• l’année dernière
Mattéo Guendouzi a inauguré le stade qui portera son nom dans l’enceinte qui l’a vu grandir, à Verneuil-sur-Seine (78), il y a plus de 10 ans, lorsqu’il était pensionnaire du centre de préformation du Paris Saint-Germain.

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Transcription
00:00 Gendouzi !
00:02 Wouah !
00:03 Gendouzi !
00:04 Peut-être que j'aurai l'occasion de jouer avec un de vous plus tard, peut-être.
00:07 Je ne sais pas, en tout cas c'est tout ce que je vous souhaite.
00:09 Vous avez envie de devenir comme lui ?
00:11 Oui !
00:12 Oui, mais peut-être pas au même club.
00:14 Ça fait un peu bizarre, on va au stade mater au Gendouzi.
00:16 C'est incroyable !
00:18 Ouais !
00:20 On aime bien Gendouzi, mais Paris c'est mieux.
00:23 Même si...
00:25 Même si Gendouzi il est fort.
00:27 Ouais !
00:29 Ça me replonge quand même quelques années en arrière.
00:48 Où tu n'oublies jamais tes années de collège et encore moins tes années footballistiques aussi que j'ai faites ici.
00:54 Donc non, non, c'était un magnifique souvenir. Ça m'a permis de repartir au collège, de revoir d'anciens professeurs.
00:59 Et voilà, de revoir certaines têtes qui m'est très familière.
01:02 C'est vraiment une fierté à 24 ans d'avoir un stade à son nom.
01:05 C'est quelque chose de magnifique et voilà, j'en suis ému aujourd'hui.
01:10 Et ça prouve que voilà, j'ai passé quand même quelques paliers depuis ce jeune âge, quand j'étais ici à 12 ans, 13 ans.
01:17 C'est un moment très fier.
01:18 Ça va les gars ?
01:20 Salut, bonjour.
01:22 Ça va tout le monde ? Vous allez bien ? Ça va ? Tranquille ?
01:25 Voilà, un bel équipement.
01:27 C'est un honneur quand même.
01:28 En vrai c'est cool de savoir.
01:29 C'est très cool qu'ils viennent visiter un petit village. Non, c'est un village.
01:34 C'est une ville !
01:36 Parce que peut-être on dit, ouais, Mathéo Gendouzi il a déjà joué sur ce terrain-là.
01:40 On est fans depuis tout petit. Mon petit frère il adore Marseille. J'adore Marseille.
01:44 On a deux familles, c'est que Marseille, Marseille, Marseille, Marseille.
01:47 Un grand moment quoi.
01:48 Très grand moment, très joyeux, un peu stressant d'ailleurs, mais on est contents.
01:53 Ouais, je suis content !
01:55 Il a dit de travailler dur. Il faut se percer.
01:58 C'est pas tous les jours qu'on voit ça.
02:00 J'ai entendu qu'il y avait une bonne petite génération. C'est vrai ?
02:03 Il y a des bons joueurs ?
02:05 Vous avez gagné le dernier match alors normalement ?
02:07 Combien ?
02:08 6-2.
02:09 On s'est entraîné sur ces stades pendant trois années.
02:12 La pré-formation c'est vraiment quelque chose qui commence à basculer vers le monde "professionnel".
02:18 C'est avec un vrai rythme de pro qui s'entraîne tous les jours.
02:23 Donc voilà, on n'oublie pas toutes ces étapes et qu'il y a eu du chemin qui a été parcouru depuis.
02:28 Ils auraient pu penser quand même aussi à d'autres joueurs, à d'autres très grands joueurs aussi qui sont passés par là.
02:34 Donc forcément c'est quelque chose de grand de penser à moi.
02:38 J'ai connu les mêmes profs que vous avez encore actuellement.
02:41 J'ai eu M. Avignon, Madame Moa, j'ai eu...

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