Le replay de l'après course du 26 avril - Cyclisme sur route - Ça va frotter
Retrouvez le replay de l'après course de Ça va frotter du 26/04/2023.
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00:00 - Et oui, on va rester avec lui, Patrick et Cyril, parce qu'en effet, voir un petit peu qui est leader,
00:05 même si ça se passe dans la même équipe, on ne va pas se le cacher non plus, ça reste un sacré suspense.
00:11 Tiens, qu'est-ce qu'il est en train de faire Cerny ? Cerny repart visiblement, peut-être vers les bus,
00:17 en tout cas on va attendre puisque c'est en effet Tan Vermeulen qui s'est imposé aujourd'hui.
00:21 On a plein de choses à se dire, on espère qu'on aura de nouvelles infos sur les deux.
00:25 Mais qu'est-ce qui s'est passé donc ? On va presque l'appeler comme ça, il y a eu quand même deux faits majeurs en fin de course, incroyable.
00:31 Et donc ce classement général qu'on va faire avec vous Patrick dès qu'il sera officiel.
00:36 On est en train de parler avec les directeurs sportifs, toujours pas d'infos pour l'instant, il s'en est passé des trucs.
00:42 Et ce sprint incroyable, Romain Bardet qui vient faire une place sur le sprint également, on va le voir se décaler là.
00:47 Juste derrière, il sort de la roue, alors attendez, il fait un chrono incroyable, il sprint Romain Bardet, quel tour de Romandie !
00:52 Et puis il va nous dire qu'il a des mauvaises sensations. Mais non, ça a été un sprint très décousu,
00:57 il ne faut pas oublier que l'étape du jour, même si on a l'impression que c'est un sprint, il ne s'est pas passé grand-chose.
01:02 Il y a eu 2500 mètres de dénivelé, il y a eu de la course, donc il y a de la fatigue.
01:06 Les sprinteurs d'Aïna ont été éliminés très tôt.
01:07 Tous les plus gros sprinteurs, les plus rapides, les plus vélo sont éliminés.
01:12 Et donc voilà, Romain on sait qu'il aime frotter, il a été faire le sprint, il a tenté cradement sa chance avec son sprinteur d'Aïnésé qui a été distancé.
01:21 Il aime ça, il y a été et ça a failli lui faire quelques secondes de bonification.
01:25 C'est un bon comportement en tout cas, évidemment.
01:27 La victoire d'Ethan Vernon donc, et on va revenir sur deux faits de course assez incroyables aussi.
01:33 Si on a le temps, on fait le placement avec vous Patrick, puis on revient dessus derrière.
01:37 Et je tiens à préciser quand même, Thibaut Naïs, deuxième.
01:39 Oui, Thibaut Naïs, deuxième, le fils de Sven Naïs, double champion du monde de cyclocross.
01:44 C'est obligatoire, c'est dans le contrat avec Claire Brécogne, il fallait le citer.
01:47 Troisième, un autre belge, Milan Menten, mais ils ne sont pas de la même équipe.
01:51 Voilà donc le podium de cette étape et à la quatrième place, un Romain Bardet en forme.
01:57 Un Romain Bardet, sprinteur aujourd'hui en Romandie.
02:01 Allez, on va s'attarder sur ce qui s'est passé également sur les deux images.
02:04 Parce que si vous avez loupé ça, vous avez quasiment tout loupé de l'étape.
02:07 On va revenir sur le premier, la première des choses, on va venir sur le sprint de bonification.
02:12 Peut-être, alors sprint de bonification, c'est même moi qui l'appelle comme ça finalement,
02:16 ça n'était pas un, c'était un sprint intermédiaire à côté de ça.
02:20 Ça s'est passé à une petite dizaine de kilomètres de l'arrivée.
02:24 On est sur le côté en même temps et là, Tobias Fos pense qu'il a pris des secondes de bonification.
02:29 Et le maillot de leader, c'est incroyable.
02:31 Ça, c'est la première image, mais la deuxième, qui est encore plus intéressante,
02:34 c'est le moment où le coureur de Quick-Step, Soudal Quick-Step, va leur dire
02:36 "mais comment c'est possible, ça Pierre, ça vous évoque quoi ?"
