Départ de Idy de Benno Bokk Yaakar : les Sénégalais se prononcent
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00:00 [Musique]
00:12 Moi je m'appelle Laïs Sadio.
00:15 Quand je vois l'action, il dit que c'est une démocratie.
00:19 Il dit qu'il fait partie des hommes d'État.
00:24 Au temps passé, il dit qu'il n'y avait pas de période où poser campagne comme tous les électeurs.
00:31 Mais au fur et à mesure, il arrange de travailler avec l'État.
00:36 L'État c'est le peuple.
00:38 Et si on parle de peuple, c'est le gouvernement.
00:42 Il a le droit de faire ce qu'il veut.
00:46 Il peut arranger, il peut le faire faire sa campagne,
00:49 puis faire sa candidature.
00:51 Il peut y avoir des sujets, mais si on regarde, ce n'est pas grave.
00:55 Parce que si on regarde les pays européens plus développés que nous,
00:58 quand ils vont à l'asile, il y aura ça.
01:00 Il dit qu'il y a une opposition à l'État, il doit venir.
01:03 Mais il furet temps.
01:05 Je vais le faire avec Abou Diouf.
01:07 Si vous voulez, on va parler de la micro-trottoir.
01:10 Il y a un moment, il a travaillé avec Abou Diouf deux fois.
01:15 Il a fait campagne électorale, pré-électorale, et il est venu poser sa candidature.
01:19 Je me rappelle.
01:21 Peut-être que la nouvelle génération ne le connait pas.
01:23 Mais c'est ça, c'est excitant.
01:25 Il doit y avoir ça.
01:26 C'est-à-dire que la nouvelle politique,
01:28 c'est de dire que c'est la démocratie qui le fait.
01:32 C'est la démocratie qui a fait de nous des gens.
01:35 C'est ça, on va le poser.
01:37 Il n'y a pas de constitution qui nous le donne.
01:40 Donc, le cadre politique,
01:43 je vais parler pour convaincre les gens,
01:45 demain je vais parler pour les arranger.
01:47 Donc, le cadre politique au Sénégal,
01:50 les pays africains,
01:52 c'est la démocratie que nous gérons.
01:56 C'est ce que nous allons parler aujourd'hui.
01:58 Je vais vous parler de ce qui a été arrangé, demain je vais parler au contraire.
02:00 Ça ne veut pas dire que ce que vous dites n'a pas de réalité.
02:03 C'est parce que, dans le contexte que vous regardez,
02:05 est-ce que ce que je vais vous parler,
02:07 est-ce que c'est arrangé avec l'instant ?
02:09 Est-ce que c'est arrangé ?
02:10 Il n'y a pas de problème, mais ce n'est pas grave.
02:12 Non, ce n'est pas grave, parce que
02:14 les gens ne se sont pas éloignés,
02:16 ils ne se sont pas éloignés, ils n'ont pas exprimé,
02:18 ils ont été éloignés du Sénégal.
02:19 Si vous regardez, si vous regardez, il y a 17 millions de Sénégalais,
02:22 il y a seulement 4 millions qui se sont éloignés.
02:24 Oui, c'est normal, nous l'attendons.
02:26 Nous l'attendons très bien.
02:28 Parce que, je l'ai déjà dit,
02:30 je l'ai déjà dit.
02:32 Et si vous regardez, il y a des PS et des PDS,
02:35 ils ont déjà entré dans le gouvernement,
02:38 ils ont déjà été éloignés,
02:39 ils ont encore quelques mois à sortir,
02:41 ils sont en train de se réunir.
02:43 Je ne sais pas, ce qui est en train de se réunir,
02:45 il va se réunir, parce que
02:47 il y a des choses qui ne se passent pas.
02:50 Parce que nous, nous devons comprendre,
02:53 il va se réunir,
02:55 mais il ne va pas se réunir,
02:57 il ne va pas se réunir,
02:58 nous l'attendons.
