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00:00 Je ne vais pas inventer, je vous dis juste ce qui s'est passé.
00:03 Nous avons fait des efforts pour les candidats.
00:08 Des centaines de personnes ont été arrêtées à Sénégal.
00:11 Et leurs parents ont été tués.
00:14 Je ne suis pas un peu d'un de ces gens mais c'est ce qu'on a fait.
00:18 On les a tués.
00:19 Nous sommes des enfants de façade.
00:24 Nous sommes d'accord pour aller en dialogue politique.
00:30 Pour discuter de notre candidature et de la possibilité de Sénégal de participer à l'élection.
00:36 Pour qu'on puisse entrer et sortir de la Jamaïque.
00:39 Ce sont des gens qui veulent vivre ici et qui veulent vivre ici et qui veulent vivre ici.
00:46 Ils font ce qu'ils veulent.
00:49 Je veux dire qu'il n'y a pas de fausses nouvelles.
00:55 Je ne vais pas laisser personne d'entre vous.
00:59 Je vous prie pour que vous ne vous en fassiez pas.
01:06 Je vous demande pourquoi je suis là aujourd'hui.
01:15 Si je choisissais de devenir candidat, je l'appellerai.
01:19 Car je suis d'accord avec lui sur la politique.
01:23 Même si ce n'est que sa dernière chance, il mérite d'essayer de voir comment avoir une chance.
01:30 Je crois que Sanko Galgalé, Ousmane Sonko et les autres
01:39 ont fait un bon travail pour Sénégal et je vous en prie pour qu'ils le reçoivent.
01:48 Je ne vais pas vous parler.
01:53 Je ne vais pas me mettre en colère.
01:57 Je ne répondrai pas à certaines personnes car je vois des gens qui disent
02:06 que si je suis élu maire de Dakar, c'est parce que je suis un vrai maire.
02:11 C'est bien mais les élections sont proches.
02:14 Si tu es un ex-Sénégalais, tu es un ex-Sénégalais.
02:19 Abou Laiouat était le président du Sénégal et nous sommes venus ici.
02:24 C'était difficile car Abou Laiouat était garmis.
02:28 Nous avons gagné le maire de Dakar.
02:31 Ce n'était pas dans la politique.
02:35 Il n'y avait pas de tour et de centre de politique.
02:38 Personne ne connaissait leur parti et personne n'entendait leur tour.
02:43 Nous sommes venus ici face à un président.
02:46 Dieu a battu Macky Salle.
02:51 Nous sommes venus ici en 2014 et nous avons dit que nous étions là.
02:55 Nous étions là.
03:00 Je vous remercie.
03:02 Personne ne connait la mairie de Dakar.
03:06 La mairie est un état.
03:08 Personne ne connait l'état.
03:11 Si nous avons des candidats et des profils, nous serons tous maires.
03:18 C'est la première fois que nous avons un maire au suffrage universel direct.
03:26 Nous avons pris les mères de Dakar pour les faire croire.
03:30 Si nous avons un bon télé-médias, nous serons très nombreux.
03:35 Je ne veux pas décentrer personne car je ne suis pas là.
03:39 Mais ce n'est pas facile.
03:41 Il faut que les jeunes s'entraînent et qu'ils s'entraînent.
03:50 Que les jeunes s'entraînent et qu'ils s'entraînent.
03:58 A partir de maintenant, tu verras ce que je veux dire.
04:05 Car ça ne continuera plus.
04:08 Je veux communiquer avec eux.
04:12 Si vous avez des problèmes, vous pouvez les répondre.
04:18 Nous ne nous entendons pas.
04:19 Mais nous ne pouvons pas laisser les gens nous faire croire.
04:30 Il faut que les jeunes s'entraînent.
04:33 C'est ce qui nous a fait vivre dans cette vie.
04:38 Les jeunes sont des hommes et des femmes.
04:42 Nous sommes tous des femmes et des hommes.
04:45 Nous avons pris le même Dieu.
04:47 Vous avez vu la charte de Dieu à Askan?
04:52 Je ne vais pas dire ça à personne mais vous êtes inscrits par force pour Califasan.
04:59 Ce soir, vous avez dit que vous ne voulez pas de l'amnestie.
05:08 Nous n'avons pas besoin d'amnestie et nous ne voulons pas de l'amnestie.
05:12 Nous sommes tous des hommes et des femmes.
05:16 Vous avez compris ce que je veux dire?
05:20 Ce n'est pas possible que votre fils ne vous dise ça.
05:24 Si vous pensez que vous êtes un candidat et que vous avez été sélectionné par des centaines de Sénégalais
05:33 et que votre mère n'est pas une juriste, vous n'avez pas de Sénégalais.
05:38 Si vous pensez que nous avons une amnestie pour avoir des Sénégalais,
05:43 je préfère ne pas commenter cette histoire. Je vais laisser les Sénégalais s'apprécier.
05:47 C'est pour cela que je suis là. Je ne vais pas discuter avec personne.
05:51 Mais je ne veux pas parler de personne.
05:55 Je ne veux pas que les gens qui me connaissent me voient.
06:03 J'ai dit non à Ousmane Tanordien, ancien secrétaire général du parti chialiste.
06:08 Tout puissant.
06:09 Je l'ai dit à l'épouse de Khalifa et il n'a pas eu le temps de se calmer.
06:12 Si vous pensez que je ne vous dirai pas non, vous n'avez rien compris.
06:17 Je vous ai dit que ce n'est pas un appel à Makissal.
06:23 Je vais m'en appeler.
06:25 Appeler les gens qui veulent venir et qui ne veulent pas venir.
06:31 ce que nous respectons ces positions. Nous moyens partir.