C'est Votre Avenir - Émission du 9 juin

  • l’année dernière
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-06-09##
Transcription
00:00 Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Deloval.
00:04 Bonjour à tous, soyez les bienvenus dans C'est votre avenir. Merci de votre fidélité à Sud Radio.
00:10 Alors je suis heureux de finir cette semaine avec vous et jusqu'à 17h.
00:14 C'est une heure de rendez-vous comme chaque jour.
00:17 C'est le moment de partager vos confidences, mais c'est aussi un moment d'écoute intuitive.
00:22 Vous nous racontez vos témoignages tous différents avec parfois des retours de prédictions comme celui de Denis.
00:30 Il nous avait appelé il y a quelques mois, il était à la recherche d'un restaurant.
00:35 L'a-t-il trouvé ou est-il parti sur un autre projet ?
00:39 Il sera avec nous pour nous raconter la suite des événements dans quelques minutes.
00:44 On retrouvera aussi Tony, cet auditeur un peu désemparé depuis son coup de foudre avec sa voisine.
00:51 Alors comment s'est passée la suite de cette histoire ?
00:54 Une histoire avec pas mal de rebondissements.
00:57 Il sera avec nous en fin d'émission.
01:00 En attendant, je vais accueillir notre première auditrice Laetitia avec une histoire familiale pas évidente.
01:06 Pouvons-nous parler de violences malheureusement conjugales ?
01:10 Je crois que oui, c'est le cas et on la retrouve dans quelques secondes.
01:15 Alors à présent, si vous aussi vous souhaitez témoigner à l'antenne, poser des questions sur votre existence ou de nous faire part d'une histoire insolite,
01:24 venez nous en parler au 0826 300 300.
01:28 N'hésitez pas aussi à poster vos commentaires sur le groupe Facebook "C'est votre avenir".
01:33 Je vous y répondrai directement à l'antenne.
01:35 Vous pouvez aussi nous rejoindre depuis notre chaîne YouTube de Sud Radio ou en live sur le Facebook.
01:41 Je souhaite la bienvenue à ma première auditrice Laetitia. Bonjour Laetitia.
01:46 Bonjour Alexandre.
01:48 Bienvenue sur Sud Radio.
01:50 Merci.
01:51 Alors Laetitia, vous êtes maman de deux enfants.
01:55 Vous vous êtes séparée de votre premier conjoint en 2010 pour vous installer dans une autre relation conjugale qui a duré près de dix ans.
02:04 Cette relation a été douloureuse puisque vous avez subi des violences conjugales.
02:10 Alors Laetitia, racontez-nous ce qui s'est passé durant ces dix années avec cet homme et quelles ont été peut-être ces violences conjugales, si vous voulez bien en parler.
02:20 Est-ce qu'elles ont été d'ordre psychologique, mais aussi peut-être d'ordre physique ? Racontez-nous.
02:26 Alors oui, en 2010, j'ai rencontré donc une personne avec qui ça a été très fusionnel dès le départ.
02:35 Donc les violences n'ont pas été tout de suite présentes dans le couple.
02:41 Elles se sont accélérées sur les trois dernières années de notre vie commune, je dirais.
02:46 Quel était le déclencheur ?
02:48 Le déclencheur, je dirais ce moment où on a fait l'acquisition d'un logement ensemble.
02:56 On a fait l'achat d'un logement ensemble et je pense qu'à ce moment-là, ça a été un peu le départ de ces violences qui étaient psychologiques et physiques.
03:09 Et en 2020, il y a eu des violences sur ma deuxième fille qui était présente lors d'une dispute.
03:20 Et c'est là que j'ai quitté le domicile conjugal avec ma fille.
03:25 D'accord. Et vous avez malheureusement dû supporter toutes ces violences.
03:30 Je pense qu'il y a eu des menaces.
03:32 Vous étiez dans des peurs, dans des craintes.
03:35 Est-ce que pendant cette période-là, vous aviez un entourage autour de vous qui était là pour vous aider, pour vous écouter ?
03:41 Oui, oui.
03:42 Vous avez été soutenue ?
03:43 Oui, oui, oui.
03:44 Oui, oui. Par contre, j'ai toujours eu un entourage amical, familial, présent.
03:51 Quand on est sous une emprise, c'est très compliqué d'écouter ce que nous disent les gens.
03:57 On est toujours la dernière personne à se rendre compte.
04:01 Moi, j'étais vraiment sous l'emprise.
04:03 Bien sûr. Et puis surtout, d'arriver à faire ce pas, de dire "je n'ai plus peur de rien, mais je vais changer de vie".
04:09 Et voilà. Avec toutes les conséquences et les risques que ça peut prendre.
04:14 Mais vous avez été courageuse.
04:15 Alors, revenons sur vos enfants et notamment votre fille.
04:19 C'est votre fille aînée qui, depuis septembre 2022, de ce que j'ai en information,
04:26 elle a décidé de rompre le lien avec vous et de ne plus vous voir.
04:30 Comment expliquez-vous cela ?
04:31 En fait, je pense que mes enfants ont été victimes aussi de la violence.
04:38 Elles me disaient des choses aussi que, malheureusement, je n'ai pas pris en compte.
04:45 Je ne voulais pas voir, je ne voulais pas accepter la situation.
04:49 Parce qu'on a toujours l'espoir que ça s'arrange.
04:54 Et en fait, quand j'ai quitté Sept-Ômes, j'ai trouvé un autre logement.
05:02 Ma fille aînée était déjà étudiante dans une autre ville.
05:05 Et en fait, elle a été très soutenante.
05:09 Quand la séparation est arrivée, j'ai réalisé tout ce qu'elles avaient pu endurer.
05:15 J'étais beaucoup dans la culpabilité.
05:19 Et suite à ça, on a eu une très bonne relation.
05:24 On s'est beaucoup rapprochés.
05:26 Moi, je pense qu'à la suite de la rupture, j'ai fait une dépression.
05:32 Mais il fallait que j'avance, que je travaille, que je trouve un logement, que je reprenne ma vie en main.
05:40 Et je pense que tout ça est remonté sur une dispute, mais vraiment anodine.
05:47 Et en fait, quand on a eu cette dispute, elle m'a dit qu'elle ne voulait plus jamais me voir.
