Pour la sortie de son nouvel album, Patrick Sébastien sera l’invité vedette de Cyril Hanouna.
Quand darka rencontre Fiesta cela donne un prime exceptionnel « C’est génial, c’est que de l’amour » Au programme de la soirée, des surprises, des happenings, des anecdotes secrètes et de la darka ! Pour célébrer cet évènement de nombreuses personnalités les accompagneront tout au long de la soirée.
L’occasion également pour ses proches de venir le surprendre …Émotion garantie ! Rendez-vous le 25 avril à 21h20 sur C8 pour certainement la soirée de l’année.
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00:00 Il y a quelqu'un qu'on n'a pas vu depuis 5 ans qui a souhaité s'entretenir avec toi.
00:04 Je vais vous laisser entre vous, je vais te laisser t'asseoir là.
00:06 - Ouais, qu'on n'a pas vu depuis 5 ans ? - Ouais, on t'a pas vu depuis 5 ans.
00:10 Il est là ce soir que pour toi.
00:12 Et je peux te dire que là, c'est un vrai événement.
00:14 Tous les téléspectateurs vont se dire que c'est un événement énorme.
00:17 Il est là ce soir, c'est... ce monsieur.
00:21 - Ha ha ha !
00:23 Oh putain !
00:26 Comment ça va toi ?
00:28 - Putain c'est génial hein ? - Oh c'est génial !
00:31 - Tiens ! - J'avais oublié ma marionnette, oh putain !
00:34 - Alors Patrick, ils ont fait tout ce barzang pour toi ce soir.
00:37 Il tenait bien ton pote Anouna là.
00:39 Qu'est-ce que tu lui trouves de plus que les autres à celui-là ?
00:41 - Bah il est sincère.
00:43 Il dit des conneries des fois, mais il les dit sincèrement.
00:45 - Ok, alors, bon alors Patoche, on arrive à 70 balais, on en a fait des conneries.
00:50 Tiens, alors c'est quoi ton plus gros souvenir en téloche ?
00:53 - Mon plus gros souvenir en télé ?
00:56 Pfff, je saurais pas te dire.
00:58 Il en a parlé tout à l'heure, un des meilleurs moments,
01:01 c'est quand on a chanté les sardines à Marseille sur le port.
01:04 Après mes émissions à moi, c'est que des bons souvenirs.
01:07 C'est surtout des gens.
01:08 C'est Paul Prébois, c'est tous ceux que j'ai vu démarrer.
01:11 Timide, Albert Dupontel, lui là, Danny Boon,
01:16 quand ils arrivaient, tout timide, et puis après de les voir exploser quoi, tout ça.
01:21 Ça c'est des vrais souvenirs.
01:22 - Il y en a eu des connards avec nous dans ce métier.
01:25 - On a une grande gueule, une grosse paire de couilles.
01:27 - Ça c'est le problème.
01:29 C'est le problème d'être un connard, mais je revendique.
01:32 Moi je suis aussi con qu'en j'avais 14 ans.
01:33 - Et c'est qui qui t'a fait le plus chier ?
01:34 Tu peux me le dire, on est que tous les deux.
01:36 - Oh non, je peux pas dire son nom, elle est encore patronne de France 2.
01:39 - J'ai compris.
01:41 Bon, alors, on a fait la téloche.
01:48 - Je vais te dire ce que j'ai écrit dans un bouquin.
01:51 Je m'en veux pas du tout, elle fait son boulot, son machin et tout.
01:54 - Moi je me suis dit toujours, j'aurais bien aimé être une femme.
01:57 Vraiment, pour la douceur, pour la gentillesse, l'exemple de ma mère.
02:01 Jusqu'au jour où j'ai croisé cette dame-là,
02:03 et ça m'a consolé définitivement d'être un homme.
02:06 - D'accord, on va s'en aller du clair.
02:09 Bon alors, on a fait de la téloche, du ciné, du spectacle.
02:14 On a gagné la coupe de rugby en 97.
02:17 On a déglingué toutes les plus belles meufs de France et de Navarre.
02:21 - Quand tu parles de gagner la coupe d'Europe,
02:24 de toute ma carrière, de les Olympias, la télé et tout,
02:28 mon plus bel orgasme, c'est ça.
02:31 C'est quand j'ai soulevé la coupe d'Europe de rugby à Cardiff.
02:34 Ça, ça reste unique.
02:37 - Bon alors, sérieux, qu'est-ce qui nous manque dans cette vie, bordel ?
