CNews : Un chroniqueur quitte la plateau de "Punchline"

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00:00 Il y a une volonté quand même de s'en prendre très clairement au force de l'ordre, je crois, le jeune.
00:03 - Oui, c'est pour ça que moi, ce débat commence à m'énerver un peu.
00:05 C'est en train d'essayer de réfléchir à comment préserver leur liberté,
00:09 comment ne pas basculer dans un système trop liberticide, etc.
00:12 On parle de gens qui sont des assassins en puissance, en réalité.
00:15 Donc pardon, mais moi, j'ai un policier qui m'a écrit cette semaine
00:18 après une émission sur CNews où on commentait ces images.
00:23 C'était lundi soir et qui a été victime de la même chose,
00:29 en fait, qui a failli être brûlé.
00:31 J'ai honte, en fait, quand j'entends la teneur de nos débats
00:35 et la teneur de nos préventions à l'idée de régler ce problème.
00:38 En fait, quand je vois ce que ces gens-là...
00:42 - Vous pouvez soupirer.
00:44 - Thierry Vincent et les journalistes, à côté de vous,
00:46 et engagez le débat tous les deux.
00:48 - Non, attendez, je me retrouve dans un débat où on me dit...
00:51 Non, mais attendez, c'est moi qui ai été brûlé, c'est moi qui ai fait du compte tellement tôt.
00:54 - Vous soupirez pas quand je parle d'un flic qui a été brûlé par un bloc de blocs.
00:57 - Si, si, je soupire, justement, parce que vous utilisez une émotion légitime et un drame personnel.
01:02 C'est typique de l'extrême droite.
01:04 C'est typique de l'extrême droite, bien sûr.
01:06 - On est en train de parler d'assassins d'extrême gauche et vous me parlez d'extrême droite.
01:08 - Moi, écoutez, je vais...
01:10 Ecoutez, excusez-moi, je vais partir, j'ai pas l'habitude.
01:12 Moi, pour moi, c'est pas les assassins et je conteste ça.
01:15 - J'ai dit en puissance.
01:16 - Un assassin, c'est pas en puissance.
01:18 - Un assassin est prévenu.
01:19 - Je crois qu'on vous entend plus, vous parlez pas de nos mépris.
01:21 Première chose.
01:22 - Deuxième chose, monsieur le journaliste.
01:23 - Monsieur le journaliste, je vais partir, y a pas de problème.
01:25 - Mais non, non, non.
01:26 - Restez où vous êtes, et qu'est-ce que vous faites ?
01:27 - Heureusement, il est là.
01:28 - Votre discours est insupportable, en fait.
01:30 - Mais restez, monsieur Clébencent.
01:32 - C'est insupportable, ce discours.
01:34 - Non, moi, je veux bien être en sécurité avec vous.
01:36 - C'est bon, mais excusez-moi.
01:37 - Non, c'est...
01:38 - Ca fait une demi-heure que vous les défendez, en fait.
01:40 - Vous êtes tous les soirs ici.
01:41 - Vous leur trouvez des assassins ?
01:43 - Tous les soirs ici, vous, vous parlez, vous me disposez.
01:45 - Et bah, moi aussi, c'est mon métier, c'est que...
01:47 - Vous connaissez rien.
01:49 - Vous les défendez.
01:50 - Je les défends pas.
01:51 - Ah.
01:52 - Vous vous calquez, vous vous enfermez dans un débat.
01:54 - On change d'avis ?
01:55 - Moi, je vais faire le plus répressif.
01:56 - S'il vous plaît, Geoffroy.
01:57 - Moi, je les défends.
01:58 - Non, non, non.
01:59 - S'il vous plaît.
02:00 - C'est un piège.
02:01 - Non, non, non.
02:02 - Monsieur Vincent a saisi.
02:03 - Non, Geoffroy.
02:04 - Je suis pas d'accord avec cette ultra-répression.
02:05 - Est-ce que vous pouvez vous...
02:06 Est-ce que vous pouvez vous taire ?
02:07 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:08 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:09 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:10 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:11 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:12 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:13 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:14 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:15 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:16 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:17 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:18 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:19 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:20 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:21 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?
02:22 - Est-ce que vous pouvez vous asseoir ?

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