 j'ai décidé que c'est un peu faire premier ministre.
00:36:29 J'ai décidé que je ne me fais pas attention,
00:36:31 mais si ou pas, je n'ai pas le pouvoir,
00:36:33 moi, moi, moi, moi.
00:36:35 C'est pour ça que je suis venu ici,
00:36:37 ce parti,
00:36:39 il n'y a pas besoin de dire que j'y suis allé,
00:36:41 qui tient aussi largement avec toutes les classes,
00:36:43 les intellectuels, qui sont là.
00:36:45 C'est une grande idée qui finit,
00:36:47 une ébullition qui finit dans la classe travaillée,
00:36:49 dans la classe des intellectuels.
00:36:51 Il n'y a pas besoin qu'il s'évolue
00:36:53 à travers l'école du MMM, qu'il soit évolué.
00:36:55 Nous, on ne peut pas se faire 4, 5, 6,
00:36:57 moi, je peux dire MMM d'aujourd'hui,
00:36:59 mais coûte tu ça, va te dire, mon ami, après.
00:37:01 Comment arrive ça ? Il n'y a pas besoin de poser la question
00:37:03 parce qu'il demeure aussi, je dis ça pour un camarade
00:37:05 qui peut aspirer. Le pouvoir, comme on dit,
00:37:07 on dit, on dit, if you want to test someone's character,
00:37:09 give him power.
00:37:11 Ceci, c'est simple que ça. Quand il paye le pénal,
00:37:13 il garde sa ou il y a une grande sainte.
00:37:15 C'est ce que je me suis rendu compte,
00:37:17 pour ça, Léland, si à l'intérieur du parti,
00:37:19 il y a de l'espace démocratie.
00:37:21 Vous savez, nous, nous ne sommes pas
00:37:23 divertis, parce que je laisse les autres aussi
00:37:25 gagner la parole. Si, comme on dit,
00:37:27 nous fais,
00:37:29 dans ce parti-là, nous complice
00:37:31 pour faire les David, comme on dit, et le Jupiter.
00:37:33 Mais quand il y a une première ministre qui fait,
00:37:35 on dit, elle ne part pas avec moi, Jupiter.
00:37:37 C'est pas un paradoxe ? Les propriétaires du pays,
00:37:39 sortie, ils ne veulent pas qu'on leur donne
00:37:41 une ticket l'autre coup. Là, quand vous trouvez qu'on ne peut pas
00:37:43 vous donner une ticket, là, soit c'est
00:37:45 pour garantir, c'est pour s'ambassadir,
00:37:47 mais là, je pourrais se tranquille, sinon,
00:37:49 je pourrais me faire un coup de main,
00:37:51 je pourrais me faire un coup de main,
00:37:53 mais nous, on ne peut pas continuer à vivre dans ce
00:37:55 qui est, euh, je ne vais pas dire ça,
00:37:57 dans ce qui est narratif, dans ce qui est,
00:37:59 euh, contexte-là.
00:38:01 Allez, OK. Je vais retourner à Dan-Yvan,
00:38:03 je vais lui dire ce qu'il a dit.
00:38:05 Est-ce que nous sommes capables de retrouver-nous
00:38:07 dans une situation, pour ce qui est de l'intérieur,
00:38:09 comme on a pu l'évoquer pour Boris Johnson, donc,
00:38:11 premier ministre, le chef du parti,
00:38:13 à un moment, le parti met les déos,
00:38:15 met un lot de gens, avant Boris Johnson,
00:38:17 après Boris Johnson, un lot de gens,
00:38:19 allez, comprends, mais, mais, est-ce qu'il,
00:38:21 est-ce qu'un jour, nous pouvons arriver à ça,
00:38:23 ou bien à Boris, nous, on a un problème,
00:38:25 c'est que le parti, donc les finances du parti,
00:38:27 contrôlées par le leader, ou par un groupe,
00:38:29 par une coterie, la cour, du roi,
00:38:31 la cour, qui fait que, c'est ça qui fait
00:38:33 qu'il bloque partout, bloque le parti,
00:38:35 et quand il bloque, euh, la démocratie
00:38:37 au sein d'un parti politique, donc,
00:38:39 euh, nous connaît qu'il y a, qu'il y a un réveil.
00:38:41 Mais c'est qu'il peut expliquer, c'est bien un problème
00:38:43 qui nous peut gagner actuellement, avec ce système qui nous est là,
00:38:45 électeur de représentative, là, c'est ça qu'il peut expliquer, là,
00:38:47 et c'est la même que Christine expliquait,
00:38:49 c'est la même que Radiu Sifine expliquait,
00:38:51 je te peux expliquer problème qui nous peut gagner avec ce système-là,
00:38:53 et moi, c'est qu'il me peut dire, moi,
00:38:55 c'est nous trouver un lot de système, et qui,
00:38:57 ça, le lot de système-là, il élimine tout ça,
00:38:59 le problème qu'il y a dans ce système qu'il y a actuellement, là,
00:39:01 dans le système démocratie directe,
00:39:03 tout ça problème qu'il nous fait causer, là,
00:39:05 comment Christine dit,
00:39:07 problème dictature, tout ça, il l'élimine,
00:39:09 il l'élimine dans la démocratie directe,
00:39:11 pas, et dans la dictature,
00:39:13 parce que pas une personne qui décide
00:39:15 dans la démocratie directe, c'est un panel
00:39:17 qui décide,
00:39:19 c'est moi qui ai trouvé l'élément, oui,
00:39:21 quand on peut dire démocratie directe, on peut envie comprendre
00:39:23 comment on fait, là,
00:39:25 qui sont pas un élément,
00:39:27 dans la démocratie directe,
00:39:31 tout ça, des avantages
00:39:33 qu'il y a actuellement, tel que
00:39:35 fraude, corruption, communalisme, népotisme,
00:39:37 dictature, répression,
00:39:39 gaspillage, fonds public, et la trafic,
00:39:41 la drogue, tout ça, là,
00:39:43 il est éliminé dans la démocratie directe,
00:39:45 nous prenons par exemple,
00:39:47 fraude et corruption,
00:39:49 dans la démocratie directe, il y a un technical committee
00:39:51 indépendant, et ça,
00:39:53 pas un technical committee, là, pas un
00:39:55 political nominee pour le premier ministre, ça,
00:39:57 je vais vous expliquer plus tard comment il peut y être, ça,
00:39:59 nous, pour un technical committee,
00:40:01 les mêmes qui prennent tout contrat, les mêmes qui pour décider,
00:40:03 et les mêmes qui pour donner au gouvernement,
00:40:05 qui pour allouer ce contrat-là,
00:40:07 le gouvernement, pas pour avoir contact
00:40:09 avec les contracteurs, là,
00:40:11 c'est pas le gouvernement qui décide,
00:40:13 et d'ailleurs, c'est pas le premier ministre aussi qui peut dire
00:40:15 "eh, tu connais ce contrat-là, tu dois donner ça à Michel, ça,
00:40:17 ça, ça, ça", pas comme ça que ça passait,
00:40:19 tout dans l'indépendance, là-dedans,
00:40:21 c'est un technical committee indépendant
00:40:23 qui peut décider des contrats,
00:40:25 ce qui veut dire, tu sais qu'il y a fraude, corruption,
00:40:27 de la bribe, ça, là, il finit
00:40:29 éliminé là-dedans, ça, c'est un.
