Le 19 Heures 30 de RTI 2 du 17 avril 2023 par Anicette Konan

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00:00 [Musique]
00:14 Bonsoir à tous et merci d'être toujours en notre compagnie sur RTI2, la chaîne la plus proche des populations au sommaire de l'actualité.
00:22 Autorisés à aller en congé de Pâques depuis le 7 avril, les élèves, surtout ceux en classe d'examen, utilisent ce congé de deux semaines pour reviser, afin de tirer leur épingle du jeu aux examens de fin d'année.
00:35 Et puis hors de chez nous en sport, sachez que le Kenyan Evans Shebe a remporté ce lundi le marathon de Boston pour la deuxième année consécutive.
00:47 Encore merci de votre fidélité au temps d'information sur RTI2. Au chapitre éducation, bientôt la fin des congés de Pâques et pour les élèves en classe d'examen, il n'y a pas de repos possible.
00:58 Si certains optent pour des coûts de renforcement, d'autres préfèrent reviser à deux ou même tout seul.
01:04 Quelle que soit la méthode, tous les moyens sont bons pour réviser durant ces congés afin de réussir surtout aux examens de fin d'année scolaire.
01:12 Le constat d'Aïcha Sanogo est commenté par Bintou Pekélé.
01:16 Groupe scolaire Tamonamanko, dans la commune de Kokodi. Il est 9 heures et ses élèves, pourtant en congé, sont en salle de classe.
01:25 Ils sont ici pour suivre des coûts de renforcement.
01:37 Tous en classe d'examen, ces coûts leur permettent d'approfondir les connaissances déjà acquises auprès de leurs différents professeurs.
01:44 Et leur donnent également l'opportunité de comprendre ce qu'ils n'ont pas véritablement saisi avant les congés.
01:50 À la maison, on n'est pas bien motivé. OK, quand on se réunit, on a la motivation de bien travailler et le prof nous assiste et nous aide pour corriger quelques dingues avant les examens.
02:01 L'effet de groupe en classe, ça dérange parfois. Il y a des moments où c'est important de pouvoir se focaliser avec le professeur seulement.
02:13 On a un nombre restreint ici. C'est plus facile d'assimiler les choses.
02:19 Toutes les dispositions sont prises par les auteurs de cette initiative pour offrir aux élèves un cadre de travail paisible et adéquat pendant ces congés.
02:28 Au cours normal, ils sont en nombre pléthorique. Ce qui fait qu'un nombre restreint, c'est plus facile de pouvoir mieux l'examiner, le réexpliquer et assimiler facilement les cours.
02:38 Quand ils sont à partir des 10, on consacre deux groupes. Dès qu'ils sont arrivés, j'ai récupéré le téléphone. À partir du mois d'avril, je les mets dans les conditions de l'examen.
02:47 Si certains élèves optent pour les coûts de renforcement pendant les congés, d'autres choisissent de se mettre ensemble pour faire des révisions.
02:56 C'est le cas de ces élèves en classe de 3e et terminale que nous avons rencontrés dans la commune de Youpougon.
03:03 Moi, je suis forte en français et ma soeur est forte en physiologie chimie.
03:07 Quand nous faisons des leçons, je crois que je n'ai pas compris. En physiologie chimie, quand je viens, elle essaie de m'expliquer et je fais pareil aussi pour elle.
03:14 Nous avons décidé de sélectionner quelques jours pour bosser ensemble, pour s'entraider un peu.
03:19 Moi, je suis en terminale G2, lui en terminale D. Mais puisque nous avons pratiquement les mêmes titres et les mêmes leçons, nous avons décidé de travailler ensemble.
03:28 Le coût de renforcement, parfois, lorsque nous sommes en classe et il y a la présence d'autres amis, ça nous distrait un peu.
03:35 Joël, élève en classe d'examen, préfère, lui, réviser tout seul. Il assume n'avoir besoin d'aucune compagnie pour mieux assimiler ses cours.
03:48 Particulièrement, je préfère bosser à la maison. À la maison, je suis seul, donc les idées me viennent simplement et ça vient facilement.
03:57 Certains parents, eux, optent pour des répétiteurs. Isaac est en préparation du CPE, certificat d'études primaires alimentaires.
04:05 Sa mère lui a trouvé un répétiteur afin qu'il reste concentré durant ses congés de Pâques.
