Rats à Paris : un groupe de travail mis en place pour que les Parisiens cohabitent avec eux !

Touche pas à mon poste

Le talk-show le plus populaire de France est de retour sur C8 pour une nouvelle saison de divertissement et de surprises. Au programme : de la darka, des scoops, des infos médias, du show et bien sur la bande réunie autour de Cyril Hanouna.  Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.mycanal.fr/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste  TPMP sur les réseaux sociaux :  Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV Twitter : https://twitter.com/TPMP Instagram : https://instagram.com/tpmptv/ Du lundi au vendredi à 19h05

Transcript

00:00 Je sais pas si vous avez vu, mais la mairie de Paris vient de mettre en place un groupe de travail pour que les Parisiens apprennent à cohabiter avec les rats.

00:05 C'est un truc de fou. Ça y est, maintenant, tu vas inviter des rats chez toi, tranquille.

00:10 - On les chasse plus, mais on apprend.

00:12 - Le principe, c'est d'abandonner les préjugés envers les rats.

00:14 C'est-à-dire que maintenant, comme ils peuvent plus rien faire, ils vont essayer de nous persuader que le rat, c'est un truc de fou.

00:19 Tu vois ou pas ? Que maintenant, tu peux manger avec un rat où il est tout tranquille.

00:22 Comme ici, de toute façon, on est morts, on peut plus rien faire.

00:25 Alors ils sont pas cons, ils sont enroulés. Qu'est-ce qu'on peut faire pour les embrouiller ?

00:29 - On disait que les rats étaient super, mais pas cons, parce que je te le dis, on peut dire que les rats, c'est un truc de fou, que les gens kifferaient avec des rats.

00:36 Maintenant, tu vas avoir des mariages humains-rats.

00:38 Non, mais je te le dis, ça va arriver. Avec ma vanne Hidalgo, elle va arriver.

00:42 Le rat, est-ce que tu veux bien prendre pour époux Mme Danielle Moreau, ici, par exemple ?

00:47 (Rires)

00:49 Voilà, oui, merci. Moi, je considère ça comme un oui. Voilà, merci.

00:52 Et de l'aimer et de la chérir jusqu'à ce que la mort vous sépare.

00:55 Quand même pas.

00:57 - J'ai pas vraiment de rien me dire qu'il avait déjà épousé un rat.

01:00 - Hein ?

01:01 - Les deux, vous êtes... Vous étiez avec Louis Boyard, la bûvette ?

01:06 Non, c'est quoi, l'histoire ?

01:08 - Non, mais je lui ai dit que j'avais déjà épousé quelqu'un.

01:10 - Non, c'était une gueule de blague, il parlait de secret de femme.

01:12 - Bah oui, un rat.

01:13 - Un rat, une radine.

01:14 - Bah faites-vous des blagues entre vous, tu vois.

01:16 - Je t'ai dit, tu vois.

01:17 - Regardez, le message à la base, on les mettra dans l'indic, voilà.

01:19 Pour l'instant, on fait une émission, quand même.

01:22 - Évidemment, ça ne passe pas pour tout le monde, en particulier pour le maire du 17ème, Joffroy Boulard.

01:28 Il s'appelle Joffroy Boulard.

01:29 - Non, je vous explique le nom.

01:30 - Il a raison, il est vénère, Joffroy, voilà.

01:32 Et pourtant, il n'a pas du tout de melon, regarde.

01:34 - Oh non, putain !

01:35 - Le mairé de Paris ne prend pas la mesure du problème, ne souhaite pas le faire, par idéologie,

01:40 puisqu'ils expliquent que les Parisiens peuvent s'accommoder d'une cohabitation avec les rats.

01:46 Il y a des maladies qui se développent, c'est porteur de pathogènes.

01:50 Et moi, je suis sidéré devant tant d'incompétences, c'est tout à fait inacceptable.

