Est-il si facile de rebondir après avoir été chroniqueur télé ?

  • l’année dernière
Matthieu Delormeau vous donne rendez-vous tous les vendredis pour TPMP People ! Entouré de sa bande de chroniqueurs, toute l'actualité people n'aura plus de secrets pour vous !

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Transcript
00:00 - Frédéric Zitoun, toi t'es un passionné de musique mon ami, ça je le sais.
00:03 - J'ai écrit des chansons.
00:04 - Dans ce monde je te croise au théâtre tout le temps, merde.
00:06 Toi tu fais tout, on te voit dans tous les spectacles, c'est formidable d'être comme ça.
00:10 - Et j'ai toujours écrit des chansons, j'ai toujours écrit des bouquins.
00:13 - Enrico Macias, Michel Tor, Carlos, Richard de Wit, Hugo Frey, Emmanuel Lory.
00:18 - Né Louis Bertignac, beaucoup plus récemment.
00:20 Et donc voilà, c'est cette passion-là qui un jour a fait qu'un bouquin qui parlait de chansons
00:25 est arrivé sur le bureau de William Lémergie, qui cherchait un bouche-trou pour l'été.
00:29 - C'est exactement comme ça que j'étais embauché.
00:31 - C'est vrai que parfois on peut le dire à la télé, surtout l'été en général.
00:34 - Il me l'a dit avec tout l'humour de William.
00:37 - Oui, la gentillesse de William.
00:39 - Toute la gentillesse et toute la bienveillance de William.
00:41 - C'est vrai.
00:42 - Il m'a dit voilà j'ai 8 chroniques à vous proposer pour l'été.
00:44 Moi je sortais de chez Jacques Martin où je faisais mon métier d'auteur de sketch pour Jacques.
00:52 Et puis il m'a dit voilà j'ai 8 chroniques pour l'été à vous proposer.
00:55 Ces 8 chroniques se sont transformées en 25 ans de collaboration.
00:58 - Et en 1998 tu rejoins la bande de Télé Matin sur France 2, spécialiste musicale évidemment.
01:02 Et puis c'est ton programme avec Sophie Davant aussi.
01:04 - Effectivement, les deux d'offront durant 20 ans.
01:07 Et maintenant depuis le 14 juillet prochain, ça fera 25 ans que je suis à Télé Matin.
01:10 - Ah quand même !
01:11 - Quand même.
01:12 - On se applaudit, 25 ans c'est beaucoup.
01:14 - Mais ce n'est pas un métier.
01:16 - Ah ouais c'est une passion ?
01:18 - Ce n'est pas un métier, c'est une activité.
01:20 En parallèle je suis sur scène, en parallèle je fais des bouquins, en parallèle j'écris pour les autres.
01:24 C'est vraiment une activité en plus, c'est le prolongement.
01:27 C'est vrai qu'en France on a un petit peu de mal.
01:30 On a du mal, on est quand même dans le pays du fromage où il faut vraiment avoir des étiquettes sur les choses.
01:34 Donc quelqu'un qui parle de chansons n'est pas forcément quelqu'un qui en fait.
01:38 Moi je revendique le droit de faire les deux et ça se passe plutôt bien.
01:40 - J'aime bien la comparaison avec le fromage, mais bon c'est une bonne idée.
01:43 Mais alors comme ça d'être, tu es là, très présente, tu avais 25 ans, tu nous l'as dit et tout.
01:47 Et tu n'as pas envie toi d'animer ta propre émission ou un jour de passer de l'autre côté en dégueulasse ?
01:51 - Très très honnêtement, très très honnêtement Bernard, je ne suis pas certain d'en avoir le talent.
01:55 Je ne suis pas certain d'en avoir le talent, je ne suis même pas certain d'en avoir l'envie.
01:58 Moi je suis un passionné de chansons.
02:00 Quand je viens parler le matin, en ce moment avec Maya Loquet et Damien Thevenin le samedi matin,
02:05 je sais pourquoi je suis là, je maîtrise mon sujet.
02:09 Je ne suis pas certain que j'ai le talent de lancer des invités.
02:12 Je ne suis pas certain que j'ai le talent d'animer des boules qui sortent et pour le loto.
02:16 C'est un vrai métier, il n'y a rien de péjoratif dans ce monde.
02:19 C'est un vrai métier, je ne suis pas certain d'avoir ce talent là.