02:39 - Ça m'évoque... - Ah lequel de Pierre en est deux, attention !
02:42 Il y a grosse confusion.
02:44 - Pierre, tu veux y aller ? - Allez-y, allez-y.
02:45 Ça m'évoque le fait qu'un avocat suisse en droit du sport un jour disait
02:51 "le cyclisme est quand même le seul sport professionnel...
02:53 Non, est un sport professionnel dans lequel les seuls professionnels sont les coureurs."
02:57 Voilà, à quoi ça sert d'avoir des oreillettes pour commettre des erreurs
03:00 qu'on ne verrait pas dans un Grand Prix cadet en Normandie ou en Alsace.
03:04 C'est fascinant, mais c'est génial.
03:06 En fait, le vélo, il est drôle pour ça.
03:07 - Oui, on le voit... - C'est pas la Formule 1 le vélo.
03:10 Ça reste ce sport qui a quand même assez peu évolué depuis un siècle.
03:13 C'est là le moment où on le voit justement en train de parler.
03:15 Après, tout le monde se met à sourire parce que c'est quand même assez incroyable.
03:18 Mais nous, on adore ça.
03:19 On adore ces "beans" comme on les appelle.
03:20 Romain Bardet qui est monté sur le vélo pour se décrasser.
03:25 Il peut avoir le sourire.
03:26 Romain, quelle étape encore de sa part.
03:29 J'imagine que nos envoyés spéciaux ne sont pas très loin.
03:31 On n'oublie pas l'équipe de Greg, qu'on va retrouver également dans quelques instants.
03:35 Avec Greg, qui va venir nous parler du programme aussi.
03:38 Et cette deuxième image, je ne sais pas quoi faire.
03:39 Dites-moi, Aurélie, est-ce qu'on va voir Romain Bardet ?
03:42 Est-ce qu'on va voir Romain Bardet ? On va voir la deuxième image.
03:44 Donc, on voit ce qui s'est passé et puis on verra si Romain a le temps de nous répondre.
03:47 On imagine évidemment et on comprend que ce soit important de récupérer.
03:50 La deuxième image, c'est donc ce moment où le peloton des sprinters
03:54 se retrouve à se tromper de route.
03:57 Pierre.
03:58 Alors, officiellement, ils sont en tort.
03:59 Le règlement UCI dit que les coureurs sont en tort.
04:01 C'est un petit peu comme quand on dit "nul n'est censé ignorer la loi,
04:04 nul n'est censé ignorer le parcours".
04:05 Le problème, c'est qu'aujourd'hui, dans un vélo où les coureurs sont quand même extrêmement entourés,
04:09 on pourrait dire même, même si je ne suis pas très friand du mot, assistés.
04:12 Donc, le coureur, il n'est pas responsabilisé.
04:13 Ce n'est pas sa faute.
04:14 Là, encore une fois, à mon avis.
04:16 À votre avis, mais c'est important d'avoir votre avis.
04:18 Allez, on y va.
04:18 Romain Bardet qui accepte de nous répondre.
04:20 Merci à Romain, à vous Charles-Antoine.
04:22 Romain, racontez-nous ce sprint où vous vous êtes amusé.
04:26 Une belle quatrième place.
04:27 Oui, on a bien travaillé pour rester devant aujourd'hui.
04:31 J'étais bien placé avec Oscar à 100 mètres de l'arrivée.
04:35 Donc, je l'ai suivi.
04:37 Mais voilà, c'est du mal à retrouver des courses
04:41 un petit peu où il y a un peu moins de tension dans le peloton
04:42 et tout est plus limpide.
04:44 Pierre Roland, le rappelé en plateau, c'était une course très décousue.
04:48 Il y avait aussi 2500 mètres de dénivelé positif.
04:50 Comment vous vous êtes senti sur cette étape ?
04:52 Oui, c'est vrai qu'il y avait une très belle ascension au milieu d'étapes.