05:54 - D'accord. Alors peut-être quand vous vous dites une dispute anodine, peut-être pas si anodine que ça,
06:00 puisque ça a créé un vide entre vous et un moment de silence.
06:05 Et là, j'imagine que vous voulez savoir quel est le devenir de votre lien avec votre fille.
06:12 S'il y a un espoir de retour, de communication, d'un équilibre familial.
06:16 Et bien, pour moi, je sens que oui, je le sens de cette manière-là.
06:20 Je ne veux pas vous donner de faux espoirs, mais il faut un temps.
06:23 Vous savez, parfois, quand il y a eu des traumatismes, comme vous avez pu malheureusement les vivre,
06:29 et je dis bien malheureusement, et comme votre enfant aussi, vos enfants ont dû subir,
06:34 et bien, il y a un besoin d'un temps nécessaire de se mettre en recul face à une situation
06:41 pour justement vivre sa propre expérience, pour pouvoir aussi reprendre de la ressource
06:48 et aller sur d'autres modèles de vie.
06:51 Et ça ne veut pas dire que votre modèle est mauvais,
06:53 ça ne veut pas dire que vous n'êtes pas à un bon moment,
06:55 mais tout simplement, et de ce que je ressens par rapport à votre fille,
06:59 c'est que tout simplement, elle a besoin de ce temps nécessaire de recul.
07:03 Donc, pour moi, il y aura une réconciliation.
07:06 Pour moi, elle reviendra vers vous.
07:08 Il suffit d'un certain temps, même si ce temps est encore là, est encore présent,
07:16 et ça va demander encore peut-être une petite année.
07:19 Mais vous verrez que d'ici un an, il y a une amélioration,
07:23 et puis il y aura un contact de sa part qui vous permettra de vous retrouver votre fille,
07:29 de reprendre ces liens-là.
07:31 Et si vous aviez un message, quel est le message que vous aimeriez lui transmettre aujourd'hui ?
07:37 Comme je l'ai essayé de la contacter plusieurs fois, bien sûr, par message,
07:42 je lui ai écrit une lettre, que je serai toujours là pour elle, et que je l'aime.
07:47 Alors peut-être qu'elle nous entend, tout simplement.
07:50 Mais restez optimiste, restez confiante, ne regrettez rien, les choses sont faites ainsi,
07:57 et pour moi, je sens que votre fille va revenir et va reprendre contact avec vous.
08:02 Dans les un an, vous verrez que vous aurez une période de changement.
08:05 D'accord ?
08:06 D'accord.
08:07 Merci de votre fidélité à Sud Radio, Laetitia.
08:12 Merci à vous, et bonne émission. Merci beaucoup. Au revoir.
08:15 C'est le moment tant apprécié de parler de l'ange du jour et de l'éphémérie de ce 9 juin,
08:21 puisqu'aujourd'hui, nous souhaitons une bonne fête aux Diane, mais aussi aux Diana.
08:26 Alors le dicton du jour, temps trop humide en juin, rang paysan chagrin,
08:31 l'ange qui gouverne cette journée, c'est Achaya.
08:35 Il favorise à la recherche, il aide à apaiser l'impatience, et il aide aussi à la concentration.
08:41 Alors sa formule d'invocation est celle de dire "Ange Achaya, veille sur moi pour faire face à toute colère,
08:48 et ouvre-moi vers la bienveillance".
08:51 Alors aussi, pour faire une bonne invocation, vous pouvez le visualiser avec la couleur violette et grenad.
08:58 Sa pierre de champ, c'est le rubis. Alors cette pierre donne courage et loyauté,
09:03 elle symbolise le bonheur et le feu ardent.
09:06 On l'associe souvent en priorité au 4ème chakra, celui du chakra du cœur.
09:11 Et ses vertus, sur le plan psychologique, donnent la joie de vivre, l'enthousiasme,
09:17 il développe aussi la confiance en soi et la persévérance.
09:21 Il régule l'hyperactivité, éloigne les cauchemars et favorise des rêves positifs.
09:27 Alors, un petit clin d'œil sur l'anniversaire du jour, et pour les 60 bougies à souffler,
09:32 c'est celui de Johnny Depp, mais aussi de la chanteuse Barbara, qui nous a quittés en 1997.
09:40 Allez, vous souhaitez passer à l'antenne ? Un seul numéro, le 0826 300 300.
09:46 On va retrouver Denis pour un retour de prédiction.
09:49 Restez à l'écoute, le temps d'une pause, et on se retrouve après, à tout de suite.
09:53 Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delovane.
09:57 Et de retour sur Sud Radio, dans quelques secondes, je vais accueillir Denis.
10:01 Mais si comme notre auditeur Denis, vous avez besoin d'avoir des réponses à vos questions,
10:06 un seul numéro, le 0826 300 300.
10:09 Bonjour Denis, bienvenue sur Sud Radio.
10:12 Bonjour Alexandre, comment allez-vous ?
10:15 Écoutez, je vais bien, une fin de semaine plutôt ensoleillée, donc ça va, même si les orages traversent la France.
10:21 Vous avez du soleil, vous ?
10:24 Pour l'instant, encore quelques heures, après je pense que ça va s'assombrir.
10:29 Ça ne va pas durer.
10:32 Exactement. Alors Denis, on parle du beau temps et de la pluie, mais on va parler un petit peu de votre vie aussi,
10:39 puisqu'il y a quelques mois, vous nous avez appelé, car vous étiez dans une impasse,
10:44 et dans une réflexion pour monter un nouveau projet, celui d'un restaurant. C'est bien ça ?
10:49 C'est ça, c'est ça.
10:51 On cherchait avec mon épouse, et puis vous nous avez dit qu'à l'époque, on allait s'orienter sur du l'italien.
11:04 Alors, on ne pensait pas, honnêtement, on ne pensait pas,
11:08 puisque nous, on était repartis sur un restaurant plutôt classique, un peu comme on avait.
11:14 Et effectivement, finalement, vu qu'on ne trouvait pas ce qu'on souhaitait exactement,
11:21 parce qu'on en avait trouvé deux, mais il y avait deux séparations,
11:26 ce n'était pas bien clair dans leur tête, donc il y avait des trucs qui ne nous allaient pas.
