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00:00 C'est une vidéo qui s'appelle la leçon du Pétain-Barre.
00:07 Pétain-Barre, c'est un bar que j'ai fréquenté pendant un temps.
00:17 Bon, tout à l'heure, je vais aller, on va dire, dans une extension sur le Black Dog.
00:26 Je dirais que c'est un bar qui a été créé il y a 20 ou 30 ans, je ne sais pas.
00:32 C'est le Pétain, c'est pareil, c'est un bar qui a été créé il y a 10 ans,
00:36 je suis déjà allé dans le bar, maintenant c'est un bar qui a été créé.
00:40 C'est à Blanche, à Paris-France.
00:45 Pour des raisons financières, simplement, à l'aise,
00:50 c'est le patron du Pétain-Barre, c'est le nom du Black Dog, encore de Tio,
00:56 dans le milieu gothique, on va dire, que je fréquente, c'est un gothique.
01:03 Charles Maïs qui a créé les gothiques, c'est pas de gothique.
01:10 Donc, j'essaie de résumer de ce point de vue-là, résumer, encore résumer,
01:16 il y a beaucoup de choses.
01:20 C'est donc la leçon du Pétain-Barre, que après j'ai retourné au Black Dog,
01:26 après j'ai dit, ça va, j'ai retrouvé les trucs, le top, je demande le peuple.
01:36 Brutueuse, généralement, on ne peut pas tout faire, même quand on est en force de mort.
01:45 On peut pas faire là-dessus.
01:47 Qu'est-ce qui est en force ?
01:49 On dirait mon père, Rénald Cholet, mon père génétique,
01:57 j'en ai d'autres des pères, dont Dieu, c'est mon grand-père,
02:05 c'est le père de mon père des origines, qui est le patron de l'île,
02:08 qui est une d'entre elles, qui attend, c'est la diable, c'est la vie.
02:12 Donc je suis le septième enfant.
02:15 Bon, mais Rénald Cholet, qui n'est rien de mien, mon père génétique,
02:23 c'est celui qui m'a élevé, c'est pas Satan qui m'a élevé,
02:26 dans cette incarnation, cette centaine d'incarnations, mon Nicolas Cholet,
02:31 c'est ma dernière, rien n'a pu me faire chier.
02:35 Ça tombe bien, vu que c'est l'apocalypse.
02:40 Au moins, je terminerai en apothéose, je pense,
02:43 en révélant ce que j'ai arrivé, ça gîte, quoi.
02:53 On va essayer de conclure un peu quelque chose comme ça, l'existence.
03:02 Il me fait un effort d'imagination, là c'est mon appart,
03:06 c'est mon ambassade entre toutes les ambassades.
03:14 On va dire que c'est une catabarque, imaginez,
03:19 une catabarque plutôt polygotique,
03:25 on a une décennie en arrière, quoi.
03:33 Je parle à un mec, avant de rentrer dans la catabarque ce soir-là,
03:40 j'évoque, quoi.
03:46 J'étais à une émission de télé,
03:48 qui s'appelle "Panique, t'es dans l'oreiller",
03:51 et j'évoquais l'enquête avec ce mec,
03:54 et je discutais tranquillement au bar.
03:57 Après, on a discuté beaucoup dessus.
04:00 C'est un mec bien, je ne sais plus son pseudo,
04:04 on se retrouverait, c'est un mec gentil.
04:07 Donc on a beaucoup discuté.
04:10 Je vais essayer de vous résumer comme ça,
04:13 parce que c'était intéressant cette discussion,
04:15 je repensais là, il est 7h07, évidemment.
04:25 Sans trop digresser, donc, vous puissiez vous y retrouver.
04:28 On va dire qu'on est au catabarque.
04:30 Une décennie, un peu plus d'une décennie.
04:35 Là, j'ai à 3,40 ans, je pourrais retrouver un peu mes amis.
04:43 J'ai passé presque deux dernières décennies à bosser,
04:52 à travailler, à aider les gens.
04:58 C'est gentil, oui, bah oui, pas sûr de la bonté,
05:02 je suis toujours un soldat, un soldat,
05:05 je tiens le barreau, on peut échanger,
05:09 je suis pas un gentil genre.
05:12 Si on peut me classer en tant que genre,
05:15 je suis quand même un vampire.
05:18 C'est comme ça, en tant que moi-même, je suis un vampire.
05:23 Comme ça, je suis brouillard, le mal qui revient, les deux sangs.
05:29 Déjà au catabarque, c'était marrant,
05:31 parce que je m'avais trouvé une autre brouillard.
05:34 Je crois que ça m'a fait du bien.
05:36 C'était une brouillard de Toreador.
05:39 Ça a été là, ce soir-là, je crois qu'on évoque.
05:42 Toreador, c'est autre chose.
05:45 Je suis marrant.
05:48 Je chercherais, il y a un jeu,
05:52 un jeu qui s'appelle Vampire, la mascarade.
05:57 Ça, c'est juste les vampires.
06:03 Bon, là, hésitez entre nous, pour que vous vous amusez, tranquille, entre nous.
06:09 Pour essayer, quelque part, de se mentonger la mascarade.
06:13 Si nous mettons la vérité sur les vampires,
06:17 on n'en a pas d'autres, en fait.
06:20 Expliquez aux non-vampires,
06:23 que si vous avez acheté un jeu comme Vampire, la mascarade,
06:26 vous avez vu le niveau, vous avez vu le niveau du jeu.
06:29 Est-ce que vous vous intéressez aux vampires ?
06:31 Alors nous, déjà, les vampires,
06:34 on connaît, on connaît quand même, le vampirisme.
06:37 Alors en plus, ça n'a pas le sens.
06:40 Donc c'est plutôt pour les humains,
06:43 qui voudraient s'intéresser aux vampires.
06:46 Bon, c'est comme ça.
06:49 On va embrayer la suite.