02:22 Je me contente de faire ce que je sais faire, c'est-à-dire de parler de chansons,
02:25 de chroniquer le talent des autres quand je suis là en tant que chroniqueur
02:28 et d'essayer d'en avoir un petit peu quand c'est moi qui suis avec les chansons.
02:31 - En tout cas ce que tu dis ça fait sourire Julien, ça te fait sourire ce qu'il dit Julien Cohen.
02:34 - Oui c'est les boules de loto, une carrière autour de ça c'est quand même assez...
02:38 - Mais c'est un vrai talent, c'est un vrai talent aussi.
02:40 - Et alors toi tu as réussi à t'imposer comme acheteur, à faire conclure évidemment, là ça a été très fort.
02:44 Alors là aussi c'est tout de suite une grande notoriété et de toute façon c'est ton métier de départ ça.
02:48 - Alors c'est un de mes métiers de départ effectivement parce qu'on en a plusieurs, on a plusieurs casquettes.
02:52 Mais quand ils sont venus me chercher, parce qu'ils sont venus me chercher...
02:55 - Oui mais comment justement, comment ils sont venus te chercher toi ?
02:57 - Bah c'est-à-dire c'est difficile de passer à côté de mes boutiques sans venir me chercher quoi tu vois.
03:01 Elles sont quand même ma housse hein.
03:02 Donc quand tu vas au puce, tu peux voilà, si tu as besoin de quelqu'un pour faire une émission,
03:07 si t'es casseur tu vas passer obligatoirement par mes boutiques.
03:11 Après on était à une époque où les brocanteurs, les antiquaires n'ont pas envie de faire cette émission.
03:16 On n'était que 7, aujourd'hui ils sont 25 ou 30.
03:19 - Pourquoi ?
03:20 - Bah parce qu'on parle d'argent.
03:21 - Mais attend, tout le monde veut y aller et puis c'était nouveau à l'époque.
03:22 - Alors moi j'avais fait storage war avant et puis c'était tout à fait nouveau.
03:26 Et puis les brocanteurs sont des gens extrêmement discrets parce qu'il y a des espèces, parce que voilà etc.
03:32 Et du coup personne ne voulait y aller donc on s'est retrouvé à 7 pour tourner.
03:38 - Mais alors justement, pardon Julien, mais quand on te dit vous devez être chroniqueur à la télé,
03:42 c'est quand même encore un autre métier, ça n'a rien à voir, c'est autre chose.
03:44 Comment t'as réagi la première fois ?
03:46 - C'est pas un métier.
03:47 - Ah bon c'est quoi alors ? Vas-y dis-moi.
03:48 - Bah c'est juste...
03:49 - Attention il va nous balancer un truc, une vache.
03:50 - Non non non, c'est pas un métier.
03:53 Tu fais ton métier à côté, tu viens parler ou étaler ta connaissance, etc.
03:57 Mais c'est pas un métier, c'est un petit loisir.
04:00 - Mais même si t'es spécialiste dans ton domaine, c'est comme Frédéric dans son domaine,
04:03 c'est quand même quelque chose d'être chroniqueur.
04:05 C'est parler à la télévision.
04:06 - Mais c'est à la porte de n'importe qui.
04:08 - C'est donner son avis.
04:09 - Vous pouvez parler.
04:10 - C'est donner son avis, non c'est notre métier quand même.
04:12 - C'est d'exercer une passion.
04:13 - Non, il a l'air d'aborder ça très tranquillement.
04:15 - Il y en a qui sont plus ou moins à l'aise.
04:16 - Oui.
04:17 - Et là, c'est pas un métier.
04:19 C'est juste parce que t'as fait du théâtre avant, ou t'es un peu plus à l'aise.
04:22 - Il fallait pas demander un cachet alors ?
04:24 - Ah mais j'ai rien demandé.
04:26 J'ai rien demandé et crois-moi, j'en ai pas besoin de ce cachet pour vivre.
04:30 - D'accord, on a compris.
04:31 Francesca, la fée Démora.
04:32 - Non, moi je veux simplement répondre.
04:33 Après vous pensez évidemment ce que vous voulez,
04:34 mais moi je pense que chroniqueur au contraire c'est un métier.
04:36 Je pense qu'ici par exemple, Touche pas à mon poste,
04:38 a donné un peu ses lettres de noblesse au métier de chroniqueur.
