• l’année dernière
D’après des diapos quelque peu défraîchies avec le temps. Tout nouvellement entrée dans son indépendance cette jeune république dans sa pauvreté présentait alors dans son visage multicolore de riches espoirs….bien loin du visage tourmenté qu’elle offre aujourd’hui.

Category

🏖
Voyages
Transcription
00:00 La république centrafricaine, autrefois où Banguichari, est bordée au nord par le Tchad
00:16 et ses sables, au sud par le Zahir et ses forêts, tandis qu'à l'est elle est voisine avec le Soudan
00:22 et à l'ouest le Cameroun. Le soleil y est merveilleux du matin jusqu'au soir et constitue
00:43 une composante essentielle de la vie africaine. Les villages sont à échelle humaine, aux maisons
00:50 faites soit de torchis soit de moelons de glaise, couvertes parfois de feuilles autrefois de chaume.
00:55 Rondes au nord et à l'est, elles sont plutôt carrées au sud et à l'ouest.
01:02 Quelques gros villages disséminés dans cet immense pays centralisent une multitude
01:21 de villages de brousse, perdus dans le fond des savannes et des forêts.
01:25 L'habitat peut aller de la villa soignée propre bien entretenue, le plus souvent dans la région
01:45 du nord jusqu'au casse délabré au sud, que n'ont pas arrangé l'esprit colonial symbolisé ici par
01:51 les bouteilles vides autour de la maison. C'est peut-être aussi le simple abri,
02:09 tel celui des babinga pygmées de l'Afrique centrale. Abri fait de feuilles de bananiers
02:14 cousues ensemble sur des branches figées en terre et entrelacées dans le haut.
02:27 Soleil, matinée, soirée sont un régal pour celui qui vit l'Afrique centrale.
02:37 Des fleuves immenses, sans comparaison avec nos rivières de France, parcourent le pays,
02:42 se colorant suivant la région traversée, rouge vif des argiles des sables du nord,
02:47 bleu profond du parcours de la jungle du sud. Et ces fleuves sont utilisées comme routes,
02:55 spécialement dans la forêt. Chacun a sa pirogue creusée avec patience dans le tronc d'un arbre,
03:09 appelé fromager. En voici un exemplaire aux immenses racines.
03:23 Alors qu'au nord c'est la savane qui s'étend à perte de vue avec quelques arbustes noircies
03:34 et tordues par les flammes annuelles des feux de brousse, dans le sud c'est la forêt aux arbres
03:40 immenses où percent difficilement les rayons de soleil le long des marigots.
03:44 La forêt est si touffue que c'est un risque de vouloir s'y aventurer sans guide.
03:59 Un ciel après l'orage. Ces orages sont fréquents. Les routes ou pistes de terre reliant les villages
04:17 entre eux, certaines nationales, d'autres rurales, toutes de terre ou d'argile, dures ou souvent
04:24 tollées, subissent souvent des ravages qui handicapent les voyageurs et exigent beaucoup
04:30 des mécaniques. Ces trous sont parfois de véritables ravins.
04:35 Un arbre en travers de la route. Il faut aller chercher les hommes du village pour
04:47 le disséquer et pouvoir passer plusieurs heures après. Cascades ou rapides sont rares et de
04:59 grande beauté. Quelquefois c'est l'eau stagnante sur laquelle l'herbe folle vient pousser.
05:04 Le transport africain est varié. Spécialement à pied, en portant les charges sur la tête.
05:19 Les plus évolués, surtout au nord, les peules et les bergers, se servent de leur bête.
05:26 Voici une amazone.
05:41 Les rivières se traversent sur des bacs où il faut adroitement se hisser avec sa voiture.
05:55 Les piétons passent en pirogue.
05:58 L'Afrique est un véritable paradis de beauté. Abondance de couleurs et de subsistances variées
06:19 à la portée de chacun. Les mangues pululent sur les arbres le long des routes. Des fleurs de cassia.
