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00:00 - Après plus d'un an de démarches, l'hôpital de
00:02 La Pocatière est devenu le premier au Bas-Saint-Laurent
00:05 à détenir le système de réanimation cardiaque LUCA.
00:08 - Ça va permettre de gagner du temps, ça va permettre aussi
00:10 d'appliquer un massage qui est de qualité. On sait que ça va
00:13 permettre de sauver des vies.
00:15 - La machine intelligente respecte les compressions,
00:17 l'amplitude et la force d'un massage cardiaque.
00:20 - Ça va amener que le patient aie plus de chances de survie
00:23 parce que c'est des meilleures compressions. Ça se fait plus
00:25 rapidement aussi. C'est toujours plus efficace qu'un massage
00:28 manuel.
00:30 - L'établissement l'a reçu en février, mais les formations
00:32 auprès des employés viennent tout juste de débuter.
00:35 - C'est tout le personnel de l'urgence, même au niveau
00:38 de l'entretien ménager, les préposos bénéficiaires,
00:40 parce qu'il vient le temps de faire un massage cardiaque,
00:43 il faut que tout le monde, toute l'équipe aux soins
00:46 aux urgences soit capable de l'appliquer.
00:48 - Cette nouvelle technologie rendra la tâche beaucoup
00:51 moins difficile pour l'équipe à l'urgence qui réanime
00:53 régulièrement des patients.
00:55 - C'est très difficile physiquement pour les bras
00:57 et les cheveux, côté respiration. C'est comme
01:00 une activité physique qu'on fait, dans le fond,
01:02 pendant plusieurs minutes.
01:03 - Pendant que l'appareil effectue le travail,
01:06 le personnel peut se libérer pour accomplir d'autres soins
01:08 importants.
01:10 - On peut faire autre chose pendant ce temps-là, comme
01:12 donner la médication ou aider les myxinalo-thérapeutes à
01:15 ventiler le patient. Puis on peut vraiment se concentrer
01:18 sur les autres soins que le patient a besoin, autre que
01:20 le massage cardiaque.
01:22 - Les massages cardiaques des enfants devront tout de même
01:24 continuer de se faire manuellement.
01:27 - On ne peut pas le faire chez les enfants parce que tout
01:29 dépend de la taille de la personne. On dit à peu près
01:32 qu'on peut commencer à utiliser le glucose sur un patient
01:35 qui présente des signes de puberté.
01:38 - Le CISSS du Bas-St-Laurent est présentement en démarche
01:40 pour l'acquisition d'autres appareils de réanimation
01:42 cardiaque.
01:44 Ici Marie-Pierre Bouchard,

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