Budget 2023-2024: Zahirah Radha reçoit Reza Uteem, Ritesh Ramful et Takesh Luckho dans l’émission Zoom Extra Le budget présenté par Renganaden Padayachy démontre-t-il qu’il y une vision pour une relance de l’économie? Qu’en est-il des nouveaux piliers et de la creation d’emplois? Zahirah Radha reçoit Reza Uteem du MMM, Ritesh Ramful du Parti travailliste et l’économiste Takesh Luckho. À suivre aussi une intervention de l’économiste Manisha Dookhony.
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00:00:09 - Zoom Extra
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00:00:15 - Bon après-midi à tous et à toutes.
00:00:17 Bienvenue dans l'émission Zoom Extra.
00:00:20 Nous, l'émission d'aujourd'hui consacrée bien entendu
00:00:22 aux mesures budgétaires, les grands thèmes qui nous
00:00:25 pourront aborder aujourd'hui, la relance de l'économie,
00:00:28 l'investissement, les nouveaux piliers, entre autres.
00:00:31 Pour débattre avec nous, nous ayons sur le plateau
00:00:34 Reza Ottim, député responsable de la Commission économique
00:00:39 du MMM, Ritesh Ramphal, député secrétaire général
00:00:43 du Parti travailliste, et le Dr Takeshi Loko, économiste.
00:00:47 Nous prenons aussi au cours de l'émission une intervention
00:00:51 de Manisha Dukoni, économiste également.
00:00:54 Nous rappelons nos bons auditeurs qui nous tiennent
00:00:57 en utilisance, également une invitation au gouvernement
00:01:00 pour qu'il y délègue un représentant sur le plateau,
00:01:03 mais malheureusement, je finis jouer aux abonnés absents.
00:01:08 Messieurs, bon après-midi et bienvenue.
00:01:11 - Bon après-midi.
00:01:13 - Une des bonnes réactions qui nous fait tendre le plus souvent
00:01:17 ces derniers jours, surtout venant de bandes professionnelles
00:01:21 de l'économie, c'est que c'est un budget plus à vocation
00:01:26 sociale qui nous fait mettre bon accent sur les priorités
00:01:32 économiques qui finissent releguées au second plan
00:01:36 et n'en finissent même, dire moi, troisième, quatrième plan.
00:01:39 Réza Outim, est-ce qu'il vous partage cette avis-là?
00:01:43 - Bon, premièrement, nous avons un point d'interrogation
00:01:48 sur le fait que ce budget-là, c'est un budget socialiste.
00:01:53 Il y a beaucoup de mesures sociales qui sont annoncées,
00:01:58 une précision, une augmentation, un cadre principal.
00:02:04 Mais est-ce que c'est vraiment un budget, est-ce qu'il n'y a pas
00:02:09 quelque chose de budget socialiste quand nous trouvons
00:02:11 qu'il faut financer ce budget-là à travers taxes indirectes,
00:02:18 TVA, quand c'est toute la population, y compris
00:02:23 les plus pauvres, les plus démunis, qui pour bien
00:02:27 payer ce budget-là? Parce que, tenez-vous bien,
00:02:31 le ministre des Finances annonce une réforme de ce taxe.
00:02:37 Il dit, comme ça, "taxe progressive". Il dit, comme ça,
00:02:41 qu'il dit moins qu'il y a plus de casse pour payer plus.
00:02:44 Mais en vérité, qu'est-ce qu'il vient faire?
00:02:46 Il réduit le montant de taxes qui sont riches et ultra-riches
00:02:52 pour payer. Alors, il dit, "je paie 25 %",
00:02:57 il réduit la taxe pour payer 20 %.
00:03:00 Et en conséquence, l'année prochaine, ce gouvernement-là
00:03:04 est pour gagner moins de revenus depuis l'income tax
00:03:09 et est pour gagner encore plus de revenus en termes de TVA.
00:03:14 Mais TVA, il est pareil, ça. 15 %, qui est riche,
00:03:18 qui est pauvre, quand on est dans le food court,
00:03:21 toute personne mange, quand on a 15 % pour payer,
00:03:23 tous les députés sont pareil. Quand on voit la cité
00:03:25 inquiétueuse dans le supermarché, on a 15 %,
00:03:28 qui est riche, qui est misère, tous les députés sont pareil.
00:03:31 Donc, je pense qu'il est bien important de faire comprendre
00:03:35 la population, qui c'est la population, la classe ouvrière,
00:03:39 qui est pour le premier, qui est pour vous être payé,
00:03:42 pour soutenir sa dépense en termes de pourcentage
00:03:47 de ce revenu. Parce que 15 % TVA pour une dime
00:03:51 qui touche 10 000 roupies, il représente
00:03:54 une grosse somme d'argent. Par contre, 15 % pour une dime
00:03:58 qui est à 300, 400 000 roupies par mois,
00:04:00 il n'y représente pas grand-chose.
00:04:02 Donc, ça, vous devriez faire clairement ressortir
00:04:05 que ce n'est pas un budget socialiste,
00:04:06 c'est un budget capitaliste.
00:04:09 Maintenant, que dit-on d'une trouvée qui,
00:04:13 dans sa budget-là, fait qu'est-ce qu'il peut donner?
00:04:17 Après, il y a plusieurs places, plusieurs pages,
00:04:20 plusieurs paragraphes, le projet qu'ils ont pu faire,
00:04:24 le terrain qu'ils ont pu construire,
00:04:27 terrain social, mini-soccer field,
00:04:30 tigeur des enfants qu'ils ont pu faire.
00:04:33 Et ça, c'est une caractéristique, une signature
00:04:40 du ministre de Finances, Fadayatine,
00:04:43 systématiquement dans tout ce budget,
00:04:45 il parle au moins 30 minutes pour les causes
00:04:49 dans tout le village, toutes les petites régions
00:04:53 dans le Brésil. Mais comme on a démontré
00:04:55 dans mon discours l'année dernière,
00:04:58 discours d'hier, c'est qu'il dit qu'il pouvait
00:05:02 faire l'année dernière, mais la moitié là-dedans,
00:05:05 sa même projet, il peut redire qu'il pouvait faire l'année dernière.
00:05:09 Donc, il dit que ça n'existe pas si bien l'endroit,
00:05:12 si bien la place qu'il pouvait avoir,
00:05:13 mais au final, ça existe la moitié de l'argent
00:05:16 qu'il a budgété pour faire ce qu'il a dépensé.
00:05:20 Donc, moi, je ne pense pas qu'il n'y ait aucune mesure
00:05:24 pour relancer l'économie. Sa budget-là, il n'y a que ça,
00:05:28 qui sait ce qu'il peut faire, mais il peut même
00:05:31 ne pas dire qui sait ce que sa gouvernement peut faire
00:05:35 pour créer l'emploi, pour générer une croissance économique.
00:05:39 Il n'y a aucun nouveau pilier, il n'y a aucun nouveau secteur,
00:05:42 il n'y a aucun projet de développement, aucune vision.
00:05:46 - Ritesh Ramphal, vous partagez l'avis de Reza Othim,
00:05:49 vous pensez que le social finit par prendre le dessus,
00:05:52 c'est l'économie, ou bien, oui, si, vous pensez que même
00:05:55 le social finit par marquer un peu,
00:05:58 il y a une marque qui est un peu bas de mesure
00:06:01 qui finit par annoncer?
00:06:03 - Non, c'est ça, Zahra. Comment on...
00:06:06 Si c'est un gouvernement socialiste, ou pas,
00:06:10 si c'est un gouvernement socialiste, il a un budget.
00:06:13 Ou si c'est un gouvernement socialiste, il a ce mandat
00:06:16 qu'il va faire pendant 5 ans, qu'il va donner au pouvoir.
00:06:19 Ça va bien. Sa gouvernement-là, le gouvernement MSM,
00:06:22 au pouvoir depuis 2015.
00:06:24 Alors, on va regarder un petit coup depuis 2015,
00:06:27 qu'est-ce que le gouvernement finit par faire
00:06:30 pour être capable d'améliorer la qualité de vie
00:06:33 de la banque mauricienne. C'est comme ça.
00:06:36 Si le gouvernement, il augmente la qualité de vie
00:06:39 de la banque mauricienne, on peut dire que c'est
00:06:42 un gouvernement socialiste. Si c'est un gouvernement
00:06:45 qui finit par prendre avec les riches, qui finit par donner
00:06:48 aux pauvres, on peut dire que c'est un gouvernement socialiste.
00:06:51 Mais c'est pas ça qu'il devait trouver,
00:06:55 il devait trouver une finance au budget
00:06:58 à travers une taxation,
00:07:01 fabriquer le CHD.
00:07:04 Avant, nous tenions le NPF.
00:07:07 Sa gouvernement a fini avec un taxe régime,
00:07:10 le CHD,
00:07:13 et maintenant, tout le monde contribue au CHD.
00:07:16 Un petit maçon aujourd'hui contribue au CHD.
00:07:19 Un petit laboré aujourd'hui contribue au CHD.
00:07:22 Un PC aujourd'hui contribue au CHD.
00:07:25 C'est pas un gouvernement socialiste qui fait comme ça.
00:07:28 Maintenant, nous précisons la relance de l'économie.
00:07:31 Vous savez, je vais vous dire une chose,
00:07:34 un gouvernement, sous l'intention
00:07:38 de trouver un rapport,
00:07:41 le IMF,
00:07:44 il fait ce rapport tous les années.
00:07:47 Ce dernier rapport, il est tiré
00:07:50 en juin 2022.
00:07:53 Quand l'officier de l'inspecteur IMF
00:07:56 a fini, il a dit un petit mot
00:07:59 sur l'intention de l'autorité,
00:08:02 sur l'intention du gouvernement
00:08:05 par rapport à sa vision qu'il pouvait faire
00:08:08 pour relancer l'économie.
00:08:11 Je vais vous dire un paragraphe
00:08:14 pour que la population comprenne bien
00:08:18 comment on peut relancer l'économie.
00:08:21 Long-term vision, Mauritius aspire
00:08:24 à devenir un pays de haute réputation.
00:08:27 Ça veut dire que nous peuvons
00:08:30 capitaliser sur l'économie.
00:08:33 Pour une économie de haute réputation,
00:08:36 on peut gagner environ 13 000 dollars par année.
00:08:39 En ce moment, on peut gagner environ 600 000 euros.
00:08:42 Là, nous pouvons capitaliser sur l'économie
00:08:45 d'environ 400 000 euros.
00:08:48 Pour ceux qui ont une économie de haute réputation,
00:08:51 ils peuvent venir avec un développement,
00:08:54 une stratégie de développement.
00:08:57 Ils peuvent investir dans un secteur
00:09:00 tel que l'innovation.
00:09:03 Le gouvernement de Mauritius dit ça.
00:09:07 Ils peuvent investir dans le secteur de l'innovation,
00:09:10 dans le développement des compétences,
00:09:13 dans la création d'un pool de ressources humaines
00:09:16 qui est très compétent.
00:09:19 Ils peuvent investir dans la technologie,
00:09:22 dans l'infrastructure ICT.
00:09:25 C'est ça l'objectif du gouvernement.
00:09:28 Ils disent qu'ils peuvent contrôler la dette
00:09:31 et l'inflation.
00:09:34 Le gouvernement de Mauritius dit ça avec l'AMF.
00:09:37 Ils peuvent contrôler l'inflation et la dette.
00:09:40 Je me pose une question.
00:09:43 Ce secteur principal qu'ils peuvent investir
00:09:46 pour relancer l'économie, c'est l'innovation.
00:09:50 Si vous pouvez me trouver une mot de l'innovation,
00:09:53 je vous donnerai un prix.
00:09:56 Il n'y a pas de mot de l'innovation.
00:09:59 On appelle ça un gouvernement
00:10:02 qui finit pendant des trois années
00:10:05 pour taxer la population indirectement
00:10:08 et pour la dépréciation de l'europe.
00:10:11 A travers l'inflation, ils en ramassent plein.
00:10:14 Jusqu'à ce qu'avant les élections,
00:10:17 ils viennent et nous donnent un petit cadeau.
00:10:20 Ils ne relancent pas l'économie du tout.
00:10:23 Ils n'investissent pas dans l'innovation du tout.
00:10:26 C'est un gouvernement socialiste.
00:10:29 Alors, on laisse la population ici.
00:10:33 Qui est le gouvernement de Béguin-Safferre ?