02:41 - Aujourd'hui, ce qui me manque ?
02:43 - Rien, rien.
02:45 Si, il me manque les absents.
02:48 Je parlais avec Delon, c'est pas de vieillir qui nous fait chier,
02:51 c'est les potes qui sont plus là.
02:53 Raphaël, on a connu plein de copains.
02:55 Moi, je suis d'une génération où j'ai croisé, c'est Jérôme,
02:58 Clo-Clo, Coluche, Gainsbourg, tous ces mecs-là.
03:01 En plus, ils n'auraient pas leur place aujourd'hui.
03:04 - Alors, Patoche, on en a pris du pognon aussi.
03:07 Ça nous a fait tourner la tête comme des serviettes.
03:09 - On en a pris, on nous en a pris et on en a beaucoup partagé.
03:12 - Qu'est-ce qui te reste aujourd'hui à un million près ?
03:14 - Il me reste, je ne sais pas, parce que moi, je sais toujours
03:16 à peu près 300, 400 euros dans ma poche,
03:18 mais je ne sais pas ce que c'est sur mon compte en banque,
03:20 je ne veux pas le savoir.
03:21 Ce que je sais, c'est que je partage beaucoup,
03:23 parce que c'est fait pour ça.
03:25 Je partage avec... Je ne suis pas une vie extraordinaire,
03:28 ils le savent, je n'aime pas les mondanités, les machins, tout ça,
03:32 mais j'aime bien partager.
03:33 Moi, j'aime voir les gens heureux autour de moi,
03:35 donc je fais le maximum pour partager.
03:36 Mais je ne suis pas un saint.
03:37 Moi, j'aime bien le...
03:38 Ce n'est pas le luxe que j'aime bien, c'est le confort.
03:40 Moi, je trouve que le luxe aujourd'hui,
03:42 c'est l'espace et le silence.
03:44 - Et le patoche, comme on galérait quand on était jeune,
03:46 maman disait toujours, à quoi ça sert de s'acheter un matelas neuf à crédit
03:50 si le prix du crédit t'empêche de dormir ?
03:52 - Eh bien, j'ai gardé ça.
03:53 - C'est pour ma maman.
03:54 - Oui, oui, c'est ça.
03:55 - Et tu gardes ça pour toi comme un croissant.
03:57 - J'ai gardé ça.
03:58 Puis les mecs comme moi qui n'ont pas eu de thunes au départ,
04:01 on sait la valeur que ça a.
04:02 On a galéré, mais attention, c'est marrant ça aussi.
04:06 Quand on galérait...
04:07 Moi, j'habitais dans un truc de 8 mètres carrés,
04:09 je n'avais pas de thunes, mais je n'étais pas malheureux.
04:11 Je ne me plaignais pas.
04:12 J'avais 20 balais, j'avais tout devant moi.
04:15 Non, non, non, non, c'est plus...
04:16 - Alors, je peux te poser maintenant une question perso.
04:19 De toute façon, t'as pas le choix.
04:20 - Oui.
04:21 - T'as été très proche de Jacques Chirac.
04:22 - Ah oui.
04:23 - Il y a un politique aujourd'hui qui te fait encore bander la nouille ?
04:26 (Rires)
04:28 - J'ai voté pour lui au premier tour.
04:30 - Jean Lassalle.
04:31 - Jean Lassalle.
04:32 - Moi aussi, c'est nous deux.
04:34 - Alors, je vais te dire...
04:35 (Rires)
04:36 - Bravo tout homme.
04:38 (Applaudissements)
04:39 - Je le dis d'ailleurs sur scène.
04:41 Je vais te dire, je n'ai pas d'idée politique à arrêter.
04:44 J'observe, je regarde.
04:47 C'est marrant parce que c'est deux personnes qui sont à l'opposé,
04:50 que je ne trouve pas trop mal en ce moment.
04:52 Ça va en faire bondir certains.
04:54 Mais j'aime bien Roussel et Bardella,
04:57 qui sont à deux trucs complètement opposés,
05:00 parce que dans leur discours, il y a quelque chose
05:02 qui prend en compte les gens.
05:05 C'est con ça, hein ?
05:06 Les gens, les gens du peuple.
05:08 Parce que moi, je suis le porte-drapeau un peu de ces gens-là.
05:12 Tu sais, le blaireau, tu sais ce qu'ils disent.
05:14 Le blaireau, le français moyen.
05:15 À part que ces mecs-là, là, ils en ont plein le cul.
