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  • 14/04/2023
ZOOM EXTRA - Démocratie, scandales, corruption : À quel point le pays va-t-il mal ? Michael Jean Louis reçoit Lindsey Collen, de Lalit, et Amédée Darga, de la firme Straconsult. Plusieurs thèmes seront abordés. Parmi, la démocratie parlementaire et les scandales qui défraient l’actualité. Il sera aussi question de l’état du pays et de la population. Vos appels au 213 7777.

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00:00:00 Zoom extra. Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Zoom extra,
00:00:06 situation économique dans DIF, dans le pays, tout le monde peut sentir l'i, mais c'est pas
00:00:10 juste l'opinion économique qui est un problème, et on ne pourra pas dire qu'une démocratie tenue
00:00:14 à l'ONU diffile dans le pays, dans le Parlement, alors qu'il nous atteint de débats entre l'opposition
00:00:19 et la majorité gouvernementale, on trouve la plupart du temps, confrontation entre l'opposition
00:00:23 et le Speaker. Pas fini, comme sous d'autres régimes dans le passé, on trouvait un scandale
00:00:29 remplace un autre, nous trouvons aussi que dans certains cas, en ce qui concerne les proches du
00:00:34 régime, les étoiles sont tout le temps alignées pour eux, et d'autre part, la confiance de la
00:00:40 population dans les institutions, dans le système politique, n'est jamais au plus bas. Est-ce que la
00:00:46 démocratie dans ce sens large du terme est en danger, ou bien, comment on peut dire,
00:00:51 si elle est plus bien que moi, est-ce que le pays est malade? Mais plus important aussi,
00:00:56 est-ce que le pays est malade? Mais comment on peut se poser cette question-là? C'est une bonne
00:00:59 question, c'est un bon sujet, c'est un bon aspect que nous pouvons aborder aujourd'hui dans
00:01:03 notre émission, avec nos deux invités, d'abord, Lindsay Cullen, porte-parole de L'Alit et Mouvement
00:01:07 Libération Femme, et Amédée Dorga, ancienne députée, observateur et directeur de la firme
00:01:12 StraConsul. Madame, monsieur, bon après-midi, et merci de nous avoir accueillis. Bon après-midi. Oui,
00:01:17 bon après-midi. Et je vous rappelle, chers auditeurs, que c'est l'émission, donc vous
00:01:21 pouvez intervenir, ou aussi, à partir de 18h30, donc, vous pouvez donner votre opinion sur le sujet,
00:01:27 ou peut-être poser une question, ou exprimer votre point de vue, ou appelez le 213 777 777,
00:01:34 et évidemment, je vous invite à nous suivre sur notre page Facebook, Top FM, Mauritius,
00:01:39 là aussi, vous pouvez nous suivre, donc, vous pouvez aussi laisser un commentaire,
00:01:44 ou laisser une question. Donc, ma première question, et je l'adresse à Amédée Dorga,
00:01:52 donc, étant donné que vous êtes une ancienne députée, donc, ma question est d'actualité.
00:01:57 Quand on peut guetter ce qui peut passer au Parlement, est-ce qu'on est capable de dire que
00:02:03 c'est le pire de ce qu'on a trouvé jusqu'ici? Donc, on a deux façons de guetter la situation,
00:02:10 avant qu'ils ne focalisent le Parlement. Il y a une façon, et je ne suis pas intéressé par cette
00:02:18 façon-là, c'est de dire qu'on peut guetter une télénovela. Chaque semaine, on a un épisode,
00:02:24 qui s'en va, qui ne va pas, qui s'en va, qui s'en va, qui ne sortira pas, qui s'en va, on peut guetter
00:02:28 une télénovela, mais une très mauvaise télénovela pour le pays. Moi, je crois qu'on doit guetter le
00:02:35 fond des choses, et le fond des choses, pour moi, c'est quoi? Laisse-nous poser une question très
00:02:41 simple. Qui est-ce qui, un citoyen, ou même Lindsay, moi, n'importe qui ça n'a, qui nous
00:02:50 envie, si nous utilisons René Zordi dans nos pays, qui nous envie? Nous avons envie qu'il nous
00:02:56 caravane l'école et nous gagne un très bon niveau d'éducation, qu'il développe nos bonnes capacités.