00:40:31 Deuxième, dans la démocratie directe, il y a un
00:40:33 recruitment panel, qui peut
00:40:35 recruter toutes les personnes de la fonction
00:40:37 publique, de la parité artistique des ambassadeurs,
00:40:39 c'est pas le premier ministre qui peut téléphoner,
00:40:41 qui peut dire "bon, c'est un ambassadeur-là,
00:40:43 nous devons mettre-lui comme un rappelle-t-on,
00:40:45 si tu as payé un ticket, promets-toi
00:40:47 pour cet ambassadeur", c'est pas le premier ministre qui
00:40:49 peut mettre un ambassadeur, c'est un
00:40:51 recruitment panel, un ambassadeur, si quelqu'un
00:40:53 veut devenir ambassadeur, il doit appeler pour sa job-là,
00:40:55 et là, ce recruitement panel-là,
00:40:57 indépendant, de ce recruitement panel-là,
00:40:59 nous ne pouvons pas venir, même dans l'étranger, là-dedans,
00:41:01 nous ne pouvons pas demander aux institutions
00:41:03 internationales, telles que
00:41:05 Commonwealth, Nations Unies, qui donnent-nous
00:41:07 certaines personnes, et ce sont ces étrangers-là qui sont
00:41:09 capables de recruter un démocrat pour
00:41:11 inclure dans ce recruitement panel-là,
00:41:13 là, l'indépendant à 100%,
00:41:15 c'est pas une personne qui fait un népotisme
00:41:17 communaliste, pour le favoriser,
00:41:19 pour gagner une place de fonction publique.
00:41:21 Après ça, dans la démocratie directe,
00:41:23 il y a un tribunal indépendant,
00:41:25 qui est un juge, qui est capable d'être un démocrate aussi,
00:41:27 qui l'épouse, n'importe qui, fonctionnaire,
00:41:29 ministre, whoever,
00:41:31 qui fait la domination. - Si vous pouvez comprendre,
00:41:33 donc le peuple assume le pouvoir directement,
00:41:35 d'une certaine façon, pour un premier ministre, pour un gouvernement?
00:41:37 - Oui, il y a un premier ministre, il y a un gouvernement, bien sûr,
00:41:39 mais c'est pas pour un premier ministre
00:41:41 qui décide tout.
00:41:43 Toutes les décisions qu'il faut prendre pour un quorum
00:41:45 de minimum sept personnes, minimum,
00:41:47 il n'y a pas même dix, onze personnes qui
00:41:49 pourront décider, pas une personne,
00:41:51 il n'y a plus des affaires que le premier ministre décide tout là,
00:41:53 décide le contrat, décide tout ce qu'il faut prendre,
00:41:55 pas une institution, pas des affaires-là.
00:41:57 Et dans la démocratie directe, il y a aussi un
00:41:59 Complaints Office, pour n'importe qui,
00:42:01 n'importe qui citoyen,
00:42:03 il n'est pas pédagogue avec qui tu es, il y a un Complaints Office
00:42:05 qui se dirige, t'es capable même d'un étranger,
00:42:07 il est allé lui faire son complaint,
00:42:09 et il ne nous parle pas comment les cas qu'il nous a, c'est pas
00:42:11 washing machine qu'il nous paye, non, c'est ici,
00:42:13 ici, dans sa Complaints Office,
00:42:15 ça, il est indépendant, whoever
00:42:17 qui fait une commette, une faute, qui est capable,
00:42:19 un public officiel, n'importe qui,
00:42:21 qui fait une commette, une fraude, une corruption,
00:42:23 il est pour le condamner.
00:42:25 Sa Complaints Office, ça, il a la full power
00:42:27 pour agir indépendant,
00:42:29 il n'est pas un ministre, un premier ministre,
00:42:31 il n'a pas de commune, il n'a pas de
00:42:33 petit favoritisme, il n'est pas là-bas.
00:42:35 - Tout le monde veut l'ancien cadre des Nations Unies,
00:42:37 est-ce qu'il y a un système comme ça,
00:42:39 un peu utopique,
00:42:41 est-ce qu'il est applicable ?
00:42:43 - Il n'est pas utopique, mais seulement,
00:42:45 il est difficilement
00:42:47 mis en place, et après,
00:42:49 vous ne risquez pas de régler votre problème
00:42:51 si les gens ne vous intéressent pas,
00:42:53 vous avez un problème de transcendance,
00:42:55 vous pouvez les aider, il y a des choses
00:42:57 qui peuvent être bien changées.
00:42:59 Si les gens restent comme ça,
00:43:01 vous ne mettez pas de système, il n'y a pas de problème.
00:43:03 Mais je suis content de revenir à sa proposition,
00:43:05 quand elle a été terminée,
00:43:07 il ne faut pas trouver d'autre valeur,
00:43:09 il ne peut pas y avoir quelque chose,
00:43:11 il est élu à suffrages universels,
00:43:13 le premier ministre,
00:43:15 aussi longtemps qu'il garde sa concision,
00:43:17 aussi longtemps qu'il a des affaires avec sa même
00:43:19 qualité de monde qu'il peut, nous, l'élite politique,
00:43:21 où vous voyez, il est élu,
00:43:23 il est élu,
00:43:25 qui est élu par suffrages universels,
00:43:27 il est élu dans le numéro 8,
00:43:29 ou le numéro 7,
00:43:31 il peut parler, il peut faire une affaire.
00:43:33 Le PNAD a d'autres valeurs,
00:43:35 il n'a pas poussé fondamentalement
00:43:37 sa concentration de pouvoir dans les mains
00:43:39 du premier ministre, qui la concision garantie
00:43:41 lui donne.
00:43:43 Il y a des phénomènes dans Maurice,
00:43:45 ce qui est grave, c'est
00:43:47 la personnalisation du pouvoir,
00:43:49 le pouvoir est associé à des personnes,
00:43:51 à des noms des personnes.
00:43:53 Je vous donne un exemple simple,
00:43:55 longtemps, on disait qu'on était
00:43:57 dans le bureau de pension,
00:43:59 qu'on était dans le bureau de cables, qu'on était dans le bureau
00:44:01 sanitaire, à ce moment-là, on disait
00:44:03 qu'on était ministre de la Garde-Parle,
00:44:05 qu'on était ministre ça, qu'on était ministre ça,
00:44:07 qu'on était ministre un tel, pourquoi on n'a pas une pension ?
00:44:09 C'est-à-dire qu'il est personnalisé,
00:44:11 il n'est pas institutionnalisé.
00:44:13 Alors que dans une démocratie,
00:44:15 le pouvoir est institutionnalisé.
00:44:17 Nous, ici, on a ce phénomène
00:44:19 depuis que l'Angleterre nous a quittés,
00:44:21 depuis longtemps, on s'est associés à un bureau,
00:44:23 on connaît bien des gens depuis longtemps,
00:44:25 on a le bureau de pension, on a le bureau de cables,
00:44:27 à ce moment-là, on disait
00:44:29 que nous n'avions pas de nom de personne,
00:44:31 qu'on était là.
00:44:33 Pourquoi il y a un haut fonctionnaire,
00:44:35 qu'on était un tel ?
00:44:37 C'est la personnalisation du pouvoir.
00:44:39 Au niveau du Premier ministre,
00:44:41 ce n'est pas bureau, Premier ministre, cabinet,
00:44:43 ce n'est pas l'institution du cabinet,
00:44:45 c'est
00:44:47 MGX, Y, Z,
00:44:49 et il est capable pour judiciaire aussi,
00:44:51 ça, c'est
00:44:53 pas pour qu'on donne le judiciaire,
00:44:55 il y a un judiciaire, il y a une façon institutionnelle,
00:44:57 mais ça peut être aussi,
00:44:59 mais surtout au niveau du pouvoir exécutif.
00:45:01 - Je vais vous poser une question
00:45:03 qui nous vient d'avant, pour les neufs.
