“Moi ?” : Apolline de Malherbe choquée par Manuel Bompard, accrochage en direct

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“Moi ?” : Apolline de Malherbe choquée par Manuel Bompard, accrochage en direct
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00:00 La tension est soudainement montée d'un cran sur le plateau de BFMTV.
00:14 Mardi 25 avril, la journaliste Apolline de Malherbe recevait le député La France Insoumise Manuel Bompard.
00:24 Après avoir interrogé l'élu sur la manière dont les politiques doivent travailler avec les syndicats, la journaliste lui a parlé du blocage de l'Université Mirail de Montpellier, dénoncé par les syndicats étudiants.
00:39 « Je n'ai pas bien compris le lien avec le sujet précédent, mais ce n'est pas grave, je vais quand même répondre à votre question », cesse alors à muser Manuel Bompard.
00:51 « Ah bon, vous ne voyez pas le lien ? » ceste surprise Apolline de Malherbe.
00:58 « J'ai compris que vous avez envie de faire passer tous ceux qui se mobilisent pour des sauvages », l'a alors accusé le député La France Insoumise.
01:09 Des propos qui ont laissé la journaliste bouche bée.
01:15 « Moi ? Comment on peut dire une chose pareille ? Non mais attendez, je vous arrête tout de suite », ceste ensuite agacé Apolline de Malherbe.
01:26 Manuel Bompard, favorable aux violences ? Après quelques secondes où journalistes et politiques ont parlé l'un sur l'autre, la situation sur le plateau de BFM TV a retrouvé un peu de calme.
01:41 « Je veux une situation dans laquelle le pays est apaisé », a alors affirmé Manuel Bompard.
01:50 « Si vous voulez une situation dans laquelle le pays est apaisé, il faut arrêter de pointer du doigt en permanence ceux qui expriment leur colère et qui s'opposent et il faut écouter toutes celles et ceux qui s'expriment de manière démocratique », a alors estimé le député de La France Insoumise.
02:09 « Est-ce que vous ne redoutez pas, est-ce que l'histoire ne vous a pas appris, qu'en ouvrant la porte à ce genre de violence, on risque de trouver plus violent que soi ? », l'interroge ensuite Apolline de Malherbe.
02:24 « Il n'y a pas de violence dans la mobilisation qui s'exprime aujourd'hui contre le président de la République et contre la réforme des retraites », estime le député.
02:36 « Si on veut qu'on ne se retrouve pas avec des gens qui se disent que la solution ci est-il la violence, ce qui n'est pas ma volonté, il ne faut pas couper l'ensemble des canaux démocratiques qui permettent à la colère de s'exprimer.
02:51 Autrement dit, il ne faudrait pas faire de politique en se passant des syndicats.
02:58 Crédit photo, capture d'écran BFM TV
03:06 « Le problème, c'est que les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République, c'est les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République. »
03:17 « Le problème, c'est que les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République, c'est les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République. »
03:25 « Le problème, c'est que les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République, c'est les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République. »
03:35 « Le problème, c'est que les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République, c'est les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République. »
03:45 « Le problème, c'est que les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République, c'est les gens qui ont fait le choix de se mettre en colère contre le président de la République. »

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