01:56 Inacceptable de laisser Paris comme ça.

01:58 C'est l'image qu'on renvoie à 44 millions de visiteurs étrangers chaque année.

02:03 - Ce qu'elle croit, c'est que même pour essayer de noyer le poisson...

02:07 - Il a raison, hein, Joffroy.

02:08 - Ils ne veulent plus qu'on les appelle des rats, ils veulent qu'on les appelle des surmulons.

02:11 - Ah, les surmulons !

02:12 - Les surmulons !

02:13 - D'ailleurs, là, tu n'as pas le droit de dire, tu dis "j'ai des rats chez moi", non, ce n'est pas possible, il n'y en a pas.

02:16 - C'est des surmulons.

02:17 - Oui, j'ai des surmulons, oui, voilà, c'est ce que vous avez chez vous, c'est certainement des surmulons, c'est très sympa.

02:21 - Non mais là, vous avez vu, là, en plein Paris, vous avez vu ça, sur le mur.

02:24 - Non mais parce que c'est vecteur.

02:25 - Pour les enfants dans les parcs et tout.

02:27 - Ce qui est insupportable, c'est le changement de discours.

02:28 Au début, on nous disait "ne vous inquiétez pas, on va vous débarrasser des rats" et maintenant, il faut accepter, c'est comme ça, limite, c'est nous qui habitons chez eux, c'est n'importe quoi.

02:35 - Et c'est quoi, ensuite, on va devoir les accueillir dans notre chambre d'amis et leur servir à bouffer, il n'y a plus de limite, en fait, on habite chez les rats.

02:40 - Je te le dis, il n'y a plus de limite sur les rats, il n'y a plus de limite, je le dis et je le répète, il n'y a plus de limite sur les rats, oui.

02:45 - 5 à 6 millions de rats à Paris, donc 4e ville au monde, rappelons-le quand même, et aujourd'hui, pour la mairie de Paris, c'est triste à dire, la guerre du rat, c'est perdu.

02:53 - C'est-à-dire qu'ils ont renoncé à se battre et maintenant, ils disent "ben alors voilà, on va verbaliser peut-être les gens qui mettent leurs déchets, on va faire de la prévention, donc ça ne sert à rien".

03:01 - Ils renoncent à combattre, ils renoncent à utiliser aussi les méthodes qui sont utilisées dans d'autres villes.

03:06 - Quand vous vous promenez dans des villes en ce moment en région parisienne, vous voyez plein de pancartes "attention aux rats", "faites attention à Paris", il n'y a rien, on ne voit rien.

03:13 - Non, non, il faut voir la vie de la politique. - Donc on a renoncé à se battre contre les rats.

03:15 - Non, mais là, maintenant, ils se disent "oui, on va essayer de les persuader que le rat, c'est pas parvenu".

03:20 - Ils ont décidé de nous expliquer qu'il n'y aurait pas de problème sanitaire.

03:24 - L'adjointe à la santé du maire de Paris, qui s'appelle Madame Souris, en plus, a dit...

03:28 - Elle s'appelle Madame Souris ? - Oui, c'est vrai.

03:30 - Je ne crois pas. - Évidemment, si, si, c'est vrai.

03:32 - Elle courait dans les rangs.

03:34 - Elle a dit qu'en fait, ça n'était dangereux qu'éventuellement pour les éboueurs et alors que l'Académie de médecine dit que c'est porteur de fièvre hémorragique, l'hépatite E et la lepstocirrhose, 5% de...

03:45 - Non, mais tu vas voir, il va y avoir une catastrophe et après, vous allez dire "oui, mais en fait..."

03:47 - Il y a l'urine de rat dans les bacs à sable, on va dire, pendant que ça ne s'est même pas bien fait pour la peau, pour les enfants...

03:52 - Ils cherchent tous les moyens, c'est un aveu d'échec qu'ils nous font.

03:54 - C'est très grave, c'est très grave.