00:45:05 C'est la personnalisation du pouvoir
00:45:07 qui nous amène à la faillite des institutions,
00:45:09 ou bien l'affaiblissement des institutions,
00:45:11 ou bien les institutions,
00:45:13 cette faiblesse qui nous fait de plus en plus
00:45:15 nous retrouver, ça, personnalisation du pouvoir.
00:45:17 - Quand on a une élite politique
00:45:19 qui
00:45:21 ne prend pas conscience
00:45:23 de son devoir,
00:45:25 de ses responsabilités,
00:45:27 qui perd sa philosophie
00:45:29 qui lui a été guidée
00:45:31 pour appliquer sa constitution
00:45:33 de 1968,
00:45:35 qui perd tout ça, qui fait ce pouvoir-là,
00:45:37 qui est donné à lui, à lui seul,
00:45:39 pour son nom, pour sa gloire personnelle,
00:45:41 qui personnalise ce pouvoir-là,
00:45:43 bien sûr, les institutions faillissent.
00:45:45 Quand on dit que
00:45:47 ces institutions n'appliquent pas le pouvoir
00:45:49 à cause de ces gens-là,
00:45:51 mais à cause de ces gens,
00:45:53 ces institutions qui contrôlent
00:45:55 le Premier ministre, qui contrôlent ces institutions-là,
00:45:57 et tout ça,
00:45:59 c'est la faute de la constitution, je dois dire.
00:46:01 Non, je suis d'accord avec ces gens-là.
00:46:03 Si tu es un bon gars,
00:46:05 je peux te limiter à ça, je suis d'accord.
00:46:07 Mais faute de ça,
00:46:09 connaissant les prochaines générations de politiciens
00:46:11 qui vont devenir Premier ministre,
00:46:13 il est dans l'esprit,
00:46:15 je veux dire, quoi "pouvoir-là",
00:46:17 c'est lui, l'État, c'est moi.
00:46:19 - Lui, c'est toi.
00:46:21 - Moi, mon proposition,
00:46:23 c'est simple, discutable, questionnable,
00:46:25 je dis que le médecin en écrit,
00:46:27 le médecin donne la loi.
00:46:29 Tu n'as pas le droit de faire ceci,
00:46:31 tu n'as pas le droit de faire ça.
00:46:33 - Le médecin avant l'élection, il va dire...
00:46:35 - Non, ça, c'est le timing.
00:46:37 C'est le timing pour quelque chose.
00:46:39 Mais je dis que si vous avez une constitution,
00:46:41 qui te voit,
00:46:43 où tu as ça dans une constitution,
00:46:45 il y a bien la loi,
00:46:47 tu dois déclarer ton asset,
00:46:49 tu dois ça, quand tu as dit bien, tu dois ça.
00:46:51 Mais là, parce que tout ce qui n'est pas interdit est permis.
00:46:55 Pas de "je ne vois pas que le droit fait ça",
00:46:59 il ne peut pas le faire.
00:47:01 Et ça,
00:47:03 on va dire, interprète bien vite
00:47:05 dans la constitution,
00:47:07 l'élastique.
00:47:09 Quand ça facilite le travail,
00:47:11 je veux dire,
00:47:13 l'esprit constitutionnel, il dit "ça ne peut pas faire ça".
00:47:15 Mais quand ça part de l'autre côté...
00:47:17 Donc, je veux dire,
00:47:19 possible, il y a un peu l'égalisme,
00:47:21 c'est ce qu'il me fait dire.
00:47:23 Je lui dis "mettez en écrit,
00:47:25 le premier ministre ne peut pas faire ça,
00:47:27 ne peut pas faire ça,
00:47:29 il n'a pas le droit de faire ce discours communal,
00:47:31 il n'a pas le droit de faire ça,
00:47:33 tout ça, il n'a pas le droit de le faire.
00:47:35 Quitte fois, il n'a pas le droit de gagner une licence,
00:47:37 il n'a pas le droit de gagner une licence.
00:47:39 Mais il y a une chose,
00:47:41 oui, si vous avez des questions...
00:47:43 Non, non, non, il y a une autre chose importante
00:47:45 qui peut,
00:47:47 pas contredire, mais qui peut,
00:47:49 qui nous a fait attention,
00:47:51 la concentration de pouvoir.
00:47:53 Moi, j'ai un lien un petit peu inférentiel.
00:47:55 Allez, on va parler de ce qui est capable,
00:47:57 ce qui n'est pas capable, ce qui est arrivé,
00:47:59 mais justement, en parlant,
00:48:01 je vous ai évoqué le président, etc.
00:48:03 Est-ce que le rôle du président,
00:48:05 quand la population, ou bien
00:48:07 un groupe de gens, n'est pas d'accord
00:48:09 avec quelque chose, ou bien avec une loi
00:48:11 que le gouvernement a mis, nous avons encore
00:48:13 ce sentiment de dire, oui, il y en a
00:48:15 qui ont manifesté devant cette maison,
00:48:17 comme si le président,
00:48:19 en tant que dernier recours,
00:48:21 il a pu dire oui, il a garanti la constitution,
00:48:23 peut-être qu'il a eu besoin d'entendre, au moins,
00:48:25 la voix de la population, même s'il n'était pas d'accord
00:48:27 avec la population,
00:48:29 qui n'est pas d'accord avec une décision du gouvernement,
00:48:31 mais on a l'impression
00:48:33 que le président,
00:48:35 bon, son rôle,
00:48:37 déjà, il n'est pas grand dans la constitution,
00:48:39 mais quelque part, il est complèt, lui aussi,
00:48:41 avec le peu de rôle,
00:48:43 le peu de champ de manœuvre que la constitution
00:48:45 donne lui, est-ce que ça, c'est pas une affaire
00:48:47 qu'il nous faut revoir,
00:48:49 parce que le garant de la constitution,
00:48:51 il le faut aussi, parce que
00:48:53 c'est lui le chef de l'État, est-ce que quelque part,
00:48:55 quand l'État, la population,
00:48:57 le pays, donc la population,
00:48:59 se tiennent grattes contre quelque chose,
00:49:01 le président est obligé de s'arrêter avec le peuple,
00:49:03 mais le président participe aussi,
00:49:05 peut-être, il y a une oreille attentive
00:49:07 à ce qu'il appelle
00:49:09 certains "dimons", ou à ce qu'on peut dire.
00:49:11 Vous voyez, monsieur Christophe,
00:49:13 il a raison, nous sommes capables
00:49:15 de dire cinq mots sur l'importance,
00:49:17 comme ça, des gens qui nous écoutent,
00:49:19 parce qu'ils sont nos proposants, des gens qui nous écoutent,
00:49:21 nous comprennent bien. Il y a un phénomène
00:49:23 qui s'est accentué énormément
00:49:25 depuis l'indépendance.
00:49:27 Il ne prend pas le temps, parce qu'il ne tient
00:49:29 pas l'esprit sous l'ombre britannique,
00:49:31 il y a des gens qui ont grandi dans ces rails-là,
00:49:33 qui ont gardé cette habitude,
00:49:35 pour ne pas oublier que les gens
00:49:37 qui parfois paraissent autoritaires,
00:49:39 sont capables de nous garder, de nous répéter
00:49:41 dans la vie, et nous garder. Ça, nous l'exalter.
00:49:43 Il y a une politisation
00:49:45 à outrance de tout, de nos pays.
00:49:47 Même la religion est politisée.
00:49:49 Vous connaissez depuis tout le temps
00:49:51 la politique et la religion qui, ensemble,
00:49:53 crasent la masse. Vous connaissez,
00:49:55 l'Alliance. Mais aujourd'hui, en fait, la religion
00:49:57 même se soumet au diktat de la politique
00:49:59 pour être "politically correct".