06:27 Des fleurs de bougainvilliers autour des maisons. Ainsi que des corailles,
06:44 véritables vignes vierges fleuries. Les villages eux-mêmes sont quelquefois enfouis au milieu de
07:07 cette verdure fleurie. Des papayés avec leurs fruits si bons pour l'estomac. Ils ressemblent
07:24 à des melons aussi juteux mais moins sucrés. Des feuillages aux diverses couleurs. Des bananiers
07:46 tenant leur régime une fois lent. Le frangipanier. L'ananas.
08:11 L'orchidée de brousse. Le cactus jaune. Des feuilles surnommées palettes de peintres.
08:36 Le rognet qui ressemble un peu au cocotier mais dont le fruit filandreux laisse une
08:53 saveur de térébenthine. Des cactus roses. Des crotons. Des fleurs roses éphémères.
09:20 Le citron.
09:27 Les belles feuilles colorées du bougainvillier.
09:36 La fleur de cassia.
09:43 Un avocat.
09:51 Le manioc décoratif.
09:58 Le pili-pili qui sert de piment dans les sauces africaines.
10:09 La spina christi.
10:16 La rose porcelaine.
10:31 Les aloès.
10:40 Une plantation de café en pleine floraison et qui parfume les alentours.
10:50 Le détail de la fleur butinée par une abeille.
10:55 Elle se transforme en cerises contenant chacune deux grains de café.
11:05 Séchées, broyées afin d'en sortir les grains, eux-mêmes seront torréfiés.
11:12 Autour des maisons des légumes utiles. Ici des courgettes.
11:21 Et le sourire d'une Africaine aussi beau que les fleurs du pays.
11:47 Le travail de l'Africain est très divers. Il consiste avant tout à suffire à sa subsistance.
11:57 Peu après, il prend conscience de nouveaux besoins et y répond par une amélioration de sa vie.
12:03 Il construit ses cases, travaille assez dur sous le climat africain.
12:12 Ici des moelons de glaise. Le ciment ne pénètre que peu à peu dans certains villages pour faire les parterres.
12:19 Rarement les tôles recouvrent les toits. Le gros travail s'accomplit le matin.
12:25 Car l'après-midi, cela est intenable. Les femmes aident beaucoup dans tous ces travaux.
12:33 Elles font les tuiles faites de feuilles cousues entre elles par des épines.
12:51 Elles vont aussi chercher l'eau pour le ménage dont elles ont la charge.
12:58 C'est aussi précieuse pour l'Africain car il est très soigneux et très propre.
13:05 Nous n'avons d'ailleurs qu'à l'imiter.
13:10 Les petits reviennent du bain. On leur apprend à porter sur la tête les grosses écuelles
13:27 qui peuvent contenir l'eau, les légumes, le linge.
13:31 Les femmes s'occupent souvent aussi de la plantation.
13:38 Chacun a ses outils. C'est un travail dur sur une terre difficile.
13:52 Ici, une mère se repose entourée de ses petits qui ne la quittent jamais.
14:06 Le travail maternel s'accomplit souvent avec son enfant sur le dos.
14:10 Le ruissage du manioc. Nourriture de base du centre africain.
14:15 On le laisse comme pourrir dans le ruisseau plusieurs jours afin de lui ôter le poison
14:20 qui se trouve dans l'écorce et on ne conserve que l'intérieur blanc.
14:24 Chaque panier pèse de 30 à 40 kilos.
14:31 Le manioc sera pilé et séché sur les toits.
14:41 Puis les morceaux seront écrasés pour être réduits en farine.
14:48 Tout ce travail imprègne les villages africains d'une odeur nauséabonde loin d'être inspiratrice.
14:53 Et tout cela se fait dans la joie car c'est la subsistance de la famille qui se trouve dans ces cuvettes.
15:01 La construction d'un vent pour tamiser la farine.
15:08 Des instruments de cuisine africains. D'autres européanisés et bien moins beaux.
15:25 La maman prépare la boule.