11:32 Donc on a créé notre...
11:36 Restaurant ? C'est ça ?
11:38 Non, non, c'est à emporter.
11:42 D'accord, mais ça reste quand même dans le domaine de la restauration.
11:45 Ah, ça reste dans le domaine de la restauration.
11:47 Et alors vous y faites quoi ? Des pâtes, des salades, des grillades ? Qu'est-ce que vous faites à emporter ?
11:52 Alors, principalement de la pizza.
11:55 Ah, alors on reste dans le côté italien.
11:58 Et vous êtes en activité depuis combien de temps ?
12:02 Alors, on a ouvert depuis le 1er février, c'est récent.
12:06 C'est tout récent, effectivement.
12:08 Alors, je crois que votre interrogation aujourd'hui, c'est sur l'activité, son fonctionnement et sa progression.
12:14 C'est un peu aléatoire, c'est bien ça ?
12:17 C'est ça, tout à fait. Vous avez tout bien vu.
12:21 Et donc, vous voulez savoir la suite ?
12:24 Exactement.
12:26 Déjà, bon, félicitations, parce que c'est ambitieux, nous, aujourd'hui, avec les temps qui courent,
12:30 ce n'est pas évident d'aller sur des projets comme ça, surtout quand on est une petite entreprise
12:35 ou quand on n'a pas les moyens qui nous permettent trop d'avoir des écarts.
12:40 Et c'est ce que vous êtes permis de faire.
12:43 Et pour moi, de ce que je ressens, c'est que je vous vois continuer, je vous sens persévérer,
12:48 je vous sens évoluer dans cette voie-là avec une progression.
12:53 Alors, c'est une progression lente.
12:55 Vous allez encore vivre des périodes de flottement, des périodes un petit peu de remise en question.
13:00 Peut-être que c'est à vous aussi, parfois, de ne pas baisser les bras,
13:04 de rester dans cette dynamique, dans cette énergie,
13:08 pour faire en sorte de combler les moments un peu vides.
13:13 Mais vous verrez que votre activité va prendre de l'essor. Pourquoi ?
13:17 Parce qu'il y a des choses qui vont se développer sur le côté événementiel.
13:24 Que ce soit, on fait appel à vous pour des événements extérieurs, donc en dehors de votre lieu de fabrication.
13:31 J'ai l'impression que peut-être que, à un moment donné, l'activité ne s'orienterait pas avec du traiteur.
13:39 Mais il y a quelque chose qui se développera au fil du temps et au fur et à mesure.
13:44 Alors, ce n'est peut-être pas tout de suite dans l'immédiat,
13:47 mais à partir de cette fin de l'automne, début de l'hiver 2023,
13:54 on va vers une autre période, vers un changement, vers quelque chose qui donne un nouvel air chez vous
14:00 et qui va donner plus de confiance et plus de possibilités dans l'avenir.
14:07 Alors, c'est un petit peu extraordinaire, parce qu'on a déjà attaqué cette dynamique de traiteur.
14:19 Parce que, comme je vous l'ai dit auparavant, nous, on était dans la dynamique d'un restaurant plus classique.
14:27 Et il est bien évident que la pizza, c'est très bien, mais il y a d'autres choses qui nous dérangent.
14:33 La cuisine, ça nous dérange. Et on a attaqué les plats emportés le dimanche.
14:40 - Pardonnez-moi parce qu'on n'a pas beaucoup de temps, Denis,
14:44 mais pour moi, ça va aller dans son développement.
14:46 Et donc, je vois une évolution et vous verrez que d'ici fin de l'année, il y aura des choses qui vont progresser.
14:51 N'hésitez pas à nous tenir au courant de votre évolution.
14:54 Et puis, je vous souhaite plein de succès pour la suite.
14:57 Merci beaucoup, Denis.
14:59 - Merci à vous.
15:01 - Merci.
15:03 Alors, nous avons souvent des témoignages de mamans qui s'inquiètent pour leur enfant.
15:07 Et c'est le cas aujourd'hui de Marie. Elle appelle pour connaître l'avenir professionnel de son fils.
15:13 Bonjour, Marie.
15:15 - Bonjour, Alexandre. Et bonjour à Emma et tout le monde qui a été super avec moi.
15:22 - Et avec toutes tes équipes de Sud Radio.
15:24 - Je suis un peu émue. Je suis émue.
15:26 - Non, il ne faut pas. Il faut rester tranquille.
15:28 - D'accord. - On est entre nous. Bienvenue donc sur Sud Radio.
15:31 Alors, votre fils va avoir cette année 30 ans.
15:34 C'est un sportif de haut niveau depuis 2013.
15:38 Il a commencé dans un club pendant trois ans où ça ne s'est pas très, très bien terminé.
15:45 Expliquez-nous justement, vraiment de manière très brièvement, mais expliquez-nous ce qui s'est passé.
15:52 Pourquoi ça s'est mal terminé ?
15:54 - Il a eu une grave blessure. Alors qu'il avait bien commencé, il a eu une grave blessure qui l'a un petit peu interrompue dans son élan.
16:03 Et après, quand il a repris, ça a été plus compliqué pour revenir, pour faire sa place et tout.
16:10 Et puis tout d'un coup, on lui a dit qu'il n'avait plus sa place.
16:14 - D'accord. Et donc, il a intégré à un niveau inférieur. Ça lui a permis d'obtenir des trophées personnels.
16:20 Et c'est à partir de ce moment-là qu'il est devenu un peu plus connu et de revenir à ce niveau supérieur. C'est ça ?
16:28 - Voilà. C'est ça. Exactement. Exactement, c'est ça.
16:31 Et en fait, l'année dernière, il était en fin de contrat dans son club.
16:36 Et donc, il a été à nouveau recruté par son club d'origine, avec un nouveau contrat.
16:47 Et là, l'année a été très, très compliquée. Il n'a pas joué. Il n'a pas d'explication. Il ne sait pas trop pourquoi.
16:54 Donc, il a le moral qui baisse, bien sûr.
16:57 Bon, c'est sûr qu'il a 30 ans. Donc, c'est moi qui m'inquiète beaucoup pour lui, bien sûr.