04:11 J'ai 5 ans, j'en ai 9. Il y a un, deux, 15.
04:17 En plus du répétiteur, Isaac suit également des cours de renforcement par moment. Pour sa mère, tous les moyens sont bons pour la réussite de son fils à son examen.
04:27 En congé, les enfants jouent beaucoup. C'est pour ça qu'il a appris à répéter pour qu'il reste pour étudier. C'est pour ça qu'il fait aussi des renforts.
04:36 Dispenser des coûts à domicile, une occasion pour ces jeunes de se faire de l'argent.
04:41 Je suis étudiant, on fait ça quotidiennement pour s'en sortir un peu, gérer nos petits besoins.
04:49 Tout ce qu'on fait au sien des tests, je lui donne. Il arrive à s'en sortir.
04:53 Couts à domicile, coût de renforcement, études, seul ou en groupe, pour ces jeunes en classe d'examen, tous les moyens sont bons pour réviser. L'essentiel, c'est d'être compté parmi les admis en fin d'année.
05:07 À présent, nous parlons de sécurité routière à Abidjan, la capitale économique de la côte du Divoir. La circulation est de plus en plus dense.
05:16 Cependant, dans ce mois de ramadan, force est de constater une circulation plus fluide. Du carrefour La Vie, passons par celui de la Soudémie, dans la commune de Kokodi.
05:25 Les livreuses et usagers de véhicules de transport en commun se disent satisfaits de cette fluidité.
05:30 Une opportunité pour eux de circuler en toute quiétude. Un reportage de Justin Kouassi, commenté par Bintou Pekili.
05:38 C'est l'heure de pointe au carrefour La Vie dans la commune de Kokodi. Pas de bousculades, pas de bruit de klaxons, ni de dépassements à vive allure en ce mois de ramadan.
05:48 Cette fluidité de la circulation permet à ce livreur d'exercer aisément son activité.
05:54 A cause du ramadan, la circulation est favorable pour moi, parce que ça permet de courir un peu plus rapide. Il y a moins d'embouteillages. Avant, la distance se faisait à deux heures. A cause du ramadan, la route est libre, il y a pas de courant à 1h30.
06:10 Il en est de même pour les chauffeurs de véhicules de transport en commun et personnel.
06:14 Moi-même, je mets un peu le 40, donc je rentre vite. En tout cas, on se dépêche pour ne pas que les clients soient un peu en retard.
06:21 Avant, il y avait un peu d'embouteillages. Maintenant, avec le ramadan, il n'y a plus d'embouteillages. Ça va. Ça nous permet d'aller plus vite. Ça nous arrange.
06:29 À quelques centaines de mètres, au carrefour Sodemi, les usagers de bus se disent satisfaits de cette fluidité routière, d'autant plus que les bus arrivent plus tôt que prévu.
06:39 Actuellement, il y a moins d'embouteillages qu'avant le mois du ramadan. Peut-être aussi ça a dû au congé donné aux élèves aussi. On peut rentrer un peu tôt que prévu.
06:49 Ça me permet de me reposer, aussi d'avoir le temps de cuisiner, faire les tâches ménagères, bien me reposer pour revenir le lendemain au travail.
06:56 Cependant, pas de chance pour les retardataires.
06:59 J'ai arrêté mon bus. Je suis patient. J'attends le prochain pour pouvoir aller à la maison. Grâce à la circulation fluide, les bus passent vite.
07:07 Si la circulation est de plus en plus dense à Abidjan, force est de constater qu'en ce mois de ramadan, elle est plus fluide. Une opportunité pour faire aisément des courses.
07:18 Le chapitre religion a un prix pour célébrer les silences au sein de la communauté musulmane.
07:24 Voit désormais le jour l'IMA, l'Ivoire Muslim Awards. C'est une distinction qui sera remise aux meilleures initiatives musulmanes de l'année.
07:32 Le lancement s'est tenu le samedi 15 avril dernier dans la commune de Makkourie. Ce prix, selon l'initiative, relève d'un enjeu capital.
07:40 Aussi, cela permettra de mettre la lumière sur ces soldats de l'ombre qui ne cessent de faire parler leur cœur.
07:47 Période pénitente, le ramadan est un mois de générosité.
07:51 S'inscrivant dans cette dynamique, leaders politiques, apolitiques, artistes, chanteurs et influenceurs se sont retrouvés dans le quartier de la Riviera pour un moment de partage.
