Charline Vanhoenacker révèle à la surprise générale dans "C à vous" que l'arrêt de sa quotidienne sur France Inter "n'est pas son choix" contrairement à ce qui a été annoncé dans la presse - Regardez
Charline Vanhoenacker révèle à la surprise générale dans "C à vous" que l'arrêt de sa quotidienne sur France Inter "n'est pas son choix" contrairement à ce qui a été annoncé dans la presse - Regardez
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00:00 Le Parisien croit savoir que cette 9e saison en quotidienne sur la 1ère Radio de France serait la dernière.
00:05 Je cite "Selon nos informations, Charline Vanhoenacker doit confirmer sa décision de mettre un terme à "C'est encore nous" la quotidienne qu'elle présente depuis 2014".
00:14 Un faux ou un toxe ?
00:15 Oh j'ai oublié de donner ma décision. Attendez, je vais la donner là.
00:18 Ça n'est pas ma décision. Je vous confirme que la quotidienne s'arrête.
00:23 C'est pas ma décision pour la simple raison que moi je suis un peu de la vieille école.
00:27 Et comme on est très haut dans les sondages et qu'on n'a jamais été aussi haut.
00:31 Je pense qu'on a commencé avec genre 350 000 auditeurs.
00:35 Et là on a 1 250 000 auditeurs. Donc je pense qu'on a gagné 100 000 par an.
00:39 Et on vient encore d'en gagner 100 000.
00:42 Donc je suis un peu de la vieille école, je me suis dit avec des bons chiffres.
00:46 Et puis on a vraiment le même plaisir qu'au début.
00:50 Donc ça ne me serait pas venu à l'idée de passer en hebdomadaire.
00:54 Mais voilà, on m'a encouragée, on m'a proposée de passer en hebdomadaire.
01:01 C'est une proposition qui m'a été faite. Et voilà, on va s'adapter.
01:06 Mais comment vous expliquez qu'on mette un terme à une émission qui connaît un véritable succès,
01:10 pas démentie depuis 9 ans ?
01:13 Ah bah moi je suis un petit peu... Je ne suis pas très au fait des nouveaux usages, etc.
01:19 Je pense que la vie des médias a beaucoup changé depuis 10 ans.
01:23 Aujourd'hui il y a les podcasts, le numérique, toutes ces choses-là.
01:26 Et je dirais qu'il y a des choses un peu moins qui nous dépassent.
01:29 Et sans doute que regarder les audiences qui montent...
01:34 C'est la vieille école, il y a peut-être des choses nouvelles.
01:37 Ça ne suffit plus de faire des bonnes audiences.
01:39 Peut-être pas, non, c'est vrai.
01:41 Tu te renseignes ?
01:43 C'est dommage parce qu'on était plus qu'à 91 000 auditeurs des quarts avec les grosses têtes.
01:49 Donc ça vous paraît assez inexplicable.
01:52 Non, c'est...
01:54 Un tombelot de Laurent Ruquier alors ?
01:56 Ah peut-être, c'est une bonne option.
01:58 En tout cas vous le regrettez quoi.
02:00 J'aurais bien fait un an de plus, moi, mais je vais m'adapter, on va tous s'adapter.
02:04 Je pense qu'on est assez enthousiastes.
02:06 La proposition nous est faite, on est en train de négocier, de réfléchir et tout.
02:10 Mais c'est peut-être pas une mauvaise idée en fait, on va voir l'année prochaine.
02:13 Nous on est toujours enthousiastes, quoi qu'il arrive.
02:16 On a toujours été très libres sur cette antenne.
02:18 Si on peut continuer à l'être, excellent, on est bon.
02:20 C'était ça qui était en question ?
02:22 C'était vous dérangiez ? Une trop grande liberté de ton à une heure de grande écoute ?
02:26 Oh je pense pas parce qu'on est quand même assez...
02:29 On n'est pas si sale gosse que ça.
02:31 Je peux vous demander à ma direction.
02:34 Je peux pas vous répondre.