00:10:36 - Est-ce que votre priorité économique
00:10:39 est adressée dans ce budget-là ?
00:10:42 Est-ce que vous trouvez une notion
00:10:45 "to dare and to care" dans ce budget ?
00:10:48 - Bonsoir, tout le monde.
00:10:51 Je commence par cette phrase.
00:10:54 L'idée de ce budget-là,
00:10:57 c'est de protéger la population.
00:11:00 Il vient avec un budget
00:11:03 qui est très important.
00:11:06 Quand on regarde les mesures
00:11:09 qu'ils mettent en place,
00:11:12 beaucoup de personnes,
00:11:15 de non-techniciens,
00:11:19 trouvent un budget
00:11:22 qui est important
00:11:25 pour toutes les secteurs
00:11:28 et tous les composants
00:11:31 qui sont vraiment vulnérables
00:11:34 comme les enfants qui sont malades,
00:11:37 difficiles à détruire, à opérer.
00:11:40 Quand on a ce budget-là,
00:11:43 on peut dire qu'il amène une sorte de bien-être
00:11:46 dans le pays.
00:11:49 Maintenant, les techniciens
00:11:52 commencent à éplucher.
00:11:55 Il y a un discours budgétaire.
00:11:59 Le budget, maintenant,
00:12:02 c'est plus un exercice de communication
00:12:05 que les autorités en place.
00:12:08 C'est un message qui peut faire du travail
00:12:11 tellement bien qu'il peut y avoir
00:12:14 d'autres alternatives.
00:12:17 Mais les détails restent dans les détails.
00:12:20 Il y a une partie du budget
00:12:23 qui nous rappelle les annexes, les appendixes.
00:12:26 Il y a des priorités qui sont là
00:12:29 pour la population.
00:12:32 Il y a un budget qui peut présenter
00:12:35 un budget très court
00:12:38 pour les élections.
00:12:41 Dans moins d'un an, on peut avoir une élection.
00:12:44 Il y a beaucoup à faire.
00:12:48 Je préfère pas dire qu'il y a une cause.
00:12:51 Il y a un bien-être.
00:12:54 Il y a un bien-être qui est très important.
00:12:57 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:00 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:03 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:06 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:09 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:12 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:15 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:18 Il y a un bien-être qui est très important.
00:13:21 En termes réels, on ne peut pas trouver aucun changement.
00:13:24 Il faut un bien-être nominal.
00:13:27 Parce que, si on donne par exemple
00:13:31 2 000 rupees aux pensionnés
00:13:34 qui ont 65 ans,
00:13:37 on peut donner presque 3 000 à 3 500 à une personne
00:13:40 qui a un minimum de 11 000 pour faire le 15 000.
00:13:43 Mais qui les prend, eux autres?
00:13:46 Parce que, je vous rappelle, il y a presque 2 ans, 2 ans et demi
00:13:49 de la population qui nous a senti.
00:13:52 Il y a beaucoup de facteurs qui ont dit
00:13:55 qu'il y a un prix de pétrole qui est artificiellement élevé.
00:13:58 Et toujours artificiellement élevé.
00:14:01 Il y a eu des dépréciations de la rupee
00:14:04 comme les États-Unis ont causé.
00:14:07 Pendant presque 3 ans, la rupee ne dépréciait pas
00:14:10 plus que 26 %.
00:14:14 Et tout cela a fait qu'il y a eu plusieurs taxes.
00:14:17 Une taxe de l'aide amène beaucoup de revenus
00:14:20 dans ce budget-là.
00:14:23 Et aussi, il y a eu des autres taxes qui m'ont appelé
00:14:26 une taxe invisible. Vous pensez que nous avons eu l'occasion
00:14:29 de causer cela durant l'émission. Il y a eu une taxe invisible
00:14:32 spécialement quand on a quitté l'essence. Un structure là.
00:14:35 Mais il y a eu une taxe qui mettait de la loi.
00:14:38 Ce n'est pas vraiment une taxe de l'eau par pied,
00:14:41 mais la façon dont la loi a été changée,
00:14:44 c'est-à-dire qu'on peut voter le budget pour voter
00:14:47 pour appliquer. Premier juillet, oui,
00:14:50 les premières deux semaines, on peut avoir sa fille
00:14:53 parce qu'elle a payé pour augmenter. Mais quand on prend
00:14:56 cela à l'argent, on ne peut pas aller au supermarché,
00:15:00 on ne peut pas aller au bazar, on ne peut pas faire
00:15:03 de bon achat, on ne trouve rien à changer.
00:15:06 Le prix est monté et peut-être il monte plus.
00:15:09 Ça tiboute l'argent qu'on a gagné là.
00:15:12 On peut croire qu'avec sa 3 000 rupières en plus,
00:15:15 on peut augmenter, mais quand on ne peut pas aller
00:15:18 vraiment au terrain, on ne peut pas aller vraiment
00:15:21 au supermarché, ça pourrait se parer et il y a de la chance
00:15:24 de diminuer parce que quand on fait un budget
00:15:27 qui a beaucoup de dépenses, comme ça,
00:15:30 quand on fait les biens, on gagne un effet.
00:15:33 Mais quand on fait la moitié, parce que pour moi,
00:15:36 je pense que ce budget-là n'est pas un budget terminé
00:15:40 parce que tu n'as encore pas de capacité,
00:15:43 le gouvernement actuel fait des choses,
00:15:46 pour penser encore aux talents, je vais vous expliquer,
00:15:49 comment quand on a des annexes, quand on a des appendices,
00:15:52 il y a encore de l'argent dans le budget-là,
00:15:55 l'argent encore qui est gardé pour peut-être
00:15:58 les élections qui vont venir, qui vont permettre
00:16:01 de donner un lieu, faire encore des dépenses,
00:16:04 faire ce qui nous appelle un mini-budget
00:16:07 qui est un petit peu plus.
00:16:10 Quand tu as du rang, ça nous appelle une consultation
00:16:13 pré-budgetée, tu annonces le bruit du couloir,
00:16:16 tu peux atteindre plus, il crée un hype dans la population,
00:16:19 tu peux atteindre la pension de 13 515 000,
00:16:22 tu peux atteindre le salaire minimum même,
00:16:26 c'est un minimum monté, quand le salaire minimum est monté,
00:16:29 tu peux avoir un effet domineux sur les autres salaires
00:16:32 dans le pays, mais la façon d'y être,
00:16:35 c'est un peu plus simple.
00:16:38 Et quand on a un budget en termes de l'économie,
00:16:41 on pense à une autre chose.
00:16:44 L'économie, c'est par exemple un budget qui a une vision
00:16:47 d'un pays, il dit aujourd'hui, le pays-là peut sortir,
00:16:50 demain peut-il arriver. On pense à différents budgets
00:16:53 qui nous guettent des piliers, beaucoup l'emphasis
00:16:56 sur l'infrastructure, quand on a le nombre
00:16:59 de public sector investment qu'il peut faire,
00:17:02 l'année dernière, il était à peu près 45 milliards,
00:17:05 juste 31 milliards de services là-dedans,
00:17:08 cette année-là, il y a à peu près 50 milliards,
00:17:12 et moi, je suis sûr que tous les 50 milliards pour les services,
00:17:15 ça m'a mis l'argent pour retourner dans le Consolidated Fund
00:17:18 pour pouvoir faire les autres projets plus tard,
00:17:21 mais on budget beaucoup sur les capital expenditures,
00:17:24 sur les projets d'infrastructure, chemin, drain,
00:17:27 peine de l'école, métro à La Vigie,
00:17:30 Saint-Pierre, mais ce projet-là, est-ce que c'était sa priorité
00:17:33 des suites, des suites, là?
00:17:36 On ne peut pas dire par des inférieurs,
00:17:39 nous lancons dans une vision de développement,
00:17:42 avec toutes les amenities, tout ce qu'on peut
00:17:45 dans un pays développé, mais parfois, quand la priorité
00:17:48 n'est pas là, la priorité c'était, il reste,
00:17:51 le bien-être de la population, et pour moi,
00:17:55 mon reading, c'est le bien-être, il essaie de donner
00:17:58 des solutions, des solutions, et ça, ça nous aide,
00:18:01 beaucoup entre nous, spécialement au bas de l'échelle
00:18:04 de la classe moyenne, qui peut parler de quelqu'un
00:18:07 qui chose, nous pouvons bien vite nous déchanter
00:18:10 quand nous pouvons vraiment calculer, est-ce qu'on peut
00:18:13 gagner, ou si on perd tellement beaucoup, qu'est-ce qu'on peut
00:18:16 gagner là? - Un cas de empoisonnement,
00:18:19 plaisir. - En fait, comme on dit, nous perdons
00:18:22 beaucoup, ça veut dire pendant un an, qu'à part dire un an,
00:18:25 on fait pour l'université, pour l'académia, d'accord?
00:18:28 On trouvait que généralement, une personne, là,
00:18:31 une personne middle class, avec deux enfants,
00:18:34 ça coûte, ce budget de tous les mois,
00:18:37 ça peut coûter 10 000 en plus,
00:18:41 10 000 en plus quand on fait le calcul,
00:18:44 combien ce quartier peut coûter en plus,
00:18:47 combien de loans il peut payer, spécialement si il prend
00:18:50 des loans pour avancer dans la classe,
00:18:53 pour avancer dans la classe, combien de licences, d'accord?
00:18:56 Il ne coûte pas ce qu'on connaît pendant deux ans,
00:18:59 l'essence, une motos qui est 25 roupies maintenant,
00:19:02 il ne coûte pas 5 roupies, il ne coûte pas ces 10 000 roupies
00:19:05 en plus, ils ont dit combien il peut gagner en bas,
00:19:08 presque 3-4 000 roupies, ça veut dire en termes nets,
00:19:11 en termes réels, l'Université dit beaucoup plus
00:19:14 qu'il peut gagner à travers sa budget.
00:19:17 - Au fin d'époque, dans le projet d'infrastructure,
00:19:21 au fin d'époque, des investissements totaux
00:19:24 de l'ordre de 113 milliards de roupies pour 2022,
00:19:27 « exceeded expectations »,
00:19:30 c'est le terme qu'ils finissent de servir.
00:19:33 Quand on retourne en arrière,
00:19:36 quand on regarde les investissements qui finissent là,
00:19:39 on trouve qu'ils sont concentrés principalement
00:19:42 dans deux secteurs, les projets d'infrastructure,
00:19:45 comme le docteur Lecoultre a dit,
00:19:48 et ensuite, côté investissement privé,
00:19:51 presque la quasi-totalité est dans l'immobilier,
00:19:54 ce qui nous connaît sur l'effet réel
00:19:57 sur l'économie, les traits minimes.
00:20:00 La question qui se pose,
00:20:03 qu'est-ce qui nous fait incapable
00:20:06 d'attirer plus d'investisseurs dans les autres secteurs ?
00:20:10 Est-ce qu'on ne peut pas prendre les taureaux par les cônes ?
00:20:13 - Vous savez,
00:20:16 chaque ministre des Finances,
00:20:19 chaque gouvernement,
00:20:22 il a sa vision
00:20:25 de comment créer la richesse.
00:20:28 Avant le ministre Padayatchi,
00:20:31 il y avait un consensus
00:20:34 pour les ministres des Finances,
00:20:37 du moins depuis les années 80 jusqu'à maintenant,
00:20:40 qui, pour faire la croissance,
00:20:43 ils devaient créer la richesse avant.
00:20:46 Et donc, ils ont fait une bonne mesure
00:20:49 qui permet l'investissement,
00:20:53 parce qu'on est un petit pays.
00:20:56 Ils ont encouragé les gens à créer des services,
00:20:59 à produire des services, à les exporter.
00:21:02 Et donc, il y a eu beaucoup de facilités
00:21:05 qui étaient mises à disposition de Mauritien
00:21:08 pour réduire l'interrogation,
00:21:11 pour créer la richesse,
00:21:14 ou pour créer l'exploitation.
00:21:17 Comme il y a eu, par exemple, la zone franche,
00:21:20 l'industrialisation, et c'est ça qui a fait le miracle
00:21:23 de l'économie des années 80.
00:21:26 Et il y a eu tout un ministre qui est venu,
00:21:29 qui a donné une certaine incitation budgétaire
00:21:32 pour créer la richesse, pour favoriser l'investissement.