08:01 Au cœur de cette rencontre, la reconnaissance, une thématique développée par les guides religieux présents.
08:07 C'était ce week-end dans la commune de Kokodi, en présence de Nour Sangaré et Clément Boukho.
08:12 Ils sont venus de divers horizons, leaders politiques, apolitiques, influenceurs, artistes et internautes ont décidé de se retrouver le temps d'une rupture collective du jeune.
08:26 Un temps de partage et de convivialité.
08:29 On n'est pas tous musulmans, ça veut simplement donner tout le sens, le bon sens d'ailleurs de cette fraternité que nous avons ici en Kodivor.
08:38 C'est le moment encore de resserrer les liens, de montrer aux yeux du monde entier qu'à travers les prières, à travers cette force que Dieu nous donne d'être ensemble, nous pouvons partager le repas.
08:47 Chaque musulman essaie de prôner l'amour, la paix, la réconciliation dans le pays à travers ce mois.
08:54 Ils m'ont invité ici à Venise, je vois tout le monde est là, musulmans, chrétiens, catholiques, on est mélangé, on mange ensemble, on vit ensemble, vraiment, c'est encouragé.
09:03 Un moment de partage marqué par une conférence sur la bienfaisance en islam.
09:08 L'islam est basé sur la reconnaissance.
09:10 Celui qui ne reconnaît pas le bienfait des hommes ne pourra jamais reconnaître celui de Dieu.
09:13 C'est pourquoi Dieu, après avoir parlé de son unicité dans le Coran, parle de la reconnaissance à l'égard des parents.
09:18 Celui qui n'arrive pas à être reconnaissant à l'égard de sa mère et de son père ne pourra pas remercier à la société.
09:23 L'islam est basé sur la reconnaissance.
09:25 Période de pénitence, le ramadan est un mois de générosité et de solidarité.
09:31 Un élan de solidarité dans lequel s'inscrit Karim Ouattara, directeur général adjoint de la Lonassi, à l'initiative de cette soirée de partage et de convivialité.
09:43 C'est parti du fait que sur les réseaux sociaux, nous sommes rendus compte qu'il y avait beaucoup plus d'attaques, il y avait des buzz, il y avait des fake news.
09:49 Tout était fait sur les réseaux sociaux pour nuire à l'autre.
09:52 Donc, des réseaux sociaux, nous avons essayé de tirer au moins quelque chose de positif.
09:57 Donc, en aménageant, les gens sont sortis derrière leur clavier pour venir se retrouver dans un mois de partage, un mois de prière, un mois de piété qui est pour nous les musulmans le mois de ramadan.
10:08 Cette soirée de partage, qui est à sa quatrième édition, a été meublée par des prières et des bénédictions.
10:15 Pour parler toujours de ruptures collectives, rendons-nous un peu plus loin d'Abidjan où le jardin de la cour préfectorale de Grand Bassam a ouvert les portes à ses collaborateurs
10:25 et aux imams de la section Kozim de la région sud du Komoué.
10:30 Bintou Pekele nous fait le compte rendu.
10:32 Quiconque offre au jeuneur de quoi rompre son jeûne aura une récompense égale à la sienne sans que sa récompense ne soit déduite de celle du jeuneur.
10:44 Cette recommandation du prophète de l'islam est suivie à la lettre depuis des siècles par les musulmans du monde.
10:50 C'est le cas ici, dans le jardin de la préfecture de Grand Bassam.
10:54 Les convives, le corps préfectoral et les imams de la section Kozim de la région du sud du Komoué.
11:00 Cette cérémonie de rupture collective du jeûne, une initiative du prophète du département de Grand Bassam et de Alhassan Ouattara, opérateur économique.
11:08 Si la vie est calme, s'il y a la paix dans le pays, la cote du voile va en avant et nous, opérateurs économiques, sommes tranquilles.
11:14 Aujourd'hui, parmi nous, il y avait un ennemi de Dieu et grâce à Dieu, aujourd'hui, nous avons eu la peau du paradis.
11:21 C'est pour cela qu'il faut que nous soyons ensemble pour ce genre de partage.
11:25 Il était bon pour nous de faire appel à la population, à nos collaborateurs immédiats, tous ensemble pour partager ce moment-là
11:34 et se retrouver pour plus de fraternité, pour plus de partage, pour plus de solidarité, tel que prôné par le président de la République, son excellence Alhassan Ouattara.
