PATRONAT

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00:00 [Musique]
00:24 Je veux dire que vraiment je remercie Dieu et mes parents de m'avoir monté ce jour là.
00:36 Donc comme je disais, c'est un rêve pour moi.
00:44 Avec tout ce que j'ai vécu, mon passé jusqu'ici, c'est pour ça que je remercie Dieu.
00:54 C'est pour ça que j'ai intitulé ce livre "L'homme est son destin".
01:00 Personne ne peut fuir son destin. Dieu a créé tout le monde.
01:06 Il a créé le destin avec. Donc vraiment, je suis très très heureux de créer cette décision.
01:15 Oui, je viens de dire que je vais poursuivre l'œuvre.
01:20 Parce que vous savez, comme je dis, c'est en forgeant qu'on devient un forgeant.
01:25 Donc je ne pensais pas que j'allais reçu la première sortie.
01:30 Mais j'avoue que je suis à plus de 1000 livres vendus déjà en 3 mois.
01:37 Ça c'est un record.
01:39 Et quand tu vois BFM Business ou Google, normalement le seuil est de 250 à 300 livres entre 6 mois et 1 an.
01:52 Donc si déjà moi j'ai vendu plus de 1000, alors vraiment ça c'est une réussite.
01:59 Et aujourd'hui, ça veut dire que vraiment je suis là maintenant.
02:05 Ils sont en train de préparer le deuxième volume.
02:08 Et ça va être basé sur l'économie.
02:13 Vous savez, j'ai passé dans beaucoup d'appartements économiques privés.
02:19 Et donc il faudrait que je... quelque chose d'expliqué aussi.
02:24 Tout ça pour les jeunes. Les jeunes montantes, les élites montantes.
02:28 Donc ils savent comment commencer les affaires, comment arriver.
02:34 C'est-à-dire les difficultés souvent qu'on peut avoir.
02:38 D'abord, au départ, parce qu'on n'a pas d'expérience.
02:41 Mais aussi, le fruit il est après.
02:46 Mais il faut travailler très dur.
02:48 Il faut avoir de la courage. Courage surtout.
02:52 Et être audacieux. Anticiper sur tout ce que tu veux faire.
02:58 Quand je me couche, des fois je ne dors pas. Je pense.
03:02 Qu'est-ce que je veux faire ? J'ai ça. Demain comment le mettre à l'oeuvre ?
03:10 Donc voilà, c'est pourquoi je veux apprendre.
03:14 N'est-ce pas les jeunes ? Que ce soit même les jeunes partis de 6ème année jusqu'à terminale ou jusqu'à fin études.
03:25 Parce que là, les gens, beaucoup, comme aujourd'hui vous savez qu'il n'y a pas de travail.
03:30 Le gouvernement ne peut pas... l'État ne peut pas employer tout le monde.
03:34 Donc je crois que beaucoup vont sortir, vont aller vers le secteur privé.
03:39 Et le secteur privé qui est croissant, c'est le développement d'un pays.
03:43 Donc l'État n'a pas fait de l'économie de l'État.
03:49 Avant, on était... la révolution c'était, on était à l'économie de l'État.
03:53 C'est l'État qui faisait tout. Il nourrit les gens et tout.
03:56 Mais maintenant, depuis l'arrivée de 1984, on est passé de commerce d'État, on est arrivé au commerce libre et privé.
04:09 Oui, c'est ça que je dis. Je dis que la génération, il faut qu'elle puisse travailler très dur.
04:16 Il ne faut pas dire que j'ai commencé, je me suis cassé la gueule, j'ai eu des difficultés, j'ai eu des croisés, j'ai perdu le courage.
04:27 L'homme qui perd le courage, il perd, n'est-ce pas, j'ai eu de l'espoir.
04:35 Généralement, c'est ce jeune-là qui se donne la mort, parce qu'il pense qu'il n'a plus d'espoir d'être vivant et il n'a plus d'espoir de vivre.
04:45 En ce moment, qu'est-ce qu'il fait ? Il se donne la mort et c'est pas bon.
04:49 Moi, je dis qu'on peut, il faut aller, on pourrait réussir dans ça, débattre et aider dans ça.
04:56 Donc voilà, c'est ça que je veux. J'ai dit, j'ai voulu même faire ce ouvrage-là pour que les jeunes puissent comprendre qu'on peut réussir dans tout ce que tu fais.
05:08 Mais en restant encore plus sérieux dans ce que tu fais, l'engagement, le respect des paroles données, n'est-ce pas, c'est très important.
05:20 C'est le synonyme de la réussite de ceux de la vie.
05:24 (Musique)