00:21:36 Et il y a eu beaucoup d'investisseurs étrangers
00:21:39 qui ont fait un bon travail.
00:21:42 Et donc, c'est la plupart des lignes,
00:21:45 c'est les Mauritiens qui y sont allés.
00:21:48 Mais dans les années 80, c'était les Hongkongais qui y sont venus.
00:21:51 Après, il y a eu un transfert de technologies.
00:21:54 Après un moment donné, ils sont allés,
00:21:57 les Mauritiens continuent de travailler là.
00:22:00 Mais depuis 2014,
00:22:03 on ne trouve aucun nouveau secteur de développement,
00:22:06 ni encore de la croissance économique
00:22:09 à travers l'exportation,
00:22:12 à travers ce qu'on appelle "supply sides" économique,
00:22:15 c'est-à-dire le dur labeur,
00:22:18 travailler, créer la richesse.
00:22:22 Non. L'accès tout sur
00:22:25 la philosophie économique
00:22:28 l'eau, la consommation.
00:22:31 On a un problème avec la consommation.
00:22:34 Les Mauritiens, c'est un pays qui mange très bien.
00:22:37 Mais dans le Mauritie, il y a un problème.
00:22:40 Pourquoi ? Il ne peut pas produire.
00:22:43 Donc, quand on peut mettre de la masse,
00:22:46 quand le gouvernement peut investir dans un projet,
00:22:49 payer de la masse, faire un direct transfert,
00:22:52 comment il le fait systématiquement ?
00:22:55 Mais qui nous fait que ça casse ?
00:22:58 On est obligé d'importer.
00:23:02 Mais qui est-ce qui fait ça ?
00:23:05 Qui est-ce qui est en première ?
00:23:08 Qui est-ce qui est dans le métro ?
00:23:11 Qui est-ce qui travaille pour travailler au métro ?
00:23:14 Trois fois les dépenses que les Mauritiens peuvent donner
00:23:17 dans le métro, quitte à aller.
00:23:20 Donc, cette politique de
00:23:23 "le gouvernement ne donne pas de casse,
00:23:26 ne donne pas de casse, ne donne pas de casse",
00:23:29 ça, ça a la croissance.
00:23:32 Mais par contre, ce problème,
00:23:35 c'est qu'il peut endetter le pays.
00:23:38 Si, comment dire, le pays tient une croissance économique
00:23:41 où il y a un surplus d'argent,
00:23:44 on peut prendre cet argent-là, on peut donner.
00:23:47 On peut donner à la consommation.
00:23:51 Mais non, ce n'est pas ça que je veux dire.
00:23:54 Depuis 2014, la dette publique
00:23:57 est doublée.
00:24:00 Et cette année-là aussi, pareil, malgré que
00:24:03 la partie posée n'a pas consisté à dépenser à cause de la COVID,
00:24:06 mais encore 25 millions en plus,
00:24:09 on finirait 485 millions et l'année prochaine,
00:24:12 il y aura encore plus, 515 millions.
00:24:15 Mais c'est plus dangereux.
00:24:18 C'est que le ministre des Finances, il dit à nous
00:24:21 qu'il est pour réduire la dette publique en devises.
00:24:24 Quand on a une dette publique en roupies,
00:24:27 il est OK, il manage. C'est qu'il y a un réveil,
00:24:30 on fait le gouvernement, la Banque centrale, print money,
00:24:34 on repaye, on fait le bon du trésor, etc. Donc il est manageable.
00:24:37 Mais quand on prend une dette en devises,
00:24:40 on va bien répayer en devises.
00:24:43 Et quand on repaye, on peut déprécier.
00:24:46 Mais le repayement aussi, on va payer plus en termes de roupies.
00:24:49 Et là, il y a une traine qu'il nous fait trouver
00:24:52 qui permet de faire un repayement qui lui permet
00:24:55 de prendre de plus en plus d'argent en devises.
00:24:58 Qui fait ça? Parce que la Banque centrale
00:25:01 paye la devise, le gouvernement paye la casse
00:25:04 en termes de devises étrangères.
00:25:07 Il peut obliger à prendre l'autre en devises étrangères
00:25:10 pour qu'ils puissent contrôler
00:25:13 d'une certaine manière les prestations de la roupie.
00:25:16 Parce que si l'ipatie fait ça, la roupie,
00:25:20 elle va être beaucoup plus dépréciée.
00:25:23 Parce qu'il ne nous importe pas beaucoup plus
00:25:26 que de dépenses plus, nous importe beaucoup plus
00:25:29 qu'une exporter. Ça veut dire qu'il nous servit
00:25:32 beaucoup plus de devises, de l'or pour transférer
00:25:35 aux homoïstes qu'ils nous recevront.
00:25:38 Il y a beaucoup d'autoroutes qui peuvent venir,
00:25:41 mais il n'y en a pas suffisamment.
00:25:44 Et c'est pourquoi pour moi, le gouvernement
00:25:47 a besoin de faire le maximum,
00:25:50 de donner le maximum de casse qu'il est capable
00:25:53 pour les grands, les sans-emploi.
00:25:56 Mais il n'y a pas de mesures pour encourager
00:25:59 l'investissement. Il n'y a pas d'investissement.
00:26:03 C'est l'investissement qu'il y a dans le Maurice
00:26:06 aujourd'hui, c'est la création
00:26:09 de projets immobiliers.
00:26:12 Et de plus en plus, longtemps, il y a eu
00:26:15 des projets qui étaient super chers, 1 million de dollars, etc.
00:26:18 Aujourd'hui, non. Aujourd'hui, il y a des gens qui ont
00:26:21 un work permit, mais il y a ces locaux, 30 millions,
00:26:24 ils compètent avec les locales. C'est pourquoi
00:26:27 le Maurice est de plus en plus trouvé difficile
00:26:30 pour un couple qui veut travailler,
00:26:33 et non pas parce qu'il est classe ouvrière,
00:26:36 mais parce qu'il est de classe moyenne.
00:26:39 C'est très difficile pour la classe moyenne aujourd'hui
00:26:43 de construire une maison.
00:26:46 - Ritesh Rampol, vous avez parlé
00:26:49 de deux miracles économiques.
00:26:52 Il paraît que vous en avez parlé un à l'heure.
00:26:55 Est-ce qu'il y a d'autres facteurs
00:26:58 qui peuvent influer sur la décision des investisseurs
00:27:01 pour venir injecter leur maison dans le Maurice?
00:27:04 - Oui.
00:27:07 On a deux types d'investissement.
00:27:10 On a l'investissement public et l'investissement privé.
00:27:13 L'investissement public, c'est le gouvernement
00:27:16 qui veut investir dans l'infrastructure, etc.
00:27:19 Ce gouvernement-là, au début de ce mandat,
00:27:22 il prend un loan.
00:27:25 Un loan avec un pays armé
00:27:28 pour qui il est capable d'investir
00:27:32 dans l'infrastructure.
00:27:35 Et l'infrastructure qu'il a trouvé, c'est le métro.
00:27:38 Aujourd'hui, on ne peut pas dire qu'il a fait un bon projet.
00:27:41 Mais seulement, aujourd'hui, le métro,
00:27:44 avec vision du gouvernement,
00:27:47 il arrive à peu près à 40 km.
00:27:50 1 km de traque, aujourd'hui,
00:27:53 coûte la population 1 milliard de roublis.
00:27:56 Parce que le projet, il arrive à 40 milliards.
00:27:59 40 km, 40 milliards, 1 km de traque,
00:28:02 aujourd'hui, coûte nous 1 milliard.
00:28:05 C'est un loan qu'on doit aux enfants
00:28:08 pour pouvoir payer après.
00:28:11 Et aussi, là, si vous allez dans le budget,
00:28:15 vous trouvez que chaque année,
00:28:18 on peut subsidiser le métro.
00:28:21 L'opération du métro peut-être faire casse
00:28:24 dans le budget de 1,3 milliard d'un métro
00:28:27 pour pouvoir payer le coût opérationnel.
00:28:30 Deuxième type d'investissement public,
00:28:33 ce qui nous tient tous les années,
00:28:36 le ministre des Finances,
00:28:39 lui, il dit qu'il pourrait se faire...
00:28:42 Il fait les tours, il le nourrit.
00:28:45 Il dit qu'il pourrait se faire...
00:28:48 On dirait que l'économie,
00:28:51 on dirait que l'économie peut se faire.
00:28:54 Mais là aussi, quand on regarde en 2021,
00:28:57 tu votes un budget de 11,7 milliards.
00:29:01 Loin de l'espace de 3 ans, supposément,
00:29:04 pour ranger le train à travers l'île.
00:29:07 - Nous nous pointerons pour nous prendre
00:29:10 une pause pub, après nous continuer
00:29:13 avec notre projet de train.
00:29:16 - Présentez Girnar Détox Dési-Kava.
00:29:19 Dessin avec un délire.
00:29:21 Détruisez-le avec le soleil au ralenti
00:29:23 ou goûtez-le après une longue course.
00:29:26 Vous vous détendez pendant un jour héctique
00:29:28 ou quand vous êtes dans les montagnes loin d'ici.
00:29:31 Le plus bon goût vert,
00:29:32 les herbes et les goûts
00:29:34 donnent un goût qui est deux fois plus agréable.
00:29:37 Détoxer, maintenant fait facile.
00:29:39 Détruisez-le et déguez.
00:29:41 Sans doute, ils disent,
00:29:42 Girnar, mon thé, mon temps.
00:29:46 Sous-titrage Société Radio-Canada
00:29:49 ...
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00:29:58 Ah ah allons chez Lolo.
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00:31:24 La roue l'a tourné, mais nous battons dans la roue, Vous avec nous, nous avec vous, nous battons qu'il est!
00:31:32 L'armée dans l'armée, nous battons, laisse liberté menacée, Sans frayeur ni faveur, nous amènes pour la vérité.
00:31:41 La roue l'a tourné, mais nous battons dans la roue, Vous avec nous, nous avec vous, nous battons qu'il est!
00:31:49 L'armée dans l'armée, nous battons, laisse liberté menacée, Sans frayeur ni faveur, nous amènes pour la vérité.
00:31:59 L'armée dans l'armée, nous battons, laisse liberté menacée, Sans frayeur ni faveur, nous amènes pour la vérité.
00:32:07 Zoom Extra
00:32:11 De retour dans Zoom Extra, nous rappelons aux auditeurs que nous avons un budget sur le plateau réseau Team.
00:32:19 Ritesh Ramphal et le Dr Takeshi Lekou.
00:32:23 Avant la pause pub, Ritesh Ramphal nous dit qu'il y a des investissements privés.
00:32:29 Nous avons aussi investi dans le projet métro, mais nous avons dit que le projet métro n'est pas bien implementé.
00:32:42 Nous avons dit que le projet de métro n'est pas bien implémenté.
00:32:49 En 2021, le gouvernement a investi 11,7 milliards. Dans ce budget, nous avons investi un largement.
00:33:03 Nous avons investi 1,5 milliard pour un espace de trois ans pour terminer l'engin 2024.
00:33:22 Pour le budget de ce projet, nous avons investi 1,5 milliard pour construire et installer 84 workhorses.
00:33:33 Nous avons investi 1,7 milliard pour 684 millions pour terminer l'engin 2024.
00:33:41 Nous avons investi 1,5 milliard pour 684 millions pour terminer l'engin 2024.
00:33:52 Mais les investissements publics ne nous rapportent pas à l'emploi.
00:34:00 Ce qu'il nous faut, c'est l'investissement privé. Nous devons augmenter l'investissement privé.
00:34:04 Mais comment augmenter l'investissement privé?
00:34:07 Le gouvernement a une vision. Il nous a dit que pour investir dans l'innovation, il faut augmenter le budget.
00:34:16 Mais le projet que nous avons, nous avons investi surtout dans l'immobilier.
00:34:24 Les étrangers et les Sud-Africains ont accepté le terrain et ont gagné la FDI.
00:34:34 Mais cela n'a pas de rapport avec l'emploi.
00:34:39 Alors, nous avons investi 10 à 13% de notre GDP.
00:34:58 Mais dans le secteur financier, il y a environ 50% de notre GDP.
00:35:08 L'économie de service, c'est ce que Maurice Pevin a dit.
00:35:15 Et qui nous a dit que l'économie de service dans le secteur financier,
00:35:19 nous pouvons créer un pool de jeunes, de ce qu'on appelle les "human resources".