04:58 Et c'est monté à un tempo quand même correct.
05:01 C'est pour ça qu'ils ont éliminé pas mal de sprinters.
05:04 Et donc voilà, honnêtement, c'était plus difficile que ce que je pensais.
05:09 Et on se dit pourquoi pas pour un sprint,
05:10 pour éventuellement aller chercher des bonifs ?
05:12 Oui, non, c'est un peu comme ça.
05:15 On voit jour après jour.
05:17 J'essaie toujours de bien récupérer de la semaine dernière.
05:18 Donc, on prend ce qu'il y a à prendre.
05:20 Merci Romain, bonne récup.
05:21 C'est important de ne pas avoir de course.
05:26 En fait, il a retrouvé l'instinct de coureur.
05:28 C'est ça qu'il est en train de nous dire là.
05:30 Oui, il fait la course.
05:33 Les coureurs, ils aiment faire la course.
05:34 Et après, il faut quand même penser à un truc.
05:36 C'est que là, il y a des coureurs qui dominent.
05:38 Il s'appelle Evenepoel, Pogacar, etc.
05:41 Et quand ils ne sont pas là, en l'occurrence, s'ils ne sont pas là,
05:43 il faut saisir l'opportunité.
05:44 Et donc, Romain, il a bien compris que là, il y avait une opportunité
05:48 pour faire le général, pour faire des belles étapes.
05:50 Et il fonce et il a raison.
05:51 Mais il est venu très tôt pour faire le sprint.
05:54 On pouvait penser éventuellement que c'était pour éviter des chutes.
05:59 Or, en fait, il était parti pour essayer d'aller prendre des bonifs.
06:02 C'est quand même assez nouveau.
06:04 Je vais devoir vous couper parce que c'est la fin de l'émission.
06:06 - Oui, mais vous ne me regardez pas quand je fais des petits gestes en même temps.
06:09 Alors, on va se caler pour demain, Cyril.
06:12 En tout cas, je fais un énorme geste.
06:13 - Oui, mais là, après, bonsoir à tous.
06:15 Après, Cyril, il m'engueule, moi.
06:17 Il dit "tu m'empêches de parler, c'était bien et tout".
06:19 Après, il me gronde.
06:20 Après, il me gronde.
06:21 Après, il me gronde.
06:22 - C'est vrai.
06:22 - Bonjour, messieurs.
06:23 Il me gronde après.
06:24 Je vous jure qu'il me gronde.
06:25 Comment ça ? Vous êtes la vraie claire, on est connu ?
06:27 - Ça fait une torture.
06:28 - Oui, on se vit tous dans la vraie vie.
06:29 Ça va ?
06:30 - L'avantage du footballeur, c'est qu'il ne se trompe pas de chemin sur la pelouse.
06:32 Ça, c'est le truc.
06:33 C'est qu'a priori, il n'y a qu'un sens où aller et le deuxième, c'est qu'il va défendre.
06:37 - Et il connaît le règlement.
06:38 - Ah, pas toujours.
06:39 - Pas toujours.
06:40 - Pas toujours parce que de toute façon, le règlement est trop compliqué avec les mains,
06:42 vous voyez, par exemple.
06:43 Bon, ça va ? Vous êtes en forme ?
06:44 - Oui, beaucoup.
06:45 - On va parler de l'avenir de Messi parce qu'il y a Visby, le PSG.
06:48 On a plein d'autres très beaux sujets.
06:49 Beaucoup de foot étrangers.
06:50 Il y a le match du titre en Angleterre, possiblement.
07:12 - Oui.
07:13 - C'est un peu la même chose.
07:14 - Oui.
07:15 - C'est un peu la même chose.
07:16 - Oui.
07:17 - C'est un peu la même chose.
07:18 - Oui.
07:19 - C'est un peu la même chose.
07:20 - Oui.
07:21 - C'est un peu la même chose.
07:22 - Oui.
07:23 - C'est un peu la même chose.
07:24 - Oui.
07:25 - C'est un peu la même chose.
07:26 - Oui.
07:27 - C'est un peu la même chose.