04:41 Puisque évidemment, ça a marché pour certains et d'autres beaucoup moins.
04:46 Mais il a quand même réussi Cyril Hanouna à sortir des garçons comme Camille Combal,
04:49 comme Bertrand Chameroy, comme Jean-Luc Lemoyne.
04:52 Et à redonner surtout un élan à d'autres qui ne marchaient plus.
04:56 Je pense à Julien Courbet qui est revenu ici et qui est ensuite redevenu une grosse star sur M6.
05:01 Donc après on peut dire évidemment que c'est pas un métier.
05:03 - C'est du talent ?
05:04 - Pour certains, non.
05:05 - C'est du talent, c'est pas un métier ?
05:06 - Non mais ça veut dire exposer un talent.
05:07 Mais quand même tu parles de quelque chose, ça peut pas être complètement vide.
05:09 Après c'est un métier en plus à côté.
05:11 - Alors attends, Julien.
05:12 - Pour certains c'est un métier.
05:13 - Après Frédéric, Julien.
05:14 - Non mais si on est venu nous chercher, c'est qu'on a quand même un minimum de métier.
05:17 Tu vas pas mettre un demeuré à la télé.
05:19 - Une passion plutôt.
05:20 Une passion plutôt.
05:21 - Une passion, oui.
05:22 - Une passion communicative.
05:24 - D'expertise.
05:25 - C'est une expertise, une passion...
05:27 - T'es chroniqueur médical, t'es chroniqueur à la conclusion.
05:29 - Ça n'a rien de péjoratif à dire que ce n'est pas un métier.
05:32 En tout cas moi dans ma bouche, c'est pas du tout un péjoratif.
05:34 C'est que c'est un truc qu'on fait naturellement parce que,
05:36 parce qu'entre amis on adore parler de chansons.
05:38 Mais moi ce que je fais à la télé, je le fais pour mes potes gratos depuis des années.
05:43 Donc c'est juste, oui, effectivement c'est une exposition en plus.
05:46 Exposition qui n'est pas à mes estimés.
05:49 Au contraire, qui est extrêmement profitable pour le reste de nos activités.
05:52 Mais c'est vraiment, c'est une expertise.
05:54 Quelque chose que l'on pratique couramment, que l'on fait devant une caméra de télévision.
05:57 - Julien, toi justement qui est Antikaire, reconnu brocanteur,
06:00 est-ce que tu, aux yeux de la profession, ça t'a pas dévalorisé ou t'as pas eu des soucis avec ça ?
06:06 - Alors au début ça ne m'a considérablement dévalorisé.
06:09 - Ah oui quand même. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'on te disait ?
06:11 - Tu fais le clown à la télé, machin, etc.
06:13 Et puis après, il s'avère que tous ceux qui m'ont dit ça ont tous envoyé un CV.
06:18 - Voilà.
06:19 - Mais bien évidemment, ils ont tous envoyé un CV pour faire partie de l'équipe d'Affaires Conclues.
06:23 Pourquoi ? Parce que quand tu es à la télé, moi j'ai fait 1557 émissions, donc c'était beaucoup.
06:29 - Ah tu les as comptées ?
06:30 - On me l'a donné quand je suis parti.
06:32 Donc on m'a dit, voilà t'as fait 1557, t'as acheté 2000 objets sur 8000, t'en as fait 25%, etc.
06:37 - Mais 1113 en argent d'ailleurs.
06:38 - Ah, Déborah ?
06:39 - 1113 objets achetés.
06:40 - Exact.
06:41 - Ah c'est d'autres.
06:42 - Bref, on a une énorme notoriété, ça apporte d'autres business.
06:46 Et ceux qui nous montraient du doigt ont tous gentiment mis la main sur la chemise en disant, on y va, est-ce que vous voudriez bien nous prendre s'il vous plaît ?
06:56 Même on veut bien passer juste une fois.
06:58 - Alors justement, quand on a un physique un peu atypique, par exemple toi...
07:01 - Mais non, extravagant plutôt.
07:04 - Extravagant, tes lunettes bleues.
07:06 - Les lunettes.
07:07 - Les lunettes.
07:08 - Les lunettes du mien.
07:09 - Ah ok, ouais.
07:10 - F.I.L.U.
07:11 - Regardez-le.
07:12 - Ma marque de lunettes.