00:35:28 Nous pouvons, dans notre entraînement, créer ce pool-là,
00:35:31 pour que les investisseurs, quand ils sont finis, puissent avoir des professionnels dans différents secteurs.
00:35:38 Qui peut arriver dans notre secteur professionnel?
00:35:41 Nous pouvons avoir un exode de notre secteur professionnel.
00:35:44 Alors, il y a des gens qui ont quitté Maurice pour avoir des jeunes, des professionnels.
00:35:49 Ils ont quitté Maurice pour aller à Luxembourg, pour aller au Canada.
00:35:54 Parce qu'il n'y a pas de méritocratie, il n'y a pas de vision dans ce pays-là.
00:35:59 Mais nous serions capables, en ce moment, de faire des jeunes apprendre.
00:36:05 C'est un incendie pour tous les Maurice.
00:36:08 Parce que dans notre pays, l'eau, notre pétrole, nous n'avons qu'une seule ressource, la ressource humaine.
00:36:14 Et nous serions capables d'investir dans la ressource humaine.
00:36:18 Nous ne causons pas l'innovation, nous causons l'incendie.
00:36:21 Nous faisons que les gens qui vont vers l'IA.
00:36:24 Combien d'ingénieurs qualifiés dans l'IA, nous avons aujourd'hui, qui sont sortis de l'université de Bourgogne?
00:36:29 Zéro.
00:36:32 Alors, nous trouvons, dans notre pays, des investisseurs privés.
00:36:36 Nous trouvons des gens qui peuvent investir dans notre pays.
00:36:39 Alors, c'est ça que j'ai envie de dire un petit peu, mais c'est une autre affaire.
00:36:44 Nous ne causons pas aussi, nous ne causons pas l'innovation, nous causons l'énergie renouvelable.
00:36:51 Qui est un secteur en gros qui est incapable d'attirer l'investissement.
00:36:56 Mais, le gouvernement a une vision erratique.
00:37:00 Il dit, là, en 2035, l'énergie mixte renouvelable pourra arriver à 60%.
00:37:07 Je ne crois pas que ça arrive.
00:37:09 Nous ne causons pas 30%, moins que 30%.
00:37:12 Nous causons la sécurité alimentaire.
00:37:17 Depuis quand nous pouvons dire, nous sommes autosuffisants.
00:37:21 C'est un secteur qui est incapable d'investir.
00:37:25 L'autosuffisance, nous manger, produire nos propres manger, produire nos propres légumes, etc.
00:37:34 Nous disons qu'il nous importe 75% de manger depuis des ans.
00:37:39 Qui est le gouvernement qui est capable de faire que le pays soit autosuffisant pour manger ?
00:37:45 Alors, la fois où j'ai posé une question au Parlement,
00:37:50 je lui ai dit, vous savez, dans le Maurice, pas juste le dîner, pas juste la farine, nous importons.
00:37:56 Nous importons les oignons, nous importons le zezame, nous importons l'ail.
00:38:00 Pourtant, nous avons tout ça.
00:38:02 C'est ce terrain-là qui est capable d'être cultivé.
00:38:04 Nous n'avons pas fini de nous biser ou de lister une taille de mesure.
00:38:09 Et quand nous avons l'implémentation, nous n'avons rien à faire.
00:38:12 Alors, je lui ai posé une question au ministre de l'agro-industrie,
00:38:15 les 16 tracteurs qu'il y a dans le MCI,
00:38:19 qu'il nous donne pour planter, pour qu'ils développent ce terrain, pour qu'ils fassent la cultivation.
00:38:24 Les 16, 10 là-dedans, en panne, pas capables de réparer.
00:38:28 6 qui restent, 6D, qui nous donnent pour planter, pour qu'ils cultivent ce terrain.
00:38:33 Mais pourquoi nous ne sommes pas capables d'arriver à l'autosuffisance alimentaire dans ce pays-là ?
00:38:38 Alors, vous trouvez, nous ne pouvons rien faire avec un gouvernement qui n'a pas de vision.
00:38:42 Encore une fois, je vous l'ai dit.
00:38:45 Alors, si vous avez envie de créer l'investissement,
00:38:48 le premier qu'il faut faire, c'est qu'il y ait un gouvernement qui ait une vision pour ce pays-là.
00:38:53 Také Shlaku, dans quel secteur vous pensez que vous êtes capable d'attirer plus d'investissements et créer plus d'emplois ?
00:39:02 En fait, quand on regarde le budget, on pense à différents secteurs.
00:39:05 Comme nous l'avons vu un peu plus tôt, il y a beaucoup de secteurs
00:39:09 qui sont capables de faire ça, pour commencer par le pot.
00:39:13 Quand on commence avec le pot, on connaît aujourd'hui une pièce de culot là,
00:39:17 qui donne des informations très intéressantes.
00:39:19 Aujourd'hui, le pot de Maurice est parmi les derniers de la classe.
00:39:23 Donc, presque tous les autres classements, les premiers de la classe,
00:39:27 le taf-l'investissement, nous sommes les premiers de la classe.
00:39:29 Ça, c'est un classement qui nous fait partie des derniers de la classe.
00:39:32 Et ça, c'est un variable qu'on va investir.
00:39:37 Parce que l'investisseur, quand il revient dans le pays, il peut produire.
00:39:40 S'il produit un service, ok, mais il se produit un produit, comme on dit, besoin d'exporter.
00:39:45 Mais comment il peut faire pour exporter ça ?
00:39:47 Et généralement, dans ce calcul, le pot, quand il est inefficient,
00:39:50 comme on dit, ou soit, c'est compétitif et baissé,
00:39:52 ça veut dire que demain, pour exporter ce produit-là, il coûte beaucoup plus cher.
00:39:55 Mais qu'est-ce qu'il peut faire pour venir chez nous, quand nous,
00:39:58 notre infrastructure, qui le pot, qui l'aéroport,
00:40:00 quand pour exporter le produit, il est tellement cher, il n'est pas compétitif,
00:40:04 il préfère pas venir chez nous, qu'il vienne chez les femmes.
00:40:06 Et là, c'est un des matins qui finit évoqué dans BNQ, ce matin.
00:40:09 Exactement. Et aussi, nous, qui sommes en cours, un facteur,
00:40:11 bon, il y a différentes affaires que nous avons dans le pays,
00:40:14 nous avons des secteurs financiers, nous avons des analyses noires, des analyses grises,
00:40:17 nous causons un peu dans le passé, juste après 2014,
00:40:21 la façon dont tu traites un compagnon,
00:40:23 le nom est bien connu à Maurice, la façon dont il gagne le traitement,
00:40:27 ça fait un investisseur pire, parce que s'il vient là,
00:40:30 il aussi gagne le même traitement dans le pays.
00:40:32 Alors, qu'est-ce qui peut arriver ? Il préfère faire un back-off,
00:40:34 il y a un pays qui trouve un environnement plus conducif,
00:40:38 et là, nous pouvons aussi montrer et causer que Maurice,
00:40:42 sur l'IFC, ça veut dire International Financial Center,
00:40:45 s'il peut se poser une place dans une juridiction très attrayante.
00:40:48 Mais nous pouvons trouver beaucoup maintenant de compétiteurs,
00:40:51 depuis nos pays amis africains, qui l'ont gagné, qui l'ont fait,
00:40:55 et qui commencent, ils viennent de l'avant,
00:40:58 et commencent, le gars lui-même, à attirer les clients qui sont obtenus de Maurice,
00:41:02 et c'est là que nous pouvons dire que l'environnement,
00:41:05 même si il y a des investisseurs préfets qui ont une place,
00:41:09 qui sont aussi plus à l'aise, qui viennent d'une juridiction
00:41:12 que nous connaissons, qui peuvent gagner le traitement,
00:41:14 même si, je corrige un petit peu les choses,
00:41:17 je veux dire que Maurice, ce n'est pas un pays où il ne faut pas investir,
00:41:21 c'est un pays où il y a des moyens d'investir,
00:41:24 et il y a des moyens pour gagner le capital,
00:41:26 mais par exemple, nous manquons,
00:41:28 et ça veut dire que nous manquons,
00:41:30 on vend le pays, on fait une bonne ligne avec les investisseurs,
00:41:33 c'est pour ça que depuis trois ou quatre dernières années,
00:41:36 nous trouvons que l'investissement direct de l'EPI,
00:41:39 il est plongé, spécialement quand nous rentrons dans la liste
00:41:43 qui s'appelle grise et noir,
00:41:45 le secteur financier qui était le fleuron de l'économie tout récemment,
00:41:49 beaucoup de nos clients ont quitté,
00:41:53 ils viennent de nos compétiteurs qui vivent en Sud-Afrique,
00:41:57 qui vivent à Saint-Garde-Poulx,
00:41:59 et même, comme je l'ai dit, dans les autres pays africains.
00:42:02 Maintenant, quand on regarde le secteur qu'on peut causer,
00:42:04 qui nous le fait, encore une fois,
00:42:06 il paraît que dans le budget, nous mettons tout notre désert dans un seul panier,
00:42:09 plutôt dans des secteurs, mais on va dire que dans un seul panier,
00:42:12 c'est l'investissement public, l'infrastructure et les touristes.
00:42:16 Et les touristes, parce qu'encore une fois,
00:42:19 ce budget-là, il paraît être "driven" par l'arrivée touristique.
00:42:23 Le "target" était 1,4 l'année dernière,
00:42:26 c'est-à-dire fiscal de l'année dernière,
00:42:28 15,2 millions, et nous venons de gagner 82 milliards d'euros d'après le budget.
00:42:33 Maintenant, ce "target" est 100 milliards.
00:42:35 Comment est-ce que vous pouvez faire ça?
00:42:37 Vous ne pouvez pas trouver une stratégie, c'est juste qu'il y ait un ajout d'un pays logeant.
00:42:40 Le Mauritius Tourism Promotion Authority dit ça même,
00:42:43 mais vous ne pouvez pas vraiment expliquer,
00:42:46 mettre en place comment est-ce que vous pouvez faire ça.
00:42:48 Est-ce que ça va se passer?
00:42:49 Je vous montre un chiffre qui, l'année prochaine,
00:42:51 nous pourrions dire, de fiscal 2023 à 2024, 2025,
00:42:55 nous pourrions dire que ça arrive à 100 milliards de roupies,
00:42:57 mais quand vous regardez, c'est à travers la dépréciation de la roupie,
00:43:00 c'est une roupie dépréciée qui fait sa recette-là augmenter.
00:43:05 Nous avons différents secteurs qui sont clés pour l'économie de Mauritius.
00:43:09 L'éducation, le secteur agricole, parce qu'aujourd'hui, nous avons un business agribusiness.
00:43:13 Nous ne pouvons pas en parler.
00:43:14 Tout à l'heure, Reza a mentionné le secteur de la cité,
00:43:17 moi, Ritesh, qui a mentionné le secteur de la cité.
00:43:19 Au commencement, il y a une vision qui,
00:43:21 l'économie de demain, ça va être blockchain et tous les related projects,
00:43:27 AI, tout ça, mais nous pouvons trouver qu'il y a beaucoup de pays vers,
00:43:31 plein vers, la digitalisation sur l'économie,
00:43:34 plein vers, dans le secteur innovatif, qui est digitalisé,
00:43:38 nous avons un nouveau concept, vous avez vu qu'il y a le chat GBT
00:43:41 qui prend beaucoup l'ampleur dans beaucoup de pays,
00:43:43 mais nous, on est encore en arrière dans ce secteur-là.
00:43:47 Et ce secteur-là a beaucoup de potentiel parce que,
00:43:50 nous, l'éberforce, comment nous dire, il y a une éberforce intelligente
00:43:54 parce que nous avons une éberforce qui,
00:43:57 beaucoup ont dit, beaucoup d'enfants, ils veulent aller à l'université,
00:43:59 et ils ont dit, ces enfants-là, quand ils sortent de l'université,
00:44:02 dans l'université, ils ne trouvent plus aucun travail.
