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00:00 Je pense que je serais incapable aujourd'hui de me représenter.
00:06 Si on me proposait aujourd'hui de le faire, je serais incapable de le faire.
00:08 Parce que je connais maintenant, je sais comment c'est, parce que je l'ai vécu.
00:11 C'est quelque chose d'intens, de particulier.
00:14 Et en même temps, je dois dire, l'époque a changé.
00:16 Là, on parle de moi, il y a 25 ans quand même.
00:18 C'est Raccord sur Limpid.
00:22 Limpid, un match total.
00:23 Oui, impressionnant.
00:25 C'est bon, c'est bien ça.
00:26 Je ne sais pas, on doit être Raccord à 98%.
00:29 Oui, en fait, on vous aurait pu le vérifier si on avait fait l'émission.
00:32 On ne l'a pas fait, on s'est retenu.
00:34 Exact, c'est vrai.
00:35 Quand je les regarde, je vois de l'amour.
00:38 De voir quelque chose d'intens comme ça, c'est tout ce qu'on cherche quelque part.
00:42 Mais je ne le referai pas.
00:44 Ça reste un bon souvenir quand même ?
00:45 Ça reste un bon souvenir parce que je suis avec vous aujourd'hui.
00:49 Parce que je n'aurais jamais fait tout ce que j'ai fait.
00:51 J'ai fait tellement de choses, tellement de choses différentes.
00:53 Ça vous a ouvert plein de portes.
00:54 Tellement voyagé, j'ai appris tellement de choses.
00:58 Je n'aurais jamais fait tout ça si j'étais restée à Tahiti, évidemment.
01:00 Apparemment.
01:01 Je suppose pour non-assistance à personne en danger.
01:03 C'est ça ?
01:04 D'accord.
01:04 Je pense que c'est à la suite du 21.
01:06 Donc le 21, comme je vous l'ai dit, dans la nuit,
01:09 elle a téléphoné pour dire "Rendez-le moi, les carottes sont cuites, etc."
01:14 Ma mère a appelé le commissariat, moi j'ai appelé tous les hôpitaux.
01:18 Elle avait été tellement perverse qu'elle l'avait mise au nom de Pafghen
01:21 pour ne pas qu'on le retrouve et pas au nom de Boulogne.
01:23 Vous voyez, tout était travaillé en fait.
01:25 C'est une grande manipulatrice, la nana.
01:27 (Générique)