07:13 - Susceptible un peu, hein ?
07:14 - Non, non, pas du tout.
07:15 - Non ?
07:16 - Non, ça va, c'est tranquille, je le sais.
07:18 Les lunettes, c'est ainsi depuis que tu es passé à la télé ou ça a toujours été comme ça ? Parce que les lunettes bleues, c'est pas commun.
07:22 - Les lunettes, elles datent d'il y a 9 ans.
07:24 - Elles datent d'il y a 9 ans et la télé, ça date d'il y a 7 ans.
07:26 - Ah oui, t'avais commencé un peu avant, alors.
07:28 - Et Pierre-Jean aussi.
07:29 - Et Pierre-Jean.
07:30 Alors justement, c'était comment de travailler avec Pierre-Jean Charles-Lançon qui, lui, est quand même très extravagant et qui a soulevé beaucoup de polémiques.
07:35 - Et qui a balancé beaucoup sur l'émission.
07:37 - Oui, il a balancé, mais de toute façon, Pierre-Jean balancera toujours beaucoup sur beaucoup de choses.
07:41 Pierre-Jean, il a besoin de ça, mais Pierre-Jean, c'était extraordinaire parce qu'on faisait un duo génial.
07:49 - Ah oui, carrément, il y avait quelque chose.
07:51 - Ça va la fête, là, tous les deux ?
07:53 - Écoute, écoute, là, c'est une fête. Alors je ne suis pas resté longtemps parce qu'il a eu la connerie, comme d'habitude, avec Pierre-Jean, de m'inviter à son anniversaire.
08:00 Et juste en face, il y avait Jean-Marie Le Pen.
08:03 - Ah, sympa.
08:04 - Donc, c'était pas trop ma tasse de thé, tu vois.
08:06 - Un bon livre d'un Chloé.
08:08 - J'ai dit à Pierre-Jean, putain, merde, mec, tu t'aurais pu me prévenir, et je suis parti 20 minutes après.
08:11 - Est-ce que tu pouvais dire tout ce que tu voulais dans l'émission ?
08:13 - Oui.
08:14 - Ah oui, t'es totalement libre ?
08:16 - On avait un producteur assez génial, Jean-Louis Blau, qui nous a donné carte blanche pour tout au moins à certains, peut-être pas à tous,
08:27 mais à certains, à ceux sur lesquels il sentait peut-être un peu plus de potentiel que d'autres.
08:31 Et il nous a dit "faites ce que vous voulez, faites-nous rire, faites du suspense, faites..."
08:37 Et c'est pour ça qu'avec Pierre-Jean, on faisait un très beau duo.
08:40 - Frédéric, toi, on sent que t'es libre de toute façon, et je pense pas qu'on puisse t'imposer quoi que ce soit.
08:44 - Une vraie liberté, sincèrement, de toute façon, le cahier des charges, en tout cas, moi, celui que je me suis donné,
08:51 si on aime pas quelqu'un, je vois pas pourquoi je vais prendre du temps d'antenne pour aller dézinguer quelqu'un.
08:55 Ça, c'est pas le genre de la maison. Et ce temps d'antenne, autant le dire, pour faire des coups de cœur
09:01 et pour donner des coups de main à des gens qui en ont besoin, c'est plutôt ça. Donc franchement, y'a aucune...
09:06 - Mais alors toi, toi, qui as traversé de nombreux télématins et de nombreuses émissions, t'as travaillé avec plein de gens.
09:11 - Oui. - Parfois, on aime pas tout le monde avec lesquels parfois on travaille. Non ?
09:15 - C'est le... - Toi, j'essaie de le dire délicatement pour essayer d'obtenir quelque chose, mais ça marche pas à tous les coups.
09:20 - Très très honnêtement. - Frédéric, regarde Jean-Michel, il est à côté d'Isa, il la supporte pas, il a envie de la frapper.
09:25 - Non, très très honnêtement, le vecteur, celui qui a vraiment été... Qui a été vraiment le patron de tout ça pendant des années,
09:34 et c'était William. Et franchement, pour ne pas s'entendre avec William, il faut se lever de bonne heure.
09:38 Non, mais il savait ce qu'il voulait. Mais franchement, au niveau de la bienveillance, au niveau de la fidélité,
09:43 au niveau de ses équipes, et encore aujourd'hui, au niveau de la fidélité, ça fait 5 ans qu'on travaille plus ensemble,
09:50 mais au rendez-vous de l'amitié, au rendez-vous de la fidélité et de la générosité, il est toujours là.
