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00:00 Quand on s'appelle Thierry Bécaro, combien on touchait sur Motus ?
00:03 D'abord on touchait à peu près combien ?
00:07 Ça faisait 16% de part de marché,
00:10 650 000 personnes.
00:13 650 000 personnes, merci Thierry.
00:15 J'irai pas plus loin, je le connais par cœur, il me répondra pas.
00:17 On va tenter celle-ci peut-être.
00:19 Est-ce qu'on a une bonne retraite quand on s'appelle Thierry Bécaro ?
00:22 Est-ce que tu peux tenter cette question ou pas ?
00:24 Oui, oui, bien sûr.
00:26 Thierry.
00:27 C'est vrai que ce mot, "retraite",
00:31 c'est un gros mot pour vous.
00:32 je sais pas d'où il sort,
00:34 parce que je me sens pas du tout retraité,
00:37 je continue à travailler.
00:39 Mais vous touchez une retraite.
00:40 Et ça va, oui, oui, oui.
00:41 Dans les 5 000 euros ?
00:43 Tout va bien et...
00:45 Combien ?
00:46 Dans les 5 000 euros ?
00:47 Oh, malheureux !
00:49 Non, non, mais un homme comme vous, comme Thierry Bécaro,
00:52 qui a fait autant d'années sur France Télé,
00:54 n'a pas 5 000 euros de retraite.
00:55 Non, non, non.
00:56 Donc c'est moi, on est d'accord ?
00:57 Voilà, absolument.
00:58 D'accord, ok.
00:59 L'émission que vous auriez rêvé de présenter, Thierry ?
01:01 J'avais dit à Nagui que le concept de "N'oubliez pas les paroles" était formidable.
01:07 Mais parce que moi, j'ai commencé par là,
01:09 j'ai commencé à noter les références de disques,
01:11 et c'est la chanson qui m'a aidé quand j'étais...
01:14 La musique m'a aidé pas mal à...
01:16 Et si on vous propose demain, vous pourriez y aller ?
01:19 On me pose la question.
01:21 Alors je vais vous répondre.
01:22 Si on me propose un projet dans lequel je suis aussi heureux
01:27 que j'ai pu l'être en présentant "Metus" ou "Télé matin",
01:31 allons-y.
01:32 Si j'ai la liberté...
01:33 D'accord.
01:34 Ah, c'est bien, c'est pas un nom négatif.
01:35 Si j'ai la liberté d'être...
01:37 Mais vraiment.
01:38 Ouais, "Pénard".
01:39 Oui, voilà.
01:40 C'est ça l'humour de Thierry, "Pénard".
01:42 Voilà, en gros.
01:43 Vous y allez.
01:44 Voilà, mais bon.
01:46 Le chroniqueur de "Touche pas à mon poste"
01:48 avec qui vous ne partiriez pas en vacances.
01:50 Est-ce qu'il y en a un ?
01:51 Vous ne partiriez pas avec lui.
01:53 J'ai beaucoup de mal avec...
01:56 J'adore Cyril.
01:58 Cyril a été formidable avec "Motus".
02:01 Mais je ne suis pas à l'aise dans cette émission.
02:04 Ah, d'accord.
02:05 Je ne suis pas à l'aise.
02:06 On m'y invite souvent.
02:07 Je leur demande de me pardonner.
02:10 C'est par rapport à quoi ?
02:12 Vous avez peur de vous faire attaquer ?
02:13 Je préfère un tête-à-tête...
02:16 Oui, mais c'est une question d'aisance.
02:18 De me retrouver dans un univers
02:20 dans lequel je ne me sens pas bien.
02:23 Je ne me sens pas à l'aise.
02:24 Je n'ai pas le...
02:26 D'accord, mais ça n'a rien à voir avec Cyril.
02:28 Non, non, non.
02:29 En fait, c'est la configuration du plateau.
02:31 C'est très particulier.
02:32 Tu connais, tu y as participé.
02:34 Tu vois comment ça se passe.
02:36 C'est comme intégrer...
02:39 Ça m'est arrivé, un film
02:42 dans lequel tout le monde se connaît
02:44 depuis trois semaines, un mois.
02:46 Chacun rigole, tout le monde se marre.
02:49 Et toi, tu es un peu à part.
02:51 Tout seul, oui, je comprends.
02:52 C'est un exercice particulier.
02:53 Je suis d'accord avec vous.
02:54 Je comprends ce que vous dites.