• l’année dernière
Ce jour où Michel Denisot a fait remarquer le mépris de Jean-Luc Mélenchon en direct !

Category

🗞
News
Transcription
00:00 C'est une formule latine qui dit "incoda"
00:02 - Vous connaissez le mot du latin ? - Je ne suis pas complètement analfabète.
00:06 Mais vous savez, il y a plein de gens qui n'ont pas fait, qui ne sont pas analfabètes.
00:09 Il ne faut pas être prétentieux, M. Delamere.
00:11 Je ne suis pas prétentieux, je vous réponds parce que vous méprisez un peu de temps en temps aussi.
00:14 - Qui ? - En considérant qu'on ne sait rien.
00:18 - Mais pas du tout. - Vous m'aidez à le faire à l'abri.
00:20 - Mais il y a plein de gens qui ne savent pas le latin. - C'est pas grave.
00:22 Ambiance.
00:23 Oui, il y avait un petit côté comme ça.
00:26 Il y a le son, mais il fait une phrase en latin, "incoda venenum"
00:30 en regardant Ali Baddou qui était le monsieur intelligence de mon émission.
00:35 Et un petit geste de la main comme ça en me faisant...
00:37 - Un peu dédaigneux. - C'est du latin comme si je ne comprenais rien.
00:41 - Je n'ai pas du tout après... - Vous le remettez à sa place, c'était assez rare ça de voir faire ça à l'entraînement.
00:46 Oui, ça m'est pas arrivé souvent.
00:46 Mais là, j'ai trouvé que j'étais dans mon droit de lui dire qu'il y avait une forme de mépris
00:52 dans sa espèce de condescendance de quelqu'un qui sait tout et que je suis censé ne pas savoir.
00:57 - Je pense que lui il n'apprécie pas comme fasciste. - Il n'apprécie pas du tout, ça s'est mal passé après.
01:01 Et puis les politiques en général en télé on se fâche avec eux, ça dure six mois, maximum.
01:07 Parce qu'au bout de six mois ils ont besoin de revenir, on a besoin de les avoir.
01:09 Et donc à la rentrée, X temps après, je dis "Ah bah tiens si on faisait venir Jean-Luc Mélenchon..."
01:14 Il me dit "Ouais, enfin tu sais..." Je dis "Attends, on va l'appeler."
01:17 Donc on l'appelle et son équipe dit "Il faut d'abord qu'il déjeune avec Denis Zo."
01:20 Bon ok, je vais déjeuner avec lui dans un restaurant japonais.
01:22 Et puis, il ne me connaissait pas plus qu'on se connaît, on croise les gens sur les plateaux.
01:28 Je pense qu'il me prenait par ailleurs pour quelqu'un d'autre venant de je sais pas quel monde.
01:31 - Et je lui ai raconté ma vie qui était... - Oui, il ignorait votre parcours d'autodidacte.
01:34 Ouais, et puis d'où je venais vraiment, enfin mon enfance, etc. Je vais pas tout raconter.
01:38 Mais enfin, ça s'est bien passé et on s'est retrouvé au moins à un point commun,
01:41 c'est qu'on avait été tous les deux enfants de cœur.

Recommandations