03:56 - Je vous dis, il va y avoir un problème dans une école un jour, vous allez voir, parce qu'il commence à y avoir dans les écoles en région parisienne.

04:01 - Il va y avoir un vrai problème.

04:02 - Non, mais tu vois, il va y avoir un vrai problème, mais ils vont dire "oui, mais truc", tu vois, comme d'habitude, on ne va pas en entendre parler.

04:07 - Non, mais le problème, c'est que personne n'est content de comment est gérée Paris, aussi bien au niveau des travaux, de la circulation, des rats, donc des surmulots,

04:13 mais pour autant, la maire a été réélue, en fait.

04:16 - Elle a été réélue.

04:17 - Donc, il y a un moment donné aussi, il faut qu'il y ait un réveil, malgré tout, elle est réélue.

04:20 - Les torts, c'est très dur.

04:21 - Par très peu de gens, en fait, les gens...

04:23 - C'est très bizarre, les élections américaines.

04:25 - Oui, mais toujours par très peu de gens, mais toujours est-il qu'elle est réélue.

04:28 - Mais le soucre, il est un peu bizarre.

04:30 - Oui, il faut expliquer comment ça se passe.

04:32 - En fait, c'est par arrondissement, donc il suffit d'avoir un bon découpage électoral, et puis la ville, elle est, je ne dirais pas noyautée à gauche,

04:40 mais elle est faite maintenant pour que la gauche repasse tout le temps.

04:43 Mais ceci dit, faute de rivales sérieuses ou de rivaux sérieux, elle a fait la différence, c'est vrai.

04:48 Il n'y a pas quelqu'un qui s'impose à droite pour le moment.

04:50 - C'est Rachel Adelman.

04:51 - Oui, mais qui ne s'est pas imposée.

04:52 - Oui, mais qui ne s'est pas imposée.

04:53 - Qui, pour le moment, ne s'est pas imposée dans Paris.

04:54 - Et pourquoi on n'achète pas des milliers de chats qu'on met dans l'hiver qui est dans place ?

04:59 - C'est le principal ennemi des russes.

05:02 - Je ne suis pas avec mon boulanger que je connais bien à côté de chez moi, il est affesté par les souris comme tout le monde, il a deux rats dans sa boulangerie.

05:15 - Deux chats, deux chats.

05:16 - Il y a toujours un moment où...

05:18 - Ça merde.

05:19 - Ça merde.

05:20 - Il y a deux chats de meurtre qui sont là pour chasser les frêles.

05:22 - Mais je sais, mais moi, chez moi, moi, chez moi, je l'ai déjà dit, je voulais mettre vraiment genre comme un...

05:28 - Un chat de combat.

05:29 - Non, mais je voulais mettre moi comme un centre vraiment de préparation de chats.

05:35 - Je mets des chats comme ça, avec des bandes aux commas.

05:39 - T'arrives chez moi, les chats, ils sont comme...

05:41 - Non, non, non !

05:42 - Genre avec des brassards sécurité, ils tournent comme ça dans la zombie, il y a un rat, il le frappe, il le défonce, mon frère.

05:48 - Mais je veux des chats, tu vois, je s'en mets, tu vois, des chats, ils arrivent, frère.

05:51 - Ouais, qu'est-ce qui t'arrive ?

05:52 - Tu vois, ils sont devant la maison.

05:53 - Ouais, j'ai vu un rat, tu vois, je veux un rat vraiment, je veux un instructeur de rat.

05:56 - Bruno Pommard.

05:57 - Voilà, non, c'est vrai.

05:58 - Bruno Pochard.

05:59 - Bruno Pochard.

06:00 - Il y a Bruno Pommard, il y a les gars, bonne l'épreuve, les chats, on va se faire réunir maintenant, on va aller voir les copaines du SPIP.

06:07 Donc pour voir quand même comment appréhender donc cette partie de rat.