00:50:01 Quand il y a un peu plus de "stain" concernant la moralité,
00:50:03 les religions perdent, parce que nous disons
00:50:05 que nous sommes un pays laïque. Je comprends qu'il y en a.
00:50:07 Mais ça n'est pas venu de peu, comme on l'a entendu
00:50:09 récemment, et je vais vous donner un exemple.
00:50:11 Je vais vous dire qu'il y a un tabou, nous,
00:50:13 dans la Maurice. Moi, il y a une
00:50:15 madame, une mademoiselle, Chania,
00:50:17 en France, qui a devenu, pendant son coup,
00:50:19 17 ans,
00:50:21 c'est un avocate
00:50:23 de sa petite fille-là, de la famille
00:50:25 des victimes. Elle est sortie avec Paul Ayel
00:50:27 sur le frontois, elle a parlé de justice.
00:50:29 Elle a dit que la justice,
00:50:31 pourri, on ne peut plus faire confiance à la justice.
00:50:33 - Mais, Nago, ou Agor, Agor, Agor...
00:50:35 - Ici, si on peut faire compter pour compte,
00:50:37 si on peut faire cela, on ne peut pas faire sa sortie.
00:50:39 Pas dire ça, pas dire ça.
00:50:41 Si on ne fait ça, on va dire qu'il y a une façon plus sensuelle
00:50:43 de dire, on ne gagne pas le droit, parce que même le judiciaire
00:50:45 doit être "accountable" dans les limites
00:50:47 de la bienséance. Ici,
00:50:49 on fait dire qu'on croit au quoi ? "Politic accountable",
00:50:51 "la police accountable", "ou accountable",
00:50:53 peut-être. C'est moi, le judiciaire,
00:50:55 au départ. Nous, tous, si nous sommes responsables,
00:50:57 nous ne connaissons pas comment nous pouvons dire aux gens
00:50:59 qu'on n'est pas d'accord avec ce jugement-là.
00:51:01 On ne peut pas faire comme ça, car on peut faire tout le monde
00:51:03 qui a un sens d'indépendance
00:51:05 sous-médiate, à une
00:51:07 logique politique. En fait, c'est la politisation, ça.
00:51:09 Vous avez tous les cas qui meurent,
00:51:11 "highly political profile",
00:51:13 on n'est pas capable. Alors, il y a cette politisation-là.
00:51:15 Après, vous connaissez,
00:51:17 il y a notre parrain, le président,
00:51:19 je suis pas votre président, là. Je vous dis, moi,
00:51:21 je ne suis pas votre président, mais je vous dis, il y a une signature
00:51:23 au sommet de l'État, c'est le poste
00:51:25 du vice-président de la République.
00:51:27 Parce que ça a coûté énormément d'argent,
00:51:29 personne ne parle de tout ça.
00:51:31 C'est une autre contradiction énorme
00:51:33 qui nous a avalés. Soit disons
00:51:35 que nous étions venus en République en 1992,
00:51:37 c'était pour avoir six mois de souveraineté
00:51:39 qui partait complète avec l'indépendance.
00:51:41 Mais vous savez, si
00:51:43 dans le judiciaire, on trouve que c'est une bonne affaire
00:51:45 qu'un politicien, mais comment un souverain
00:51:47 qui a pris le coup d'appel en dernier trouve
00:51:49 que le roi, le privé
00:51:51 council of the king,
00:51:53 s'il ne nous pas adresse ça, moi, je vais vous dire moi,
00:51:55 et moi, vous trouvez dans l'État qui nous était, tant mieux
00:51:57 les contrats. Mais c'est mort. Mais tant mieux.
00:51:59 Ça ne résout pas
00:52:01 le paradoxe et la contradiction qui existait
00:52:03 nous-mêmes. Ça résout la souveraineté ultime.
00:52:05 Il y a encore résident avec le
00:52:07 bien qu'il y ait une crise indienne avant de s'en faire, je ne vais pas pouvoir entrer.
00:52:09 Donc on dit, mais dans ce souveraineté. Non, mais on peut poser
00:52:11 la question, moi, de l'immédiat, qui nous donne
00:52:13 une indépendance qui part complète.
00:52:15 Pour ce qui est du rôle du président.
00:52:17 Le rôle du président maintenant.
00:52:19 Quand le président, il choisit finalement,
00:52:21 c'est le prime minister who calls the shot.
00:52:23 Comment grâce à un président,
00:52:25 il y a un président, ils font partie
00:52:27 de l'exécutif finalement, lié à la cheffe de l'État.
00:52:29 Nous avons besoin de faire des esprits,
00:52:31 comme on dit en créole, nous avons besoin de faire des esprits.
00:52:33 Nous pouvons payer un mansomme énorme
00:52:35 finalement que sous tous les gouvernements.
00:52:37 Je ne m'en dis pas,
00:52:39 quand les pénètrants ont pu le faire, nous avons eu là-bas
00:52:41 fait assiser. Après quand il y a là-bas,
00:52:43 les présidents moraux, ils ne finissent pas
00:52:45 dans le rôle du président.
00:52:47 Nous avons besoin d'un chef d'État,
00:52:49 mais tous les partis politiques doivent
00:52:51 s'accompagner du régime présidentiel.
00:52:53 Ce n'est pas une affaire pour moi,
00:52:55 moi, des enfants de la transition,
00:52:57 je ne peux pas m'y mettre,
00:52:59 la génération Z ne peut pas comprendre.
00:53:01 Je ne peux pas m'y mettre.
00:53:03 Nous faisons ça parce qu'il y a un projet politique
00:53:05 de compromis d'abord.
00:53:07 Dans le contexte de l'alliance.
00:53:09 Pas de gens qui ne sont pas là-bas, ils ne sont pas là-bas.
00:53:11 Et à cause de ça, tous ceux qui bénéficient de ça,
00:53:13 je ne sais pas si je peux dire ça à tout le monde,
00:53:15 mais je ne sais pas combien de gens sont présidents,
00:53:17 vice-présidents, tout ça,
00:53:19 secretaires privilégiés.
00:53:21 Je crois qu'il y a beaucoup de présidents dans le monde.
00:53:23 Et qui peut le payer,
00:53:25 Michael?
00:53:27 Qui peut le payer,
00:53:29 et nous pouvons faire un débat.
00:53:31 Si nous nous cadrons à ça,
00:53:33 nous pouvons le faire de façon simple.
00:53:35 Le modèle de gouvernement de Singapour
00:53:37 est basé sur trois choses.
00:53:39 Méritocratie, pragmatisme,
00:53:41 et je ne sais pas si je peux dire ça,
00:53:43 mais les gens qui prennent tout ce qui ne vaut pas au tout,
00:53:45 ils mettent ça, ils font ce système,
00:53:47 qu'ils croient qu'il y a de l'Amérique.
00:53:49 Après les gens, à la base de tout ça,
00:53:51 il y a l'honnêteté, MPH.
00:53:53 Je ne me trompe pas.
00:53:55 Mais si nous demandons au parti politique
00:53:57 et au gouvernement de faire un service,
00:53:59 ils s'appliquent un peu à ça.
00:54:01 Ce qui nous fait dire avec raison,
00:54:03 comme Christine dit également,
00:54:05 c'est qu'il y a un long processus,
00:54:07 parce que sa population ne comprend pas,
00:54:09 et qu'on peut dire démocratie directe.
00:54:11 On peut dire qu'une démocratie,
00:54:13 il faut assurer que tout le monde
00:54:15 peut voter, il y a une obligation.
