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Transcription
00:00 je me dois de me confier à vous.
00:02 Ça fait deux, trois fois que ça arrive.
00:05 Et là, là, là, c'était le pompon sur la garonne.
00:09 Il y a des gens qui viennent taper chez nous.
00:13 Il est 21h49.
00:14 On est parti de la France par rapport à ça, parce que justement,
00:17 on avait besoin d'une intimité.
00:18 Certes, notre vie est...
00:19 Certes, notre vie, voilà, on est médiatisé, etc.
00:22 C'est la reverse de la médaille, tout ce que vous voulez, etc.
00:24 Du coup, c'est cool.
00:25 Mais là, je vous avoue que, comme manque de respect,
00:29 je trouve qu'on est au summum du summum du summum.
00:32 La vérité, c'est une maman en plus.
00:33 Donc là, c'était une maman avec deux enfants de 20 et quelques années.
00:37 Donc là, on ne parle pas de je ne sais pas quoi.
00:40 Ce que je veux vous dire, c'est que vous allez me dire honnêtement,
00:42 si c'est moi le fou ou si ce sont les gens qui viennent chez moi taper
00:45 qui le sont, mais la vérité, j'étais obligé d'être agressif.
00:49 J'ai été très agressif et je ne le regrette pas,
00:51 parce que là, je trouve que c'est le manque de respect le plus total.
00:54 J'ai dit écoutez, vous vous rendez compte ou quoi ?
00:55 Vous venez taper chez moi.
00:56 Donc déjà, ils sont rentrés dans ma propriété pour taper chez moi.
00:58 Je vais vous montrer la porte.
01:00 Ça a tapé à la porte.
01:01 Ça n'a pas sonné parce que ça ne voulait pas déranger les enfants.
01:04 Limite, il fallait que je dise merci, tu n'as pas rêvé mes enfants.
01:06 Donc ça a tapé là.
01:07 Voilà, ça a tapé là, comme ça ici.
01:09 Donc ça veut dire qu'ils sont passés par là, ils sont rentrés chez moi par là.
01:12 Tranquille, ils étaient là.
01:13 Il y en avait une là, les deux là, tranquille.
01:15 Je dis mais c'est quoi ce monde ?
01:17 Où c'est qu'on en vient ?
01:18 Je dis mais vous vous rendez compte du manque de respect ?
01:20 Il n'y a plus de limite.
01:21 Je dis on voit à travers là.
01:22 Là, ça veut dire que là, si ils regardent là, ils me voient.
01:24 J'étais là bas, si je suis à poil tranquille chez moi,
01:26 ça veut dire que maintenant, même à Dubaï, je ne suis pas en sécurité.
01:30 Si je suis en sécurité, mais rien à voir avec la sécurité.
01:31 Mais je ne suis pas, je ne peux pas, je ne suis pas libre.
01:34 Franchement, on se voit dans la rue.
01:36 Je n'ai jamais refusé une photo.
01:37 Jamais, jamais, jamais.
01:38 Ça fait 10 ans que je fais ce métier.
01:40 Jamais j'ai refusé.
01:42 Voilà, j'ai toujours été accueillant, même dans la fatigue,
01:44 même s'il m'arrive un problème personnel, j'ai toujours respecté.
01:46 J'ai toujours été genre, j'ai toujours remercié tout le monde
01:49 parce que si j'en suis là, c'est grâce à vous.
01:51 Il n'y a aucun souci.
01:53 Mais franchement, venir sonner chez les gens, ça ne se fait grave pas.
01:56 J'ai dit, mais imaginez, je vais sonner ici avec quelqu'un qui va me sonner chez vous.
01:59 Je lui ai expliqué, je lui disais, mais c'est un manque de respect.
02:01 Je dis, ça ne se fait pas.
02:02 Moi, je n'ai pas dit comme ça.
02:03 J'étais un peu plus agressif, mais je lui ai dit, elle me dit, mais ouais, on part demain.
02:06 Ça fait 10 jours, on a voulu vous voir, on ne vous a pas vu.
02:08 Je lui ai dit, mais donc où vous êtes venu sonner chez vous?
02:10 Vous êtes venu taper chez moi, genre.
02:12 Je lui ai dit, mais c'est quoi ce délire?
02:14 C'est quoi ce délire?
02:15 Elle me dit, c'est l'anniversaire de ma fille.
02:16 J'ai dit bon anniversaire, mais tu es chez moi.
02:18 Je serre depuis tout à l'heure, je tourne en rond comme un fou dans la maison.
02:22 Je me dis que même maintenant, ça veut dire quoi?
02:24 Ça veut dire que maintenant, je vais m'asseoir sur mon canapé ici.
02:26 Là, ça veut dire que même là, maintenant, je ne vais plus pouvoir me mettre à poil.
02:29 Parce que dans ma tête, il va y avoir peut être des gens qui vont me regarder maintenant.

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