00:03:00 Première chose, nous ne pouvons pas le faire dans Maurice. Deuxième, nous avons envie qu'il nous sorte de
00:03:07 l'école, nous développe certaines compétences, qu'une fois nous dans l'université, qu'une fois nous
00:03:12 allons y aller, mais nous gagnons l'accès à travail selon nos compétences sans discrimination.
00:03:19 Deuxième point, nous ne pouvons pas le faire complètement dans Maurice. Et quand je dis que nous pouvons le faire,
00:03:25 le second point, là, je ne veux pas dire que nous pouvons le faire Zordi. Nous pouvons le faire depuis un long bout de
00:03:29 temps et nous pouvons le faire de pire en pire. Troisième, qui nous peut aider? Nous pouvons,
00:03:36 le système de la santé, qui est toujours là pour nous quand nous avons un problème. Si nous demandons à
00:03:43 madame pour faire l'accouchement là-bas, nous ne pouvons pas nous en faire. Encore une fois,
00:03:50 le système là ne peut pas nous donner de satisfaction. Nous avons envie que quand nous avons besoin d'un service
00:03:57 qu'il l'ait a donné, nous gagnons l'accès à ce service-là avec un sourire, nous gagnons le bien, nous ne
00:04:03 ne gagnons pas avec une mauvaise rigueur, nous ne gagnons pas avec discrimination. Il y a beaucoup de choses qui
00:04:08 peuvent nous aider. Nous avons envie de pouvoir vivre sans crainte. Nous pouvons aller dans notre maison, nous pouvons
00:04:15 sortir, nous pouvons aller à la mer, vivre sans crainte, vivre sans inquiétude. Et ça veut dire quoi?
00:04:21 Nous ne voulons pas un père qui a volé partout. Nous ne voulons pas une confiance dans la police,
00:04:29 que la police protège moi, et non pas que nous voulons un père qui la police la même capable
00:04:34 de m'agresser. Nous voulons vivre dans un pays où il n'y a pas un problème qui s'appelle la drogue,
00:04:42 qui vienne dans les affaires qui m'oppressent, qui fait l'oppression. Je ne serai pas un drogué, mais
00:04:48 attention, mes enfants tombent là-dedans. Et s'ils tombent là-dedans, qui peut arriver là? Si mon voisin tombe là-dedans,
00:04:55 il est capable de m'agresser. Donc le pays, comme on dit, n'est plus bon pour vivre. Et c'est pour
00:05:02 cette raison-là que vous sentez que les Mauriciens sont en général stressés d'une part, et beaucoup de
00:05:08 jeunes Mauriciens peuvent dire "Eh, qui m'a voulu aller dans ce pays? Laisse-moi y aller." Nous pouvons
00:05:13 dire à une quantité de jeunes Mauriciens "Allez, quitte le pays, beaucoup, beaucoup, beaucoup, allez-y."
00:05:19 Et ils peuvent y aller parce qu'ils savent les conditions de base pour qu'ils puissent se sentir bien.
00:05:25 Ils ne peuvent plus se sentir bien. Ils disent "Où je peux aller?" Parce qu'ils ne savent pas qu'il y a rien pour
00:05:30 leurs enfants. Ils peuvent y aller parce que ce système-là n'est pas capable de donner les services qu'il
00:05:34 leur faut, l'éducation, la santé, etc. Donc quand on regarde tout ça, on a vu l'économie, le Parlement
00:05:42 n'est qu'un bout de cette situation-là. Tout le système aujourd'hui peut poser problème.
00:05:50 Qui dit dans le Parlement? Je vais vous donner une information-là. Vous savez qu'il faut faire des sondages.
00:05:56 Nous cabinez pour faire des sondages. Quand nous interrogeons des gens, nous demandons "Quelle quantité vous faites
00:06:02 confiance au Parlement?" 57% des gens disent "Je ne fais pas confiance du tout au Parlement."
00:06:10 Aujourd'hui, je me suis fait faire dire tout ça avec mon camarade Lindsay et la famille dit "Oh, je ne vais pas
00:06:16 regarder la télévision quand on est au Parlement parce qu'il est tellement vulgaire." Nous pouvons dire qu'il y a des
00:06:22 sondages. Malheureusement, c'est le pire des sondages qu'ils ont gagné. Mais il y a aussi des parlementaires
00:06:28 qui parfois préfèrent plus le cinéma plutôt qu'ils font d'autres travaux de parlementaires pour
00:06:33 gagner des problèmes de fond. Donc le Parlement n'est qu'un de ces éléments dans toute cette situation-là.