06:52 Les vampires, il y en a beaucoup, quand même, sur terre.
06:54 J'ai rien à vous dire.
06:56 Il n'y a pas que dans Buffy contre les vampires, ou...
07:03 C'est du comique, hein.
07:05 Je dis ça, je regarde un peu aussi Buffy.
07:08 Par exemple, celui-là, il est marrant, quoi.
07:11 Car il se met à faire des meurtres,
07:13 et tout ça, tout ça, tout ça.
07:14 Il y a des grands acteurs, des grandes actrices, dans Buffy.
07:17 Il y a des choses.
07:19 C'est juste vrai, hein, c'est la raison.
07:21 Ce n'est pas qu'il n'y a pas d'effet spécial.
07:23 Alors, il y a des effets spéciaux, dans Buffy.
07:26 Bon, c'est pour paraître vraie chose.
07:29 À mon avis, les chasseurs de vampires, assez étonnamment,
07:32 ils vivent plutôt dans une bibliothèque,
07:36 plutôt dans un lycée, plutôt des jeunes.
07:39 Souvent, hein.
07:40 Les vieux chasseurs de vampires, le problème, c'est que...
07:44 Bon, quoi, de haleur, c'est des vampires qui vont à 30 000 km/h, c'est dur.
07:49 Donc, les chasseurs de vampires, plutôt des vieux filles, oui.
07:54 Je ne vois pas Buffy.
07:57 Je connais vraiment les vampires, hein, c'est un des gens de là.
08:01 On va distinguer de l'actrice un peu noire, d'une des deux spéciales, à la base, quoi.
08:11 Ce qui n'était pas si générique que ça.
08:13 Il y a un moment donné, la série Buffy contre les vampires, qui est quand même meilleure.
08:18 Je trouve...
08:19 Non, non, non, non, non, c'est plus générique.
08:24 Disons, tout ça, c'est pour populariser,
08:27 un peu comme le jeu Vampire de Bastillard,
08:30 Buffy contre les vampires.
08:32 C'est Joss Whedon, juste, il a étudié les vampires.
08:37 Bon, pour lui, on a un peu des saloperies, je pense, quand même.
08:41 Du point de vue, il faut nous exterminer.
08:45 Moins peut-être Angel.
08:48 Encore Angel, Angelus, dans la série où...
08:53 C'est le pire.
08:55 C'est le meilleur, mais c'est le pire qui est passé, moi.
08:58 Angel.
09:01 Comme j'ai été ange en Corse.
09:05 J'ai beaucoup eu de gens, quand même, en Corse.
09:10 Ils voulaient niquer la Corse, je pense.
09:13 Moi, je me baladais avec mon lance-flamme.
09:16 Je demandais aux parrains, maintenant qu'ils l'ont fait de la taule,
09:22 c'est pas joli, hein, de part le Corse.
09:25 Moi, le tour parrain, de toute façon, ça bougera pas.
09:30 Prochain parrain, ça va peut-être pourrir, mais je vais être vraiment...
09:35 Regardez, M. Bartholomew, la Corse.
09:39 Initialement, c'est le fait que le seigneur des morts, qui travaille,
09:44 s'était déféré, on va dire, il y a 20 millions d'années,
09:49 pas du seigneur des morts, alors t'as dit.
09:52 Bon.
09:55 À un moment, il m'a dit, oh, vas-y, je te le dis en gros,
10:01 la Corse, ça va te plaire.
10:03 Pas trop, apparemment, parce que je connaissais pas trop la Corse.
10:06 C'est pas la Corse, hein.
10:08 Je me suis fié à ce qu'on me disait avant d'être, hein,
10:14 également un grand ami, dans le monde de la Corse qu'on est,
10:18 je dis jamais un mot plus lourd que l'autre,
10:21 je suis quelqu'un de très bien, hein, le seigneur des morts.
10:24 Je dis ça comme ça.
10:27 Comme ça.
10:31 Donc, bien d'aventures en Corse, par exemple,
10:36 à tuer des promoteurs immobiliers.
10:39 C'était juste merdique, ce qu'ils voulaient faire.
10:43 Des trucs genre des parkings, des autoroutes, des casinos,
10:47 des choses de merde, quoi.
10:50 Alors que le point de vue du seigneur des morts,
10:52 numéro un, il suit les Corses, on vous le dit.
10:56 C'est quoi le problème avec la Corse ?
11:01 Elle fera bien comme elle est, la Corse.
11:05 Vous lui changez la Corse.
11:09 Si je suis intéressant, ben, je vais aller en Corse.
11:12 Comme au Marais Poix-de-Vin, pareil,
11:15 ils se terminaient au lance-flamme, les promoteurs immobiliers,
11:18 ils voulaient détruire le Marais Poix-de-Vin.
11:21 C'est l'antre des magiciens, quand même.
11:24 Ça n'a pas un antre.
11:26 C'est le magicien, sur le monde alpha qu'on sait à terre,
11:31 c'est le plus grand antre des magiciens, c'est le Marais Poix-de-Vin,
11:35 c'est là où sont formés les annonciateurs de vérité,
11:38 depuis longtemps, je suis même né un moment là-bas,
11:41 au Marais de Terre d'Hertz, Terre des Roues.
11:44 Donc, j'ai fait dans les 200 000 morts,
11:50 peu près, au Marais Poix-de-Vin,
11:53 si on a trouvé le temps, au lance-flamme.
11:56 Après, j'ai fait un gros tas à récupérer avec les acteurs,
12:03 au Marais Poix-de-Vin.
12:06 C'est le tour un petit peu de tous les cadavres que j'ai fait,
12:09 on a fait mon gros tas,
12:11 des tas de char-bérou,
12:13 200 000 cadavres calcinés,
12:15 ça se voit, ça se voit.
12:18 Maintenant, quand vous êtes quelqu'un qui veut faire un projet immobilier,
12:22 oui, on va vous montrer un truc.