06:11 Non, mais je vous jure que c'est vrai, mais moi, je suis complètement d'accord avec toi.

06:13 Je vais vous dire, et j'en ai parlé avec plein de monde, le mieux...

06:18 Mais alors attention, c'est pas des chats, c'est des chats qui se tapent.

06:21 - Mais où tu les as ?

06:22 - Il y en a, il y en a, il y en a, il y en a, il y en a.

06:25 - T'es pas des chats, toi.

06:26 - Non, il y en a, c'est pas des petits chats, parce que maintenant...

06:28 - Un gros rat, il défonce un chat.

06:30 - Non, non, non, mais attention, moi, je te parle pas d'un chat.

06:32 - Un chat de gouttière.

06:33 - Non, ils font un chat, il y a des chats qui se tapent.

06:35 Moi, j'ai vu des chats.

06:36 - Oui, oui.

06:37 - Tu les convoques, tu dis bien, fais-moi voir.

06:39 - Mais bien sûr, faire.

06:40 D'ailleurs, j'arrive, le chat, je lui mets une flogée.

06:42 Je vois comment...

06:43 S'il arrive, il me fait comme ça, il me fait comme ça, il me griffe là, je fais c'est bon, t'es pris.

06:47 Si je suis griffé à 100, je dis c'est bon, tu vas dans le jardin, tu vas défoncer tout le monde.

06:50 - Là, on les met en binôme, les chats, on les met en binôme.

06:52 - Exactement, t'as raison.

06:53 - Ah oui.

06:54 - Des chats avec des...

06:55 Non, mais c'est rien, avec des...

06:56 Tu vois, des loupios comme ça, tu vois, la nuit.

06:58 - Miaou !

06:59 - Avec des tasers.

07:00 - Avec des tasers, c'est rien.

07:02 - Le mec, il a eu longtemps.

07:03 - Non, mais c'est rien.

07:04 - Avec les clopes.

07:05 - Non, mais je te jure, c'est pas trop loin.

07:06 - C'est plus que ton...

07:07 - C'est pas trop loin.

07:08 - J'veux des rats, comme ça, je veux des rats, voilà, qui descendent de la fenêtre, comme ça, ça en rappelle.

07:12 Tu vois, y a des rats, des chats comme ça, qui descendent, 3-4 chats, tu vois.

07:15 - Mais j'ai avec vous les...

07:16 - Je te jure, c'est vrai.

07:17 - Mais vous avez déjà eu des surmulots chez vous ?

07:18 - Jamais.

07:19 - Des surmulots.

07:20 - Jamais, moi, je fais contrôler pratiquement toutes les semaines.

07:21 - Ah oui, sérieux ?

07:22 - Toutes les semaines, pratiquement.

07:23 - Ah ouais.

07:24 - Et si y a un rat...

07:25 - Y a même pas le marbre.

07:26 - Y a même pas le marbre.

07:27 - Il glisse, il glisse.

07:28 - Il glisse.

07:29 - Il glisse.

07:30 - Il glisse.

07:31 - Il glisse.

07:32 - Il glisse.

07:33 - Il glisse.

07:34 - Il glisse.

07:35 - Il glisse.

07:36 - Il glisse.

07:37 - Il glisse.

07:38 - Le marbre, c'est ça la solution.

07:39 - Le marbre, c'est ça la solution.

07:40 Le marbre dans tout Paris.

07:41 - Ecoute-moi bien.

07:42 Ecoute-moi bien.

07:43 Ecoute-moi bien.

07:44 Je le dis, s'il y a des rats qui m'écoutent.

07:45 - Est-ce qu'il se noie dans votre piscine ?

07:46 - Ça nage, les rats.

07:47 - De toute façon, ça nage, les rats.

07:48 - Il prie aussi à son soeur.

07:49 - Ça nage, les rats.

07:50 Je te dis la vérité.