17:05 Mais comme il lui reste encore une année, moi, je me pose la question. Va-t-il jouer un petit peu plus ? Est-ce que ça va mieux se passer ?
17:13 Va-t-il rester dans ce club où il se peut aussi qu'il aille ailleurs ?
17:19 - Bien sûr. Marie, pardonnez-moi, mais moi, je sens que votre fils est en dehors de tout ce questionnement professionnel
17:27 et est aussi dans des questionnements personnels sur le plan sentimental.
17:31 Et c'est ce qui l'a amené un peu à prendre du recul.
17:34 Est-ce qu'il n'y a pas un petit souci de confiance en lui et il souffre d'un manque de valorisation et de reconnaissance ?
17:42 Je crois que c'est un tout chez lui sur lesquels il se retrouve dans une période de fragilité.
17:48 Alors, bien sûr qu'en tant que maman, vous avez envie de voir votre fils évoluer, grandir et réussir.
17:54 Et bien, votre fils, pour moi, il aura un changement de club.
17:58 Il aura quelque chose qui va l'amener à effectivement continuer à progresser.
18:03 Mais je le sens, dans une période de deux ans, vouloir prendre un autre cap sur son existence
18:09 et peut-être avoir une idée d'un projet professionnel par le biais d'un entourage
18:15 qui va l'amener à s'épanouir autrement, différemment et avoir une autre reconnaissance.
18:21 Donc, aujourd'hui, certes, vous le voyez dans un état d'esprit d'un petit peu de fragilité,
18:26 mais surtout, restez confiante parce qu'il va prendre cette décision peut-être d'arrêter.
18:34 Donc, ça va peut-être vous amener à être encore plus dans cette inquiétude.
18:39 Mais pour moi, ça m'amènera justement à rebondir et à l'amener à prendre de bonnes décisions
18:45 parce que le club nouveau qui va lui permettre d'accueillir, je rappelle que c'est en rapport avec le foot, c'est bien ça.
18:51 - Oui, tout à fait.
18:52 - Le club qui va l'accueillir sera un club qui, plus en rapport avec la notion géographique du Sud,
19:00 et là, il a une jolie réalisation pour lui et puis, vous verrez que dans deux ans,
19:04 il prend un nouveau chemin, une nouvelle orientation dans sa vie,
19:08 et même autant professionnelle qu'autant personnelle.
19:12 Donc, faites-lui confiance et puis n'ayez pas peur de ces périodes un peu de flottement
19:18 parce qu'il est amené à rebondir.
19:20 Merci Marie de votre témoignage.
19:22 - Merci beaucoup Alexandre, merci beaucoup, je vous tiendrai au courant.
19:25 - Oui, merci de votre fidélité.
19:27 Je vous attends sur Sud Radio, 0826 300 300, laissez votre témoignage, on vous contactera rapidement.
19:34 Je reviendrai avec Nathalie, Nathalie est infirmière anesthésiste et infirmière des sapeurs-pompiers.
19:39 Elle se pose beaucoup de questions sur une éventuelle reconversion.
19:43 Alors, va-t-elle passer le cap ? On va vous répondre dans quelques instants.
19:47 Restez avec nous, à tout de suite.
19:49 - Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delovane.
19:53 - De retour dans "C'est votre avenir", je réponds à toutes vos questions au 0826 300 300.
19:58 Alors, vous pouvez nous écouter aussi, nous voir sur le Facebook Live ou bien sur notre chaîne YouTube Sud Radio.
20:05 Il est 16h30 et avant d'accueillir ma prochaine auditrice, c'est la superstition du jour.
20:11 Alors, vous savez que les superstitions autour des tempêtes et de la météo sont très respectées chez les marins
20:18 et les marins ont des superstitions plutôt particulières.
20:21 On dit que si le temps tourne à la tempête, les marins doivent jeter à la mer les cartes à jouer à l'eau
20:29 car sinon ces cartes pourraient porter malheur.
20:32 Vous avez aussi une autre superstition qui dit que se couper les cheveux en mer fait fuir la tempête
20:38 mais aussi la pierre d'Amorone chasserait les tempêtes et les risques de naufrage.
20:44 Alors, évidemment, ce ne sont que des superstitions, mais tout de moins,
20:49 parfois on est rattaché à certains rituels ou à certaines croyances.
20:54 Allez, je reviens avec Nathalie. Bonjour Nathalie.
20:58 Oui, bonjour Alexandre. Merci de m'accueillir, même si vous êtes tout seul aujourd'hui.
21:02 Bienvenue sur Sud Radio. Nathalie, vous nous appelez d'où ?
21:07 J'appelle d'Occitanie. Je suis infirmière anesthésiste depuis plus de 30 ans.
21:14 Vous travaillez dans un hôpital, vous êtes aussi infirmière auprès des sapeurs-pompiers.
21:20 Vous aimez votre métier, mais ça ne vous convient plus
21:24 et vous avez envie d'aller vers une autre orientation un peu différente,
21:28 mais quand même qui touche toujours le côté médical puisque c'est celui de l'accompagnement.
21:34 Alors, si j'ai la bonne information, vous voulez devenir hypnothérapeute magnétiseuse, c'est ça ?
21:40 En fait, je suis déjà hypnothérapeute puisque depuis 2011, je pratique l'hypnose dans le cadre de mon travail.
21:46 J'en fais un peu à l'extérieur et ce qui me convient plus, ce n'est pas mon travail en lui-même,
21:51 c'est vraiment structurellement parlant l'évolution hospitalière comme on la voit actuellement
21:56 et ce n'est plus dans ma vibration.
22:00 Vous souffrez réellement des conditions de travail aujourd'hui ?
22:04 C'est très compliqué, c'est plus que ce que c'était et je ne m'y retrouve pas.
22:09 Ça peut être lié à mon âge, j'avance en âge, j'ai l'impression que les jeunes ont moins de difficultés
22:13 puisqu'ils ne connaissent que ça, mais quand on a connu autre chose,
22:17 c'est difficile d'avancer maintenant dans ce genre de conditions-là.
22:20 C'est intéressant d'avoir votre avis, est-ce que c'est aussi des problèmes de moyens matériels
22:27 mais est-ce que c'est aussi des problèmes de gestion humaine, de relations humaines ?