05:17 J'ai une chance...
05:18 - Ce ne sont pas des blairons.
05:19 - ... que je vous ai dit tout à l'heure peut-être d'ailleurs.
05:20 Mais ces gens-là, il faut s'en occuper.
05:21 Il faut arrêter le mépris.
05:22 Et il y a des politiques qui ont un discours
05:24 qui est un peu plus humaniste que les autres.
05:26 Et ceux-là, je les aime bien.
05:27 Après, ce n'est pas pour ça que je voterai pour eux,
05:29 mais ça change un peu.
05:30 Je voudrais qu'on s'occupe un peu plus
05:32 de ceux qui ne sont pas bien.
05:33 - OK. Alors, Patoche, tu te rappelles,
05:35 au début de notre vie, on s'envoyait un litre et demi
05:37 de whisky par jour dans le pif.
05:38 Mais pourquoi tu te détruisais comme ça ?
05:41 - Ça fait quand même...
05:42 Non, je ne me détruisais pas. Je vivais.
05:44 Et ça n'aurait pas été si dangereux.
05:47 Je ne me serais pas arrêté.
05:48 Heureusement que je me suis arrêté.
05:49 J'avais 32 ans.
05:50 Tu vois, ça fait longtemps.
05:51 Maintenant, je bois un petit verre de vin.
05:53 Juste un verre de vin pour le plaisir.
05:55 Mais la cuite, la grosse ivresse,
05:57 je n'ai plus envie. J'ai tout fait.
05:59 J'ai tout fait.
06:00 - C'était chiant.
06:01 Tu te réveilles le lendemain,
06:02 tu ne te rappelles pas de ce que tu as fait.
06:04 C'est chiant.
06:05 - Patoche, on en a eu des gonzesses.
06:06 Elles nous ont rendu fous.
06:07 Avec la Marie Myriam, ce n'était pas facile.
06:09 Tu as failli faire une connerie.
06:10 - Qu'est-ce qui me ressorte ?
06:11 - Ce n'était pas génial.
06:12 - Pourquoi tu étais avec Marie Myriam ?
06:13 - Non, c'est une belle histoire d'amour.
06:15 - C'est vrai ? Je ne savais même pas.
06:17 - Belle histoire d'amour.
06:18 - Je ne savais même pas.
06:19 - Marie, je vais te dire la vérité.
06:21 Marie, j'ai connu...
06:22 Juste avant, j'avais présenté l'émission.
06:24 Elle venait de gagner l'Eurovision.
06:25 Elle avait 20 piges.
06:26 J'étais son premier homme à Marie.
06:28 - C'est beau.
06:29 - J'étais son premier homme.
06:30 On a eu une belle histoire d'amour.
06:32 J'ai chargé parce que je m'étais attaché.
06:34 Elle est partie.
06:36 J'ai voulu me flinguer.
06:37 Quand tu y en penses avec le recul.
06:39 Franchement, j'étais en tournée avec elle.
06:42 On ne se parlait plus.
06:43 Il y avait ce con.
06:45 Il y avait Cabrel avec tout qui chantait.
06:47 Petite Marie, je parle de toi.
06:49 Après, il chantait Je l'aime à mourir.
06:51 Je lui disais, ferme ta gueule.
06:53 C'était trop beau.
06:55 C'était une belle histoire.
06:57 On se parle souvent.
06:58 On s'appelle souvent.
06:59 Le temps a apaisé ça.
07:01 Je le dis pour ceux qui auraient un chagrin d'amour.
07:03 Ça ne vaut pas le coup.
07:05 Le temps passe.
07:06 Ça s'efface.
07:07 Nous, il nous en est resté une superbe amitié.
07:10 Ça a été un bon moment.
07:12 C'est pour ça, au nom de cette amitié,
07:14 que je ne me présente pas à l'Eurovision.
07:16 Je ne voudrais pas qu'elle m'enveuille.
07:18 Je pense que si j'allais chanter
07:20 "Petit Père, c'est génial" à l'Eurovision,
07:22 je ne finirais peut-être pas dernier.
07:24 Patrick, tout à l'heure,
07:26 tu as vécu un moment de sensibilité très fort.
07:29 Ça m'a touché.
07:30 Tu te rappelles le soir de l'accident de Sébastien.
07:33 On devait monter sur scène.
07:35 On a appelé Carlos pour qu'il nous remplace.
07:37 Il nous a dit cette phrase incroyable.