12:24 Après, on va vous parler de projet immobilier.
12:27 Moi, je ne montais pas de cadavres calcinés,
12:29 il y en a 200 villes là.
12:31 Si vous étiez comme moi, vous vouliez des trois au Marais Poix-de-Vin,
12:34 si vous voulez, vous me proposez ce truc.
12:37 Les porteurs de malettes,
12:39 c'est des cons.
12:41 Je ne sais pas,
12:43 si vous, on vous dit, alors, tu vas aller au Marais Poix-de-Vin,
12:47 quand tu as ta malette, là-dedans, tu as le projet qu'il faut que tu défendes,
12:50 tu seras payé 100 000 balles.
12:53 Vous le faites ou pas ?
12:55 Si vous le faites, vous êtes un porteur de malettes,
13:00 je vous brûle.
13:02 C'est comme ça.
13:04 Moi, je suis plutôt conservateur.
13:06 Les Marais Poix-de-Vin, quand on le sait,
13:09 ce n'est pas que des marais Poix-de-Vin,
13:12 c'est l'Ancre des magiciens.
13:14 Le plus gros Ancre des magiciens du monde alpha,
13:17 puisque c'est la Terre, parce que c'est la création divine, la première,
13:20 ce n'est pas de la merde, quand même.
13:23 L'Ancre des magiciens.
13:25 Le Marais Poix-de-Vin.
13:27 Bien des gens, bien des aventures,
13:30 on n'excuse personne au Marais Poix-de-Vin.
13:32 En Corse, c'est un peu pareil.
13:34 Disons, pour comparer,
13:37 Marais Poix-de-Vin,
13:40 et si vous voulez changer, même une lentille du Marais Poix-de-Vin.
13:44 On a bien les lentilles dans le Marais Poix-de-Vin.
13:47 Tout en un sens, en fait.
13:49 Sauf les porteurs de malettes,
13:52 qui viennent,
13:54 alors on vous propose un casino, une place de tronc.
13:57 Ça, évidemment, c'est le capital.
14:00 Vous la faites courte.
14:02 C'est juste le capital, hein.
14:05 Ils pensent comme ça.
14:07 Ce qu'on appelle le capital.
14:10 Là-dessus, bon, c'est peut-être physique pour l'œuvre des communistes.
14:17 Ou même d'ailleurs pas tellement,
14:19 vu fleurer même les capitalistes.
14:22 Vous vérifierez.
14:24 C'est plutôt qu'à Bad Götzberg,
14:27 en 63, je pense, après Staline,
14:31 pour vite fait,
14:33 deux secondes, il était mort,
14:35 après sauter l'économie de marché,
14:37 réinstitué en URSS.
14:39 La Chine était déjà devenue communiste en 49, quoi.
14:43 Eux, ils ne se sont pas rattachés à Bad Götzberg.
14:46 L'URSS, donc, à partir de 53,
14:50 officielle,
14:52 plus des communistes, des marxistes.
14:56 C'était l'économie de marché,
14:59 tout capitalisme, donc.
15:02 On va dire ça.
15:04 Vous capez ça, par exemple.
15:09 Ça dit, tata, tata, du Fantar.
15:11 Je bois.
15:12 Parce que la limonade,
15:15 ils ont gardé ça, par contre, dans l'économie.
15:18 Ils avaient beau faire une économie de marché,
15:20 ils n'avaient pas les Fantar.
15:22 Jusqu'en à peu près de 89 à 91,
15:27 où un petit peu le monde entier s'est énervé
15:33 contre les soviétiques.
15:35 Alors, pulvérisé un petit peu, comme il fallait.
15:39 Grosse merde.
15:41 On a commencé à
15:46 additionner
15:48 tous les cadavres,
15:50 tous les pauvres gens qui ont été tués en URSS,
15:53 que les travailleurs sont extrêmement maltraités.
15:58 Extrêmement maltraités.
16:01 Il y a eu l'odyssey d'Alger, il y a un an,
16:04 qui, lui,
16:07 il allait visiter les usines, il n'en a fait qu'une seule.
16:10 Il a vu des travailleurs,
16:13 qui n'étaient pas le...
16:15 Comment dire ?
16:17 Il a vu des marchés en URSS, alors on lui a fait le...
16:19 "Hu, on fait le coup de..."
16:21 "C'est les soviétiques, oh, qu'est-ce que c'est bien,
16:23 c'est le paradis des travailleurs, ouais, ouais, ouais."
16:26 On lui dit "Ah, c'était pas cool."
16:29 Un ami, d'ailleurs.
16:31 Il s'est dit "C'est quoi ce signage, là ?"
16:36 Et regardez autour de lui, c'était que des usines,
16:39 des grosses usines.
16:42 A peu près que des usines et des immeubles.
16:45 Déjà, c'était un peu louche.
16:49 Pas trop un arbre,
16:51 en URSS, c'était pas trop le genre.
16:54 C'était des grosses usines,
16:57 bien blindées, verrouillées,
17:00 même pas de fenêtre.
17:02 Autour de lui,
17:06 au loin des immeubles,
17:08 c'était même, c'était ignorant,
17:10 on le comprend.
17:12 Le seul qui construit des choses, en fait.
17:14 C'est pas lui.
17:16 Donc on aurait été là.
17:22 Après, Staline,
17:25 le Guevara, il disait
17:27 "J'ai monté une pièce sur Guevara,
17:30 je journalise un petit peu ses pensées."
17:34 Alors lui, c'est Staline, juste, ça marchait bien.
17:39 C'est un peu frais, tout.
17:41 Voilà.
17:44 Après Staline, c'était encore...
17:46 Berria, ça a duré trois jours.
17:52 Je pense.
17:53 Quatrième jour, après ça a été Khrouchkov.
17:56 Qui, bon, il était bien gentil.
18:01 M. Khrouchkov.
18:04 Mais enfin bon.