09:54 - C'est vrai, ça William, c'est sûr. - Voilà. - Bernard de William ici, vous le savez.
09:57 - Le reste, oui, bon... - Et Sophie. - Sophie, elle est absolument là. - T'as travaillé longtemps avec Sophie aussi.
10:02 - J'ai travaillé quelques 20 ans avec elle. - Sophie Davant, bien sûr. - Oui, donnez-lui le nom de sa vie, parce que nous on est pas...
10:06 - On va dire que je suis bien tombé. Puis encore une fois, une fois qu'on fait bien son boulot, une fois qu'on sait ce pour quoi on est là,
10:12 une fois qu'on n'a pas envie de rentrer forcément dans des querelles à droite ou à gauche, c'est comme partout.
10:18 Quand on fait son boulot et qu'on s'est gardé à la bonne distance, je crois qu'on y arrive. Voilà.
10:21 - Oui, alors... - Julien, c'était qui ton préféré ? - C'est pas toujours si évident que ça, mais...
10:24 - Eh, Miss Morne dont t'as parlé, toi ? Tu parleras ce soir chez ta mère. - Oh, Bernard ! - Ça, c'est fort !
10:31 - C'est pas grossier. Je connais ta famille très bien. - C'est pas mal. - Julien, quel était ton préféré ?
10:36 - Écoute, mon préféré pour travailler, c'était Pierre-Jean, même si on a eu des gros coups de gueule ensemble.
10:43 - Ah oui, c'est ton préféré, Pierre-Jean ? - Pour travailler, oui. - Parce qu'il est rigolo ? - Parce qu'il est rigolo,
10:47 parce qu'on avait des automatismes, parce que... - Et il connaît bien, aussi. - Et il me connaît très bien. Voilà.
10:52 Après, il y avait une belle équipe, mais... - Par exemple, tu vois, là... Ah oui, oui.
10:59 - En haut, à droite, le deuxième, Vincent Clément, le producteur. C'est un mec génial. C'est un mec génial.
11:07 - Et très beau. - Beau gosse, oui. Marié, hein. Marié, je suis désolé.
11:10 - Tu sais qui a demandé ça ? C'est Déborah ? - Oui, oui, oui. - Eh ben, Déborah, ça va ? - Elle va l'essayer, quand même.
11:15 - Tu veux son téléphone ? On peut se débrouiller ? - Elle va se marier. - Qui va se marier ? - Déborah ! - Tu vas te marier ?
11:21 - Oui, elle a dit la vérité. - Tu l'avais déjà dit, c'est vrai. Ça me revient. Je suis bouleversé par les mariages, moi.
11:27 - Tu seras invité. - J'avais une question pour Julien. En fait, la rumeur circule en ce moment que Sophie Davant pourrait quitter Affaire conclue.
11:38 Il y aurait peut-être soit Caroline Margerie dont soit on ne sait pas qui pourrait la remplacer. Est-ce que vous, par exemple,
11:43 ça pourrait vous intéresser de passer du côté chroniqueur au côté animateur ? - Alors, en l'espace de 2 ans, 2 ans d'absence sur Affaire conclue,
11:52 - Tu dois répondre oui, mais donner l'impression que tu as envie de dire non. - Ah, d'accord. C'est vrai. Il se trouve que je ne suis pas accro aux caméras.
12:01 - D'accord. - Quand, en l'espace de 2 ans, j'ai fait 4 maisons des brocanteurs, c'est-à-dire j'ai acheté 4 châteaux pour les transformer en lieux d'accueil pour des brocanteurs,
12:09 et qu'à la base, moi, je fais que du business. Ça, c'est la cerise sur le gâteau. Maintenant, racheter une boîte de prod' ou racheter une chaîne de télé, pourquoi pas ?
12:20 - Pourquoi pas ? Tu vois, mais ça, c'est un autre métier. - Ah oui ? Ah bah, t'es ambitieux, dis-moi. - Ah ouais ? J'aime bien. - Ah bah si, t'es ambitieux, Julien.
12:25 - Il est riche, surtout. - C'est bien riche. - Il est en train de racheter ici. - Ah non, il va nous racheter. Je le sors. Je suis très gentil.