00:54:17 Parce que si le gouvernement a 30% de la population,
00:54:19 mais 70% de l'autre,
00:54:21 quelle démocratie peut-on faire pendant cinq ans ?
00:54:23 Il y a tout un impondérable et incomplet
00:54:25 qui est dans cette équation-là.
00:54:27 Alors, c'est un peu plus facile.
00:54:29 Nous ne pouvons pas dire ça.
00:54:31 Jusqu'à ce qu'on arrive là-bas,
00:54:33 nous ne pouvons pas dire qu'il y a un manque de confiance,
00:54:35 de crédibilité au niveau du leadership,
00:54:37 du niveau politique,
00:54:39 mais tout est politisé, et chacun doit prendre sa responsabilité.
00:54:41 Pour nous faire ça,
00:54:43 à l'intérieur de nos partis, je donne un exemple.
00:54:45 Je fais une suggestion à l'avant-vite.
00:54:47 Par exemple, dans notre parti,
00:54:49 je connais l'un, si je ne me trompe pas,
00:54:51 il y a un certain nombre qui ne veut pas
00:54:53 être le leader de leur parti.
00:54:55 Par exemple, si un leader perd les élections,
00:54:57 je ne veux pas faire que, surtout deux fois,
00:54:59 mon père vise un des gens en particulier
00:55:01 qui dit à un autre,
00:55:03 "Il n'est pas en ligne, il doit s'assumer des missions,
00:55:05 il doit être pris au travail."
00:55:07 On n'est pas capable d'avoir un indispensable,
00:55:09 indispensable,
00:55:11 on ne peut pas dire qu'il est indispensable,
00:55:13 mais il fait le gouvernement.
00:55:15 Alors, il y a une contradiction là-dessus.
00:55:17 Si on est capable de faire ces choses-là,
00:55:19 on ne trouvera qu'un gouvernement qui émerge.
00:55:21 On ne peut pas le libérer.
00:55:23 Par exemple, l'Angleterre,
00:55:25 ce n'est pas les élus,
00:55:27 il y a un backbencher, je connais un petit comité,
00:55:29 s'il a une cause de chute, s'il a une question de Mme Thatcher,
00:55:31 au sommet de son pouvoir,
00:55:33 il n'y a pas de jeune médiateur qui se parle d'elle-même.
00:55:35 Mais, je peux vous dire, il y a une démocratie du parti
00:55:37 qui a prévalu. La démocratie du parti.
00:55:39 Là, quand je dis que je peux infringer
00:55:41 nos démocraties électorales,
00:55:43 voilà comment c'est.
00:55:45 - Allez, Daniel Bradel.
00:55:47 - Je pense que, moi, sa présidence qui nous est là,
00:55:49 le fait qu'il est politique comme il est,
00:55:51 ça veut dire qu'il est redevable envers un premier ministre.
00:55:53 N'importe qui peut le mettre devant lui.
00:55:55 Il n'est pas besoin de le guérir,
00:55:57 il n'est pas signé.
00:55:59 Est-ce qu'il a sa paix ? Là, nous avons le garant de la Constitution,
00:56:01 qui lui fait une garantie depuis l'invigne ?
00:56:03 Explique-moi.
00:56:05 Au contraire, il a une faussée.
00:56:07 Parce que, lui, un nominé politique,
00:56:09 aussi longtemps qu'il n'y a pas
00:56:11 un nominé politique à la MBC,
00:56:13 dans le judiciaire,
00:56:15 dans les cas de l'FIU.
00:56:17 Non, non, non,
00:56:19 le chef de justice, c'est...
00:56:21 - Il n'est pas un nominé politique.
00:56:23 - Est-ce que vous savez qu'il y a un chef de justice,
00:56:25 un nominé politique,
00:56:27 qui est aussi bien un sikhien,
00:56:29 qui est aussi bien un chef de justice,
00:56:31 et non pas un nominé politique ?
00:56:33 Est-ce que vous savez qu'il y a un chef de justice,
00:56:35 le premier ministre Anirudjangna, qui fait ça ?
00:56:37 Et il y a là, ce gars-là,
00:56:39 qui conteste, il a l'air insensé.
00:56:41 C'est-à-dire qu'un premier ministre,
00:56:43 il met un chef de justice.
00:56:45 - Là, maintenant, il ne peut pas faire ça.
00:56:47 - Mais, finalement,
00:56:49 il a le droit de faire son travail
00:56:51 dans son bureau.
00:56:53 - C'est un autre débat.
00:56:55 - C'est ce qu'il va faire dans le judiciaire.
00:56:57 - Il est vrai qu'il y a un débat là-haut.
00:56:59 Ça veut dire qu'il n'a pas le droit
00:57:01 d'être envoyé,
00:57:03 d'être muté,
00:57:05 pour aller dans le bureau du DPP,
00:57:07 ou bien tourner au général service.
00:57:09 Donc, il n'a pas d'avocat.
00:57:11 Il a besoin d'une école de la magistrature.
00:57:13 La question fait débat.
00:57:15 Il n'a pas le droit de dire non.
00:57:17 Pour avoir 20 ans, il a besoin de 5 ans
00:57:19 de pratique au baro.
00:57:21 Donc, si on rentre dans la magistrature,
00:57:23 directement, ou à droite,
00:57:25 il a besoin de 20 ans.
00:57:27 Il a besoin de 5 ans de pratique.
00:57:29 Il ne faut pas nous résumer.
00:57:31 C'est un autre débat.
00:57:33 Il y a des choses plus complexes.
00:57:35 Peut-être qu'il y en a aussi
00:57:37 qui ont besoin de 10 ans.
00:57:39 Peut-être qu'il y en a aussi
00:57:41 qui ont tout ça.
00:57:43 C'est un plus grand débat.
00:57:45 - Oui.
00:57:47 - Moi, je dirais que
00:57:49 aussi longtemps qu'il y a un premier ministre
00:57:51 qui détient tout le pouvoir
00:57:53 et qui est citoyen à Mauritius,
00:57:55 la seule personne qui peut décider
00:57:57 qui s'en a à mettre.
00:57:59 Il n'y a pas de ministre dans le cabinet
00:58:01 qui est capable de dire
00:58:03 "Monsieur le Premier ministre,
00:58:05 je ne suis pas d'accord,
00:58:07 je ne me moque pas d'accord."
00:58:09 Il se déplace dans le cabinet.
00:58:11 Il reste tranquille.
00:58:13 Il fait ça tout le temps.
00:58:15 Pendant 55 ans, tout le monde
00:58:17 reste tranquille.
00:58:19 Est-ce que vous pouvez nous dire
00:58:21 comment vous pouvez faire pour que
00:58:23 dans le parti qui est au gouvernement,
00:58:25 qui finit révolter et qui finit aller,
00:58:27 bien bien, re-arriver dans des affaires comme ça,
00:58:29 tous ces qu'il y a,
00:58:31 c'est ces bonnes personnes qui,
00:58:33 je devine là, je devine dire "Oui, monsieur."
00:58:35 "Yes, man." Parce que si tu n'es pas "Yes, man,"
00:58:37 tu ne peux pas demain.
00:58:39 Mais aussi longtemps qu'il n'y a pas un premier ministre
00:58:41 qui a tout son pouvoir là,
00:58:43 il met tout ce monde partout.
00:58:45 Ce monde goalkeeper partout.
00:58:47 Mais comment, comment,
00:58:49 comment la tête d'un goalkeeper?
00:58:51 Et comment le public peut le sentir?
00:58:53 Ça veut dire que Christian,
00:58:55 que les peuples là, ils finissent de se déboussoler.