11:45 Cette première édition de rupture du jeûne à la préfecture de la ville historique de Grand Bassam est placée sous le signe de la paix et du vivre ensemble.
11:54 Madame le préfet, pour moi, a été mandatée par Dieu le Tout-Puissant.
11:59 Nous avons procédé à la lecture intégrale du Saint-Coran en intercédant auprès du Tout-Puissant pour le premier responsable de ce pays,
12:09 qui est le président Alhassan Ouattara, ses collaborateurs pour le maintien de la paix dans notre beau pays.
12:16 Et pour joindre l'acte à la parole, les imams et leurs hôtes ont invoqué Allah, le front au sol, les mains levées vers le ciel,
12:26 pour implorer les seigneurs pour la paix, l'entente entre les filles et les fils du département de Grand Bassam.
12:35 À présent, passons à cet autre élément important, c'est la religion, qui nous parle de la deuxième édition du parcours inspirant.
12:42 Mosquée Omar Boun Katob, du quartier Ina, des deux plateaux dans la commune de Koukoudi.
12:48 Des membres du RINAMSI, Réseau des Inarks Musulmans de Côte d'Ivoire, suivent attentivement une communication.
12:56 Il s'agit de s'approprier le parcours d'Ibrahim Lopo, conseiller technique du ministre de la Fonction publique.
13:03 Et cela à l'initiative du RINAMSI, pour leur permettre d'avoir des repères et des valeurs admises par la norme sociale,
13:13 autre que celles données au travers des réseaux sociaux.
13:16 Nous, au niveau des réseaux des Inarks Musulmans, nous refusons que des personnes qui n'ont aucun parcours,
13:21 que des personnes qui n'ont aucune valeur à partager, deviennent des modèles de notre génération.
13:26 C'est pourquoi nous avons institué l'activité Parcours Inspirant.
13:29 Nous voulons montrer à nous-mêmes qu'il y a des personnes qui ont reçu leur vie dans l'intégrité, dans la rigueur, avec les valeurs du travail.
13:38 Éveiller la conscience de ces Inarks et les conduire sur le bon chemin à travers le Parcours Inspirant,
13:45 est une activité à promouvoir, selon Ibrahim Lopo.
13:49 Une des choses qui devait être à l'esprit, c'est d'avoir une vision de comment on veut être utile.
13:56 Donc c'est cette vision-là qui doit être nette déjà.
13:59 Et une fois qu'on a cette vision nette, on construit des principes, on se fait des convictions autour,
14:07 et on se tient à ces principes-là pour pouvoir véritablement être stable et réussir ce parcours.
14:15 Ce partage d'expérience ou de promotion d'un parcours exemplaire a été associé à la rupture collective en ce mois de ramadan, mois de partage.
14:25 Une initiative à saluer. Et donc ces vécus-là, ces conseils et ces expériences qui se sont partagés avec nous les jeunes,
14:33 devraient nous également nous guider sur le droit chemin, nous permettre de suivre le bon modèle et donc de ne pas nous égarer.
14:40 C'est une lucarne pour nous, Inarks, de nous inspirer de nos dévensiers, d'avoir des repères et de, en griffe, tricher sur eux pour pouvoir mieux avancer.
14:49 Le parcours Inspirant est à sa deuxième édition. Le Rienamsi, à travers cette activité, vise à favoriser l'émergence de cadres musulmans,
14:59 leaders capables d'assurer des responsabilités communautaires et impacter la société.
15:07 Ce 17 avril marque la Journée mondiale de l'hémophilie. L'hémophilie est une maladie du facteur de coagulation dans le sang.
15:16 En cas de blessure, les saignements ne peuvent s'arrêter sans qu'il y ait de traitement.
15:20 En Côte d'Ivoire, la prévalence est d'un hémophile sur une population de 10 000 habitants.
15:26 Une maladie incurable qui fait des victimes chaque année et qui reste méconnue.
15:30 Notre équipe de reportage a rencontré quelques malades que vous verrez maintenant.
15:35 Désiré est atteint d'hémophilie depuis sa naissance. Une maladie héréditaire due à une anomalie du processus de coagulation du sang.
15:44 Quand la personne se blesse, le délai de coagulation est plus long.