00:06:38 La police est un élément important. Le judiciaire est un élément important. Quand vous pouvez vivre dans un pays
00:06:45 où tout ça est un élément différent où la vie n'est pas pareille comme il l'est aujourd'hui et où en même temps
00:06:51 il y a des institutions où vous pouvez perdre de la confiance dans vos capacités, vos rôles, qui sont différents.
00:06:57 Si je parle de la cour, est-ce qu'il y a moins de légendes qu'il y a d'autres gens? Quand vous arrivez dans
00:07:03 cette situation-là, définitivement, au pays, il n'y a pas de problème. Je suis d'accord avec presque tout ce qu'il faut
00:07:11 me dire. Mais seulement je crois qu'il y a des choses peut-être même plus graves qui nous inquiètent.
00:07:20 Je vais donner un exemple. Dans l'époque de l'état de gésance, il y a eu ce commencement dans les années 60,
00:07:26 beaucoup de choses qui nous peuvent dire que c'est plus difficile. Ça veut dire que l'éducation est vraiment terrible.
00:07:37 C'est encore payant pour les collèges et beaucoup d'enfants ne peuvent même pas aller à l'école primaire.
00:07:44 Beaucoup de monde ne partage pas le travail et du côté des droits démocratiques, il y a un contrôle
00:07:51 de la presse que tous les grammatins, les rédacteurs, dans la caserne, dans la caserne, je dirais, et une centaine...
00:08:02 C'est une hogare comme ça, bien! Ils étaient révolutionnaires à l'époque!
00:08:06 Et qu'une centaine de gens ne peuvent pas faire mais sans... pas une source provisoire, pas une source!
00:08:15 Jusqu'à un an, un client va le lire. Alors, il y a eu une situation d'extrême répression. Une réunion n'a pas été faite.
00:08:23 Sans qu'il y ait eu l'état de gésance, ça veut dire qu'on dirait la police au pouvoir.
00:08:29 La différence qu'il y a là-bas avec Astelle, c'est qu'il y a eu une vision politique, une lacurité politique agrandissante
00:08:40 parmi tout le monde dans la classe travaillée et aussi étudiants. 75, 66, depuis 71 même, il y a eu une vision
00:08:51 pour que tout le monde ne soit pas dans une classe opprimée qui peut exiger une société de plus en plus égale.
00:08:58 Là-bas, quand tout le monde peut connaître, nous, on a sans le monde. Mais ce qui fait que dans l'âge,
00:09:05 tout le monde qui mourrait en vireille ici. Parce qu'ils ne font pas partie sans le monde.
00:09:11 Mais eux aussi, ils sont dans une drôle de situation, comment dire, côté parlement.
00:09:17 Nous sommes vraiment dans une situation du parlement et beaucoup d'autres institutions.
00:09:23 Ce qui nous donne la lutte pour appeler toutes les institutions l'état bourgeois.
00:09:26 Je ne vais pas pédaler comme un zouré, mais quelque chose de technique.
00:09:30 Les classes capitalistes au pouvoir, elles font ça dans les institutions et elles sont en crise nette.
00:09:36 Le parlement, ce dégré de crise est grave et ça aussi, on n'est pas d'accord depuis 2019.
00:09:44 C'est-à-dire qu'il y a eu, depuis que nous sommes dans l'état d'existence, le parlement avec les législatives
00:09:52 et la mobilisation de la massive, on a eu un changement positif pendant 10, 20, 30 ans.
00:09:57 Là, nous avons lavé la perle et on a fini par là.
00:10:01 Et à ce stade-là, ce que nous avons trouvé, c'est qu'en pleine mobilisation,
00:10:05 en pleine vision politique en commun pour un grand nombre du monde, pour faire une société plus égalitaire,
00:10:13 ce qui est arrivé, c'est l'exécutif.
00:10:15 C'est un ancien pouvoir depuis avant le système capitaliste.
00:10:19 Le cabinet et c'est le premier ministre, les rois.
00:10:23 C'est le grignot de pouvoir jusqu'au parlement qui a élu l'invente de la coque vide.
