Le talk-show le plus populaire de France est de retour sur C8 pour une nouvelle saison de divertissement et de surprises. Au programme : de la darka, des scoops, des infos médias, du show et bien sur la bande réunie autour de Cyril Hanouna.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.mycanal.fr/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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Du lundi au vendredi à 19h05
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00:00 Je raconte un peu mon éducation spirituelle et comment j'ai pu arriver à réaliser tout dans la matière en changeant mon cœur.
00:06 Finalement, le gros titre de ce livre, c'est "Lorsqu'on change son cœur, l'environnement change".
00:11 En fait, on ne peut pas accuser notre ombre d'être difforme.
00:16 Et on pourrait faire la même chose avec l'environnement et le cœur.
00:19 Et finalement, c'est ça, quand les gens ont pris conscience que...
00:23 - Il faut changer son cœur.
00:24 Mais si on le change, il y a des magasins, c'est speedy.
00:27 - Non, mais il faut aller chez Noroto.
00:30 Noroto, le cœur qu'il vous faut !
00:33 Non, il faut aller où, en fait ?
00:35 - Non, mais en fait, il y a un endroit en soi qu'on connaît peu,
00:38 qui est souvent un peu pollué par nos blessures, ce que moi j'appelle le karma,
00:42 dans cette vie-ci, peut-être dans les vies passées, pour ceux qui ne croient pas.
00:46 Et finalement, c'est réactiver, ré-arroser, nourrir, cultiver, tel une plante, finalement, ce cœur-là,
00:54 qui, au fond, intrinsèquement, on a tout cet endroit en soi,
00:58 et qui fait que lorsqu'il est... Quand on le réveille, finalement, ça change aussi la matière.
01:04 Et la gratitude, tous ces bons sentiments, ces qualités humaines,
01:08 permet finalement d'être en bonne santé.
01:10 - Il est où, cet endroit ?
01:13 - Je comprends mieux pourquoi tu t'endors.
01:15 (Rires)
01:17 (Applaudissements)
01:19 (Rires)
01:21 (Applaudissements)
01:23 - Je vous jure que c'est vrai ! Je suis allé, je me suis endormi sur le canapé !
01:26 Je fais "Bon, Karine, je vais y aller !"
01:28 - Non, mais cela dit, pour dire un peu, en fait, la spiritualité, c'est pas austère,
01:36 c'est juste se reconnecter à un endroit.
01:38 - Mais juste, Karine, pour revenir au truc, il y a de nombreux animateurs qui ont essayé d'avoir des allocs avec toi.
01:42 - T'as vu, j'ai essayé de bouffer le cœur un petit peu.
01:44 - Non mais t'avais ou pas ?
01:46 - Non mais en fait, ce que je raconte, des anecdotes qui me sont arrivées en télé, et peu importe,
01:48 mais finalement, je me suis rendu compte que même les ennemis pouvaient devenir, en fait,
01:51 des enseignants pour ma propre vie.
01:53 C'est-à-dire que finalement, ça peut être un peu le baromètre de ce que je suis intérieurement.
01:55 - Mais qui va vous l'épécho, en fait ?
01:57 (Rires)
01:59 - Non, je raconte, en fait, une anecdote parmi tant d'autres,
02:01 mais finalement, pour montrer que lorsqu'on change,
02:03 grâce à cette personne-là,
02:05 qui m'a fait ce qu'il m'a fait...
02:07 - Ah, un mec qui...
02:09 - Alors voilà, je raconte, parce que je sens que tu veux que je raconte.
02:11 - C'est dans le livre, t'as raison. - C'est dans le livre, en effet.
02:13 - On n'invente rien.
02:15 - En fait, à un moment donné, je devais être sur TF1 en prime time.
02:17 Et donc, c'était la veille où on devait tourner
02:19 et tout se passait bien.
02:21 Et il m'a invité la veille à prendre un verre
02:23 et il m'a regardée droit dans les yeux,
02:25 avec les larmes aux yeux,
02:27 en me disant, voilà, moi, j'ai besoin d'une relation fusionnelle, en fait,
02:29 pour travailler avec quelqu'un.
02:31 - Oh là là ! - Non.
02:33 - Et moi, je lui ai répondu droit dans les yeux,
02:35 mais la seule relation fusionnelle que je pourrais t'offrir,
02:37 c'est dans le travail.
02:39 Et le lendemain... - T'étais plus au prime.
02:41 - Le producteur m'a appelée, même pas lui,
02:43 alors qu'on était quand même des potes.
02:45 Et il m'a virée.
02:47 - Ah ouais, t'as l'espoir.
02:49 - Et en fait, finalement, ce qui est intéressant dans cette anecdote...
02:51 - C'est pour ça que là, elle s'est dit, Admona, il s'est endormi sur mon canapé.
02:53 Voilà, je vais au riz.
02:55 Traité quelqu'un.