18:07 Compliqué, quoi.
18:09 C'était compliqué, tout ça.
18:13 Pour Guevara,
18:16 disons,
18:18 autant, Staline était quand même productiviste.
18:21 Il fallait aller sur le productivisme.
18:24 C'est-à-dire, on remonte après, avant,
18:28 Valéry,
18:30 avant Staline,
18:32 il y a eu Khrouchkov,
18:34 avant Staline.
18:36 Ça, c'était le paradis des travailleurs.
18:42 C'est-à-dire,
18:45 sous les Blancs,
18:47 les Blancs, en gros,
18:49 les aristocrates,
18:51 les Romanovs, on va dire,
18:53 qui tenaient la Russie, avant.
18:56 Avant, une guerre de quatre années,
18:58 ça fait 40 millions de morts.
19:00 Blancs,
19:03 40 millions de morts.
19:05 Oui, 40 millions de morts.
19:07 Des quatre années.
19:09 Lourdes quatre années.
19:11 En gros, de 1917 à 1921.
19:13 Ça me semble aussi.
19:15 En 1921, Lénine est arrivé au pouvoir.
19:19 Il a dit, c'est le paradis des travailleurs, maintenant.
19:22 Ouais.
19:24 Bon, pour des questions,
19:26 en fait,
19:28 le marxisme,
19:30 c'était quoi ?
19:33 Ils étaient Karl Marx.
19:35 Carlo, Manus, Karl Marx.
19:37 Pareil.
19:39 Ils cherchaient un peu la meilleure économie.
19:41 Ils se sont fait fumer par les marxistes.
19:45 Ils se disaient, ouais, je suis Karl Marx,
19:47 mais je ne suis pas les marxistes.
19:49 Les marxistes,
19:51 ils sont arrivés, ils m'ont tué, déjà.
19:53 Plus tard,
19:55 M. Lénine,
19:57 il a dit, M. Rélic,
19:59 il y a neuf, c'est intéressant, un mot neuf,
20:01 quand même, c'est une pierre blanche.
20:03 Qui lui a dit, M. Charles,
20:06 de dire qu'il était social-démocrate,
20:09 parce que les collectivistes et les communistes,
20:12 ça ne rend pas,
20:14 il filait sa réserve,
20:16 c'est un peu pareil.
20:18 Donc, Lénine, il est parti,
20:20 ouais, moi, je suis social-démocrate.
20:22 Oh, et du coup, il n'y a plus eu la guerre
20:25 entre les collectivistes et les communistes.
20:27 C'est devenu le marxisme,
20:29 c'est devenu le marxisme, Lénine.
20:31 Au moins, M. Lénine avait l'avantage
20:36 d'avoir lu mon oeuvre.
20:38 Et qui savait ce que je voulais dire.
20:40 Financer la guerre contre le capital.
20:43 Il était parti quand même dessus.
20:45 Assez étrangement,
20:47 pour faire augmenter les marges,
20:49 ça ne fait pas des marges,
20:51 les commerçants,
20:53 ce qui permet d'élever la société.
20:55 Alors, les paies augmentent, bon.
20:58 En fait, il y a toute une stratégie
21:00 derrière ça,
21:02 qui permet de financer la guerre
21:04 contre le capital.
21:06 Donc, de répondre, on va dire,
21:08 le marxisme, on va dire le communisme,
21:10 voire le collectivisme.
21:12 Si c'est différent du capitalisme.
21:14 Notre église, c'est pas ça qui se passe.
21:17 Lénine, il est tout fracassé.
21:22 Oh, tout fracassé.
21:24 46 millions de morts,
21:26 en 34 années.
21:28 Bam, bam, bam, bam.
21:30 Lourdes hertzides.
21:32 Un peu détruits.
21:34 Déjà, ces 200 millions de personnes
21:36 qui étaient à Russie,
21:38 -46 millions de jeunes
21:40 à Russie, ils sont morts.
21:42 Ça chiffrait plus après.
21:44 Il faut faire le chiffrage.
21:46 Ensuite,
21:50 M. Lénine,
21:52 il a dit,
21:54 il a aussi expliqué que
21:56 dans l'âge de Charles Marx,
21:58 il était seul à avoir le mur,
22:00 il avait la théorie des
22:02 - ça fait Provence -
22:04 des marges fausses.
22:06 C'est-à-dire qu'en fait,
22:08 le tsar,
22:10 ça fait 15 années,
22:12 au moins au minimum,
22:14 dans réforme sur réforme,
22:16 pour essayer de sauver la situation.
22:18 On sentait bien que les communistes,
22:20 ils montaient.
22:22 Et puis,
22:24 Dieu lui-même, je vous le dis,
22:26 que Lénine, pendant la guerre civile,
22:28 en 1918,
22:30 à un moment, a une date ultra-symbolique.
22:32 Oh, il a fait fumer.
22:34 Je pense que le roman oeuvre
22:36 qu'il pouvait fumer,
22:38 après une petite année
22:40 où il s'est changé des lettres,
22:42 histoire de faire parler Nicolas II,
22:44 histoire de lui faire sortir
22:46 les vers d'une école, histoire d'avoir des infos.
22:48 Il voit où est le con,
22:50 il se met des lettres aux arts.
22:52 Il allait lui faire fumer.
22:54 Il l'a fait fumer.
22:56 Alors ?
22:58 Qu'est-ce qui s'est passé ?
23:02 Toute la famille du roman oeuvre,
23:04 oh méchamment !
23:06 Il va falloir fumer méchamment.
23:08 Je veux dire, un coup de baïonnette,
23:10 explosé,
23:12 même plus assez de balles,
23:14 un moment ballé,
23:16 une baïonnette, ils les ont pris.
23:18 C'est monstre.
23:20 Puis Anastasia,
23:22 qui avait réussi à se barrer.
23:24 Lénine, qui tenait quand même
23:28 la Russie.