00:44:06 Ils sont allés à la bataille, ils sont restés à la maison
00:44:09 parce qu'ils n'avaient pas le secteur d'absorption
00:44:12 qui était la cité traditionnelle, qui était le secteur financier,
00:44:17 mais il est un peu, on ne peut pas dire obsolète, mais il est soufflé,
00:44:20 il est soufflé, et quel nouveau secteur d'absorption
00:44:23 qu'il y a aujourd'hui, nous ne le causons pas beaucoup,
00:44:25 nous ne causons pas le secteur vert, nous ne causons pas le secteur bleu,
00:44:28 nous ne causons pas le secteur ICT, New Generation,
00:44:31 Maurice 2.0, Maurice 3.0, mais concrètement parlant,
00:44:36 rien ne va pas se passer, et ça amène moi un chiffre,
00:44:40 comme un économiste et comme une personne qui fait du travail social aussi,
00:44:43 un chiffre très alarmant qui nous faisait très, très, très, très cautious about it,
00:44:49 elle donne très attention à ce chiffre-là, c'est le chômage chez les jeunes
00:44:52 et le chômage chez les jeunes diplômés.
00:44:54 Ils ont dit le chômage chez les jeunes et le chômage chez les jeunes diplômés
00:44:57 touchent les 29%, et ça pour un pays comme Maurice
00:45:00 qui en vit, passe là-bas, on appelle ça un "glass ceiling"
00:45:06 sur un pays qui est middle-high income country,
00:45:09 une "high income country", le pays qui est middle-high income country,
00:45:13 qui est un chômeur gradué sans emploi, qui peut quitter le pays,
00:45:16 qui peut aller à l'étranger.
00:45:18 Et le problème, parfaitment adressé, c'est vraiment le "bread drain",
00:45:21 parce qu'il y a un calcul qui va nous faire,
00:45:23 qui va nous faire dire de le passer,
00:45:26 c'est que si nous comptons nos enfants qui sortent les trois ans,
00:45:29 qui viennent les 21 ans, le pays en lui-même,
00:45:32 qui sont les parents et le gouvernement en tout,
00:45:34 dépense presque six millions de roupies pour faire ces enfants-là,
00:45:37 sorti de l'école à trois ans, à l'université,
00:45:40 on peut compter tous les publics, les dépenses publiques,
00:45:43 l'université publique à Maurice, ça coûte environ six millions
00:45:46 pour faire ces enfants-là, une "qualified labor",
00:45:49 mais cette "qualified labor", qui peut le faire ?
00:45:51 Il peut juste prendre un avion, il plane dans le pays,
00:45:53 comme j'ai mentionné, Canada, Luxembourg,
00:45:55 qui peut gagner cette "labor" sans coûts.
00:45:58 Il peut dépenser, il peut investir dans ces ressources humaines,
00:46:02 il peut gagner sans coûts, et nous, nous pouvons payer,
00:46:05 et actuellement, qu'est-ce qu'on peut faire ?
00:46:07 On peut aussi tirer le réchauffement, par exemple,
00:46:11 des employés locaux et des employés étrangers,
00:46:13 on tire ça, c'est une restriction, on tire ça,
00:46:16 et est-ce qu'on ne peut pas prendre en compte le secteur mauricien,
00:46:19 de Maurice, quand on représente le Bangladesh qui est mauricien,
00:46:21 ça c'est une question à poser pour l'avenir,
00:46:24 dans l'avenir prochain, ce qu'on trouve, par exemple,
00:46:26 dans le secteur touristique, nous réputer, nous réputer exactement.
00:46:29 Nous faire du promenade-mesure concernant la main-d'oeuvre étrangère.
00:46:33 Nous réputer, vraiment, nous, secteur touristique,
00:46:35 réputer pour le service mauricien, le sourire mauricien.
00:46:38 Maintenant, nous, vous trouvez un sourire mauricien à la Bangladesh.
00:46:41 Ah là là.
00:46:42 Avant qu'il ne nous passe à nos prochaines questions,
00:46:45 nous écoutons à présent une intervention de Manisha Dukony, économiste.
00:46:50 Dans ce cadre, on peut dire que, généralement,
00:46:54 il y a plusieurs éléments qui ont été mis en place dans le budget.
00:46:58 Donc, premièrement, on voit qu'il y a certains éléments de facilitation,
00:47:02 qui sont en train de se mettre en place,
00:47:05 incluant la mise en place de systèmes intégrés,
00:47:12 la facilitation pour diminuer le temps de traitement des dossiers.
00:47:18 Il y a aujourd'hui certainement une facilité pour recruter plus de personnes de l'étranger,
00:47:31 mais aussi, en même temps, ce qui est intéressant,
00:47:34 c'est un des défis économiques localement,
00:47:37 c'est le fait qu'il y ait autour de 300.000 femmes
00:47:41 qui ne se retrouvent pas sur le marché du travail
00:47:44 parce qu'elles sont potentiellement occupées,
00:47:50 elles s'occupent des enfants, elles s'occupent des parents âgés, etc.
00:47:54 Donc là, il y a des solutions qui ont été mises en place
00:47:58 pour soutenir plus le côté de la famille.
00:48:03 Maintenant, est-ce que du coup il y a des solutions par rapport à la production
00:48:13 et les nouvelles industries?
00:48:15 Alors, il y a certaines choses qu'on voit dans le budget pour la production
00:48:21 par rapport au PME et les nouvelles industries en particulier.
00:48:27 L'industrie pharmaceutique et ce qu'on appellerait l'industrie,
00:48:35 donc les éléments de l'industrie circulaire.
00:48:39 Ce qui amène à la deuxième question par rapport aux nouveaux piliers annoncés.
00:48:45 Donc, il y a eu des propositions dans les budgets précédents,
00:48:51 effectivement sur le service économique, technoparc, pharmaceutique, etc.
00:48:56 Dans ce budget, on voit des éléments qui ont été mis en place plus spécifiquement pour la pharmaceutique.
00:49:09 Par exemple, diminution à 15 jours des jours de traitement par rapport aux dossiers
00:49:23 qui ont été envoyés, je crois, aussi à ASSI.
00:49:26 Il y a aussi la révision de certaines lois qui ont trait à l'industrie pharmaceutique.
00:49:35 Mais la part belle cette année-ci, c'est vraiment ce qu'on appellerait l'économie circulaire,
00:49:42 incluant tout ce qui est les énergies renouvelables.
00:49:45 C'est en particulier parce que aujourd'hui avec la Banque africaine de développement,
00:49:55 la COP 27, bientôt la COP 28 ou encore avec le Green Deal de l'Union européenne,
00:50:06 ces éléments de l'économie circulaire deviennent de plus en plus importants.
00:50:12 Et du coup, c'est pour ça que c'est en train de se développer.
00:50:19 Il faut aussi faire ressortir que par rapport à la pharmaceutique, il y a eu récemment aussi quelques investissements.
00:50:27 C'est intéressant et conséquent.
00:50:29 Il y a aussi des rapports un peu plus spécifiques sur l'industrie et donc ces recommandations,
00:50:39 je pense, sont en train d'être mis en place avec le budget.
00:50:43 Mais je pense que aussi au lieu, donc un budget, dans un budget c'est difficile de mettre beaucoup de nouveaux axes économiques.
00:50:56 Il faudrait que ce soit des rapports plus ciblés, des documents plus ciblés, peut-être même des lois plus ciblées
00:51:04 au cours de l'année pour « tackle » d'une certaine façon les nouveaux axes économiques qu'on voudrait développer.
00:51:14 Parce qu'un budget, surtout avec le Finance Bill, il devient trop difficile à mettre toutes sortes d'éléments
00:51:28 qui pourraient affecter en gros tout le Finance Bill, les discussions, etc.
00:51:40 Donc c'est mieux d'avoir potentiellement, si on veut développer des nouveaux secteurs ou des nouveaux piliers,
00:51:46 c'est mieux que ce soit dans un ordre plus spécifique avec des projets de loi beaucoup plus spécifiques aussi.
00:51:54 Par contre, il y a certains secteurs auxquels on s'attendait, mais on n'a pas entendu grand-chose.
00:52:03 C'est en particulier le « blue economy » où il y a certainement des développements majeurs qui peuvent se faire,
00:52:16 mais potentiellement ça, ça va venir après. Mais effectivement, c'est aussi un secteur où ça a été annoncé plusieurs fois dans les années précédentes.
00:52:28 Par rapport à la résilience, on voit premièrement qu'il y a la croissance. Donc ça, c'est une bonne chose,
00:52:34 mais le gros problème reste toujours l'inflation et tant qu'on n'a pas, comme on dit, « tamed » l'inflation,
00:52:45 ce sera difficile de gérer. On a vu que les coûts augmentent, les coûts avec les dettes personnelles, etc.
00:53:00 sont en train d'augmenter. Donc par rapport à une résilience, tout ça, ça a des conséquences et c'est difficile.
00:53:10 L'autre chose par rapport à notre résilience, c'est le fait que malgré beaucoup d'interventions, on voit que Maurice a toujours
00:53:21 des difficultés au niveau des taux de change. Il y a potentiellement d'autres options à explorer. Certaines de ces options incluent par exemple
00:53:36 le R&B Clearing Center, les Vostro Accounts, les UBI, le Reply Account pour un peu diminuer la demande de dollars
00:53:52 par rapport à nos importations de l'Inde et de la Chine. Donc ça, ça pourrait aider à diminuer la pression qu'il y a sur la rupee.
00:54:06 En ce qui s'agit de relance économique, je pense par rapport aux différents budgets, les deux précédents budgets où
00:54:18 l'accent a été beaucoup mis sur le social. Même si ce budget a aussi une bonne partie de social, ce budget est un peu différent parce que
00:54:33 ça donne aussi un peu plus de push sur la relance économique. Et aussi ce qui est différent par rapport au budget précédent,
00:54:46 la relance économique avant c'était beaucoup plus mis sur la consommation. Aujourd'hui, on voit un shift vers les investissements
00:55:04 et surtout les investissements privés. Alors qu'avant, il y a eu beaucoup plus de push sur les investissements,
00:55:14 mais en particulier des investissements du public. Donc c'est ça un petit peu qui différencie ce budget-ci et bon,
00:55:26 avoir une relance économique fantastique, c'est toujours difficile, mais on espère que certains de ces projets vont se concrétiser
00:55:43 et qu'on pourrait avoir des espoirs de relance économique et pas que de relance, mais upshot économique beaucoup plus important dans le futur.
00:56:01 Avant qu'il ne vous prenne ma réaction par rapport à ce que Manisha Dukkone-Hindia nous fait un pause-pub et nous retrouve juste après.
00:56:13 (Générique)
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00:57:27 De retour dans Zoom Extra, alors juste avant la pause, nous écoutons une intervention de l'économiste Manisha Dukkone-Hindia.
00:57:37 Résulte-t-il, vous laissez réagir par rapport à ce qu'elle a dit.
00:57:41 Je ne me sens pas trop bien compris.
00:57:44 Elle veut dire qu'il y a un petit peu plus d'accent dans ce budget concernant la relance économique et que la part belle a été faite surtout par rapport à la migration circulaire.
00:57:55 Non, ça, je comprends. Je comprends, mais je ne comprends pas à partir de là qu'on est capable de dire qu'il est différent et qu'il peut y avoir un développement économique.
00:58:05 La grande différence avec la migration circulaire, ce qui est arrivé, c'est que le gouvernement a décidé qu'il ne peut plus beaucoup d'étrangers travailler dans Maurice.
00:58:19 Et ça, c'est quelque chose que tout le monde peut faire parce qu'il y a une pénurie de main-d'oeuvre, pas seulement au niveau ouvrier, mais aussi au niveau professionnel.
00:58:35 Aujourd'hui, le secteur chaud, par exemple, peut souffrir parce que le meilleur élément peut quitter le travail dans Luxembourg.
00:58:45 Quand est-ce que tu peux causer l'investissement?
00:58:51 Maurice, quand on veut faire de l'investissement, mais ce n'est pas le seul pays qui fait de bons investissements.
00:58:57 Il y a des compétiteurs, il y a Rwanda, il y a tout le pays au monde qui a des investisseurs pour venir pour relancer l'économie.
00:59:06 Donc, nous, nous devons faire mieux que nos compétiteurs.
00:59:08 Mais nous ne pouvons pas faire pareil. Quand on veut faire du développement économique, on a besoin de la même force, on a besoin de personnes qui vont faire le "brain", des gens, de l'élite.
00:59:22 Mais nous ne sommes pas capables de nous donner l'élite.
00:59:24 Aujourd'hui, la plupart des gens qui étudient à l'étranger sont des membres de Maurice.