07:51 Il y a un rat qui vient, je le dis, il peut aller partout.

07:56 Chez nous, on est à l'affût.

07:58 Il y a un rat, on va l'attraper.

08:00 Je te le dis, ça va très mal se passer pour lui.

08:03 - Il va servir d'exemple.

08:04 - Il va servir d'exemple pour les autres.

08:05 - Il se fait raccrocher.

08:06 - Non, mais je vous le dis.

08:07 - Il se fait raccrocher.

08:08 - Je vous le dis.

08:09 - Non, mais vous qui aimez les bêtes, par exemple, et les animaux, si jamais vraiment

08:12 vous vous retrouvez en face à face avec un rat, qu'est-ce que vous en faites ?

08:15 - Je le kidnappe.

08:16 - La vérité.

08:17 - Entre 4 jeunes, vous les prenez dans une petite cage.

08:18 - Non, pas du tout.

08:19 - Un rat ?

08:20 - Oui.

08:21 - Je fais le nécessaire.

08:22 - Ah d'accord.

08:23 - C'est quoi le nécessaire ?

08:24 - Il le tue.

08:25 - Je ne sais pas, mais je lui parle.

08:26 - Ah oui.

08:27 - Je lui dis, ce n'est pas la bonne idée.

08:28 - Ils arrivent comme ça chez toi.

08:29 - Je mets un explosif.

08:30 - Une grenade.

08:31 - Je mets un explosif.

08:32 - On ne discute plus.

08:33 - Je mets un explosif.

08:34 - Ah oui.

08:35 - Terminé, merci.

08:36 - Des drones.

08:37 - Non, mais on rigole.

08:38 On rigole, les chéris.

08:39 Attention, les rats, je peux vous dire que c'est porteur de maladie.

08:40 - On n'est pas sur.

08:41 - On n'est pas sur.

08:42 - Moi, je suis d'accord avec toi, il faut des chats.

08:51 - Mais non, on ne va pas inonder la ville de chats.

08:52 - Ah si, mais des chats qui startent.

08:53 - Les chats sont aussi porteurs de maladie.

08:54 - Oui, mais non.

08:55 - Pour les femmes enceintes et tout ça.

08:56 - Après, on appellera des loups.

08:57 - Les chats, on va les bouffer, les chats.

08:58 - Après, il faut les ouvrir.

08:59 - Après, il faut les ouvrir.

09:00 - Tu as raison.

09:01 - Mais les rats, ils sont pas là.

09:02 - Les rats, ils sont pas là.

09:03 - Les rats, ils sont pas là.

09:04 - Les rats, ils sont pas là.

09:05 - Les rats, ils sont pas là.

09:06 - Les rats, ils sont pas là.

09:07 - Les rats, ils sont pas là.

09:08 - Les rats, ils sont pas là.

09:09 - Les rats, ils sont pas là.

09:10 - Les rats, ils sont pas là.

09:11 - Les rats, ils sont pas là.

09:12 - Les rats, ils sont pas là.

09:13 - Les rats, ils sont pas là.

09:14 - Les rats, ils sont pas là.

09:15 - Les rats, ils sont pas là.

09:16 - Les rats, ils sont pas là.

09:17 - Les rats, ils sont pas là.

09:18 - Les rats, ils sont pas là.

09:19 - Les rats, ils sont pas là.

09:20 - Les rats, ils sont pas là.

09:21 - Les rats, ils sont pas là.

09:22 - Les rats, ils sont pas là.

09:23 - Les rats, ils sont pas là.

09:24 - Les rats, ils sont pas là.

09:25 - Les rats, ils sont pas là.

09:26 - Les rats, ils sont pas là.

09:28 - T'as tiré les rats.

09:29 - T'es parti en pique-nique, à mon émission.

09:32 - Les FDC sur Fond du Monde.

09:34 - Ça gênait les téléspectateurs.

09:35 - Faut boire les recettes, alors.