23:30 D'autres choses encore.
23:32 Tellement il était puissant.
23:36 Il ne fallait pas aller très loin.
23:40 Il a essayé de prendre un train.
23:42 Bon, Lénine en a été informé.
23:46 Il a dit,
23:48 "Vous lui mettez des coups de bite
23:50 bien, hein ?
23:52 Il y a quoi, 4 heures ?
23:54 Et ça, en 4 heures avant d'arriver,
23:56 si on avait pour 3 heures
23:58 à lui mettre des coups de bite,
24:00 on lui a fait un coup de coupeau.
24:02 Je vous l'ai jeté par la fenêtre,
24:04 je vous le porte comme une bière.
24:06 C'était l'instruction.
24:08 Ça s'est fait.
24:10 3 heures, il viole,
24:12 parce qu'au bout de 2 heures, elle était morte.
24:14 2 heures, elle a réussi.
24:16 C'était plutôt ça, les russes.
24:20 Les bolcheviks, ils ont reçu.
24:22 A l'époque, en 1918,
24:24 donc,
24:26 Anastasia, au bout d'une heure,
24:28 a se prendre des coups de couteau et des coups de bite.
24:30 C'est mort, ça.
24:32 En 2 heures, ils ont grandolé,
24:34 il va leur mettre des coups de couteau,
24:36 dans une sorte de précipitant.
24:38 Mais lors plus tard, le train arrivait.
24:42 Ils ont barré.
24:44 Les russes.
24:46 Et pour vous montrer, ça, c'était sous les lignes.
24:48 Après, les lignes, ils sont arrivés au pouvoir.
24:50 Je pense, en 1921, ils étaient là.
24:52 Déjà, en 1918, ils étaient vachement là.
24:56 3 ans plus tard, ils étaient encore plus au pouvoir.
24:58 Après, donc, il y a eu le parallèle des travailleurs.
25:10 Bon, disons,
25:12 le parallèle des travailleurs.
25:16 Lenin a essayé, il n'y a pas de secret,
25:20 en économie, juste avec de l'argent,
25:22 la monnaie change,
25:24 c'était des roubles.
25:26 Lenin a établi le capitalisme d'État.
25:28 Là-dessus, l'économiste s'en fit tirer.
25:32 L'État, ok, ouais.
25:34 Pourquoi capitalisme ?
25:38 Parce que la vision léninienne
25:40 n'est pas que c'était un prêtre.
25:42 Quelque part, c'était un vrai communiste.
25:44 Il fallait saisir ceci.
25:46 Ce qu'il a expliqué dans une interview,
25:50 un petit peu avant de mourir,
25:54 en que Staline le fout.
25:56 D'autres dix coups de shotgun,
26:00 BAM !
26:02 BAM !
26:04 Sur le ventre, sur le cerveau.
26:06 On l'accuse toujours,
26:08 sur le cerveau de Lénine.
26:10 Après, avec des
26:12 "wass-work", des trucs de science.
26:14 Ils ont reconstruit le canal de Lénine,
26:18 et devant son mausolée,
26:20 il y a des plastiques,
26:22 des hydrogènes, tout ça.
26:24 Les gens viennent le visiter,
26:26 c'est du "wass-work".
26:28 Les autres, Lénine,
26:30 les gens qui vont voir Lénine,
26:34 ils y disent quoi ?
26:36 Il en reste.
26:38 Ils savent généralement peu de choses.
26:42 Qui était Ilych ?
26:44 Vladimir Ilych ou Ilyenov ?
26:46 Il y a eu peu Ilych.
26:48 Vladimir, c'était
26:50 le communomaire, ou Ilyenov, c'était
26:52 la nature. En russe,
26:54 on s'appelle plutôt par le nom du milieu.
26:56 Ilych.
26:58 Lénine, le nain, quoi.
27:00 C'est plutôt petit.
27:02 Lénine.
27:04 Donc il est arrivé au pouvoir.
27:08 En 1921, il lui a dit
27:10 "c'est bon, on est au pouvoir, là".
27:12 Je crois, je le crois quand même beaucoup,
27:14 je crois que c'est un de moi.
27:16 Ça fait 3 ans, il est mort,
27:18 c'est moi,
27:20 le déspecteur Lénine.
27:22 Il n'y a pas eu de problème.
27:24 On vous tue 40 millions de personnes,
27:28 même si vous vous en parlez de 6.
27:30 En gros, ça a eu le pouvoir,
27:32 je pense.
27:34 Je pense qu'on était là.
27:36 C'est l'histoire du paradis des travailleurs.
27:38 On voit un petit peu
27:40 comment les choses se sont passées.
27:42 Comme il l'expliquait, Lénine,
27:46 il faut augmenter
27:48 toutes les concierges, mon frère,
27:52 avaient été uniformisés par le GARF,
27:54 c'était le GARF.
27:56 C'était qu'un trouble.
27:58 Là, Lénine, il a dit,
28:00 "Bon,
28:02 on va passer la concerte de 4 roubles
28:04 à 5 roubles.
28:06 Il financera, attention,
28:08 le communisme,
28:10 qui n'a pas le droit d'attaquer les capitalistes,
28:12 mais celui qui les fait le rapport.
28:14 C'est quand même pour ça qu'il était là.
28:16 C'était le GARF.
28:18 S'il faisait agir,
28:20 si il l'avait prévu, attention,
28:22 ça passera pas du tout.
28:24 C'est ça le problème, tu vas comprendre.
28:26 Effectivement,
28:28 c'est pas passé.
28:30 Quand il a fait ça,
28:32 les gens sont sortis dans la rue,
28:34 ils voulaient le suéline,
28:36 ils avaient peur de passer,
28:38 il a eu la boîte de concert de 4 à 5.
28:40 Ça n'a pas rien compris.
28:42 De rien.
28:44 Il avait beau avoir expliqué gentiment les choses,
28:46 déjà qu'il avait raison.