15:47 Des jeunes en sortie s'initient à leur travail futur de ménageurs.
16:02 On va chercher le bois qui alimentera le foyer des journées entières et surtout le soir.
16:31 Une femme étend son mil sur une roche plate pour le faire sécher.
16:41 Une riche à miel. Elle sera déposée dans les branches d'un arbre.
16:51 On construit un filet pour la pêche. Mais souvent on se contente de détourner un ruisseau et de puiser le menu frottin qui reste sur le fond.
17:07 La cueillette des champignons.
17:27 Des greniers. On y conserve le mil pour la subsistance des saisons vides.
17:40 L'africain travaille pour vivre et ne vit pas pour travailler. La vie et la nature sont trop belles.
17:48 Ils chassent la nuit en faisant d'immenses feux de brousse pour faire sortir le gibier, l'encercler et le capturer.
17:58 La fabrication des nattes sur lesquelles ils dorment à terre.
18:19 Le marché. L'africain aime se retrouver sur cette place avec ses frères.
18:48 Il aime la foule. Chacun peut vendre, troquer. Tous s'installent.
18:53 Des femmes viennent de porter le lait dans une laiterie. L'une d'entre elles, fatiguée, se repose.
19:21 Une école. Les enfants y vont volontiers. Ils sont assez studieux.
19:48 La
20:18 coiffure. Les femmes, comme partout ailleurs, aiment se faire une beauté.
20:44 Les hommes se livrent aussi à des travaux de construction qui commencent dans le
20:48 pays. Ils travaillent souvent en rythmant leur cadence d'un chant.
20:53 Le chant.
21:03 Voici le travail du diamant où l'on chante beaucoup moins,
21:33 au service de compagnies européennes.
21:35 La fabrique du pain commence à pénétrer dans le pays.
21:53 L'Afrique, c'est aussi le repos. On pense à dormir, à faire la sieste,
22:03 pendant que le voisin travaille et là où on se trouve.
22:07 Une famille de pigmés. De belles statues travaillées dans les bennes noires.
22:31 Par un artiste, Denis Hueso. Il fait de même dans la cajou.
22:40 Ces tam-tams décorés serviront pour les danses du village.
22:58 Une tombe. L'assiette signifie que l'homme ne mangera plus avec les autres.
23:08 Il est désormais dans le royaume des ombres.
23:13 La musique et la danse sont les sommets de la vie africaine.
23:26 Elles remplissent toute leur vie. On les trouve à la mort comme à la naissance,
23:32 dans le travail comme dans les loisirs, la nuit comme le jour.
23:37 Ici, les pigmés rythment leur danse avec des vocalises.
24:07 Le tintement des coquillages sur leurs pieds.
24:11 Une simple caisse de bois où sont fichées des tiges de fer,
24:18 suffit pour que l'Africain, devant sa maison, joue et chante.
24:23 Aujourd'hui, dans les principales villes, c'est aussi la joie exprimée d'une autre façon,
24:29 à travers des chants modernes, des défilés, des costumes.
24:33 Ici, le défilé de la fête de l'indépendance, le 1er décembre.
24:38 On y critique l'esprit colonial.
24:53 Dans les villages, les danses sont magnifiques,
25:22 avec tous les décors possibles.
25:23 Le corps, couvert de terre rouge, signe de joie.
25:28 Des habits rouges, des médailles dans les cheveux, des peaux de rats suspendus aux bras.
25:32 Et une chevelure toute spéciale, longuement préparée durant plusieurs mois,
25:39 qu'on appelle le Ndouzou.
25:41 Le batteur de tam-tam, avec son air inspiré,
25:46 plus rien d'autre ne compte pour lui que son jeu effréné.
25:50 Les bracelets de cuivre aux bras, aux pieds, teintent au fur et à mesure de la danse.
25:58 Le balafon, instrument fait de planchettes d'acajou auxquelles sont suspendues des espèces
26:08 de courgettes vides, plus ou moins longues, qui font résonance et qui sont reliées entre
26:12 elles par des cordes.