09:36 C'est parce que j'ai pas mangé de pain depuis un bon moment.

09:39 - Tu enlèves.

09:40 - Non, j'en ai, j'en ai.

09:41 - C'est bon ?

09:42 Merci en tout cas.

09:43 - Là, ça gourde.

09:44 - Les chéris, voilà.

09:45 Donc, on va voir.

09:46 C'est vrai qu'on en rigole, mais c'est extrêmement grave.

09:48 Et y a pas de solution.

09:49 - Y a pas de solution.

09:50 Y a zéro solution.

09:51 - Si, y a des solutions.

09:52 - Y a des solutions.

09:53 - Il faut juste mettre des budgets, c'est tout.

09:54 - C'est ça, ouais.

09:55 - Mais quand le problème, ils veulent pas mettre le budget,

09:56 forcément, tu te retrouves comme des...

09:57 - Ils ont des politiques.

09:58 - Oui, ça, exactement.

09:59 Faut un mec qui arrive, un maire qui arrive et qui dise,

10:01 les mecs, moi, je vais allouer tant pour les rats.

10:03 Parce qu'il va y avoir un drame.

10:04 - Il y avait des politiques de contraception.

10:05 - Dans un parc, ou un truc comme ça, avec un enfant,

10:07 et ça va partir en cacahuète.

10:08 - Ça doit être une priorité municipale.

10:09 - Exactement.

10:10 - Les Jeux olympiques, les images, dans le monde entier,

10:12 avec les rats dans Paris, ça aide bien les Jeux,

10:14 avec tous les rats qu'il y a.

10:15 - Mais moi, tu vas voir, tu vas avoir des rats

10:17 qui vont janser des javelots.

10:18 (rires)

10:19 - Ça nous pournait, les mecs, ça nous pournait,

10:21 des rats avec des dossards.

10:22 - Au village olympique.

10:23 - Je te le dis.

10:24 - Pour prendre le RER avec des sacs à dos,

10:26 on va rentrer dans nos villages.

10:27 - On va tout simplement être encore la risée du monde entier,

10:29 avec tous les touristes qui vont filmer les rats dans les rues.

10:31 - Ah, ben, c'est ça.

10:32 - Ça va être une catastrophe.

10:33 - Ça va être exactement ça.

10:34 - Qui a déjà eu des rats chez lui ?

10:35 - Moi.

10:36 - Ah, ouais, toi, t'en as plein.

10:37 - J'ai fait venir un des rats de 6 heures,

10:38 il n'a rien pu faire.

10:39 - Mais quoi, dans le sud ou à Paris ?

10:40 - Il me bat contre 10, il y en a 20 au carré.

10:42 - C'est vrai ?

10:43 - C'est très intelligent.

10:44 Il mettait des pastilles, des trucs.

10:45 Le premier, il revenait, il rigolait.

10:46 - Non, mais si tu mets des pastilles Valda,

10:48 il faut juste avoir mal à la gorge, on dirait.

10:50 - Il y a des produits, ça ne faisait rien,

10:52 ça n'a jamais rien fait.

10:53 - Non, quoi ? Il n'a jamais réussi à les enlever ?

10:54 - Non, parce que je les ai laissés dans un petit jardin.

10:56 - Il n'est pas très bon, le gars.

10:57 - Il a essayé, il m'a dit, il y en a partout.

10:59 Il m'a dit, toute la journée, il ne fait que ça, le mec.

11:02 - Donc, il ferait quoi ?

11:03 - Il s'est embêté.

11:04 - Il m'a dit...

11:05 - Il n'a pas trouvé par où il arrive.

11:06 - Le seul moyen qu'il y a à faire,

11:07 c'est de faire péter le jardin,

11:08 il faut mettre des explosifs.

11:09 - Je te le fais, si tu veux ce week-end.

11:13 - Il faut trouver par où il arrive.