15:47 Je sais personne qui est atteint de cette maladie qu'est l'hémophilie.
15:50 C'est une maladie dangereuse lorsque la personne n'est pas assistée à temps.
15:55 Le coût du traitement est élevé aussi. Les consultations sont juste un moyen pour lui d'avoir une idée de l'évolution de la maladie.
16:02 Ce qui lui permettrait de réduire le risque d'un accident.
16:05 Notre enfance a été marquée par des crises fréquentes et je dirais très douloureuses.
16:10 Au-delà des hémorragies externes, il y a également des hémorragies internes.
16:15 Ces hémorragies internes sont généralement localisées au niveau de nos différentes articulations ou même au niveau de nos différents muscles.
16:22 Ces hémorragies peuvent être spontanées, c'est-à-dire venues d'elles-mêmes ou à la suite d'un coup reçues lorsque nous sommes en train de jouer avec nos amis.
16:31 De façon bénigne, marchant dans la maison pour avoir un choc qui peut occasionner une douleur.
16:36 Sans qu'il ne peut guérir de cette maladie, désirer n'a qu'un seul désir, bénéficier d'une prise en charge pour se procurer des médicaments afin d'atténuer ses douleurs au quotidien.
16:46 Le médicament est assez cher et depuis un moment nous sommes structurés en association.
16:50 Et dans le cadre de l'association, nous recevons de la part de partenaires étrangers divers dons.
16:56 Mais généralement c'est lorsque le médicament est presque arrivé à expiration ou alors en péremption qu'on nous fait venir les médicaments
17:02 afin qu'on puisse faire des injections rapides pour essayer de tempérer un peu les différentes crises.
17:07 Mais nous n'avons pas les médicaments en quantité suffisante à la maison ou alors on ne peut pas faire de prise en charge de l'état.
17:12 Donc c'est sur ce volet-là en fait que je dirais le besoin est créé.
17:16 L'hémophilie est une maladie méconnue. Pour sensibiliser les populations et bénéficier des prises en charge,
17:22 chaque 17 avril est déclarée Journée mondiale de l'hémophilie.
17:26 Nos activités sensibilisent d'abord la population qui connaît très mal la maladie qui est l'hémophilie.
17:33 Nous faisons des formations au niveau même de nos membres. Il faudrait qu'ils sachent de quoi ils souffrent.
17:40 Et donc nous faisons des éducations thérapeutiques pour leur dire en cas de crise, voilà, qu'est-ce que vous pouvez faire pour essayer d'arrêter le saignement.
17:51 En Côte d'Ivoire, la prévalence est de hémophiles sur une population de 10 000 habitants.
17:57 Hors de chez nous, face à la situation qui se dégénère au Soudan, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guttures,
18:05 a appelé ce lundi les deux généraux rivaux qui se disputent le pouvoir à cesser immédiatement les hostilités.
18:12 Au troisième jour des combats meurtriers, une guerre qui a fait pour l'instant au moins 185 morts et 1800 blessés.
18:20 Plus de 100 prisonniers de guerre ont regagné le Yémen ce lundi.
18:27 Depuis, l'Arabie saoudite a pris un important échange de 869 détenus ce week-end, ce qui a relancé les espoirs de paix.
18:36 En Côte d'Ivoire, en sport, sachez que pour la 4e journée de la Ligue 1, le COCOROGO est menacé de rélégation
18:46 quand la SEC, MIMOSA et la SOA prennent le chemin de l'Afrique.
18:51 Hors de chez nous, en sport, sachez aussi que le Kenyan Evans Chebe a remporté ce lundi le marathon de Boston
18:58 pour la deuxième année consécutive, s'imposant 2h05min54s, loin devant son compatriote et favori élu de Kipchobe, seulement 6e.
19:09 Pour sa première participation à Boston, Kipchobe, double champion olympique en 2016 et 2021, détenteur du record du monde en 2h01min9s à Berlin le 25 septembre dernier,
19:22 a été lâché au 30e kilomètre après une accélération du Tanzanien Gabriel Gaye, finalement 2e.
19:31 Aujourd'hui, 17 avril 2023, marque la nuit du destin pour les fidèles musulmans.
19:37 Et c'est l'autre nuit du destin à tous les fidèles musulmans d'ici et d'ailleurs.
19:41 Les bonsues de programme sur RTI2, la chaîne la plus proche des populations.
19:45 [Musique]

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