26:13 C'est le xylophone, le piano africain.
26:17 Le
26:46 monde animal, c'est surtout le monde familier de quelques animaux et insectes.
26:50 Les autres, ceux dont on s'imagine le plus souvent d'une façon romantique lorsqu'on
26:54 parle de l'Afrique, sont rarement rencontrés et de plus en plus font partie des réserves.
26:58 Un singe qui rit après avoir été chatouillé, c'est un animal très fraternel, qui peut
27:09 servir de compagnon de l'homme, quelquefois un peu encombrant.
27:12 Et comme lui, il semble souvent se poser des questions.
27:20 le monde.
27:21 Le monde.
27:31 Le monde.
27:59 Un bébé caïman trouvé dans le fleuve lors d'une baignade.
28:03 Des nuées de papillons.
28:09 Ils sont nombreux et certains très beaux.
28:12 Le serpent minute.
28:28 Un serpent bananier abattu.
28:30 Les oiseaux en grand nombre tournent autour de lui dans l'arbre où il se confond et le
28:34 révèle à l'homme.
28:35 Dangereux, ils se laissent tomber sur leur passage.
28:38 Une huile.
28:44 Myriapode à carapace métallique qui parfois envahissent les maisons par milliers.
28:49 Une termitière.
28:54 Les agneaux, les cabris, abondent dans les villages.
28:58 Des ébus avec leur bosse sur le dos et leur entourage de piques beux.
29:12 Soignés par des bergers, ils sont de toute douceur malgré leur aspect imposant.
29:18 L'Afrique est le pays des oiseaux que l'on entend de tous côtés surtout dans la forêt.
29:25 Un aigle royal, un aigle de la terre.
29:28 Il est un peu comme un oiseau.
29:31 Il est un peu comme un oiseau.
29:33 Il est un peu comme un oiseau.
29:35 Il est un peu comme un oiseau.
29:37 Il est un peu comme un oiseau.
29:39 Il est un peu comme un oiseau.
29:41 Il est un peu comme un oiseau.
29:43 Il est un peu comme un oiseau.
29:45 Il est un peu comme un oiseau.
29:47 Il est un peu comme un oiseau.
29:49 Il est un peu comme un oiseau.
29:51 Il est un peu comme un oiseau.
29:53 Un aigle royal aux yeux d'or.
29:55 Le perroquet bavard jusqu'à la grossièreté et l'insulte.
30:06 Le gendarme qui vit en colonie de plusieurs centaines dans le même arbre.
30:15 Le cardinal bien-nommé.
30:22 Une centorelle aux couleurs impériales.
30:26 Dont voici la tête encapuchonnée.
30:34 La cigale dont la musique stridente n'arrête ni jour ni nuit.
30:47 Une chenille aux belles couleurs.
30:51 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
31:11 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
31:16 Nous allons voir la beauté des visages de ce monde africain.
31:25 Ici, des femmes masquées de perles, ornées de bracelets, scintes de cordons perlés.
31:33 Elles ne se dévoilent jamais devant l'étranger.
31:36 Femmes musulmanes des tribus du nord.
31:40 L'une d'entre elles, malgré sa lourde charge, a accepté de se dévoiler.
31:46 17 colliers de cuivre sur le même bras, c'est-à-dire presque deux kilos.
31:57 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
32:06 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
32:10 Presque deux kilos.
32:15 Stature fière, consciente de ce qu'elles sont.
32:29 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
32:33 Le chef du village de Banga, où Savorniang Braza acheva sa pénétration au cœur de l'Afrique.
32:41 Il en a hérité casques, houppelande, sabres, qu'il est fier d'exhiber à tous ceux qui viennent dans son village.
32:54 Les femmes, et c'est l'éternel féminin, ont toujours quelques tatouages sur le visage, le corps, comme un signe de grande beauté.