00:58:57 Ils ne peuvent pas trouver comment ils sont capables
00:58:59 d'avoir un avenir dans un pays
00:59:01 et beaucoup de petits pays là, bien allez.
00:59:03 Parce que, ils finissent de trouver
00:59:05 dans ce modèle-là, "For children of tomorrow",
00:59:07 il n'y a pas d'avenir là-dedans.
00:59:09 Aussi longtemps qu'il n'y a pas un premier ministre
00:59:11 qui a tout son pouvoir, il ne peut pas avoir une dictature concentrée.
00:59:13 Ce qu'il nous faut faire,
00:59:15 c'est décentraliser son pouvoir.
00:59:17 Plusieurs personnes capables
00:59:19 de discuter, donner leur opinion, "freely".
00:59:21 Il ne faut pas qu'il y ait un cabinet,
00:59:23 un "prime ministerial cabinet".
00:59:25 Il faut vraiment un gouvernement
00:59:27 qui dirige un pays, pas un premier ministre
00:59:29 qui dirige un pays. Et dans ce cabinet-là,
00:59:31 ce n'est pas un "prime minister" qui décide.
00:59:33 Tout le monde doit avoir un vote équal.
00:59:35 Tout le monde est capable de ça.
00:59:37 Et une autre chose aussi encore,
00:59:39 qui est bien importante, il ne faut pas qu'un premier ministre
00:59:41 ait le droit de révoquer un ministre.
00:59:43 Une fois qu'il y a un premier ministre,
00:59:45 il ne faut pas révoquer un ministre,
00:59:47 le ministre infini est payé.
00:59:49 Ce qui veut dire que pour révoquer un ministre,
00:59:51 il faut un tribunal spécial
00:59:53 pour que la décision soit prise par le tribunal.
00:59:55 Un juge qui décide, avec tout le monde devant lui,
00:59:57 s'il y a un pouvoir pour révoquer un ministre,
00:59:59 pas un premier ministre.
01:00:01 C'est intéressant.
01:00:03 Il y a des gens qui disent que c'est le premier ministre
01:00:05 qui nomme souvent le ministre.
01:00:07 Il faut révoquer tout ça.
01:00:09 Il est vrai qu'il faut révoquer la décentralisation du pouvoir.
01:00:11 Nous pouvons révéler cela avec Tris.
01:00:13 Merci beaucoup.
01:00:15 - Amo 1 V2, téléphone nul au 213 777.
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01:10:03 Je ne tenais plus ni compassion, ni moral scrupule comme on dit en anglais, parce que c'est ce qui peut être d'autres, capables, réfuges, ou vivre dans le déni.
01:10:12 C'est ce qui à cette population-là, si lui aussi lui vit dans le déni. Mais il texte tout le temps go.
01:10:18 Allez-y, mais maintenant, nous pouvons évoquer la population justement. Nous pouvons dire que moi, on évoque des banques politiques qui sont justifiées, de la classe politique, des banques de dirigeants, peut-être même des banques élites et des banques intellectuelles,
01:10:29 mais maintenant la population, donc comment est-ce qu'il est capable d'avoir des réponses aux places dans sa decision-making process, dans tout ça-là?
01:10:39 Comment est-ce qu'il est capable d'exiger la comptabilité? Comment est-ce qu'il est capable d'exiger qu'une institution fonctionne, qu'il est capable de faire pour qu'il regagne le pouvoir d'une certaine façon?
01:10:47 Enfin, il n'est pas impossible, mais c'est moi qui prends un travail hors-dur. Il n'y a personne, aucun politicien, qui ne va pas appeler pour voir si l'éducation est paie-plate.
01:10:56 Il n'a pas intérêt, c'est qu'il est prêt pour voir.
01:11:00 Exactement, mais ceci dit, la seule décision que le peuple a qu'à prendre, c'est jouer l'élection. Et même sa décision-là, nous connaissons comment il est capable de faire, parce qu'il y a beaucoup de facteurs qui jouent l'ordre du monde.
01:11:15 Il a besoin de questions, il peut avoir une brigandise, par exemple, ou bien un job pour gagner, ceci, cela.
01:11:21 Cela veut dire qu'il a beaucoup de travail à faire pour arriver à ce niveau-là.
01:11:26 Nous avons Gaëtan qui peut téléphoner, nous deux qui sommes en pip. Gaëtan, bonsoir.
01:11:31 Bonsoir Michael, bonsoir Mr Gaëtan.
01:11:34 Moi, Roger, Ramragen, Mr Chris et Danny, nous avons un débat très intéressant, nous pouvons écouter d'autres avec beaucoup de passion. Et je pense qu'il y a une petite nuance quelque part qu'il ne faut pas laisser passer.
01:11:52 Je ne sais pas si vous êtes au courant, Danny peut dire, quand dans le pouvoir, il faut rester en pouvoir, il n'y a pas qu'à acquérir le pouvoir.
01:12:03 Danny, il a une petite erreur quelque part, nous concluez.
01:12:07 Nous connaissons, nous avons le PMSD avec 9 députés dans le gouvernement, démissionnés à cause de la protection des démissionnés.
01:12:21 Il ne faut pas oublier cela.
01:12:24 Un vice-premier ministre avec tous les privilèges qu'il a, il peut avoir son avantage, il peut avoir son avantage.
01:12:33 Ceux-là, les députés, ils démissionnent juste pour ça, ils n'en ont pas assez.
01:12:39 Deuxième fois qu'ils démissionnent, dans le gouvernement encore, je ne sais pas si c'est Danny, je ne sais pas qui il est, Danny, je ne sais pas si tu connais l'histoire, GN-114.
01:12:48 95?
01:12:50 95.
01:12:52 GN-114, le boss pourri, tu peux compter sur lui dans tout l'examen CPE.
01:13:00 PMSD, quitte gouvernement.
01:13:04 Il ne faudrait pas nous dire quand, on va dire, tu penses qu'il reste dans le pouvoir, moi j'ai oublié de votre idéologie, j'ai oublié de votre cerveau.
01:13:13 Et c'est ça le mauvais.
01:13:15 Quand on parle de l'élection, combien d'électeurs qui prennent le temps à s'isoler dans un programme, un parti politique? Combien?
01:13:26 Ils prennent le lit, ils tournent le lit, ils font la claque, ils se battent pas à la coque, ils prennent le lit, ils le mettent de l'autre côté, là-bas, ils vont voter.
01:13:32 Ils ne parlent pas de ce programme. Et dans tout ce qui nous peut causer, comment on peut résoudre ça?
01:13:37 On peut répéter peut-être, on pourrait répéter jusqu'à la veille des élections.
01:13:43 Si l'alternative ne vient pas avec un programme établi, évité par la population.
01:13:52 Faites attention. La population en entière peut dément qui veut voir la constitution.
01:13:58 Moi je ne connais pas le même, même le PMSD, le post-travail, qui veut faire l'alternance, mais qui vient devant l'électorat avec un programme solide.
01:14:10 Qui nous peut causer démocratie directe? Si vous prenez en majorité trois corps, si vous prenez en majorité trois corps pour amende la constitution, vous n'avez pas de compétences.
01:14:22 C'est non-nié. Maintenant, si vous prenez un rôle d'emparlement avec une majorité minime,
01:14:29 même si dans le programme, il y a écrit noir sur blanc, comment nous bouger dans le pays, prochain 10 ans, prochain 15 ans, c'est ça la population des bizins.
01:14:41 Avant de finir, je vais vous donner un dernier exemple. Un dernier exemple, et ça pour faire une grande bouquins dans mon reste actuellement, dans ces semaines là.
01:14:49 Le directeur général de la MPA, qui est un bizin démissionné en quatrième vitesse. Je connais comment il arrive là-bas.