11:15 - J'ai cru que c'était Paris, mais...

11:17 - Il faut trouver par où il arrive.

11:18 - Par le jardin.

11:19 - Il faisait quoi chez toi, par exemple ?

11:21 Il y avait des miettes par terre ?

11:23 - Je suis allé dans la salle de salle,

11:24 je suis allé tranquille,

11:25 je suis en train de filmer une fois.

11:26 - T'es allé tranquille.

11:27 - Tiens, il y a le con qui arrive.

11:28 - Non, il m'avait envoyé une photo, j'en ai mis,

11:30 il creusait les miches de pain.

11:31 - Oui, c'est ça.

11:32 - Oui, j'ai fait.

11:33 - C'était vide.

11:34 - J'ai mis une caméra.

11:35 - Tu dormais tranquille ?

11:36 - Je n'ai pas tellement peur,

11:37 surtout que c'était plus des gros muleaux que des rats.

11:40 Ils n'avaient pas des longues queues, etc.

11:42 C'était plus petit que le show.

11:43 Moi, j'avais eu un rat dans le temps,

11:44 donc j'habitais, mais ils n'avaient rien à foutre de ma gueule.

11:47 Ils passaient en chenille comme ça, en procession.

11:49 Ils passaient 3/4 du jour du mat.

11:51 - Ah, 3/4 du jour du mat !

11:53 (Rires)

11:55 - Allez, merci.

11:56 (Rires)

11:59 - En compagnie créole.

12:00 - C'est incroyable.

12:01 - Mon chien, il ouvrait un oeil comme ça, il reflirait.

12:04 - Ah oui, ils sont foutus totale.

12:05 - Ah oui.

12:06 - T'avais pas peur qu'ils te mordent ou qu'ils te chopent ?

12:08 - J'ai mis mon lit sur des agglos, j'avais mis pour surélever un peu.

12:12 - C'est vrai.

12:13 - On surélevait un peu, mais ils grimpent.

12:15 - Oui, ça, je n'y avais pas pensé.

12:17 - Je t'explique, un rat, ça peut grimper.

12:19 - Et t'attaques pas le rat si tu l'attaques pas.

12:21 - Il va pas t'attaquer.

12:22 - Si tu veux l'attraper, il te mord.

12:24 - Il va pas t'attaquer, le rat.

12:26 Il cherche la bouffe, il va pas te...

12:28 - La nuit, s'il monte dans ton lit...

12:29 - Il peut monter dans ton lit, mais s'il...

12:31 - Il monte dans ton lit, il te bouffe les couilles, tu vois.

12:33 (Rires)

12:34 - Tu verras, ça te fait rire tout drôle.

12:35 Tu verras, tu vas avoir une dent dans une testicule,

12:37 tu vas te faire tout noir.

12:39 - Il est tombé sur ma tête une nuit comme ça.

12:41 - Tu vois, il est tombé.

12:42 - Il est tombé sur mon lit.

12:43 - Parce que j'avais une étagère, au-dessus de mon lit,

12:45 j'avais une étagère où je posais une bouteille d'eau,

12:47 je mangeais un truc, on se posait là.

12:49 Et évidemment, il montait, et puis il a dû glisser.

12:51 C'était un truc en aluminium, il a glissé.

12:53 Il me s'est pris sur la tronche comme ça.

12:54 - Arrête.

12:55 - J'ai eu peur, évidemment.

12:56 Lui, il a dû avoir peur aussi, mais il s'est carapaté.

12:58 - Il s'est barré, il est pas venu devant toi dire si il y a...

13:00 - Il s'est barré, il a marché.

13:01 - Il a fait un contre-front.

13:02 - C'est pas cher, ça.

13:03 - Il a eu peur quand même.

13:05 - Il faudra qu'on fasse un fascicule de tes histoires de noir.

13:08 - C'est ça.

13:09 (rires)

13:10 [Musique]

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