00:59:32 Et il y a beaucoup, beaucoup de professionnels qui viennent d'Alexandrie, du Canada, d'autres pays, qui font ce qu'ils font aujourd'hui.
00:59:42 Nous ne pouvons pas retenir nos talents. C'est ça la grande question.
00:59:48 Moi, pour moi personnellement, il y a deux critères qui vous ont servi pour reconnaître si c'est un bon budget.
01:00:00 Premier critère, est-ce que je vous dis, quand vous allez dans un bazar ou vous allez dans un supermarché, est-ce que vous avez un caddie plus plein que ce qui était la semaine dernière à bon budget?
01:00:13 Est-ce que vous avez pris une bc? Est-ce que vous avez trouvé que toutes les affaires peuvent être plus bonnes que ce qui était la semaine dernière?
01:00:18 C'est la première affaire. Est-ce qu'il y a une amélioration?
01:00:21 Avec ça, il y a l'effet de l'annonce.
01:00:24 Et deuxième, est-ce qu'après avoir écouté ce discours de budget, un jeune peut dire maintenant, non, je ne peux pas aller migrer dehors, je vais rester ici, c'est super beau,
01:00:35 je vais venir annoncer là, demain, je vais avoir un job, je vais avoir une très bonne paye, je vais avoir une très bonne condition de travail,
01:00:41 je vais avoir assez de place pour rester dans la maison, je vais avoir assez d'entretien dans mon lit, la qualité de vie peut augmenter.
01:00:50 Parce que je vous dis, un jeune, il n'a pas l'exemple du travail, il a une balance entre le travail et son bien-être.
01:00:58 Il a une balance. Je veux dire, travailler fort, jouer fort.
01:01:02 Mais Maurice, est-ce qu'après ce budget-là, un jeune qui peut penser à immigrer,
01:01:08 et si quand il écoute ce budget-là, aujourd'hui, il dit non, je ne vais pas aller migrer, je vais rester ici.
01:01:14 C'est ça pour moi, vraiment, le test qu'il faut faire.
01:01:18 Et concernant le développement, je ne trouvais pas Mme Ducony, elle sait même, elle sait même trouver un pôle de création de croissance, mais non.
01:01:28 C'est juste parce que l'économie bleue, il y a un chapitre dans ce budget-là, l'économie bleue,
01:01:34 qu'est-ce qu'il peut faire dans l'économie bleue?
01:01:36 Je pense que c'est un milieu pour les pêcheurs ordinaires.
01:01:41 Rien sur la pêche industrielle, rien sur l'exploitation, l'exploration des ressources minérales qui nous sont là,
01:01:51 ce n'est pas pour gâter, c'est une arane qui est soule, ce qui ne va pas prendre dans l'océan,
01:01:56 ni sur l'exploitation des "continental shelves" avec ces "shelves", ni sur l'usage de, par exemple, de "tidal wave",
01:02:07 ou bien de servir des lits frais pour "cooling" pour les "continents" dans le passé.
01:02:13 Il y a une absence totale de nouvelles idées, de nouvelles visions, qui est dommage,
01:02:18 parce que moi, je les ai et je les maintiens.
01:02:23 Mauritien, c'est une race de débrouillards.
01:02:27 Mauritien, des travailleurs, des contents de travail, des contents de mettre ses efforts.
01:02:33 Il existe un gouvernement qui a l'écoute, un gouvernement qui facilite sur la vie,
01:02:38 pas un gouvernement qui met le bâton dans la roue.
01:02:41 Je vous dis que je ne suis pas un "picu", mais je réalise que 90% des gens qui font une application pour avoir une connexion,
01:02:52 qui sont domestiques, mais aussi industriels,
01:02:57 mais aussi pour pouvoir faire une usine,
01:03:00 les 100 applications qu'ils font, 90% ne font pas encore une connexion.
01:03:07 Mais comment ils peuvent, à cause de "ease of doing business" dans le Mauritien,
01:03:11 ils peuvent même, à cause de ça, avoir une connexion avec l'autre ?
01:03:15 Ritesh Ramphol, "ease of doing business", "blue economy", "migration circulaire",
01:03:24 quelles sont les réactions ? Comment réagir par rapport à ça ?
01:03:29 La migration circulaire, nous avons des difficultés par rapport à nous, dans le secteur touriste.
01:03:43 Dans l'hôtel, ce qui est difficile pour moi, c'est de recruter des Mauritiens pour travailler.
01:03:50 Et les Mauritiens, quand ils travaillent dans l'hôtel à Maurice, c'est un accès,
01:03:59 parce que nous, les Mauritiens, nous accueillons, ça l'accueille, ça sourit.
01:04:04 Ça, c'est un facteur qui tourise, tu peux être content, tu peux venir dans l'hôtel à Maurice.
01:04:12 Maintenant, je vais dire, pour bien évidemment les étrangers,
01:04:16 mais je me pose la question, quel est le problème ?
01:04:20 Est-ce qu'ils nous financent une étude, le gouvernement fait une étude pour savoir
01:04:24 qu'est-ce qu'il fait un Mauritien ?
01:04:27 Vous savez combien de Mauritiens travaillent dans un bateau de croisé ?
01:04:32 Qu'est-ce qu'il fait un Mauritien ?
01:04:35 Il veut travailler dans un bateau de croisé, il n'en a pas envie !
01:04:38 Il veut rester dans son Maurice !
01:04:40 Vous savez quelle difficulté il a gagné là-bas ?
01:04:43 Il a besoin d'un bureau, d'une maladie, d'un bateau de croisé,
01:04:47 et il n'a aucun suivi médical, il n'en a pas envie.
01:04:52 Il a envie de rester dans son Maurice, il travaille dans l'hôtel ici.
01:04:55 Mais quel est le problème avec le recrutement des Mauritiens ici ?
01:05:00 Qu'est-ce qu'il fait ? Il préfère un bateau de croisé qu'un Maurice.
01:05:04 Le gouvernement a besoin d'une étude, est-ce qu'il ne doit pas bien payer ?
01:05:09 Je ne comprends pas, il a besoin de savoir d'abord quel est le problème,
01:05:13 quelle est la source du problème, il doit adresser ce problème-là.
01:05:17 Maintenant, l'économie, c'est aussi une cause,
01:05:21 l'énergie renouvelable.
01:05:24 Je vais vous dire ce qu'il y a là-bas.
01:05:27 L'énergie renouvelable, nous le disons là, en 2030,
01:05:30 60% de l'énergie qui nous est servie à Maurice,
01:05:35 c'est pour une énergie mixte renouvelable.
01:05:40 Mais là, nous en 2023, nous avons 7 ans de 2030,
01:05:47 moins de 30% de l'économie,
01:05:52 c'est basé sur l'énergie renouvelable.
01:05:56 Là, nous faisons 17%.
01:06:00 Là, nous faisons un contrat avec Téra
01:06:03 pour faire l'énergie avec le sabon.
01:06:06 Mais quand on voit ce qui se passe là-bas,
01:06:09 on trouve que c'est une fausse idée que le gouvernement
01:06:12 peut promettre à la population.
01:06:15 Je ne comprends pas, franchement, je trouve ça très difficile,
01:06:18 là, Valérie Dujeaux, pour défendre sa budgét-là.
01:06:23 Takeh Shlaku, je trouve que vous pouvez faire une sourire.
01:06:27 En fait, je vais vous répondre un peu sur la technique qui est présentée.
01:06:32 Ça me cause la croissance, quand vous dites la croissance et les chiffres
01:06:35 dans les annexes, la croissance de 9%.
01:06:38 Mais je tiens à bien rappeler qu'en 2022-2023, 9%,
01:06:42 c'est une catch-up growth, c'est une croissance qui nous peut récupérer.
01:06:46 Parce qu'il ne fallait pas oublier qu'en 2020-2021,
01:06:49 avec le COVID, nous avons perdu 15% en termes de croissance,
01:06:54 nous avons une décroissance de 15%, nous avons perdu presque 5 ans de croissance,
01:06:59 équivalente à 416 milliards de rupees en termes de PIB.
01:07:05 Et là, nous faisons une catch-up, ça veut dire que nous pouvons essayer
01:07:08 d'arriver à un niveau qui, avant le COVID, nous étions,
01:07:12 oui, les chiffres montrent qu'ils nous dépassent le niveau,
01:07:15 mais je vous ai rappelé que ces chiffres-là,
01:07:17 ils sont un peu éloignés, un peu gonflés par ce qu'on appelle l'inflation,
01:07:21 l'inflation dans la calculation, parce que l'inflation,
01:07:25 ce qu'il fait, il pousse le prix devant, il fait le prix-là de plus en plus cher.
01:07:29 Quand on calcule la croissance, on voit le volume ne multiplie pas le prix
01:07:32 et on a un chiffre plus élevé. C'est pour ça qu'il nous faut,
01:07:35 quand on a une inflation élevée, spécialement en économie,
01:07:39 quand on apprend de l'école, de l'université,
01:07:42 quand on a une inflation qui est presque très haute de chiffre,
01:07:45 ne pas qu'existe la valeur nominale du PIB,
01:07:48 nous avons aussi la valeur réelle du PIB.
01:07:50 Et aujourd'hui, la valeur réelle du PIB va montrer que c'est maintenant
01:07:54 qu'il peut retourner avec une valeur du PIB qui était avant le COVID,
01:07:59 c'est là qu'il peut se retrouver. C'est pour ça qu'il dit
01:08:03 le forecasted growth rate de 9 %, moi je suis un peu sceptique
01:08:08 parce que d'après les calculs qu'il fait, il paraît que pour nous arriver
01:08:14 à ce niveau de croissance de 9 %, nous devons ré-baser l'inflation.
01:08:18 Nous devons ré-baser l'inflation, c'est l'inflation et peut-être
01:08:21 la dépréciation de l'Europé qui peut faire nous arriver à une croissance
01:08:24 comme ça. Encore une fois, ça veut dire le papier,
01:08:27 le papier très joli, le gouvernement pour venir,
01:08:30 l'université de finance pour venir, nous devons ré-server une croissance
01:08:32 de 9 % à l'année normale, mais en termes réels,
01:08:36 en termes composés de la croissance, nous devons trouver
01:08:40 qu'il est basé sur la consommation et lui-même, dans le budget,
01:08:44 il met un calcul là-bas, code, après la croissance,
01:08:47 qu'il indique pour une à peu près 722 milliards d'euros,
01:08:51 le GDP déflate. Ce n'est pas l'inflation en lui-même,
01:08:55 c'est un autre moyen de calcul de l'inflation,
01:08:57 à mon avis, si on calcule l'inflation, on apporte un panier de l'aménager
01:09:00 qui s'appelle CPI. Aussi, il y a une autre technique
01:09:03 qui nous servit pour calcul de l'inflation, mais qui ne nous sert pas trop
01:09:06 comme nous le ferons en analyse, c'est le déflate.
01:09:08 Ça veut dire de déflater les autres variables qui rentrent,
01:09:12 ce n'est pas le panier de l'aménager, vraiment, c'est par exemple
01:09:15 le volume de production de pays qui s'est calculé, le déflateur,
01:09:19 mais nous connaissons que le déflateur, à peu près 9%,
01:09:21 généralement, le CPI est plus élevé que le déflateur.
01:09:24 Techniquement, le CPI reste plus élevé.
01:09:26 Par exemple, là, le déflateur à 9%, l'inflation,
01:09:30 l'average dans le risque, c'est à 12%.
01:09:32 L'average, je m'en disais, la ligne BC, l'une, l'autre,
01:09:34 à peu près 10%, mais l'average, c'est à 12%.
01:09:37 Ça veut dire, encore une fois, si le ministre des Finances
01:09:39 peut prédire une inflation déflateur de 9%,
01:09:42 nous trouverons une réelle inflation,
01:09:45 ça veut dire CPI d'inflation de 11% et réelle inflation,
01:09:49 comment nous dire, de beaucoup plus.
01:09:51 Donc, la souffrance pour beaucoup plus.
01:09:53 Exactement, ça, c'est montré que, généralement,
01:09:55 ça banne, qui nous peut dire acquis social ou banne,
01:09:58 si, cash-in, cadeau social qui nous est gagné là,
01:10:01 il faut probablement, ça, pour évaporer,
01:10:04 évaporer encore une fois très vite avec une inflation
01:10:07 qui pourrait s'élever, peut-être l'inflation en termes de calculation
01:10:10 parce que l'inflation, c'est un chiffre.