00:10:31 Mais c'est plus grand dansé, c'est sa tendance qui peut empirer et empirer.
00:10:35 Si je comprends bien, vous me direz qu'il y a suffisamment de gens qui souhaitent une société plus correcte,
00:10:42 quelque soit la chose, mais vous n'êtes pas assez mobilisés pour atteindre cela.
00:10:46 Si je suis capable de répondre à ce que Lindsay dit.
00:10:51 Effectivement, dans toute société, il y a un certain nombre de fausses.
00:10:55 L'État est une fausse, les partis politiques sont des fausses,
00:11:00 évidemment il y a des partis politiques qui opposent les autres,
00:11:02 le système judiciaire est une fausse, la société civile organisée est une fausse,
00:11:08 la société civile non organisée aussi est une fausse,
00:11:11 le secteur privé est une fausse, tout cela est différent.
00:11:15 Il y a des corps religieux qui sont des fausses.
00:11:18 Effectivement, dans la période que Lindsay a causé,
00:11:22 la grosse différence qu'ils ont gagné par rapport à maintenant,
00:11:26 c'est qu'effectivement, la société civile et certaines de la fausse société civile organisée
00:11:33 sont soulevées pour s'amener à un changement,
00:11:36 et ils n'ont pas un véhicule pour ce changement, il y a un parti politique à l'époque.
00:11:40 Je ne vais pas vous en parler, mais ils n'ont pas un véhicule.
00:11:43 Aujourd'hui, un des graves problèmes, qui est dans toute société,
00:11:46 c'est que je ne suis pas content de ce qui est là,
00:11:48 mais je vais essayer de trouver un autre qui fait que ce qui est là change et devient plus bon.
00:11:54 Mais quand on arrive dans une situation, il n'y a pas tout le monde qui peut faire ce changement.
00:11:58 Là, on a une vraie crise.
00:11:59 Et encore une fois, je vous réfère à son âge,
00:12:02 quand on pose la question de la quantité de gens qui ont fait confiance,
00:12:07 pour les partis de l'opposition, il y a 58% qui n'ont pas fait confiance.
00:12:12 Pour les partis qui ont le pouvoir, il y a 56% qui n'ont pas fait confiance.
00:12:17 Si je n'ai pas fait confiance à l'un, je n'ai pas fait confiance à l'autre,
00:12:19 mais qui m'a amené au changement ?
00:12:21 Qui n'a pas amené au changement pour moi ?
00:12:23 Parce que tout le monde fonctionne dans un système où il y a une organisation qui n'a pas amené au changement.
00:12:28 Qui n'a pas amené au changement ?
00:12:29 Et donc la société civile, aujourd'hui, est plus apathique,
00:12:34 est plus amoureuse que ce qu'elle était dans sa période,
00:12:37 que l'on peut dire.
00:12:39 Et c'est ça qui amène, d'une part, qui renforce sa situation d'autoritarisme,
00:12:46 si les gens ne peuvent pas réagir, ils font ce qu'ils veulent,
00:12:49 qui renforce cette situation-là,
00:12:51 et effectivement, les gens qui pratiquent l'autoritarisme connaissent
00:12:56 que dans ce peuple-là, ils ne sont pas signés,
00:12:59 s'ils ne sont pas de l'autre côté, il faut qu'ils les remplacent ou non.
00:13:03 Donc nous avons une situation qui est bloquée.
00:13:06 Mais je te l'ai dit à un moment, je n'évoque rien d'affaire,
00:13:09 je peux dire que ce n'est pas une affaire qui nous peut trouver,
00:13:13 c'est une affaire qui peut venir depuis des années.
00:13:16 Et donc, est-ce que ça lente, ça lente pourrissement,
00:13:20 donc nous ne pouvons pas dire du système ou des variations,
00:13:23 si elle vit ce système-là,
00:13:24 mais est-ce qu'à un moment, je vous dis, quand nous péguettons,
00:13:27 le gouvernement peut dire non, tout correct,
00:13:29 bonne gestion, tout correct,
00:13:30 et l'opposition peut venir dire non, c'est le gouvernement qui fait ça.
00:13:33 Et donc personne ne peut persister de la responsabilité,
00:13:35 même l'opposition aussi peut venir dire ça.
