Didier Raoult : «Omicron n'est probablement pas sensible à l'hydroxychloroquine».
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00:00 Écoutez, on est... Il faut le demander à d'autres,
00:02 c'est plus mon problème, moi.
00:04 Un, on est dans une situation qui est très différente,
00:07 que les gens ont un peu de difficulté à assimiler,
00:11 parce que ça, c'est un peu plus compliqué.
00:14 Le virus que nous avons actuellement
00:16 est un virus très différent des virus qu'on a eus jusqu'en 2021.
00:20 Omicron est un virus qui rentre par une porte très différente
00:24 de la porte par laquelle rentraient les autres virus.
00:28 Cette porte, au lieu de rentrer dans une petite bulle
00:33 qui va fusionner avec les vesicules
00:36 dans lesquelles rentrent les bases faibles
00:38 dans l'hydroxychloroquine,
00:39 rentre par une fusion d'embrunes,
00:41 ce qui fait qu'elle n'est pas exposée à l'hydroxychloroquine.
00:44 Les données que nous avons en vitro,
00:46 que l'a fait Bernard Lascola,
00:48 qui sont des données préliminaires,
00:50 montrent qu'Omicron n'est pas sensible à l'hydroxychloroquine.
00:53 Il est composé d'une base faible,
00:55 mais il y a plus de bénignes, donc il ne justifie pas de faire ça.
00:58 Il est vraisemblable que sur Omicron,
01:01 il n'y a pas de justification biologique pour l'instant
01:04 à utiliser l'hydroxychloroquine.
01:06 Sous-titrage ST' 501
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