33:04 Des bijoux de toutes sortes s'encastrent dans leurs lèvres, leurs oreilles, le nez, les pieds, les bras.
33:19 Le chien qui s'éloigne de la chenille.
33:23 Tout comme les vieux.
33:47 Même des perles importées, pièces de monnaie ou médailles, peuvent tenir lieu de bijoux.
33:54 D'autres plus simples s'habillent chaque matin du feuillage de l'arbre.
34:05 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:09 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:14 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:18 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:30 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:39 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:43 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
34:53 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
35:03 Le chien qui s'éloigne du feuillage de l'arbre.
35:07 Des pygmées dans leur case noircient à l'intérieur par le feu entretenu contre les insectes.
35:14 Elles ne servent que pour le sommeil.
35:17 Et leurs femmes, sur le beau visage desquelles ne perce jamais un sourire en face de l'étranger.
35:24 Un infirme qui ne peut jamais déplier ses genoux et se déplace ainsi.
35:28 Dans le village, ils sont accueillis, insérés au milieu des autres sans problème.
35:33 Le socialisme africain existait déjà.
35:37 Le socialisme africain existait déjà.
35:48 Le socialisme africain existait déjà.
35:52 Quelquefois, ce sont des corps émaciés à cause de la maladie,
36:02 de la nourriture peu abondante dans des régions pauvres,
36:05 où chacun subsiste avec ce que la nature veut bien lui donner.
36:09 Une vieille maman protège son enfant contre l'esprit maléfique du photographe.
36:13 Et celle-ci porte des feuilles desséchées, un signe de deuil.
36:23 Une vieille maman protège son enfant contre l'esprit maléfique du photographe.
36:37 Une hache primitive.
36:40 Une famille où le père est lépreux, le visage rongé, mais toujours joyeux.
36:53 Une peule avec son visage embelli par le tatouage
37:03 et tenant en équilibre parfait sa calebasse de lait.
37:07 Un enfant qui se nourrit au hasard du voyage.
37:22 Un autre en ville, suspendu dans le dos de sa mère.
37:30 Celui-ci dort.
37:33 Cette femme a des jumeaux. Quel visage radieux !
37:45 Et les instruments de beauté n'empêchent pas le sourire.
37:56 Ce chef, très digne dans sa peau de cabri séchée depuis de nombreuses années,
38:01 nous montre fièrement son couteau de jet et sa langue sue.
38:06 Un enfant qui se nourrit au hasard du voyage.
38:15 Quel visage radieux !
38:18 Un autre enfant qui se nourrit au hasard du voyage.
38:22 Quel visage radieux !
38:25 Les enfants autour des villages jouent et surveillent les plus petits.
38:39 Ils sont magnifiques, très ouverts, éveillés.
38:50 Ceux de la brousse sont quand même pupensifs, interrogateurs.
39:19 Ceux de la ville, mieux habillés.
39:23 Ils aiment jouer. Et tout ce qui est nouveau les attire.
39:47 Le soir, ils se réveillent sur un papayé.
39:51 On a déjà le souci de la famille et des uns des autres.
40:13 Dans l'eau, c'est la fête. On éclabousse tout.
40:17 Celui-ci symbolise l'avenir.
40:26 Déjà, il aide sa mère à porter un peu d'eau.
40:30 Il veut participer à la vie africaine, à la vie de ses frères, de son pays,
40:34 avec toutes ses petites forces et sa petite joie.
40:37 Ce qui promet à l'Afrique, avec des hommes au cœur neuf,
40:40 s'ils ne sont pas trop dévalorisés par l'Occident.
40:43 Et cela n'est déjà pas mal fait.
40:46 Ce qui leur promet une terre fraternelle, bien meilleure que la nôtre.
40:51 (Chant)
40:54 (Chant)
40:57 (Chant)
41:00 (Chant)
41:03 (Chant)
41:06 (Chant)
41:09 (Chant)
41:12 (Chant)
41:15 (Chant)
41:18 (Chant)
41:21 [SILENCE]

Recommandations