07:39 "Je ne viendrai pas parce que si t'y vas pas toi,
07:42 tu t'en sortiras jamais."
07:43 Tu vas monter sur scène.
07:45 Tu vas leur donner de l'amour.
07:46 Ils vont te le rendre.
07:47 Ça va te tenir debout.
07:48 J'en parle souvent.
07:49 Je n'ai pas de pudeur par rapport à ça.
07:51 C'est une manière d'exorciser.
07:53 Ma vie, depuis ce moment-là, ce soir-là,
07:55 je suis déjà mort.
07:56 Tout le reste, c'est du sursis.
07:58 C'est pour ça que je fais autant de conneries.
08:00 Tous les gens à qui c'est arrivé
08:03 savent ce que ça représente.
08:05 Par contre, c'est vrai que ce que m'a dit Carlos ce soir-là,
08:09 ça m'a sorti.
08:10 J'essaie de le transmettre.
08:11 Si dans un drame comme ça,
08:13 tu te mets par terre et tu dis
08:14 "Pleignez-moi, je ne vais pas bien",
08:15 tu ne t'en sors pas.
08:16 Ce n'est pas la peine.
08:17 Par contre, être encore plus généreux
08:19 avec celui qui souffre et tout ça,
08:21 c'est ça qui te sort.
08:22 Moi, je suis monté sur scène.
08:23 Putain, c'était un enfer de monter faire le clown
08:27 sur une scène, 8 heures après,
08:30 avec devant moi, en plus, la route où il s'était tué.
08:32 J'étais en plein air.
08:33 C'était abominable.
08:34 Mais c'est ce qu'il fallait que je fasse.
08:37 - Un jour, quand même, on oublie ça
08:39 parce que c'est vrai qu'on n'est pas là pour s'attrister.
08:42 - Non, mais je vis avec.
08:43 Et surtout, tu sais, je suis un vrai humaniste.
08:45 J'essaie de transmettre mon expérience.
08:47 Parce qu'en ce moment, il y a des mecs qui nous regardent
08:49 qui viennent de perdre un gamin.
08:51 Et puis, tu relativises.
08:52 Il y a des gens qui me disent
08:53 qu'il n'y a rien de pire que perdre un enfant.
08:55 Si, en perdre deux.
08:56 - Alors, un jour, le bonheur a quand même frappé à ta porte,
08:59 Patoche.
09:00 Tu rencontres Nana, ta partenaire de vie.
09:02 Alors, est-ce qu'il y a une chose que tu ne lui as jamais dite
09:05 et que tu voudrais lui dire ce soir ?
09:07 - Que je suis très content des 30 années
09:08 qu'on a passées ensemble.
09:09 Parce que là, on vient de se séparer, il y a un an.
09:12 Mais enfin, on s'est séparés.
09:14 On n'est pas divorcés.
09:15 On travaille ensemble toute la journée.
09:17 On se voit tous les jours.
09:19 Elle s'occupe de moi, je m'occupe d'elle.
09:21 Ça aussi, c'est un truc que je voudrais transmettre
09:23 aux gens qui se séparent.
09:24 Je leur souhaite à tous d'avoir la séparation que nous, on a là.
09:28 Parce que si elle a besoin de moi, je vais être là.
09:30 Si moi, j'ai besoin d'elle, elle va être là.
09:32 Ça s'est transformé.
09:34 Elle a sa vie, elle est libre.
09:35 J'ai la mienne.
09:37 On a eu...
09:38 C'est marrant parce que je suis en train d'écrire un bouquin
09:40 qui parle de...
09:41 Pas de ça, mais qui parle de la nostalgie.
09:43 On s'est donné des chances pendant 30 ans.
09:45 On s'est donné une deuxième chance, une troisième.
09:47 On a eu de l'indulgence.
09:49 Comme faisaient les gens avant.
09:50 Ils prenaient le temps au lieu de se casser à la première dispute.
09:53 Et puis, on a épuisé tout ça.
09:55 Et il nous en reste une tendresse et surtout,
09:58 une petite fille magnifique qui s'appelle Lily.
10:01 J'aimerais tellement transmettre aux gens que...
10:05 Tu as vu le nombre de crimes passionnels,
10:07 le nombre de bagarres, de mecs qui fracassent leur nana,
10:10 qui se battent, etc.
10:11 Il n'y a pas eu un mot plus haut que l'autre.
10:13 Et je suis aujourd'hui, je vais tout faire pour qu'elle soit heureuse.
10:17 Parce que de son bonheur à elle, va dépendre le mien.