00:13:37 Nous aussi, nous contribuons à ça,
00:13:39 et peut-être est-ce que vous pensez que ça, c'est un premier pas,
00:13:41 vers peut-être pour force, que tout le monde arrive à un moment,
00:13:45 dire comme ça que oui, la situation aujourd'hui,
00:13:47 nous donne l'État, nous donne une situation qui est la pire qui nous peut trouver.
00:13:55 Je crois que nous sommes dans une situation qui n'est pas la pire que nous avons trouvé,
00:14:00 parce que dans l'État d'urgence, c'est pire.
00:14:02 Si nous avons plus de vivants esclavages, c'est définitivement pire.
00:14:05 Oui, oui, dans nos lieux modernes, nous aussi.
00:14:08 Oui, mais dans, on dirait, un peu tout dernierment.
00:14:13 Mais quoi c'est qui est important pour nous réaliser côté politique?
00:14:17 Quand nous péguons la démocratie, nous devons la contenir,
00:14:21 pas la servir comme un slogan vide.
00:14:24 Vous connaissez la démocratie, nous sommes une société,
00:14:26 nous nous appelons la démocratie bourgeois.
00:14:28 Ça veut dire qu'elle est beaucoup plus et plus bonne
00:14:31 que n'importe quelle démocratie qui a existé dans l'époque féodale.
00:14:34 Mais elle n'est pas vraiment démocratique parce qu'elle est basée sur une société de classes,
00:14:38 contre cette inégalité qui les crie, et cette inégalité qui les a là
00:14:43 pour rendre les difficiles pour cette démocratie morse.
00:14:47 Les capitalistes n'ont pas le poids pour leur donner leur bonne partie,
00:14:51 et aussi pour les gagner ce qu'ils ont envie,
00:14:54 en n'ayant pas ce qu'ils ont envie de tenir le bout du pouvoir après une élection.
00:14:59 Mais nous avons cette démocratie bourgeois elle-même,
00:15:02 parce qu'elle est beaucoup plus bonne qu'elle ne l'est pas.
00:15:04 Alors nous devons la garder pour elle.
00:15:06 Nous sommes dans un état démocratique
00:15:08 parce qu'il y a un corps,
00:15:13 un regroupement du monde qui se fait élire, pour totalité les peuples.
00:15:20 Alors nous avons une élection et nous élions le monde.
00:15:24 C'était un parlement.
00:15:26 À ce stade-là, le parlement n'a pas de pouvoir.
00:15:29 Là, nous pouvons dire qu'il fait un spiker, un aberration aujourd'hui.
00:15:32 Le parlement n'a pas de pouvoir.
00:15:33 L'exécutif, doucement, doucement,
00:15:35 et il a accéléré ce processus-là dans les derniers 4-5 ans,
00:15:39 l'exécutif prend tout le pouvoir.
00:15:42 Déjà la Constitution donne beaucoup de pouvoir.
00:15:45 Et ça, nous avons là, ce n'est pas sans air.
00:15:47 Si on pose ou donne, ça, c'est avec tout le temps, là, l'étude de revendication,
00:15:50 c'est qu'ils ont, d'ici là, beaucoup de partis politiques qui commencent à revendiquer,
00:15:54 doivent révoquer, réappeler un député.
00:15:59 Pas un petit chaud qui, comme c'est électoral,
00:16:01 il sait reconnaître que le numéro voté, tout,
00:16:03 il gagne 50%, bien, whatever.
00:16:06 Les faits qui existent,
00:16:08 ils donnent plus de pouvoir pour ce parlement-là.
00:16:12 Là, le parlement, quand il s'y est, il s'est élu à sa première ministre.
00:16:16 Quand il finit, il est spiker, il est élu à sa première ministre.
00:16:19 C'est pas un petit représentant, la reine,
00:16:21 ce descendant, ou peut-être que c'est le président républicain.
00:16:24 Il est nominé, lui.
00:16:25 Il n'est pas quand même là, là, le premier ministre.
00:16:28 Il est émané depuis sa législature.
00:16:31 Ça, c'est des affaires qui font que le monde comprend qui était la démocratie.
00:16:35 Et que ça, doucement, doucement,
00:16:37 comme on dit, on trouve l'exécutif cabinet qui impose,
00:16:42 et là, il contrôle le service civil avec la police,
00:16:44 comme un camarade à Medellin,
00:16:45 parce que ça a une dérive qui peut continuer côté policier.