22:31 C'est des problèmes de gestion humaine en fait, c'est plus du management d'entreprise
22:36 que du relationnel hospitalier.
22:39 Avant on avait des gens qui connaissaient le métier, qui étaient à la tête des hôpitaux,
22:43 maintenant on met des gestionnaires en fait.
22:46 Et ça ne marche pas comme une entreprise, ça marche aussi comme une entreprise
22:50 mais on ne peut pas tout tabler là-dessus.
22:53 Il y a des grandes lignes financières qui font qu'on perd le côté humain.
23:00 Et c'est très dur pour les soignants aujourd'hui parce qu'il faut faire du chiffre,
23:04 de l'abattage et il faut y aller.
23:07 Alors on fait tout ce qu'on peut franchement, mais plus ça va, moins on peut.
23:12 Justement pour retrouver ce côté humain, vous vous dirigez vers tout ce qui est paramédical,
23:18 des médecines alternatives et donc en tant que hypnothérapeute et magnétiseuse, c'est ça ?
23:24 Oui, parce que j'ai l'impression que je peux faire des choses
23:28 puisque ça m'est déjà arrivé d'avoir des expériences sans le vouloir.
23:33 Et du coup je me dis, est-ce que c'est la bonne solution
23:35 ou est-ce que je continue dans ce que je fais jusqu'à la retraite ?
23:39 Qui s'éloigne de plus en plus d'ailleurs.
23:41 Justement, l'hypnothérapie c'est quand même une technique.
23:44 Même s'il faut avoir le don de soi, la bienveillance envers l'individu
23:49 et puis aussi travailler sur son ressenti,
23:52 mais à la base dans la formation il y a quelque chose d'assez technique.
23:56 Alors que le magnétisme, même s'il y a une approche technique,
24:00 on parle de don par rapport à cette discipline-là
24:05 et vous ressentez ce don de magnétisme ?
24:07 Oui, je ressens des choses.
24:09 Alors pas pour enlever le feu, mais plutôt pour tranquilliser les gens,
24:15 pour les rendre moins douloureux, même au niveau des animaux.
24:21 J'ai pas mal d'animaux et c'est vrai que je fais pas mal de choses sur mes animaux aussi.
24:25 D'accord. Alors justement, quelle est votre interrogation aujourd'hui ?
24:29 Mon interrogation c'est est-ce que je vais prendre un virage ou pas ?
24:33 Ou est-ce que je vais garder un mix des deux choses avec peut-être un pont partiel ?
24:37 Parce que j'ai quand même pas mal de route pour y aller.
24:39 J'ai une heure aller et une heure retour à chaque fois. J'ai 60 km.
24:43 Et je me dis, est-ce que c'est le moment de prendre un virage ?
24:47 Est-ce que si je prends le virage ça va fonctionner ?
24:49 Parce que ça aussi il faut bien manger, de rien.
24:53 On peut pas tout lâcher comme ça et voilà.
24:57 Alors bon, déjà c'est très étrangement mais il y a les 11 ans qui ressortent.
25:01 Alors peut-être que c'est à vos 11 ans où il y a eu, peut-être quand on parle de magnétisme,
25:05 où il y a eu peut-être cette possibilité ou ce ressenti,
25:10 ou peut-être cet éveil à tout ce qui touche au magnétisme.
25:13 Et puis peut-être aussi ces 11 ans, c'est peut-être ces 11 dernières années,
25:17 où vous êtes dans cette phase de réflexion.
25:20 Oui, c'est plutôt ça.
25:23 Aujourd'hui, je ne sens pas vous arrêter complètement du domaine hospitalier.
25:28 Parce qu'effectivement, il y a des besoins chez vous matériels qui sont là,
25:33 qui sont présents et sur lesquels vous ne pouvez pas vous autoriser à n'importe quoi.
25:38 Et je ne veux pas dire que ce que vous faites n'est n'importe quoi, pas du tout.
25:41 Bien encore, je respecte votre activité.
25:44 Mais sur le côté de la gestion personnelle, là vous devez être prudente.
25:49 Et là vous devez agir avec beaucoup de recul.
25:52 Et c'est pour ça que je vous sens vouloir diminuer, peut-être effectivement,
25:56 votre temps actuel à un temps partiel pour développer plus l'activité.
26:02 Alors, vous me parliez d'animaux.
26:04 Et oui, là je sens qu'il y a quelque chose de bon et de positif dans le monde animal.
26:09 Et ça prendra de plus en plus.
26:11 D'accord, parce que j'ai fait déjà de la communication animale.
26:14 Et je vais refaire une formation à la fin du mois de communication animale.
26:18 Et j'aimerais aussi rentrer un peu plus là-dedans aussi.
26:22 Effectivement, parce que pour moi je sens que c'est beaucoup plus dans cette orientation-là,
26:26 vers la voie du monde animal, sur laquelle vous allez pouvoir plus vous épanouir.
26:31 Et puis y trouver aussi votre compte matériellement,
26:34 parce que vous ne pouvez pas vivre seulement d'amour et d'eau fraîche, malheureusement.
26:38 Non, c'est clair.
26:39 Mais je pense que vous êtes sur la bonne voie.
26:42 Et vos intuitions vous guident bien.
26:44 Puisque pour moi, progressivement, ça va se mettre en place.
26:47 Et vous verrez que 2024 est une année de changement progressive,
26:51 mais une année de changement pour vous.
26:53 Ah d'accord, super.
26:55 Merci Nathalie pour votre témoignage.
26:57 Merci Alexandre.
26:58 Je vous souhaite une bonne fin d'émission.
27:00 Oui, mais c'est normal, ça fait partie de moi, c'est comme ça.
27:03 Et tu ne pourrais pas faire différemment en fait.
27:05 Merci.
27:06 Tout comme vous, merci.
27:07 Merci à vous.
27:08 Allez, vous vivez la même situation ?
27:10 Appelez-nous au 0826 300 300.
27:12 Postez vos commentaires sur le groupe C'est votre avenir.
27:15 Cet espace est réservé aux dialogues et aux nouvelles idées.
27:19 Et j'accueille Florence.
27:21 Bonjour Florence.
27:22 Bonjour Alexandre.