02:57 - Ce qui est intéressant dans cette anecdote,
02:59 c'est finalement, peu importe,
03:01 parce que ça a été une fonction parmi tant d'autres dans ma vie
03:03 qui sont passées, qui ont traversé ma vie
03:05 et que je raconte dans ce récit-là,
03:07 mais finalement, ça m'a permis d'affûter aussi ma clairvoyance.
03:09 - C'est ça. - Ça m'a permis aussi de me forger
03:11 un soin plus solide, finalement,
03:13 moins balotté par les événements extérieurs.
03:15 Et c'est toutes ces expériences qui m'ont permis,
03:17 finalement, de...
03:19 - D'être la personne que tu es.
03:21 - De gagner en bonheur.
03:23 Je leur dis merci. - Merci.
03:25 - Mais c'est pas mon pote. - Non, mais même tes ennemis,
03:27 tu leur dis merci. - Oui.
03:29 - Mais oui, parce que finalement, si on n'avait pas d'ennemis,
03:31 on ne pourrait pas se frotter à cette partie sombre qui est en soi.
03:33 - Moi, je me fais que de me frotter.
03:35 Je suis un tampon jaxe, moi.
03:37 - Lorsqu'on a une personne en face de nous qui nous fait du mal,
03:39 finalement, il y a deux solutions.
03:41 Soit, et c'est là où il a gagné,
03:43 c'est que ça salit notre propre coeur.
03:45 C'est comme si nous-mêmes, nous avions bu le poison,
03:47 finalement, de tout ce qui nous renvoie.
03:49 Ou alors, je me dis, OK, là, c'est intéressant.
03:51 Comment je peux encore élargir mon coeur?
03:53 Comment, finalement, en fait...
03:55 Parce que le but qui m'anime, c'est la paix mondiale.
03:57 - La paix mondiale, bien sûr.
03:59 (rires)
04:01 - Oui, mais c'est au final...
04:03 - Non, mais parce que j'ai l'impression que vous êtes passionné
04:05 par ce que dit Karine. - Oui.
04:07 - Et je voulais savoir, vous en étiez où dans votre spiritualité
04:09 ou vers le tour de chakra personnellement?
04:11 - Montrant. - Comment ça se passe chez vous?
04:13 - Bah, dans la... - Ça a l'air vraiment de vous...
04:15 - Dans la fois où on en a parlé, je me suis endormi sur le canapé.
04:17 (rires)
04:19 - C'était il y a 15 ans. - Je peux pas te dire mieux.
04:21 - Non, non, vous êtes comment? - C'était pas vraiment il y a 15 ans.
04:23 - Ah! - Ah!
04:25 - Ça commence. - Non, non, non.
04:27 - Il y a 10 ans. - Non.
04:29 - En plus, je pense qu'on peut communiquer de plein de façons différentes.
04:31 - Bien sûr. - Et parfois, on n'a pas besoin...
04:33 On peut encourager en laissant dormir quelqu'un à la maison
04:35 parce qu'on a besoin et qu'il est fatigué.
04:37 - Bien sûr. - Finalement, l'encouragement...
04:39 - Bon, Karine, dis la vérité maintenant. Ça va, il y a...
04:41 - Je sais que tu vas faire... - Quand je suis parti de chez toi,
04:43 tu t'es dit "C'est pas un ouf, celui-là? Il est venu, il a dormi sur mon canapé,
04:45 il est reparti." - Non, parce que...
04:47 (rires)
04:49 - Dis, c'est un ouf, ce mec. Il est venu, il est sorti,
04:51 il est endormi 2 heures sur mon canapé.
04:53 - C'est un ouf, ce mec-là. - Je vais récupérer,
04:55 je me casse. (rires)
04:57 - Ce qu'il faut savoir, c'est que déjà, on a beaucoup parlé.
04:59 - Bah oui. - Et puis, c'était fin de soirée,
05:01 c'est en seconde partie de soirée.
05:03 Et j'ai senti qu'il était vraiment fatigué.
05:05 - Vous avez parlé de quoi? - Il s'est endormi.
05:07 - Il s'est endormi, il s'est endormi.
05:09 - Vous savez de quoi on a parlé? - Je me souviens pas bien.
05:11 Vous, de spiritualité. Cyril, de quoi?
05:13 - Non, mais je sais aussi détener.
05:15 Je sais aussi parler d'autres choses.
05:17 Mais la spiritualité, en fait, pour moi, c'est la joie.
05:19 - C'est la joie. - Et on rigole beaucoup avec Cyril.
05:21 - D'accord. - On a rigolé.
05:23 - On a rigolé. - Et Karine, tu vois, moi,
05:25 Karine, j'adore, je trouve qu'elle a un talon incroyable.
05:27 C'est pour ça que je t'ai aidée, d'ailleurs, parce que t'as vu,
05:29 j'étais pas du tout... - Merci.