10:20 - Dernière question, mon pote, si on se revoit dans 5 ans.
10:23 Il te reste 3 minutes à vivre.
10:25 Ce seraient quoi tes derniers mots ?
10:27 - Mes derniers mots, je les ai volés.
10:29 Ils ne sont pas à moi.
10:30 Je les ai volés à Jacques Brel.
10:31 A 10 minutes de sa mort,
10:33 c'est Fabien qui me l'a appris.
10:35 A 10 minutes de sa mort, Jacques Brel a dit
10:37 "Si vous m'aimez, fermez vos gueules."
10:39 Je suis sûr, ma tombe lui aura marqué.
10:41 Si vous m'aimez, fermez vos gueules.
10:43 - Merci Patrick.
10:44 Merci les 2 Patrick Sébastien Jouet.
10:46 Je voudrais juste qu'on accueille...
10:48 - Pour une fois, tu as été gentil.
10:50 - Il a été gentil.
10:51 Je voudrais juste qu'on accueille quelqu'un que j'aime beaucoup.
10:54 C'est grâce à lui qu'on a pu faire cette séquence.
10:56 Je voudrais remercier d'ailleurs les Marionnettistes.
10:58 - Ah, les Marionnettistes, on peut les voir ?
11:00 - Merci à eux.
11:01 Merci beaucoup.
11:02 On peut les voir, on peut leur faire un coucou.
11:04 Merci à eux parce qu'ils attendent.
11:06 Et je peux vous dire que c'est hyper dur.
11:08 Merci les chéries.
11:10 Merci d'être là.
11:11 - C'est Yves qui a fait ma voix ?
11:13 - C'est Yves Lecoq qui est avec nous.
11:15 Yves Lecoq qui est là, bien sûr.
11:17 Yves Lecoq qui est avec nous.
11:19 Merci.
11:20 Merci.
11:21 Merci les chéries.
11:22 - Merci.
11:23 Merci beaucoup.
11:24 - Yves Lecoq qui est là.
11:25 - Bonjour.
11:26 - Bonjour.
11:27 - Tu sais qu'on est des vieux.
11:29 - Yves, assieds-toi avec nous.
11:31 Yves que j'adore.
11:32 - On est des vieux guerriers.
11:34 - T'es magnifique toi aussi.
11:35 - Le bleu, c'est pas fort.
11:36 - Assieds-toi.
11:37 Yves Lecoq, merci d'être là.
11:38 - On est des vieux guerriers, tu sais.
11:40 - Patrick.
11:41 Yves, c'est un des plus grands imitateurs de l'histoire.
11:47 - On est des vieux guerriers.
11:48 A l'époque, on était 3.
11:49 Il y avait Yves, Thierry et moi.
11:50 - Exactement.
11:51 Il paraît qu'il y a une anecdote entre vous.
11:52 Yves, parce que t'étais son concurrent à l'époque.
11:54 - On était au Ciré-la-Vour.
11:55 - Il paraît qu'il y avait un truc avec sa maman de Patrick.
11:58 - Ah non, sa maman, c'est-à-dire que, évidemment,
12:00 elle voulait savoir ce que je faisais sur scène
12:02 pour le raconter.
12:03 Donc, elle venait.
12:04 Elle était venue à l'Olympia.
12:05 On m'avait dit qu'il y avait la maman de Sébastien dans la salle.
12:08 J'ai dit que c'était bien.
12:09 - Elle voulait regarder ce que tu faisais pour lui dire
12:11 "Pas de dégâts".
12:12 - Mais ça va, comment on se moquait de moi.
12:14 Moi, j'ai toujours aimé qu'on se moque de moi.
12:16 - Oui, c'est vrai.
12:17 - Parce que c'est, comme je disais tout à l'heure,
12:19 un imitateur être imité.
12:20 - Ah oui.
12:21 - On n'a pas eu beaucoup l'occasion de se parler
12:23 parce que t'étais très pris, moi aussi.
12:25 - Moi aussi, oui.
12:26 - Et puis, on s'est retrouvés quand, justement,
12:28 t'as été un peu plus...
12:29 Un des premiers disques que j'ai achetés,
12:31 c'était toi en train de faire des imitations,
12:33 de faire des chansons originales avec la voix de...
12:35 - Oui, les multitudes.
12:36 - Appelle-le Stéphane.
12:37 - Merci Yves Lecoq d'être avec nous.
12:39 Merci, reste avec nous.
12:40 [Musique]