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SportTranscription
00:00 Est-ce que vous avez des contacts avec les autres joueurs de l'équipe ?
00:10 Oui, c'est normal, sinon ce serait une responsabilité de notre côté.
00:20 Ce qui est important, c'est de bien établir le profil du coach
00:25 et de bien connaître le coach pour pouvoir bien ouvrir un cercle
00:32 avec la plus de réussite possible dans ce club.
00:39 C'est très important, spécialement, d'avoir différentes choses en considération.
00:45 C'est le profil du coach, comment sont les relations à niveau gérarchique dans le club.
00:52 Il y a des choses, comme je l'ai dit, inévitables.
00:57 Il y a trois différents niveaux d'autorité, c'est important.
01:03 Il y a un lien rouge.
01:06 Et surtout, de bien donner de la continuité à des valeurs
01:11 que, ensemble, à Iroh, on a mis en construction,
01:15 qui sont très importantes pour cette institution,
01:18 c'est le travail, la culture du travail, la rireur, l'exigence et la discipline.
01:25 Ce sont des choses inévitables.
01:29 Avec un troisième, c'est un style de jeu qui correspond au souhait du club.
01:36 Mais le souhait du club, à dire la vérité,
01:39 dépend beaucoup de ce que l'on attend de tout le monde,
01:43 de nos joueurs et de ce qu'on voit dans le terrain.
01:46 Je comprends qu'il y a différents styles qui ne collent pas avec Marseille.
01:50 Des Pérengniers avec beaucoup d'idées dans le football.
01:56 Mais ici, ce n'est pas négociable.
01:58 Il y a un style qui doit être clé.
02:01 Parce que, spécialement, on doit faire du vélodrome en force et pas en faiblesse.
02:06 Et pour faire du vélodrome en force et pas en faiblesse,
02:10 on doit jouer de façon qui plaît à notre public,
02:14 qui est un public passionné.
02:16 Et comme tout public passionné,
02:18 il y a besoin d'avoir un jeu offensif avec une transition offensive
02:24 qui mette de la vitesse, si on peut dire comme concept général,
02:28 un peu de rock'n'roll.
02:29 Un peu de pimenté dans la façon de jouer à niveau offensif.
02:33 Spécialement un jeu de position offensive, déplacé dans le terrain adversaire.
02:40 Comme on a vu dans le passé, même pendant cette saison,
02:46 dans quelques matchs, attention,
02:47 dans lesquels tu frappes un port jusqu'à 1 minute 35,
02:51 comme il y a eu des matchs aussi cette saison.
02:53 C'est quelque chose qui ne colle pas si on veut faire du vélodrome en force.
02:58 C'est quelque chose qui est très basique, très important
03:04 dans la gestion quotidienne d'un effectif.
03:06 Cette identité de jeu, c'est une grande question,
03:22 spécialement parce qu'il existe beaucoup de façons de jouer.
03:26 Je crois que donner continuité à cette identité de jeu,
03:30 dans ce moment dans le monde du football actuel,
03:32 je crois qu'il y aura des demi-entraîneurs qui jouent de la même façon.
03:38 Je ne crois pas qu'on va continuer tout à fait à jouer
03:42 dans un marquage individuel dans tous les terrains,
03:45 spécialement parce que ce type de jeu de marquage individuel
03:49 est une question très spécifique.
03:51 C'est une question qu'on a vu qu'il faut tenir à niveau mental,
03:54 à niveau de concentration, à niveau technique et à niveau physique,
03:59 que c'est très important.
04:01 Ce n'est pas une excuse, mais c'est vrai que la plus grande part
04:05 des entraîneurs maintenant qui jouent ce style de jeu
04:08 sont de différentes tendances pendant la saison
04:11 en fonction des raies de concentration et des raies physiques de ces équipes.
04:18 Et même les erreurs que tu commis à niveau individuel,
04:21 ça se voit beaucoup dans le moment que tu joues un marquage individuel
04:24 et que ce joueur fait une erreur,
04:27 ça commence à se transmettre dans un erreur collectif.
04:32 On parle plutôt de ce style d'ensemble en façon générale.
04:35 Je crois que ce type de style de jeu, on a cru au commence de la saison
04:40 que jouer un type de football physique qui régnait des doigts à l'individuel,
04:45 ça pouvait nous porter à réduire les distances avec les autres du classement.
04:50 Je crois que pendant un moment de la saison,
04:53 on était capable et on était à ce niveau là-bas.
04:56 Et en même temps, à niveau européen,
04:58 je crois qu'avoir la possibilité, pratiquement jusqu'au dernier moment,
05:02 de qualifier en huitième de finale, c'est quelque chose
05:04 que l'on a réduit un peu la distance.
05:06 La saison dernière, avec tout l'honnêteté du monde,
05:10 on était content de gagner au Parc des Saloniques,
05:13 et avec tout mon respect au Parc des Saloniques,
05:15 qui est un club qui fait ses campagnes européennes,
05:19 on allait à Caravar, et même on avait souffert pendant la première mi-temps.
05:24 Cette saison, avec Sport Lisbonne,
05:26 qui a fait une bonne campagne européenne à Intracran,
05:28 pour qu'ils viennent de jouer et de gagner l'Europa League.
05:33 Et avec Tottenham, qui est un club avec toutes les possibilités économiques,
05:37 on parle pas de la tendance pendant la saison,
05:39 on était en haut, et dans le moment final,
05:42 avec tous les changements d'entraîneurs,
05:45 ils ont fait un final de saison, comme les nôtres,
05:49 on va se le dire, on était compétitif.
05:55 C'est quelque chose dans lequel on a fait beaucoup d'améliorations.
05:59 Je crois que le football, il tend vers un football plutôt physique.
06:03 Je crois que les talents, chaque fois moins,
06:06 il y a de l'espace dans le football,
06:07 parce que la différence des talents des joueurs,
06:09 c'est pas une chose qui est en gaffe énorme.
06:12 Mais je crois que pour chercher de plus en plus compétitif,
06:15 de ces effectifs chaque année plus physiques,
06:18 c'est la tendance dans laquelle il tend le football moderne.
06:22 [SILENCE]