00:16:49 Lui, il a tout pouvoir.
00:16:51 Et spiker, son rôle, c'est pour défendre et protéger et garder cette précieuse législature.
00:16:59 C'est la même définition que vous choisissez, cette démocratie qu'il donne.
00:17:03 C'est la même.
00:17:05 Mais ça, spiker, je ne sais pas qui il était.
00:17:08 Il était un représentant, l'exécutif, pour dominer la législature.
00:17:12 Il est en bas, là-haut.
00:17:13 Et la plupart du monde qui le critique,
00:17:15 ils n'ont pas réalisé que son rôle, spiker,
00:17:18 c'est exactement pour, comment dire,
00:17:21 garder sa suprématie, sa body qui est là.
00:17:25 Tu trouves ça aussi avec Spiker Bercow quand il y a eu le Brexit.
00:17:31 Après, il a pris la législature contre l'exécutif conservateur qui domine la législature.
00:17:41 Mais là-bas, il y a beaucoup de back-bender.
00:17:43 Mais il y a un gros problème qui nous est là dans tout ce débat-là.
00:17:50 L'amélioration de la démocratie, qui pour moi n'est pas une grande priorité.
00:17:54 Pour moi, c'est la bonne gouvernance qui est la plus importante.
00:17:58 Mais dans tout ce débat-là, il reste une clé.
00:18:01 La clé, c'est qui est en train de vous faire dire.
00:18:04 Et qui est en train de vous faire dire pour déterminer dans une élection.
00:18:07 Il va vous déterminer autrement.
00:18:09 Et Valéry Dijoux, dans une élection, ne me signale pas qui est en train de reprendre le pouvoir.
00:18:19 Ou de retirer son pouvoir.
00:18:20 Il a une vraie volonté, puissance, quoi que ce soit.
00:18:24 Parce que le pouvoir totalitaire, qui est le maximum pouvoir dans mon âme,
00:18:29 qui est moi qui décide, qui suis le premier ministre.
00:18:33 Ce n'est pas les gens d'aujourd'hui.
00:18:35 Ce sont les gens d'avant et ceux qui vont venir après.
00:18:38 Ça t'entend pas du tout, là.
00:18:39 Alors, souvent on me dit que je peux croire à un homme politique qui en veut comme premier ministre
00:18:49 si publiquement il lui déclarait et qu'il lui prenne l'engagement,
00:18:54 je ne peux pas faire plus de cinq ans.
00:18:57 Donc, d'une certaine façon, je peux faire un suicide politique.
00:19:02 Parce que je ne peux pas, si je ne peux pas gagner le vote la prochaine fois pour décider de bonne mesure,
00:19:07 mais je peux prendre une mesure qui est dans l'intérêt de mon pays,
00:19:11 quitte à ce que je puisse y aller après.
00:19:13 Je peux faire quelque chose de bon pour mon pays.
00:19:15 Je ne peux pas croire que je peux trouver ces gens-là pour l'instant.
00:19:18 Mais, permettez-moi d'interrompre vous un coup, Amédée Dorgan.
00:19:21 Mais je trouve certains gens, bon, davantage maintenant,
00:19:25 qui peuvent dire ce qu'ils peuvent dire.
00:19:26 Donc, on peut dire qu'il y a des gens qui acceptent qu'ils viennent comme ça.
00:19:31 Moi, je peux venir avec un mandat.
00:19:33 Même moi, je peux venir avec une limitation de mandat.
00:19:35 Les gens, moi, je peux venir avec un mandat.
00:19:37 Vous n'êtes pas le premier de ces gens qui peuvent dire ça.
00:19:40 Et est-ce que vous pensez qu'il y a une prise de conscience,
00:19:42 un début de prise de conscience,
00:19:44 surtout après ce que vous avez fait,
00:19:47 est-ce qu'il y a un début de prise de conscience
00:19:49 que nous ne pouvons pas continuer avec la manière dont nous l'avons rêvé?
00:19:53 Oui, il y a un début de prise de conscience.
00:19:55 Mais premièrement, il ne faut pas nous embêter.
00:19:57 Nous avons une affaire.