01:10:12 Nous ne pouvons pas faire n'importe quel chiffre,
01:10:14 nous devons faire le BC, artificiellement, un chiffre,
01:10:16 mais nous causons panier de l'aménagère,
01:10:18 le panier de l'aménagère, il faut probablement,
01:10:20 pourrait s'élever parce que, avec toutes ces dépenses-là,
01:10:23 il y en a des dépenses en plus que le gouvernement a fait,
01:10:26 il a fait pour montrer qu'il paye attention aux pays vols,
01:10:29 mais ces dépenses en plus, c'est une augmentation de la masse monétaire
01:10:33 et comme Friedman dit, "Inflation is purely a monetary phenomenon",
01:10:36 ça veut dire, c'est la masse monétaire,
01:10:38 quand nous grandissons les causes de l'inflation,
01:10:40 nous pouvons retrouver un cycle de l'inflation
01:10:43 quand il y a une donnée de cash-in qui crée de l'inflation
01:10:46 pour une rédondée de cash-in qui pourrait créer de l'inflation.
01:10:49 Donc le coût du panier d'aménagère est élevé, mais le panier-là, il est vide.
01:10:53 Le panier-là, il est disparu.
01:10:55 Le cadillac est vide.
01:10:57 Au fin de l'époque, la croissance,
01:10:59 résulte-t-il que le gouvernement finissait ces dernières années
01:11:03 d'au-delà de la croissance à travers l'investissement public.
01:11:07 Est-ce que ça allait payer un coût sur la dette publique
01:11:10 selon les chiffres qu'il y a devant moi,
01:11:14 il paraît qu'il y a un déficit annuel d'environ 45 milliards d'euros
01:11:21 qui peut grossir selon la dette chaque année.
01:11:24 Bon, je vous rappelle que nous avons la loi.
01:11:31 La loi qui dit que la dette publique n'est pas capable de dépasser 60% de nos PNB.
01:11:42 Ce qu'elle fait, c'est que toute dette qu'il y a, c'est une taxe future.
01:11:50 Parce qu'il faut rembourser ça.
01:11:52 Pour gagner.
01:11:53 Donc, si ils ont dit tout ce qu'ils nous payent, dépenser,
01:11:57 mais demain, nos enfants, nos petits-enfants, pour baisser, remboursent tout ça de la dette qu'ils payent.
01:12:03 Et le ministre, chaque année, il vient dire comme ça,
01:12:08 que la dette publique peut baisser, peut baisser,
01:12:12 mais chaque année, quand on regarde les estimations,
01:12:16 on trouve que les mêmes, on peut prévoir qu'en termes absolus, la dette peut monter.
01:12:23 Je vais vous donner un exemple.
01:12:25 L'année dernière, il s'est pensé que notre dette publique pour 449 milliards.
01:12:32 L'année dernière, il a fait 485 milliards.
01:12:37 Ça veut dire qu'il en prend 35 milliards en plus.
01:12:44 Qu'est-ce qu'il s'est pensé ?
01:12:45 Il s'est pensé qu'il finit par dire que la dette publique pour 450 milliards, l'année dernière, 485 milliards.
01:12:51 Là, pour l'année prochaine, il peut finir par dire que la dette publique pour 516 milliards.
01:12:58 Ça veut dire que lui-même, il peut finir par dire qu'il en prend encore 30 milliards en plus, plus de dette.
01:13:06 Ça, c'est ce qu'il peut finir par dire.
01:13:08 Mais de façon à ce qu'il se trouve, il peut y aller, probablement, il peut beaucoup plus.
01:13:12 Donc, ce qu'il a trouvé, c'est qu'au lieu de réduire la dette publique, il peut monter.
01:13:18 Et je vous rappelle qu'en 2019, avant l'élection générale,
01:13:23 quand M. Padayati était député, gouverneur général,
01:13:27 c'est lui-même qui venait à l'idée de transférer 18 milliards de plus depuis la réserve de Banque Centrale pour donner ça au gouvernement.
01:13:35 Et il a dit qu'il allait transférer ces 18 milliards-là pour réduire la dette publique.
01:13:40 C'était ça la raison qui s'est avancée.
01:13:43 Mais je me suis dit que depuis M. Padayati, au lieu de réduire la dette publique, ça peut monter, ça peut monter, ça peut monter.
01:13:50 Donc, c'est exactement comme le ministre des Finances,
01:13:55 le premier ministre, ou le gouvernement,
01:13:59 trouvait que pour une raison politique, pour une raison électoraliste,
01:14:05 pour plaire à la population qui peut souffrir,
01:14:09 le premier ministre, le ministre des Finances, l'étonné, nous disait, donne-nous quelque chose parce qu'il n'y a pas trop gagné.
01:14:15 On se retrouve dans les années, ou en France, fin des années, quand il y a eu un grand soulèvement,
01:14:20 et le ministre, ce qu'il fait, il dit, ok, on prend un casque, on prête, et la Banque de Mauricie doit être offerte, on le print.
01:14:28 C'est ça, ça désaffirme jusqu'à présent le bilan de M. Padayati.
01:14:34 Il n'y a aucun bilan en termes de croissance qui vient à travers le dur labeur.
01:14:41 Il n'y a pas une faire de manière pour dire qu'on travaille plus, pour qu'il y ait un nouveau développement, un nouveau secteur, une nouvelle industrie,
01:14:49 c'est qu'il y a une faire qui est dépensée, et une dépense, qu'est-ce qui part pour lui?
01:14:53 Il y a une dépense, qu'est-ce qui apporte à nos enfants, à nos petits-enfants?
01:14:57 Je vais donner trois exemples, hein, de ce que je peux dire sur une faire.
01:15:02 Le pot, nous stratégiquement, on va placer entre l'Inde, la Chine et l'Afrique.
01:15:09 Il n'y a aucun nouveau développement dans le pot.
01:15:11 Au contraire, nous pouvons dégringoler, maintenant, ce matin, le premier ministre s'est confirmé, le 344 pot, le 327ème pot.
01:15:19 Le premier ministre n'a pas dit ce qu'il avait envie, c'est un rapport qui ne fait pas la Banque mondiale, World Bank,
01:15:24 il n'y a pas de cause n'importe qui, ça n'a rien à voir avec la World Bank.
01:15:26 Et, ce qui fait, c'est que le temps qu'il nous prend aujourd'hui dans le pot, pas bon.
01:15:32 Nous prenons trop de temps, c'est trop cher, et l'équipement est censé.
01:15:36 Deuxième, nous prenons une stratégie africaine.
01:15:39 Nous ne pouvons pas dire que tous les Africains, tous les Mauritius font partie de l'Afrique,
01:15:44 mais qu'est-ce qu'on peut faire en termes concrets vis-à-vis de l'Afrique?
01:15:47 L'Afrique est une margée énorme.
01:15:49 Nous signons un accord devant une convention.
01:15:52 Convention avec l'Afrique, convention avec l'Inde, convention avec la Chine, qui donne nous un accès préférentiel.
01:15:59 Si nous, dans le gouvernement, nous prenons des affaires, nous faisons tout ça pour les investisseurs,
01:16:04 qui ont envie d'attaquer le marché indien, chinois ou africain, nous allons dire que c'est la ville de Maurice.
01:16:10 La ville de Maurice va faire un label mauricien, qui va faire son "Made in Mauritius",
01:16:15 ça va permettre d'avoir accès à l'Afrique, à la Chine et à l'Inde.
01:16:20 Est-ce que vous pouvez trouver Maurice Péphère-Savanne, qui a été une initiative là?
01:16:24 Donc, la sécurité alimentaire.
01:16:29 Nous ne trouvons pas dans la COVID comment nous tous nous tracasser.
01:16:33 Pommes d'été, c'est quoi dire?
01:16:35 C'est une denrée tellement rare, pommes d'été, j'en ai rien vu.
01:16:38 C'est quoi dire?
01:16:39 Je veux dire, c'est violent, tout, pour les pommes d'été.
01:16:42 Il y a un intérêt.
01:16:44 Je vous dis, dans le monde entier, tout le monde a une cause de "integrated farming",
01:16:51 tout le monde a une cause en termes de "vertical farming".
01:16:55 Dans un pays comme Maurice, qui a beaucoup de terrain, dans un pays comme le Moyen-Orient,
01:17:02 où il y a de la température, où il y a beaucoup d'air,
01:17:06 je peux venir avec ma nouvelle façon de faire la production alimentaire dans ma lisine verticale.
01:17:16 Mais Maurice, nous ne pouvons rien, il n'y a aucune innovation, il ne peut rien.
01:17:21 Donc, moi, ce que je veux dire à mon ministre des Finances, c'est qu'il a choisi la facilité.
01:17:27 Au lieu de réfléchir, au lieu de trouver une solution pour générer la croissance durable,
01:17:34 qu'est-ce qu'il fait ? Il prend casse, qui nous, les enfants, pour nous, les enfants, pour nous embaucher.
01:17:39 Ritesh Ramphal, un économiste, me dit que pour chaque enfant qui peut naître,
01:17:45 il y a une dette annuelle d'environ 36 000 rupees sur la tête, comme à l'année.
01:17:52 Vous pensez que nous pouvons compromettre l'avenir de nos enfants
01:17:56 en augmentant le fordou qui est là, sur les épaules ?
01:18:01 Oui, beaucoup plus que ça.
01:18:04 L'ombière à peu près est équilibrée.
01:18:06 Je vais vous dire ça, comme je disais, le budget, le gouvernement peut donner 20 000 rupees
01:18:12 à tous les enfants qui finissent de gagner 18 ans à partir de cette année-ci,
01:18:17 janvier de cette année-ci.
01:18:19 Ce qui ne dit pas dire que ces enfants-là, quand ils gagnent 20 000, ces adultes-là,
01:18:24 quand ils gagnent 20 000 rupees, sur la tête, nos dettes publiques, nous disons, 485 milliards.
01:18:31 Ça veut dire que chaque enfant qui a une dette de 485 000.
01:18:38 485 000, c'est ce qu'il nous faut de prendre.
01:18:41 Pour prendre les populations, on diminue.
01:18:44 485 000, chaque enfant, nous disons, sur la tête.
01:18:50 Alors, ce qui nous fait dire que ce gouvernement est un gouvernement qui, malheureusement,
01:18:56 ne fait aucun gouvernement, depuis qu'il a fini de gagner le pouvoir,
01:19:00 il prend des lois.
01:19:02 Au début, il ne prend pas de lois avec un pays ami pour faire des développements.
01:19:07 Les enfants vont avoir besoin de pays après.
01:19:10 Quand son capacité pour prendre des lois n'est plus capable, il prend des lois à l'instant,
01:19:15 parce qu'il connaît que les moyens sont dans notre tête.
01:19:20 Les capacités qu'on a dans notre tête,
01:19:22 les capacités qu'on a pour prendre des lois avec un pays ami, ce n'est pas pour nous.
01:19:26 Alors, ces capacités pour prendre des lois, elles ne sont plus capables de prendre des lois.
01:19:31 Alors là, ils viennent avec l'inflation, l'appréciation rupie pour ramasser leurs argents,
01:19:38 pour rouler l'économie.
01:19:40 Alors, en suce de ce qu'il a fini de dire dans ce budget-là, 485 milliards,
01:19:47 nous avons aussi un special fund.
01:19:50 Un special fund.
01:19:51 30 milliards.
01:19:52 Oui.
01:19:53 Pour construire la case, 8000 logements.
01:19:57 Il prend un special fund.
01:19:59 Il prend un special fund, cela, qui peut passer dans le business.
01:20:02 Cela a aussi une dette.
01:20:04 Nous avons Metro Express, par exemple.
01:20:06 Cela a aussi une dette.
01:20:08 Tout cela qu'on a ajouté, il vient beaucoup plus que 485 milliards.
01:20:13 Alors, le pays, comme on dit déjà dans nos interventions sur le budget,
01:20:19 nous finit par arriver au point de bankruptcy.
01:20:23 Alors, nous devons faire très attention, comme j'ai dit,
01:20:27 que le gouvernement amène le pays.
01:20:30 T'appuies sur le cou, brièvement, avant qu'il nous fasse un dernier tour de table.
01:20:35 « Brink of bankruptcy », Ritesh Ramphaline dit.
01:20:39 Tu es d'accord avec cela?