28:48 Les gens, c'est que des cons.
28:50 Ça, pour tuer
28:52 40 millions d'autres gens,
28:54 c'est pas possible.
28:56 Ils l'ont fait, je pense.
28:58 C'est ce qui s'est passé.
29:00 Même s'il y en a 6 qui sont morts,
29:02 46, etc.
29:04 Et puis un diable, il garde tout ça.
29:06 Plus que 6,
29:08 6 à 600.
29:10 Ah.
29:12 Bon.
29:14 Ensuite, qu'est-ce qui s'est passé ?
29:18 Bien évidemment,
29:20 les libres, ils ne voulaient pas s'enfuir.
29:22 Pas encore.
29:24 Ils voulaient en profiter un peu.
29:26 Ah, d'accord.
29:28 D'accord.
29:30 Alors, on va dire la boîte de concert,
29:32 finalement, ce n'est pas 5, ce n'est pas 4,
29:34 3.
29:36 Attends, c'est pareil,
29:38 il travaille.
29:40 Les gens, ils...
29:42 J'ai mis une... En fait, c'est du savant.
29:44 On allait voir une voiture.
29:46 En fait, c'est du savant,
29:48 mais il a mis la boîte de concert.
29:50 Il a dit "tiens".
29:52 Il a dit "oui, c'est le communisme".
29:54 Même le capitalisme n'est pas suffisant.
29:56 Bon.
29:58 Qu'est-ce qui s'est passé ?
30:04 Economiquement,
30:06 c'est que la Russie a tenu quand même
30:08 pour être une épicerie, puisqu'on n'est pas ça,
30:10 des points-relais.
30:12 Ils vendent les concerts.
30:14 C'est la Russie.
30:16 A peu près tous les pays, c'est ça.
30:18 Il y a des concerts,
30:20 des trucs un peu plus frais que des concerts.
30:22 Puis c'est cool, le peuple, il achète
30:24 à un prix défini,
30:26 sur la petite étiquette.
30:28 C'est l'économie de marché.
30:30 Si vous arrivez à faire autre chose
30:32 que ça,
30:34 ça n'existe pas.
30:36 Rien en dehors de l'économie de marché.
30:38 Là-dessus, le communisme,
30:42 il est quelque part,
30:44 il est mine.
30:46 Il l'a dit,
30:48 le capitalisme, il le disait,
30:50 garantit que l'État fait de l'huile.
30:52 Les communistes, ça fait du tort.
30:54 C'est plus les Romanov.
30:56 Les trois ans, ils étaient canés,
30:58 vraiment bien canés, tous les Romanov qu'ils pouvaient.
31:00 Moins Mickaël,
31:02 un ami que je connais,
31:04 qui peut reprendre le flambeau
31:06 des Romanov, parce qu'à moi, je m'en sers la vie.
31:08 Je veux bien l'aider.
31:10 Je m'en sers la vie.
31:14 Le dernier descendant des Romanov,
31:16 qui est radiant,
31:18 il veut bien
31:22 refaire la Russie blanche.
31:24 Ça va être dur.
31:28 Et la Russie rouille.
31:30 Et puis il n'y a plus de Chine après.
31:32 Ils sont passés après,
31:34 à l'Issy.
31:36 Beaucoup
31:38 d'autres choses
31:40 qui séparent de la Russie blanche,
31:42 qui date d'avant 1917.
31:44 En 1916,
31:46 qui a été à peu près blanche,
31:48 déjà un peu rouge.
31:50 La Russie.
31:52 Comme quoi, les gens sont
31:54 quand même endoctrinés.
31:56 En Russie,
31:58 dans les 14 pays autour.
32:00 C'est dur à désinguer, quand même.
32:04 Un tel endoctrinement.
32:06 En gros, comme l'a dit un de mes amis,
32:10 le communisme,
32:12 c'est fini, je crois que c'est sûr.
32:14 Tous les soviétiques,
32:20 tous les plus soviétiques du tout,
32:22 gardent quand même le drapeau rouge.
32:26 Dans la CA.
32:28 Et puis au moindre signal,
32:30 c'est à nouveau le communisme.
32:32 Ils remettent dans le petit piquet,
32:34 le drapeau rouge.
32:36 C'est à nouveau la Russie rouge.
32:38 Oh, puis après, c'est à nouveau
32:40 la guerre contre le capital.
32:42 Tellement ils ont été endoctrinés,
32:44 ils le sont toujours.
32:46 A peu près.
32:48 À part Poutine,
32:50 Vladimir Poutine.
32:52 Et déjà, il avait commencé sa carrière
32:56 à 17 ans, à vouloir être
32:58 un mec du KGB, quand même.
33:00 Donc, malgré tout ce qu'il a dit
33:02 sur le communisme,
33:04 c'est pas quelque chose qui est
33:06 dérangeant, le communisme.
33:08 Surtout maintenant que
33:12 il est député.
33:14 A la limite, c'est dérangeant.
33:16 Dit ou pas, le communisme,
33:18 c'est quand même un truc
33:20 qui peut rester à la guerre.
33:22 Garantie, ça sera tué.
33:24 Quand on voit comment ça
33:26 est arrivé au pouvoir.
33:28 46 millions de morts
33:30 déjà depuis 4 années.
33:32 Ils ont gagné les rouges.
33:34 Ils ont gagné les rouges.
33:36 Je pense.
33:38 Après, ils se sont pas fort inversés.
33:42 Au bout de 74 années,
33:44 jusqu'en 91,
33:48 c'est encore des rouges.
33:50 Les 89 à 91,
33:56 moi personnellement, je suis encore des rouges.
33:58 Comme d'autres.
34:00 On était tellement contre les communistes,
34:02 qu'on a tout fait pour exposer ça.
34:04 Moi, en 91, je me suis baladé.
34:06 Yorces,
34:08 je vous le dis,
34:14 CCCP,
34:16 on s'en fout.