05:31 - Je t'ai aidée parce que je trouve que t'as quelque chose.
05:33 - Elle est grande reconnaissance. - Elle a une singularité incroyable.
05:35 Karine, t'envoie pas de 50. - Exactement.
05:37 - Je t'en jure, j'en ai rencontré des animatrices.
05:39 Elle a son truc.
05:41 - C'est un truc de fou. Gilles, je suis sûr que t'es fan.
05:43 - Non seulement je suis fan, mais je la connais aussi un peu.
05:45 - T'as été dans les chez-toi. (rires)
05:47 (applaudissements)
05:49 (applaudissements)
05:51 (applaudissements)
05:53 (applaudissements)
05:55 - Non, mais non, elle est grande, ce qu'elle a dit.
05:57 (rires)
05:59 - Elle m'a aidée, on a fait une séance ou deux
06:01 pour qu'elle m'aide, et en fait, le livre est à l'image d'elle.
06:03 - Ah, pas bien marché, hein.
06:05 - Bah, si, et en fait,
06:07 elle rend optimiste. - Ouais, c'est vrai.
06:09 - Elle rend heureux, à l'image du livre,
06:11 avec plein de recettes, de conseils.
06:13 Et il y a quelque chose que j'adore, c'est que vous dites,
06:15 il ne faut pas avoir peur de perdre,
06:17 il ne faut pas avoir peur de tomber, on se relève toujours.
06:19 Et moi, j'ai pris ça, moi qui perd souvent,
06:21 qui tombe très bas, et bah, c'est un livre d'espoir
06:23 pour se rejouer. - Tu peux te relever, toi.
06:25 - Exactement, et grâce à Karine, c'est pour ça que le livre
06:27 est magistral, parce que c'est beau dans le livre.
06:29 C'est beau, ce qu'il te dit, la Karine.
06:31 - Merci infiniment, le bonheur de perdre.
06:33 - Oui, exactement. - Pour aller chercher, parce que finalement...
06:35 - On en a un, un petit peu, hein, parce que...
06:37 - Non, mais si, hein. - Je suis pas comme un fou
06:39 sur le bonheur de perdre. - J'ai vécu...
06:41 - Tu as vécu quelque chose, là ? - Non, mais justement, je raconte...
06:43 - Hé, ton prochain livre, qui l'a vécu, hein.
06:45 - Non, mais je raconte, bah, franchement,
06:47 Benjamin, j'ai vécu, justement, avant d'arriver
06:49 à Canal+, ma période la plus insécure jamais.
06:53 J'allais chercher des chèques chez l'abbé Pierre, hein.
06:55 Et y a rien de pire, finalement,
06:57 que de vivre l'insécurité.
06:59 Mais je pensais pas que c'était aussi,
07:01 comment dire, c'est...
07:03 On somatise, hein, presque, de...
07:05 Mais finalement, je me suis rendue compte,
07:07 et d'ailleurs, je prends l'exemple de Philippe Croizon,
07:09 qui est en bonne santé, et qui a un jour
07:11 un accident sur le toit, et qui perd ses deux jambes,
07:13 ses deux bras, et aujourd'hui, c'est une personne
07:15 qui est merveilleuse et qui a beaucoup de joie.
07:17 Et c'est comme si, en fait, finalement, ce grand combat,
07:19 il était obligé d'être allé chercher le divin.
07:21 Moi, je l'appelle l'état d'éveil,
07:23 d'autres l'appellent la source,
07:25 peu importe le nom qu'on lui donne.
07:27 Mais finalement, en fait, dans cet endroit-là,
07:29 et c'est ça que je dis dans le livre,
07:31 c'est qu'on a tout cet endroit qui fait que,
07:33 quand on le refait briller, dans la matière,
07:35 ça change, l'abondance arrive.
07:37 En fait, finalement, on a l'environnement
07:39 de ce que l'on est intérieurement.
07:41 -Ouais, ben voilà.
07:43 Daniel, t'imagines !
07:45 -Moi, je regrette de ne pas avoir lu votre livre
07:47 au moment où j'étais vraiment au fond du trou,
07:49 parce qu'il y a des vraies clés,
07:51 il y a des choses qui m'auraient aidé.
07:53 -C'est vrai, fait du bien, ce livre.
07:55 -Exactement. Vous parlez un petit peu
07:57 de vos fées-clochettes, en fait,
07:59 et moi, ma fée-clochette, c'était Cyril,
08:01 donc je me suis retrouvée...
08:03 -Tu vois pas la gueule de la fée ?
08:05 (Rires et applaudissements)
08:07 -C'était ma bonne fée.
08:09 -Toi aussi, je voulais pas te pécho,
08:11 t'as vu, je t'ai...
08:13 -Mais là, on vous croit, là !
08:15 (Rires)
08:17 -Non, tout ça, non.
08:19 (Rires)
08:21 [Musique]