• l’année dernière
Combattre un empire galactique aux confins de l'univers, s'opposer au Troisième Reich afin de réécrire l'histoire, élever des chiots ressemblant à des cafards, tout est permis et la seule limite des développeurs tient en un mot : imagination.
Transcription
00:00 Du bourrinage, de l'action non-stop et de la testostérone.
00:02 On comprend vite avec Gears of War qu'on n'est pas là pour suivre un nouvel épisode de La Petite Maison dans la Prairie.
00:07 Faut dire on éclate un boss sur deux en le cramant au rayon laser depuis un satellite
00:11 et les seuls moments où on lâche la gâchette c'est pour profiter du système de rechargement rapide.
00:15 Côté scénario on pourrait le résumer comme ça.
00:19 Général je sais où est le grand méchant, vous m'envoyez un hélico et on va lui bombarder la gueule ?
00:22 Négatif, il faut que le jeu dure une dizaine d'heures, on va te faire faire des tours pour rien, terminé.
00:27 Ok bien reçu.
00:28 Mais ce jeu à l'époque c'était bien plus que ça, c'était une claque graphique, un gameplay presque parfait,
00:32 une caméra épaule devenue mythique qui nous plongeait dans l'action.
00:35 Et surtout un lore fascinant qui sera encore mieux exploité dans ses nombreuses suites.
00:39 Une recette franchement très chouette qui aura su convaincre la plupart des joueurs.