34:18 C'était Yorces.
34:20 Un juge de mort en français.
34:22 J'ai mis, il connaissait le français.
34:24 Bon.
34:30 Bon.
34:32 Par rapport à un ours,
34:34 c'est un ours psychique,
34:36 immortel.
34:38 Il est en Sibérie actuellement.
34:40 Il est au Sibérie.
34:42 Il est au Sibérie.
34:44 Il a pas trop d'amis.
34:46 C'est un ours solitaire.
34:48 Extrêmement psychique.
34:50 Il se dit,
34:52 "ce qu'il veut, c'est tout le mal travail,
34:54 tout le mal travail, tout le mal travail."
34:56 Il a pas trop d'amis.
34:58 Il a pas trop de travail.
35:00 C'est un ours psychique.
35:02 Un ours psychique,
35:04 en Sibérie,
35:06 en dehors des apparences,
35:08 le Jack,
35:10 c'est plutôt lui
35:12 qui a fait l'orcès.
35:14 C'est lui qui continue
35:16 à faire chier,
35:18 et l'orcès, ça revient.
35:20 L'ours quoi.
35:22 L'ours psychique.
35:24 Si c'est vrai.
35:26 Il a pas trop d'amis.
35:28 Il a pas trop d'amis.
35:30 Il a pas trop d'amis.
35:32 Il a pas trop d'amis.
35:34 Il a pas trop d'amis.
35:36 Il a pas trop d'amis.
35:38 Il a pas trop d'amis.
35:40 Il a pas trop d'amis.
35:42 Il a pas trop d'amis.
35:44 Il a pas trop d'amis.
35:46 Il a pas trop d'amis.
35:48 Il a pas trop d'amis.
35:50 Il a pas trop d'amis.
35:52 Il a pas trop d'amis.
35:54 Le reste, c'était plutôt des meurtres.
35:58 Ah ouais, j'ai l'impression qu'il y en a des débats.
36:00 Des viols.
36:02 Innombrables.
36:04 C'était chaud.
36:06 Chaud, chaud, chaud, chaud, chaud, chaud.
36:08 Les rouges.
36:10 Le moindre rouge, c'est gel, gelé.
36:12 Les gels étaient meurtriers.
36:14 Ils violaient ça, les militateurs.
36:16 Là-dessus, donc, les militiants.
36:20 Plutôt les tchétchistes, à la base.
36:22 Evidemment, ils violaient aussi.
36:24 Plus que les rouges de base.
36:26 Eux, ils violaient, oui.
36:28 Oui, ben oui.
36:30 Là-dedans, il y a bien eu quelques histoires d'amour.
36:32 Ça arrive, je suppose.
36:34 Je ne le regrette pas.
36:36 Bon.
36:40 Donc, on va dire.
36:42 Vu que les blancs, à 40 millions près,
36:44 ils étaient tués.
36:46 Ils étaient tués.
36:48 Ils étaient tués.
36:50 À 40 millions près, ils étaient tués.
36:52 Il en restait un peu.
36:54 Je ne pense pas.
36:56 Le reste, c'était des rouges.
36:58 Je pense.
37:00 Des rouges qui avaient rougé tout.
37:02 C'est un jeu de mots.
37:04 On est des rouges, on va rouger.
37:06 C'est du humour.
37:08 C'est du humour.
37:10 Je veux dire.
37:12 Ça a marqué, hein.
37:14 Bon.
37:18 Par la suite.
37:20 Il disait que j'étais au canapé.
37:22 Les gens,
37:24 ils avaient leur attention.
37:26 Parce que là, je pense, c'est pas de la merde.
37:28 C'est la même chose que moi.
37:30 Mec, t'es rouge.
37:34 Je ne sais pas trop.
37:36 Surtout que...
37:38 Je suis un peu pourri, ce moment-là.
37:42 J'essaie de me retrouver.
37:44 Ça va jusqu'à ce moment.
37:46 Tu vois, j'ai un petit compte du coup.
37:48 Donc là, ce qui se passe,
37:52 on a vu, quand on passe à...
37:54 standardiser,
37:56 au gros, la conscience.
37:58 Attends.
38:00 Le mec, il a réfléchi.
38:02 Il a fait "Ah, moi aussi, c'est pour ça que les conditions de travail étaient pourries."
38:04 "Ah, voilà, t'as trop de...
38:06 Tu vois, t'as trop de...
38:08 En fait, le paradigme du travailleur,
38:12 c'est le contre-maître, c'est le contre-défenseur.
38:14 Déjà, dans les usines,
38:16 bon, t'as des ouvriers,
38:18 t'avais du contre-maître dessus.
38:20 Je pense, si l'ouvrier
38:22 s'échoue, le contre-maître,
38:24 le claque à sa mère.
38:26 Voilà.
38:28 Logique, capitalisme d'État, donc.
38:30 Voilà.
38:32 Donc, le contre-maître,
38:34 chaque ouvrier, le pre-maître
38:36 en deux minutes,
38:38 c'est un peu réprésitif, hein, le mot.
38:40 C'est le contre-maître, hein.
38:42 Comme dit Marine Le Pen,
38:44 "La politique, c'est
38:46 l'art de la révolution."
38:48 Tu veux pas voir un politicien
38:50 sans contre-maître ?
38:52 Ah, c'est pas mal,
38:54 la politique.
38:56 Bon.
38:58 Alors, le paradigme du travailleur,
39:00 en plus,
39:02 c'est le contre-maître, l'ouvrier.
39:04 Quoi ?
39:06 On a fait la révolution.
39:08 Toi, moi, je...
39:10 On m'a fait un essai.
39:12 C'est avantageux, de mon point de vue,
39:14 qu'on fasse des choses
39:16 qui ont pas trop de temps de dur,
39:18 qu'on discute sur le changement.
39:20 Moi, ça a pas changé.