03:00 C'est normal qu'il soit éloigné pour Sampo,
03:02 parce que c'est le parti qui a fait la deuxième élection,
03:07 en 2019, il a fait la deuxième.
03:10 C'est normal qu'il soit éloigné pour Sampo.
03:13 Mais, vous savez,
03:14 le parti qui va aller à l'élection,
03:16 c'est le Japon, il peut y aller.
03:18 Il a l'impression qu'il n'y aura rien,
03:20 c'est pourquoi il va y aller.
03:22 Et puis, il a l'impression que le parti qui veut le faire,
03:24 il a l'impression qu'il veut le faire,
03:26 il a l'impression qu'il veut se battre,
03:27 il a l'impression que c'est ce qu'il veut arranger.
03:29 Vous savez, la politique, c'est des trucs simples,
03:31 il faut que vous vous en faites un peu,
03:33 c'est ce que je vous dis,
03:34 même si vous ne pouvez pas vous réunir,
03:36 vous vous réunissez avec les gens qui vous soutiennent,
03:37 et puis, si vous vous centrez,
03:40 vous allez avoir le pouvoir pour travailler,
03:42 vous allez avoir le pouvoir pour travailler.
03:44 C'est ce qui est important.
03:46 C'est ce qui est important.
03:47 Je vous dis, le parti qui veut le faire,
03:48 c'est ce qui ne va pas.
03:50 C'est ce qui est important.
03:52 Abou El Haddou a fait ça plusieurs fois.
03:55 Et aujourd'hui, il a fait ça pour gagner le parti.
03:57 Il a fait gagner le parti.
03:59 Est-ce que je vous comprends ?
04:00 Voilà.
04:01 C'est ce qui est important,
04:03 et il n'y aura rien, il n'y aura rien.
04:06 C'est ce que Dieu veut.
04:08 Parce que les élections, on les a faites,
04:10 et on ne savait pas qui,
04:11 et on ne savait pas qui allait y aller.
04:12 On ne savait pas qui allait y aller.
04:14 Amen, amen.
04:15 Ma fille,
04:17 je suis désolé pour répondre favorablement.
04:21 Si je devais dire,
04:22 c'est que tu es un homme très fort,
04:23 ou un homme très bas,
04:24 ou un homme très fort.
04:25 Tu as donné une impression qui me fait mal.
04:28 Mais les politiciens,
04:29 je te dis la vérité,
04:30 c'est mon devoir civique,
04:32 mais je n'ai pas le droit de dire ce que je veux dire.
04:33 Je n'ai pas le droit de dire une seule chose.
04:35 Ce que je sais,
04:37 c'est que le président de la République
04:39 est là pour tout le monde.
04:40 Comme nous l'avons dit,
04:42 comme nous l'avons dit,
04:43 et nous lui avons demandé
04:44 de pardonner à tout le monde,
04:45 à tout le monde,
04:46 pour qu'il fasse de nous de bon.
04:48 Et le bon commence quand le président arrive,
04:50 quand il arrive.
04:51 C'est ce que je lui ai demandé.
04:52 Si je ne l'avais pas fait,
04:53 il ne l'aurait pas fait.
04:54 Donc, tout le monde, pardonnez à tout le monde.
04:55 Je vous en prie,
04:56 tous les hommes,
04:57 tous les hommes.
04:58 C'est la politique.
04:59 Il y a un choix.
05:02 Personne ne l'a fait.
05:04 Personne ne l'a épargné.
05:05 Personne ne l'a abandonné.
05:06 Il y a des gens qui l'ont épargné,
05:07 mais il y en a qui l'ont abandonné.
05:08 Mais je dirais,
05:09 pour que tu puisses te dire la vérité,
05:10 tu dois te lancer dans ton choix.
05:12 Ce n'est pas vrai.
05:13 Parce que ce qu'il fait,
05:14 c'est ce qui te concerne.
05:16 (Générique)