27:23 Bienvenue sur Sud Radio.
27:25 Merci beaucoup.
27:26 Et merci de votre fidélité.
27:28 Alors, je parle de fidélité puisque vous êtes une auditrice de longue date.
27:32 Il y a deux ans, vous êtes passée à l'antenne pour avoir des éclaircissements
27:36 concernant la relation de votre fille.
27:38 Et apparemment, tout s'est passé de manière positive et avec certaines précisions.
27:43 Alors, donnez-nous plus de précisions concernant votre dernière intervention
27:48 et aussi sur cette prédiction-là.
27:50 Tout à fait, puisque je vous avais appelée, puisque je me posais des questions
27:55 concernant sa situation, puisque je parlais de HPI,
27:59 puisque c'était très complexe pour elle à ce moment-là.
28:02 Et vous avez, avec beaucoup de bienveillance et de délicatesse,
28:05 je tiens à le dire, parce que je n'ai pas eu l'occasion de vous le dire sur le moment,
28:08 c'est parfois trop frais,
28:09 en fin de compte, vous avez éclairé pas mal de choses en me reposant des questions
28:13 sur comment s'étaient passées les grossesses avant.
28:15 Et vous étiez dans le vrai, effectivement, puisque je vous avais parlé de fausse couche et tout.
28:19 Et vous m'avez parlé de ma posture de maman.
28:21 Donc, peut-être trop protectrice, mais sans être jugeant, j'insiste énormément.
28:27 Et donc, ça a apporté pas mal d'éclaircissements pour moi et j'ai revu ma posture.
28:32 Donc, les choses ont avancé et vous aviez parlé d'elle.
28:36 Et je me suis dit que pour cette année, ça s'éclaircirait énormément,
28:39 avec plusieurs détails.
28:41 Et effectivement, c'est vraiment ce qui est en train de se passer.
28:43 Donc, c'est assez extraordinaire.
28:45 Et vraiment, merci pour les éclaircissements.
28:49 En fin de compte, vous avez amené le questionnement.
28:51 Et ça, c'est super précieux.
28:53 Merci, j'espère que je vais le faire de même, là, aujourd'hui, avec vous.
28:57 Alors, aujourd'hui, votre fille va beaucoup mieux, ça va ?
29:01 Oui, tout à fait. C'est vraiment en cours de développement.
29:03 Et surtout, en tout cas, moi, je suis différente.
29:06 Voilà, donc je vais mieux aussi, du coup.
29:08 C'est le but.
29:09 Alors, aujourd'hui, vous avez une interrogation sur un projet de vie.
29:13 Vous avez travaillé 30 ans dans le secteur de l'handicap chez les jeunes.
29:18 Et à ce jour, vous souhaitez démissionner, car votre conjoint a trouvé un travail
29:22 dans le sud de la France, près de Marseille.
29:24 C'est bien ça ?
29:25 Ah non !
29:26 Non, c'est pas ça ?
29:27 C'est pas moi !
29:28 Ah, c'est pas vous ?
29:29 C'est pas moi.
29:30 Non, c'est pas grave, il y a dû y avoir une erreur de fiche.
29:32 Ah, peut-être bien.
29:33 Écoutez, ça a lancé les aléas du direct.
29:35 Oui, mais c'est pas du tout un souci.
29:37 Non, non, en fin de compte, c'est assez rigolo d'ailleurs, puisque moi, j'ai travaillé aussi dans le secteur social,
29:42 pas forcément du handicap pendant longtemps.
29:44 Et j'ai opéré un changement de vie, donc j'ai quitté ce secteur-là.
29:49 Je m'oriente vers l'accompagnement à plus de bien-être professionnel et de meilleure qualité de vie.
29:55 Voilà, donc ça, c'est ce que je fais aujourd'hui.
29:58 Je me suis installée en auto-entrepreneur et en parallèle, j'ai écrit un ouvrage, un roman sur du développement personnel.
30:07 Et je me questionne parce que je me sens hyper alignée depuis un an, mais vraiment très très bien.
30:13 Et malgré que les choses démarrent très très très très très lentement, c'est pas habituel dans ma vie.
30:20 Et du coup, je me dis, est-ce que tu es bien alignée ou est-ce que tu es trop rêveuse ?
30:26 Et là, je viens un petit peu me rassurer et savoir que ce professionnel auquel je crois, mais à 350%, va se développer.
30:34 Et par rapport à ce livre qui, pour moi, est utile à lire, qu'est-ce qui va advenir pour lui ?
30:40 Alors, quelle est la projection que vous pourriez avoir sur ce projet professionnel dans les deux ans à venir ?
30:47 Comment voyez-vous les choses ? Comment vous aimeriez être si vous deviez être dans ces deux ans-là ?
30:55 De mes ressentis, vous voulez dire ?
30:57 Oui, de vos ressentis, de votre projection du futur.
31:00 Que tout ce que je fasse soit en accord avec mes valeurs, déjà, soit en accord avec mes valeurs.
31:06 Et que j'utilise toutes mes compétences passées et nouvellement acquises aussi pour accompagner les gens à plus d'éclaircissement.
31:13 Et qu'ils trouvent au moins les moyens d'agir, par le coaching, par autre, pour eux professionnellement.
31:18 D'accord, donc par des techniques de coaching, principalement.
31:21 Oui, et de formation.
31:22 Alors, justement, vous parlez de formation et je pense que vous êtes amené à développer cet aspect-là sur le plan de la formation.
31:30 Il y a des choses qui vont vous permettre de pouvoir apporter, de pouvoir transmettre, parce que vous êtes dans cette notion de transmission.
31:38 Et même si, aujourd'hui, vous avez pu acquérir certaines formations, vous allez continuer aussi, je vois,
31:46 continuer à prendre, ou en tous les cas, à essayer de mettre en place vous-même des modules de formation.
31:56 Mais aussi pour pouvoir les donner aux autres et de pouvoir devenir peut-être aussi une formatrice en dehors de cette coach que je perçois.
32:08 Donc, les choses vont se mettre en place pour vous.
32:11 Il y a un développement d'activité, parce qu'il y a de l'ambition, il y a du dynamisme.