01:20:41 Oui. En fait, si je suis capable de répondre à deux choses que tu as mentionnées,
01:20:45 cela veut dire dette par enfant.
01:20:47 Et aussi, le déficit budgétaire et la dette publique.
01:20:53 On peut trouver que la dette par tête d'enfant,
01:20:56 je pense, moi, c'est ce que j'ai envie, un chiffre qui m'a calculé,
01:20:59 avant ce budget-là, c'était à peu près 400, 4000 rupees par tête d'enfant.
01:21:03 400, 4000 rupees.
01:21:07 Maintenant, on est à peu près à 450 000 rupees.
01:21:10 Cela veut montrer qu'avec ce budget-là, avec la dépense qu'il nous fait,
01:21:14 la dette publique par enfant, qui peut faire que nul,
01:21:17 il y a à peu près 450 000 rupees, le zut de la tête.
01:21:19 Mais moi, je veux que tu puisses, là,
01:21:21 savoir le but du déficit budgétaire et la dette publique.
01:21:25 C'est vrai que quand on commence par un chiffre d'estimation,
01:21:28 comme on dit, on ne peut pas faire pourcentage sans un centimètre de qui nous on vit.
01:21:31 Parce que ce sont les chiffres, ça.
01:21:33 Et les chiffres sont facilement, moi, je vais dire manipulables,
01:21:35 mais on peut jouer avec, facilement nous jouer avec.
01:21:38 En termes absolus, vraiment, la dette publique peut augmenter,
01:21:41 mais qui fait, si on peut dire, nous, on peut guider ça avec ça,
01:21:44 je peux dire que la dette, en termes absolus, peut augmenter,
01:21:48 mais qui fait que ce pourcentage peut diminuer.
01:21:50 Ce pourcentage peut diminuer parce que, comme on m'a dit tout à l'heure,
01:21:54 le PIB de Maurice peut augmenter à cause de l'inflation et non réelle,
01:21:59 et quand on peut diviser pour un plus gros chiffre normal,
01:22:02 le pourcentage peut baisser.
01:22:03 Maintenant, moi, je vais te dire un petit peu tout à l'heure dans mon intervention,
01:22:07 je vais te dire que le budget, aujourd'hui, il est beaucoup un exercice de communication,
01:22:14 exercice de comptable de communication et nous ne pouvons pas faire beaucoup,
01:22:18 comment dire, pas superfiche, mais il y a des façons qu'il nous fait pour nous casser les chiffres,
01:22:24 pour ne pas dire vraiment les chiffres.
01:22:26 Donc, si tu veux mettre les doigts sur un chiffre qui me strike,
01:22:29 parce que hier, je suis allé dans le Lutte Média,
01:22:31 je prépare un petit peu le budget encore une fois,
01:22:34 depuis samedi, je l'ai lié, je l'ai gâté, les annexes,
01:22:36 parce qu'il y a beaucoup d'informations dans mes annexes,
01:22:38 ce n'est pas facile dans un ou deux jours, nous pouvons lire tout,
01:22:40 nous pouvons essayer de rôder, de fouiller même,
01:22:42 mais on trouve le chiffre de 2,9%, c'est déficit budgétaire pour l'année actuelle qui va venir,
01:22:50 ça veut dire que le ministre des Finances peut-être avoir réussi à amener en dessus de 3%,
01:22:55 mais ce chiffre-là, ce n'est pas un chiffre consolidé,
01:22:58 parce que comme on l'a déjà mentionné, il y a beaucoup de dépenses qui sont faites dans ce budget-là,
01:23:03 qui ne passent pas par off-budget.
01:23:05 L'impôt.
01:23:06 Exactement, par l'impôt, pour le moment, on ne dit pas l'impôt,
01:23:09 ça veut dire à travers le special fund.
01:23:11 Si on a un special fund, ils ont dit, durant l'année financière,
01:23:14 on ne parle pas du balance bro down, balance carry down,
01:23:17 on parle de l'année financière actuelle, il y a un déficit de 18 milliards.
01:23:22 Si on ajoute ça avec l'actuel 2,9% du budget déficit,
01:23:28 le déficit actuel, c'est-à-dire le consolidated, il est de 5,5%.
01:23:33 Maintenant, fouillant encore un peu dans le budget,
01:23:35 on trouve les dépenses que le gouvernement fait.
01:23:38 Il donne un loan par exemple, enfin, une dépense privée, un loan,
01:23:42 CWA, Waste Management Authority,
01:23:47 ça va en dépense, ça dépend parce qu'on a une dépense gouvernementale,
01:23:51 parce qu'on a un loan qui est donné à certaines agences.
01:23:55 Et ça aussi, si on peut ajouter, bon, on ne peut pas en ajouter,
01:23:58 mais qu'est-ce qu'on fait avec le special fund?
01:24:00 Parce que ça vient des recommandations de l'INFMI,
01:24:03 la dernière fois qu'on a fait, tu vois, Maurice, en juin 2022,
01:24:06 maintenant tu dis, le président de ce comité-là,
01:24:09 qui vient faire son article fournois, article four, par exemple,
01:24:14 il y avait Audit qui l'a fait à Saclay, l'IMF,
01:24:17 il a dit qu'on calcule le budget, le déficit budgétaire,
01:24:21 nous ensuite, on nous prend en compte le budget,
01:24:24 ça veut dire total revenue et total expenditures,
01:24:27 mais aussi, nous devons mettre ce bout de code special fund-là,
01:24:30 parce que c'est très important, c'est la dépense gouvernementale
01:24:33 qui peut passer au budget et nous devons le consolider
01:24:36 pour que nous trouvions la figure réelle.
01:24:38 Parce que si on ne fait pas ça, on a une figure de window dress,
01:24:41 et là, le dépôt à neuf, ce n'est pas la figure réelle,
01:24:44 c'est un peu la figure de window dress,
01:24:46 parce que, comme la rédaction l'a mentionné,
01:24:48 beaucoup d'investissements sont en train de faire au special fund
01:24:51 pour ne pas monter ce déficit budgétaire.
01:24:54 Il y a des choses que je veux dire ici, au comme-rang.
01:24:57 Donc, tu peux montrer ce chiffre.
01:24:59 Rapidement, parce que il nous reste quatre minutes
01:25:01 avant de faire le dernier tour de table.
01:25:03 Ce chiffre, c'est ce qu'on a décrit l'année dernière,
01:25:05 les investissements dans les assets non stratégiques,
01:25:07 les investissements BAI, les investissements Moobank.
01:25:10 Et ça, ça vous coûte l'Etat 22 milliards.
01:25:12 - Ce n'est pas un bénéfice, c'est un revenu.
01:25:14 - C'est un revenu. Mais les banques de récits veulent ça.
01:25:17 Mais si les banques de récits veulent les bonnes assets
01:25:19 qui vaut 22 milliards, comment ce budget de déficit
01:25:22 va-t-il baisser ? C'est impossible.
01:25:24 Alors, à cause de l'inflation, tout ça va le chiffrer en fausse.
01:25:28 - Donc, avant qu'il ne termine, Réza Othim,
01:25:33 est-ce que nous pourrions sortir de la gouffre économique
01:25:39 qui nous était là de sitôt ?
01:25:42 - Tout dépend. Tout dépend de qui est le gouvernement
01:25:46 et de qui est la vision. Comme j'ai dit, le problème
01:25:48 avec le ministre des Finances qui est là, c'est que,
01:25:51 pour la première fois dans l'histoire de Maurice,
01:25:53 quand il a eu un ministre des Finances,
01:25:58 son politique, c'est dépenser, dépenser, dépenser,
01:26:00 pas produire. Tout le monde se fait produire
01:26:04 après se dépenser. Lui, il dépensait avant.
01:26:06 Après, il produisait ça. Quand il part pour là,
01:26:09 le reste, il y en a pour lui. Mais même, par exemple,
01:26:12 sa casse qu'il lui a donné, contribution sociale,
01:26:18 c'est à dire des mille rupees qu'il lui a donné,
01:26:20 ça fait coûter lui, dans les 7 milliards,
01:26:23 il finit par prendre 11 milliards sur le CRG.
01:26:26 - Même les mille rupees qu'il lui a donné pour ses enfants,
01:26:28 là, pas bon, non, nice, non, non.
01:26:30 - Oui, mais moi, c'est pour vous faire comprendre.
01:26:31 Ce n'est pas un gouvernement qui a une croissance,
01:26:35 donc 10 millions, il peut travailler plus,
01:26:38 il peut faire profit, il peut payer taxes,
01:26:40 et là, le gouvernement prend sa taxe.
01:26:42 Il peut payer là? Non. Le gouvernement peut prendre
01:26:45 en eux-mêmes. Ce CRG-là, c'est quoi?
01:26:47 C'est casse qui, ou supposé, contribuée,
01:26:50 comme on entend, tu peux mettre dans National Pension Fund,
01:26:54 ou contribuée, l'État, au gain 60 ans,
01:26:57 prend sa casse-là, donne-lui une pension.
01:26:59 Donc là, c'est qu'il peut faire sa casse,
01:27:02 qui, comment dire, il peut prendre...
01:27:05 - Rapidement. - Oui, il peut prendre,
01:27:06 ou pour, comment dire, pour une pension,
01:27:08 sa même casse, qu'il peut rédonner à une partie-là.
01:27:11 C'est-à-dire, il peut prendre, il peut,
01:27:13 c'est qu'il peut donner 2000 rupees là,
01:27:15 il peut finir par prendre 4000 rupees dans l'autre année.
01:27:18 - Rité Shramfol, en quelques mots.
01:27:20 - Donc, en quelques mots, je vais t'expliquer,
01:27:22 dans mon intérêt sur le budget.
01:27:24 Vous voyez, ce gouvernement-là,
01:27:25 il met Mademoiselle Morissette dans une bulle.
01:27:28 Elle peut vous croire qu'elle a la richesse,
01:27:32 qu'elle a l'argent, elle peut donner l'argent pour dépenser.
01:27:35 Mais ce n'est pas la vérité, ce qui peut arriver.
01:27:39 En dehors de sa bulle, là,
01:27:41 l'économie-là, elle finit quand y a thé.
01:27:44 Elle peut vous croire ça, avec l'inflation,
01:27:47 avec la dépréciation de l'europe,
01:27:48 elle peut croire qu'elle a créé la richesse,
01:27:50 qui est une affaire éphémère,
01:27:52 quand ça bulle là pour éclater,
01:27:53 là, Mademoiselle Morissette, elle trouve la réalité.
01:27:56 Donc, j'espère qu'elle n'est pas trop tôt.
01:27:58 Také, je te le couvre,
01:27:59 je vais laisser le dernier mot, en quelques mots.
01:28:02 Exactement, bon, ce qui nous capte,
01:28:04 lié au budget, nous connaît que l'idée
01:28:06 derrière ce budget, la philosophie,
01:28:08 c'est créer ce qu'on appelle un feel-good factor,
01:28:10 avec plusieurs mesures dans le budget,
01:28:12 mais il est très important de connaître
01:28:14 que quand nous gagnons nos affaires,
01:28:16 les décisions politiques ont un coût économique,
01:28:19 et le coût économique de cette décision-là,
01:28:21 c'est que, probablement,
01:28:23 si nous ne payons aucune amélioration dans l'économie,
01:28:25 nous payons la création de la richesse,
01:28:27 nous payons la création réelle de la richesse,
01:28:30 pas juste causée par l'inflation,
01:28:31 nous pouvons nous retrouver avec un petit cadeau social
01:28:35 que nous avons gagné,
01:28:36 mais quand nous pouvons vraiment,
01:28:37 quand nous pouvons voir si les pays
01:28:39 ajoutent leurs zones de portes-feuilles,
01:28:41 nous nous retrouvons avec, à la fin du jour,
01:28:43 toujours une porte-feuille vide.
01:28:45 Voilà, nous nous retrouvons toujours
01:28:47 avec une porte-feuille vide.
01:28:49 C'est ce qui arrive à la fin de l'émission.
01:28:53 Nous remercions nos bonnes invités
01:28:55 qui sont sur le plateau cet après-midi,
01:28:58 les autres teams, British Rampfle et Takesh Leku,
01:29:01 aussi Manisha Dukoni qui tient à venir en enregistrement.
01:29:06 Alors, merci et passez une bonne soirée
01:29:10 sur les ondes de Top FM.
01:29:12 *Bruit de décharge électrique*
01:29:14 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org