12:34 - Appelle, appelle, Julien. - Je t'aime beaucoup, Julien. Je t'aime beaucoup. - Non, mais ici, c'est trop cher. - Alors, dis-moi, c'est un tremplin, alors, d'être chroniqueur ?
12:39 - Parce que c'est depuis que t'es chroniqueur ? - Ah non, c'est pas depuis que je suis chroniqueur. Moi, j'ai la chance d'avoir introduit deux de mes boîtes en bourse.
12:46 - Ah oui ? - Ça va bien, hein, toi ? - Alors que Jean-Michel, il a rentré deux de ses bourses en boîte.
12:53 - Bravo, Laurent. Bravo. Dites-moi une dernière question. Vous, mes amis chroniqueurs autour de la table, est-ce que vous avez plus d'ambition, peut-être plus tard ?
13:05 Est-ce que vous souhaitez animer une émission ou pas ? Déborah ? - Ah, moi, je veux... Moi, je travaille dans la prod... - Je demande pas à Laurent, parce qu'il a son émission à la rentrée.
13:11 - Moi, je travaille dans la prod depuis 8 ans et j'aimerais bien monter ma boîte de prod et après, c'est... - Ce sera une patronne, elle.
13:16 - Et t'aimerais être présentatrice, animatrice ? - Non, patronne. - Présentatrice... - Bah oui, pourquoi pas ? - C'est pas... Je pense que c'est pas à nous de juger.
13:24 - Elle aurait aimé être chanteuse. - Alors, Florian. Attention, on y va. Florian. - Oui, pourquoi... Oui, aux deux. Oui, oui.
13:30 - Tu aimerais ? - Ouais, pourquoi pas, ouais. - D'accord. Sophie ? - Non, Déborah, c'est Alexia Laroche-Hubert. C'est la future... - Oui, oui, oui, oui, oui !
13:35 - Franchement, non, mais c'est vrai, hein. - Sophie ! - C'est la future... Bah moi, je... - C'est vrai, il a une bonne tête. - J'ai animé des trucs pendant des années.
13:40 - Bah oui, t'étais à la radio, toi. - La radio, la télé, TF1, M6, c'est ça. - Ouais. - Mais moi, je fais un autre métier à côté. Je suis dans l'édition.
13:46 - Donc j'ai aussi d'autres choses. Je travaille en comité de lecture. - C'est vrai. Et présentatrice, ça te fait dire rien ? - En comité de lecture. Mais je l'ai fait pendant 25 ans.
13:51 - Est-ce que tu m'emmerdes avec présentatrice ? - Non, mais c'est pas ta question. - Bon, allez, Francesca ! - Présentatrice, à toutes les heures.
13:58 - Tu ne peux pas essayer. - Francesca, calme-toi. Je m'occupe de toi tout à l'heure. Francesca. - Oui, mais plus que toi. Moi, je peux chanter, en fait.
14:03 - Ah bon ? C'est pas une bonne idée. - Non, mais... - Ah non, c'est pas une bonne idée. - C'est pas une bonne idée. - Non, mais c'est parce que j'ai de l'ambition.
14:07 - T'as raison. Chante bien. - Allez, Philippe, toi, une émission ? - Ça me plairait bien, mais je pense qu'il faut une émission adaptée à ma personnalité, en fait.
14:13 Tu viens pas là pour te mettre dans une émission littéraire. Enfin, moi, je viens pas dans une émission littéraire. - Non, non, non. - Ah ben, évidemment.
14:18 - Mais amuser la galerie, ça me plairait. Voilà. - Voilà. - Bon. Et Isa, je sais que tu es bien là où tu es. - Moi, je suis supposée pas avoir un métier de journaliste,
14:24 mais moi, j'aime bien être un maillon d'un groupe. Et puis, je prendrais Philippe Canteliero comme chroniqueur et l'autre, là. C'est vrai.
14:31 - Non, mais merci en tout cas d'être venu. Alors Frédéric Zetoun, oui, c'est déjà terminé. Je demande pas à Jean-Michel parce qu'il est avec nous.
14:38 Vous serez en concert, Frédéric Zetoun, le 17 décembre prochain au Trianon et un nouvel album qui sortira le 15 septembre prochain. Bravo, mon ami.
14:45 (Applaudissements)
15:11 Et lance ton magazine 6h du soir en octubre 2022.
15:15 [Musique]

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