32:16 Et vous verrez que, progressivement, même si, aujourd'hui, vous partez sur une trajectoire bien définie,
32:23 eh bien, les routes vont se tracer autrement et différemment, mais positivement.
32:29 Donc, je crois chez vous que vous avez des facteurs chance par rapport à vos rencontres, par rapport aux réseaux que vous pouvez faire.
32:38 Et c'est par le biais de ces réseaux-là, où là, il y a la possibilité d'amplifier votre activité professionnelle et de pouvoir donner du sens à tout ça.
32:48 Donc, ce que vous faites aujourd'hui correspond bien à votre énergie, à votre ADN, à ce que vous êtes en tant que personne.
32:58 Mais il y a peut-être des changements, des modifications.
33:01 Et pour moi, ce qui ressort beaucoup, c'est cette notion de transmission, c'est cette notion de pouvoir apporter à l'autre.
33:09 Et donc, ça, au-delà de l'accompagnement, vous verrez que l'enseignement semble apparaître énormément.
33:16 Et puis, peut-être qu'il y a eu un mauvais démarrage sur ma perception des choses, puisque je partais sur Marseille ou je ne sais où.
33:26 Mais peut-être parce qu'effectivement, vous êtes où ? Dans quelle région de France ?
33:30 Dans le sud-ouest.
33:31 Dans le sud-ouest. Alors, peut-être qu'effectivement, il y a du déplacement, il y a du voyage qui s'annonce,
33:36 parce que je vous vois ne pas rester localisé seulement avec cette région-là ou le sud-ouest.
33:42 Mais je vous sens avoir des possibilités, des opportunités de pouvoir mettre en place des projets professionnels,
33:49 que ce soit en France et peut-être même dans d'autres régions.
33:53 Et par contre, la Corse peut me parler aussi. On peut avoir par la suite des projets qui pourraient se faire par ce biais-là et cet endroit-là.
34:02 En tous les cas, c'est en plein développement pour vous.
34:05 Ah bah super ! C'est une belle bonne nouvelle.
34:08 Je vous souhaite une bonne continuation. Et puis, n'hésitez pas Florence.
34:14 Merci beaucoup en tout cas. Bonne journée à vous.
34:16 Merci à vous.
34:17 Au revoir.
34:18 Allez, on revient dans quelques minutes avec Tony, avec une histoire assez particulière,
34:23 puisque Tony a longtemps été sous le charme de sa voisine.
34:27 Alors, qu'est-ce qui est devenu cette histoire ?
34:30 Sont-ils ensemble ou pas ?
34:32 Ou qu'est-ce qu'ils ont envisagé ensemble ?
34:37 On va en parler dans quelques instants. Restez avec nous et à tout de suite.
34:40 Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delaval.
34:45 De retour sur Sud Radio pour la dernière partie de C'est votre avenir.
34:49 Je rappelle le numéro, c'est le 0826 300 300. Il vous reste quelques minutes pour appeler.
34:55 Dans un instant, vous avez rendez-vous avec toute l'équipe des Vrais Voix,
34:58 présentée par Philippe David et Cécile de Minibus, en direct de Harplex à Marseille, pour le G500 Citoyens.
35:06 Et pour terminer cette émission, je souhaite la bienvenue à Tony. Bonjour Tony.
35:11 Oui, bonjour Alexandre.
35:13 Alors déjà, merci de votre fidélité à Sud Radio.
35:16 Tony, vous souhaitez nous confier votre témoignage assez particulier,
35:22 parce que vous considérez être un homme fidèle, et attention, je ne porte pas de jugement, bien au contraire,
35:28 mais parfois les choses peuvent changer quand il s'agit d'un coup de foudre.
35:33 Est-ce que ça a été le cas pour vous ?
35:36 Oui, plus ou moins.
35:38 L'histoire, tout simplement, c'est que j'étais en couple avec une fille depuis un an et demi.
35:44 On allait prendre un appartement, tout ça.
35:46 Comment ça s'est passé avec cette fille ?
35:48 La vie nous a amené à être ensemble, mais comment ça s'est passé ?
35:53 C'était une très gentille fille avec pas mal de qualités, mais son égoïsme a eu raison de mon amour.
35:59 D'accord.
36:01 Donc, je passe les détails de l'égoïsme et tout ça,
36:04 mais je suis du style à pas lâcher le morceau tant que le film ne pète pas.
36:09 C'est-à-dire que vous êtes du style à pas lâcher le morceau, ça veut dire quoi ?
36:13 C'est-à-dire que je baisse jamais les bras tant que le film n'a pas pété.
36:16 Je lâche pas un couple.
36:18 Parce qu'il y avait du sentiment encore avec cette fille ?
36:21 Exactement.
36:22 Et donc c'était beaucoup de jalousie, mais parce qu'il y avait une incompréhension dans le dialogue, dans la communication, tous les normes ?
36:28 Oui, voilà, pour résumer.
36:31 À côté de ça, j'avais un voisin qui habitait sur le palier juste en face de moi,
36:36 et il est parti avec une fille qui était en colocation avec une autre, et ils ont interverti les appartements.
36:43 D'accord.
36:44 Cette fille est arrivée en face de chez moi, on ne s'est pas beaucoup parlé, mais il y a eu quelque chose.
36:49 C'est-à-dire ? Il y a eu quelque chose ?
36:52 Il y a eu un feeling, il y a eu quelque chose, voilà, des deux côtés.
36:57 Et je me suis retrouvé à une soirée quelques temps après avec ce couple d'amis.
37:05 Elle était là et on a couché ensemble.
37:07 Ah, directement ?
37:08 Voilà.
37:09 Bon.
37:10 Donc je me suis levé, je suis allé larguer celle avec qui j'étais.
37:17 Et l'histoire s'est terminée avec la voisine.
37:21 Il n'y a pas vraiment de pourquoi du comment, ça s'est terminé.
37:24 Mais voilà, quand on se voit, tout ça, on rigole, on passe de bons moments.
37:28 Je ne suis pas indifférent.
37:31 Pardonnez-moi, Anthony, vous avez eu une histoire qui a duré combien de temps avec cette voisine ?
37:38 Allez, on s'est vus une semaine à peu près, et on s'est éloigné.