01:15:01 Comment il arrive directé à l'époque, c'est un peu ce clé, un tournant de l'économie. Comment ça M.Lafayne arrive comme directeur général là-bas?
01:15:10 Parce qu'il faisait partie du FCM. Il faisait partie du FCM, et il y a un groupe dans ce rôle de religion, nous faisons le côté commun, alors ils prennent la personne et nous mettent là-bas sans qualification.
01:15:24 Si il n'appartient pas à aucune question vis-à-vis du premier ministre, je vous dis que maintenant l'enquête de haut n'est pas la suité, vous voulez une face sur cet égard.
01:15:35 Alors comment on peut gérer aujourd'hui? Il ne faut pas nous faire politique, il faut que nous ayons une politique globale pour nos enfants.
01:15:47 Merci beaucoup, merci Gatombe. Merci au moins d'intervenir. Donc on fait un bon point.
01:15:54 Je pense que le PMSD a été évoqué par le gouvernement. Il y a aussi le cas de Diaboukou en 1995. Si je ne me trompe pas, le PMSD est rentré dans le gouvernement après la double partielle de 1995 au numéro 19.
01:16:09 C'était un joli mouvement politique. Et voilà, concernant M. Presley-Paul qui fait une visite de missionnaire de CHCL, nous avons évoqué le fait qu'il y ait un premier ministre.
01:16:24 Donc il y a des gens qui ont envie et le problème c'est que des fois, pour des raisons, c'est grave. Là aussi c'est une faillite des institutions qui ne nous sont pas réalisés, nous ne connaissons pas si c'est vrai.
01:16:39 Ça dit, nous avons un certificat, nous n'avons pas un certificat qui nous occupe de ça. Mais là aussi c'est un cas de faillite d'institution.
01:16:47 Oui, mais au fait, je reviens à la notion qu'il y a un PH méritocratiste. Ça dit, qui doit mourir ? Je me trouve souvent, même dans le média, nous faire un espèce de cliché.
01:16:58 Vous savez, méritocratie, par exemple si vous êtes un ménager, vous dites à un ménager là il y a un PHD ou un MBA, ça n'a rien à faire avec le travail.
01:17:06 Il ne faut pas nous vannement un petit peu, moi je me trouve souvent en association politique, je me trouve souvent rentré, il y a un tel et un grand degré dans je ne sais pas qui, droit de l'institut, ça n'a rien à faire avec le service du pays.
01:17:16 Alors, il ne faut pas qu'on mérite, par exemple moi je travaille dans l'aviation, je m'évalue un petit peu par rapport à ce qu'il peut faire là-bas avec ceux.
01:17:23 Puis il peut monter, il peut avoir une vision, alors je dis qu'il ne peut qu'intégrer tout ce qui forme l'organisation.
01:17:28 Mais nous fait, et regarde à Maurice, un politicien, il dit à un PHD, ça n'a rien à faire avec mon travail.
01:17:38 Il est un homme de loi, il est un chéchis, il a dit ça.
01:17:43 Il ne faut pas que les gens se performent avec ce qu'ils se tracquent et il ne faut pas qu'ils se vannement.
01:17:49 Mais au moins Lola a par rapport à la falsification.
01:17:53 Non, c'est ce que je peux vous dire, c'est que ce qu'il a dit, c'est basé sur le fait qu'il était en filiation avec un groupe de lobby, qui est FCM.
01:18:02 Mais c'est vraiment à la décharge du PMSD, mais là nous ne pouvons pas dire que si tu démissionnes, tu le mérites.
01:18:08 Quand tu es venu en 1987, tu as démissionné.
01:18:12 Mais oui, nous donnons notre mérite.
01:18:14 Mais c'est moi qui suis au fond aujourd'hui, c'est moi qui ai coupé 2000 larges scènes qui nous ont décrié aujourd'hui.
01:18:19 Nous pouvons dire, nous, je ne peux pas apporter une solution, je ne peux pas donner un déclic qui nous peut dire, par exemple,
01:18:24 qui à l'intérieur de notre parti et au-delà, qui se plaint bien.
01:18:28 On va se faire un point. Il y a Raouf qui peut téléphoner nous de Kato Burne. Raouf, bonsoir et sorry qu'il vous fasse attendre.
01:18:33 Bonsoir Michael et bonsoir les invités.
01:18:35 Allez, nous écoutons Mr Raouf.
01:18:37 Programme bien intéressant, votre proposition est tout le temps bien intéressante.
01:18:40 Mais vous savez, moi, si je suis Premier ministre, je ne vais jamais me laisser me faire croire que je suis une bonne privilégiée.
01:18:47 Encore moins, c'est moi qui aspire.
01:18:49 Encore moins, c'est moi qui aspire dans cette position-là.
01:18:53 Et surtout, je suis déjà une bonne privilégiée auparavant.
01:18:57 Maintenant, alors...
01:18:59 Oui, oui, nous l'écoutons, nous l'écoutons Mr Raouf.
01:19:01 Vous savez, il y a une expression en anglais qui dit "Où est le belle de Kato?"
01:19:06 OK, c'est tout, Michael, bonsoir.
01:19:08 Merci beaucoup, Michael, bonjour.
01:19:10 Allez, merci beaucoup. Et d'ailleurs, nous avons vu une première ministre pour nous remettre ce pouvoir.
01:19:13 En tant que leader même, nous n'avons pas accepté qu'il soit recruté.
01:19:16 Nous avons le pouvoir.
01:19:18 Mais c'est là que la population a un rôle, vous savez, exige des gestes, vous savez, montrer, voilà,
01:19:24 si maintenant, vous avez envie de nous soutenir, donc électoral, vous savez, montrer que les choses vont changer.
01:19:31 Donc, dis-moi, comment le cabinet s'est garanti, il a remis le papier et qu'est-ce qu'il a fait?
01:19:37 Pour responsabiliser les peuples, moi, je vous avoue, soyons réalistes.
01:19:43 La prochaine fois qu'ils vont prendre une décision, c'est que les élections sont terminées.
01:19:47 En fait, dans un an, un peu plus d'un an.
01:19:50 Mais c'est tout. Parce qu'ils ne peuvent pas faire de solidification pour réagir,
01:19:54 pour prendre leurs problèmes pays, pour défendre le bien commun,
01:20:01 pour qu'il y ait une compassion, comment je peux dire,
01:20:05 pour qu'il y ait un élan dans eux, maintenant, en 1969-70,
01:20:09 maintenant, dans l'époque Andiallée, l'époque de Thuride, dans Belviarril,
01:20:14 pour gagner ça.
01:20:17 Ils demandent beaucoup l'éducation des peuples,
01:20:20 ils nous ont donné un cycle depuis l'indépendance,
01:20:24 1983 avec l'industrialisation, leurs ans, leurs ans, leurs ans,
01:20:29 pour casser ça, c'était là.
01:20:31 Ce n'est pas facile, ce n'est pas facile.
01:20:33 Parce que, les gens, quand même, il y a des êtres humains,
01:20:35 ils n'ont pas envie que leurs enfants gagnent ça,
01:20:37 ils n'ont pas envie qu'ils gagnent ça, telles, telles, telles affaires,
01:20:39 ils peuvent gagner ça pour eux.
01:20:41 La notion du bien commun, c'est un peu loin pour eux.
01:20:44 Là, c'est l'occasion de gagner en ça, mais là aussi,
01:20:48 c'est un système d'aller choisir entre A, B, et des trois cycles qui vont devenir.
01:20:53 Oui, vous comprenez ?
01:20:55 Un petit peu, un cycle qui va devenir.