39:22 Toujours le même salaire,
39:24 le contre-maître.
39:26 Là, l'ouvrier, il était...
39:28 Oui, monsieur ?
39:30 Déjà, il sentait que...
39:32 peut-être fait une erreur
39:34 de mettre l'Élysée au pouvoir,
39:36 d'y retourner dans son usine à la con.
39:38 Alors, moi, là,
39:40 même si l'Elysée était au pouvoir,
39:42 je suis pas venu lui donner de l'argent.
39:44 Donc, j'ai fait ça à l'ouvrier.
39:46 Et de nouveau,
39:48 on est à l'usine, là, il y a le contre-maître.
39:50 En fait, il veut parler, le travailleur.
39:52 C'est que tu vas bosser deux fois plus.
39:54 Donc, de 8h,
39:56 on passe à 16h.
39:58 Une fois deux, ça fait 16h.
40:00 "Ah ouais ?"
40:02 Disait le ouvrier.
40:04 "Moi, c'est pourquoi j'ai un problème ?"
40:06 "Non, non, monsieur, y a pas de problème."
40:08 "Puis ton salaire,
40:10 on va le diviser par deux."
40:12 "C'est 100 roubles, hein.
40:14 Tout le monde, tous les ouvriers, à la con comme toi."
40:16 "Pourtant, c'est 50."
40:18 "Tu as le pari du travailleur."
40:20 "Putain d'enculé,
40:24 il est pas là, il est au top de mon pote."
40:26 "Y a pas de secret, il est pas là."
40:30 "Passe avec lui, là."
40:32 "La canette de 4 à 3,
40:34 c'est le capitalisme d'État."
40:36 "Là-dessus, les gilets, il avait raison,
40:38 c'est un truc."
40:40 "Pourquoi il a choisi le nom capitaliste ?"
40:42 "Puis finalement, c'était du communisme,
40:44 on a rougi les gilets de guise."
40:46 "Ah ouais ?"
40:48 "Si."
40:50 "Quand tu rouges 30 millions de personnes,
40:52 même il pleura,
40:54 il a 6 millions de rouges, il était mort."
40:56 "Tu fais 46 millions de morts,
40:58 sur tous les communistes."
41:00 "Ah ouais, j'avoue, oui, il dit comme ça,
41:02 oui, c'est un truc, ça."
41:04 "En gros, il a commencé par une éclatante,
41:10 après il y a eu des massacres,
41:12 des massacres, des massacres."
41:14 "C'est en dehors de l'économie,
41:16 il était juste surpris,
41:18 il ne faisait rien d'autre."
41:20 "D'un verre en 53,
41:22 il est juste un ami,
41:24 le marxiste."
41:26 "Il ne pouvait pas,
41:28 parce que ça signifiait augmenter l'épris,
41:30 du coup le peuple s'est ralenti."
41:32 "Les gens,
41:34 tu les tuais,
41:36 tu leur sabues,
41:38 tu les foutais un peu."
41:40 "Par contre,
41:42 tu augmentes l'épris de 4 à 5,
41:44 tu ne détenais plus ton système."
41:46 "Voilà."
41:48 "Donc, sous l'Élysée,
41:56 on ne s'était pas rendu compte de ce qu'il y avait à faire."
41:58 "Sous l'Élysée, les conditions de travail,
42:00 c'était 16 heures de boulot, 50 roubles."
42:02 "Par mois."
42:04 "C'était organisé,
42:06 après la canette était à 3,
42:08 donc,
42:10 50 roubles par mois,
42:12 16 heures de boulot par jour,
42:14 il n'y avait pas de dimension."
42:16 "C'était ça l'histoire."
42:18 "Stalin, il n'aimait pas trop ça."
42:24 "Après qu'il ait fumé l'Élysée,
42:26 boum, boum, boum,
42:28 10 coups de chute de gueule."
42:30 "Bon, parce que l'Élysée,
42:32 après, il a retourné 2 fois la piscine."
42:34 "Une fois,
42:36 ça a fait 40 millions de morts."
42:38 "Ah ouais ?"
42:40 "Ah ouais."
42:42 "C'était ça qui a eu lieu avec le cap, quand même."
42:44 "C'est-à-dire,
42:46 35 millions de morts."
42:48 "C'est-à-dire,
42:50 ça fait 35 millions de morts."
42:52 "C'est-à-dire,
42:54 ça fait 35 millions de morts."
42:56 "Plus les 7 piscines,
42:58 ça fait 40 millions de morts."
43:00 "C'est vrai, c'est rouge, hein."
43:02 "Ce qu'il avait fait au blanc,
43:04 au bleu, il l'a fait au rouge."
43:06 "Après,
43:08 3 ans plus tard,
43:10 au-dessus de ça,
43:12 il s'était mangé une balle,
43:14 un bon bon."
43:16 "Petit, entre la 3e et la 4e vertebre."
43:18 "Un moment, ça lui a fait mal,
43:20 là, il a fait 50 millions de morts."
43:22 "Putain de sa mère !"
43:24 "Je dirais, c'est 132 millions de morts, quand même."
43:28 "Mais, du moins,
43:30 qu'a fait Léa,
43:32 il se passe les 22 de violer."
43:34 "Qu'il avait gardé de côté,
43:36 il avait pas tué tout le religieux."
43:38 "Oh, les nonnes,
43:40 Léa, quoi, les nonnes,
43:42 elles ont tué le monde."
43:44 "Elle fait passer la consigne."
43:46 "Oh, par contre, les nonnes,
43:48 elles ont tué un surdoué,
43:50 elle a vendu des couilles de biston."
43:52 "Ce qu'il va faire,
43:54 quand il va être à 6 fils,
43:56 quand il va être à 5 fois les 6 fils,
43:58 ça va faire plus de 20 millions de morts."
44:00 "C'est ça, l'histoire."
44:02 "Allez, on arrête, là."
44:06 [SILENCE]