37:43 Moi, j'étais un peu dégoûté de ce que j'avais fait, puis on n'a pas forcé la chose.
37:48 Et pourquoi vous n'avez pas essayé de reconquérir votre ex, puisque vous l'avez quitté le lendemain ?
37:54 Non, non, non, je ne suis pas comme ça.
37:59 Non, c'est-à-dire ?
38:00 Non, je n'allais pas revenir en arrière.
38:03 D'accord, parce que vous avez eu la culpabilité d'avoir fait pour vous peut-être une erreur, une faute ?
38:09 Oui, plus que ça.
38:11 Et du coup, j'ai revu récemment cette voisine, on passe de bons moments, tout ça, mais voilà.
38:19 C'est plus pareil, je ne sais pas, j'aimerais avoir un peu plus d'éclaircissement sur mon avenir amoureux,
38:26 et comprendre un peu mieux le pourquoi du comment.
38:29 Oui, oui, et pardonnez-moi de vous poser autant de questions, parce que j'essaie de comprendre aussi votre fonctionnement.
38:33 Mais pourquoi ça s'est arrêté, justement, encore avec cette voisine ?
38:38 Ça allait trop vite.
38:41 Pour résumer, ça allait beaucoup trop vite. De coucher ensemble de suite et apprendre à se connaître après, c'était bizarre.
38:48 D'accord.
38:49 Et comme je n'ai pas forcé plus que ça, et à l'inverse non plus, ça n'a pas continué.
38:54 Et quand on s'est revu, on a toujours un bon relationnel.
38:57 Et vous êtes toujours attiré par cette femme ?
38:59 Oui, oui, oui, elle m'a fait faillir à tous mes principes et mes valeurs.
39:05 Bien sûr. Et vous voulez savoir aujourd'hui s'il y a un éventuel retour ensemble, ou s'il y a autre chose qui vous attend ?
39:12 Exactement, c'est ça.
39:14 Et de savoir si vous allez revenir ensemble ?
39:17 Si on va revenir ensemble, ou s'il y a mieux ou moins bien qui m'attend, c'est tout.
39:20 Allez, pensez à votre histoire et donnez-moi une couleur, s'il vous plaît, Tony.
39:24 Je pars sur un violet un peu Bordeaux.
39:27 Alors effectivement, il y a chez vous, et je ne porte pas de jugement, Tony, loin de moi, mais chez vous, il y a une notion de dispersion.
39:35 Il y a une notion de peur aussi sur votre avenir.
39:39 C'est-à-dire qu'à la fois, je ne sais pas dans quel modèle familial vous avez été,
39:44 mais à la fois pour vous, c'est comme si le bonheur n'avait qu'une durée limitée,
39:49 et un temps à partie où il y a quelque chose comme ça qui ressort sur la réalisation affective en ce qui vous concerne.
40:04 Alors pour moi, je vous verrai, il y a des possibilités de changement,
40:08 il y a une ouverture nouvelle avec cette fille, mais malheureusement, je ne vois pas une grande stabilité.
40:17 Je ne vois pas cette possibilité d'un engagement sur le long terme,
40:21 parce que vous avez été tous les deux, peut-être il y a eu des maladresses,
40:27 et vous avez été, oui, maladroit face à une situation, face à des difficultés.
40:33 Donc ça me semble être compliqué pour arriver à trouver cette stabilité-là.
40:40 Et puis, elle de son côté, elle se pose beaucoup de questions sur son avenir.
40:44 C'est pour ça qu'il y a peut-être même la possibilité chez elle,
40:47 à ce qu'elle s'éloigne à un moment donné géographiquement,
40:50 pour aller peut-être vivre ailleurs, et même travailler ailleurs.
40:54 Donc dans un avenir plus lointain, je vois un détachement, et je vois une séparation entre vous.
41:01 Une séparation physique, bien entendu.
41:03 Et puis pour vous, quand même, Tony, je vous sens dans une nouvelle réalisation sentimentale.
41:08 Vous verrez qu'à partir de cette fin d'été, il y a quelque chose de nouveau,
41:12 d'une personne que vous avez peut-être déjà perçue, que vous ne connaissez pas directement, mais avec qui,
41:18 là, il y aura une possibilité de construction et de durée dans le temps,
41:21 et cette personne vous aidera à trouver un équilibre, et aussi à plus vous stabiliser.
41:27 Donc, restez confiants sur l'avenir, mais pour moi,
41:31 votre destin sentimental ne se tourne pas et ne s'oriente pas forcément avec cette fille.
41:35 Oui, oui, oui, non mais je m'en doutais, je m'en doutais, mais je voulais savoir la suite aussi.
41:39 Merci, merci Tony pour votre télémonnage, et merci de votre fidélité à Sud Radio.
41:45 C'est moi qui vous remercie, et je vous souhaite une excellente soirée.
41:47 Merci. Au revoir.
41:49 Et on se retrouve lundi, accompagné de Trina, passer une belle fin d'après-midi, un bon week-end.
41:55 Alors, place au vrai voix en direct de Hardplex à Marseille, pour le G500, pardon, citoyens.
42:01 Bonsoir Philippe.
42:02 Bonsoir Alexandre, on est avec Cécile à Marseille.
42:05 Bonsoir Alexandre.
42:06 Bonsoir, comment va Marseille ?
42:07 Écoutez, très bien, pour l'instant il ne fait pas super beau, mais c'est plutôt très agréable.
42:11 On est effectivement au G500, citoyens, avec Aurélie Gros, Stéphane Pelay, et énormément d'associations et d'engagement.
42:19 Et on va parler de pas mal de choses aujourd'hui, Philippe, on va se poser la question sur la 5e, faut-il garder la 5e République ?
42:26 Est-ce qu'on la garde ou on la jette ? Ce sera notre premier débat à 17h30, émission un peu différente aujourd'hui avec trois débats.
42:32 Le second débat, les consommateurs contribuables font-ils poids dans les décisions ? Est-ce que vous voulez qu'on flèche vos impôts ?
42:38 Et enfin, voulez-vous pouvoir donner votre avis sur les priorités pour la protection de l'environnement ? Vaste programme.
42:43 On en parle dans un instant et merci Alexandre.
42:46 Merci à vous.
42:47 A lundi.

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