01:20:57 Mais, là, il y a un moment, l'autre,
01:20:59 les peuples, ils se réparer, parce qu'ils ont fait ce système-là.
01:21:02 Mais ça, vous le dites avant, là, ils font une bonne proposition,
01:21:05 leur constitution, mais dans le programme.
01:21:08 Enfin, je ne veux pas trop saisir, je ne sais pas si vous avez vu ça,
01:21:10 mais je pense que ça, c'est pas une bonne affaire,
01:21:13 si un parti politique, dans un autre programme,
01:21:16 il veut dire, à la lila, nous poussons dans cette constitution-là,
01:21:19 si y a tout, il ne faut pas nous mettre beaucoup d'affaires,
01:21:23 c'est pas vous dire, mine de dire rôle président,
01:21:25 tiers président, vice-président, tout ça.
01:21:27 Moi, je veux dire, focus, concentration de pouvoir,
01:21:31 le premier ministre.
01:21:33 Il faut gagner ça.
01:21:35 Le gouvernement, quand il connaît les peuples qui ont un pouvoir,
01:21:38 il ne peut pas le dire ça.
01:21:40 Quand il est dans l'opposition, il est là pour dire,
01:21:42 c'est dans cette constitution.
01:21:44 Donc, il a un pouvoir. Il faut dire, si il met ça,
01:21:46 ça devient une condition fondamentale pour les peuples.
01:21:48 Les peuples trouvent ça, ils disent, oui,
01:21:50 on va le voter si tu mets ça.
01:21:52 Il faut dire, ça n'est pas important dans ce sens.
01:21:55 Si vous mettez un point important dans un programme
01:21:58 où vous avez 1000 roupies de pension,
01:22:00 ça devient le focus,
01:22:02 mais là, vous pouvez comprendre,
01:22:04 personne n'a pas parlé d'un changement constitutionnel.
01:22:06 Moi, je peux penser, je peux dire,
01:22:08 oui, il y a une limitation dans cette proposition-là.
01:22:10 Il n'y a pas grand-chose,
01:22:12 mais au moins, il peut donner une petite garantie
01:22:14 qu'il peut avoir moins de concentration de pouvoir,
01:22:16 parce que moi, je crois
01:22:18 que la concentration de pouvoir dans la même salle du monde
01:22:20 implique une grande source
01:22:22 de tous les maux de ce pays.
01:22:24 Allez, monsieur, le mot de la fin.
01:22:26 Donc, qui nous peut attendre pour nos pays?
01:22:30 Pour remonter un peu,
01:22:32 je sais qu'il y a de tout à dire.
01:22:34 Moi, je pense qu'en ce moment,
01:22:36 si je peux résumer,
01:22:38 nous ne pouvons pas faire une grande évaluation d'un sujet.
01:22:40 Mais nous pouvons vivre un moment
01:22:42 où nous avons une grave crise de confiance
01:22:44 dans nos 10 membres.
01:22:46 Nous ne sommes pas des institutions,
01:22:48 mais vis-à-vis des 10 membres qui représentent
01:22:50 notre institution, parce qu'il y a 10 membres
01:22:52 qui représentent notre institution.
01:22:54 Cette grave crise de confiance-là,
01:22:56 je trouve que les politiques, les politiques mainstream
01:22:58 n'ont pas pu adresser ça du tout,
01:23:00 parce qu'un vote, c'est quoi ça?
01:23:02 Un vote, c'est une confiance.
01:23:04 C'est une confiance qui peut nous aider.
01:23:06 - Il y a un vote de confiance.
01:23:08 - Il y a un vote de confiance sans qu'on puisse comprendre rien,
01:23:10 ou sans qu'on puisse donner ça à l'eau qui baisse.
01:23:12 C'est là que je veux dire, nous vivons dans un système,
01:23:14 il ne faut pas l'oublier, et qui nous fait faire pédagogie.
01:23:16 Nous vivons dans une société, dans une moulée économique.
01:23:18 C'est là que je crois que Christy touche là,
01:23:20 je vais répondre à elle.
01:23:22 Pourquoi les gens sont-ils si contents?
01:23:24 Parce qu'ils nous programment
01:23:26 dans un monde de compétition,
01:23:28 pas de coopération.
01:23:30 Et pourtant, je veux dire une chose,
01:23:32 malgré qu'ils ne puissent pas faire un paquet de procès
01:23:34 sur la population, quand nous nous fréquentons
01:23:36 dans un quartier, je peux dire honnêtement,
01:23:38 nous nous fréquentons dans toutes les communautés,
01:23:40 nous nous contactons, il y a un sens d'altruisme
01:23:42 qui est très très long, en paradoxe,
01:23:44 en contradiction, avec ce qu'ils veulent faire
01:23:46 quand ils veulent voter. Par exemple,
01:23:48 je dis à mes camarades, qui sont musulmans,
01:23:50 est-ce que tu as des amis qui peuvent t'aider dans ce domaine?
01:23:52 Est-ce que tu as une place pour te poser
01:23:54 comment tu te trouves, parce qu'il y a une autre communauté
01:23:56 qui te remet ta place? Je ne pense pas.
01:23:58 Il y a beaucoup de gens, il y en a qui viennent
01:24:00 de ce communauté avant de venir dans cette religion.
01:24:02 Mais la plupart de ces gens-là,
01:24:04 le sens d'altruisme prévaloir.
01:24:06 Qui nous fait dire à nos politiciens,
01:24:08 je te fais un serment pour servir le pays.
01:24:10 Mais enfin,
01:24:12 est-ce qu'il est difficile, on finit
01:24:14 avec une pension garantie quand on est élite des fois.
01:24:16 On peut finir avec tout ça là.
01:24:18 Mais on n'est pas capable de mettre le service
01:24:20 et l'intérêt public en avant
01:24:22 pour résoudre tout ce débat qu'il nous peut faire.
01:24:24 Sa qualité de monde, une femme qui est naissante.
01:24:26 Si on fait grand grand discours,
01:24:28 nous avons beaucoup de procédés,
01:24:30 il y a beaucoup de bonnes idées qu'il nous peut mettre,
01:24:32 mais ça nous demande extra beaucoup les temps.
01:24:34 Mais c'est bon si là, le déclic vient du fait
01:24:36 que le chef,
01:24:38 il est qui fait que le service passe avant tout
01:24:40 et l'intérêt public. Mais nous tous, nous avons un problème.
01:24:42 Nous n'avons pas trop l'intérêt public,
01:24:44 nous avons trop l'intérêt personnel, l'intérêt du patronage
01:24:46 qui est le lobby, qui passe avant tout.
01:24:48 Dans tout ce qu'on fait.
01:24:50 Même quand je suis allé au Thaïlande, la religion a été politisée.
01:24:52 Bien sûr, pas tout,
01:24:54 mais il y en a beaucoup
01:24:56 qui sont comme ça.
01:24:58 - Allez, voilà, dans les marins d'Aden,
01:25:00 si une personne, il y en a une grande qualité
01:25:02 comme Rajpe explique-nous,
01:25:04 compassion, altruisme, humanité,
01:25:06 tout ça, il n'y a pas de politiciens dans nos pays.
01:25:08 - Merci.
01:25:10 - Bien voilà, donc,
01:25:12 merci, merci d'avoir participé
01:25:14 à notre très bonne présence, à nous l'invitation.
01:25:16 Donc c'est la fin de Zoom Extra,
01:25:18 demain, pas oublié, il y a l'émission,
01:25:20 donc, Rador le Pepe.
01:25:22 Et voilà, bonne soirée à vous tous
01:25:24 et bonne soirée à vous, messieurs.
01:25:26 *Bruit de la télé*
01:25:28 Une extra.

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