00:19:59 Où tous les journalistes qui causent,
00:20:01 nous qui causons nos plateaux,
00:20:03 un certain nombre de gens qui m'appellent,
00:20:05 des gens qui sont plus éclairés politiquement,
00:20:08 ne sont pas forcément la majorité de ce pays.
00:20:11 Laissez-nous bien clair là-haut.
00:20:13 Nous ne passons pas et ne sommes pas clairs
00:20:16 que la vraie majorité dans le pays
00:20:19 a envie de ce changement-là.
00:20:22 Ou soit nous sommes en cours d'une culture
00:20:25 qui m'appelle une culture entière.
00:20:27 Qui était la culture entière?
00:20:29 C'est le secteur privé qui a fait ça.
00:20:30 Moi, j'ai fait mes affaires,
00:20:31 c'est ce qui m'a gagné pour moi qui est important.
00:20:34 Les députés ont fait leurs affaires,
00:20:36 c'est ce qu'ils ont pu gagner pour eux qui est important.
00:20:38 Mais ce vote-là, lui aussi,
00:20:41 une partie de ce vote-là,
00:20:43 il a fait ça. Moi, j'ai fait ce qui m'a gagné,
00:20:45 ce qui est important.
00:20:47 Je ne crois pas qu'il nous arrive d'une situation
00:20:49 où il y a une grosse majorité
00:20:51 qui a envie fondamentalement d'un vrai changement.
00:20:54 Une chose que je me demande, je vais vous dire une affaire,
00:20:57 qui chaque fois agace moi quand je fais ça.
00:20:59 Quand on me pose la question, Jimmun,
00:21:01 et je me sondage au National,
00:21:03 quel est le problème le plus important dans ce pays?
00:21:06 La corruption arrive au 7ème.
00:21:09 Cela veut dire que tout ce scandale que nous pouvons trouver,
00:21:12 toute la corruption que nous pouvons trouver,
00:21:14 oui, les plus graves qu'il y a auparavant,
00:21:16 oui, maintenant, nous ne causons pas un million,
00:21:19 mais Jimmun ne considère pas ça comme un problème aussi important
00:21:22 pour déterminer ce qu'il faut faire.
00:21:25 Et deuxièmement,
00:21:27 vous pensez moi qu'il donne en mesure
00:21:29 l'opposition sur campagne contre le gouvernement mal inspirée.
00:21:33 Vous connaissez mon professeur anglais
00:21:35 qui apprend de loin nos affaires depuis bien, bien Bonniers.
00:21:38 Il dit que nous, les gens dans les glaces, ne sommes pas si chauds.
00:21:41 Mais qui savait dire ça?
00:21:43 Qui savait dire ça?
00:21:45 On le fixe, on le fixe.
00:21:47 On rappelle sa drôle d'expression-là.
00:21:49 Exactement. Depuis 6ème, on apprend ça.
00:21:51 Qui savait dire ça?
00:21:53 À chaque fois, vous pouvez remarquer
00:21:55 que les ministres le font.
00:21:57 Je ne sais pas qui vous le fait.
00:21:59 Ou qui vous le fait.
00:22:01 Je vous rappelle le jour où j'ai été en radio,
00:22:03 je ne vous rappelle pas lequel,
00:22:05 mais le fait de toutes ces transactions-là.
00:22:07 Mais ces transactions-là, vous savez depuis quand elles ne se font pas.
00:22:10 Quand on dit qu'il va les faire,
00:22:12 il les fait, après il les fait.
00:22:14 Sous chaque régime.
00:22:16 Au final, il y a un passe-droit
00:22:18 de ce qu'il appelle tout ce que l'État
00:22:20 a de la discrétion pour donner.
00:22:22 Qu'il lui permet de taxer.
00:22:24 Qu'il lui permet de travailler dans la place.
00:22:26 Qu'il lui permet de travailler dans la place.
00:22:28 Qu'il lui permet de payer, etc.
00:22:30 L'État utilise ça
00:22:32 comme un bribe
00:22:34 pour que les gens
00:22:36 le soutiennent électoralement.
00:22:38 Pour récompenser les gens.
00:22:40 Pour récompenser ou quoi que ce soit.
00:22:42 Il finit par faire comme ça.
00:22:44 Est-ce qu'il y a vraiment une envie sans système-là?
00:22:46 Est-ce qu'il y a vraiment,
00:22:48 c'est pourquoi tu as là, mon dieu,
00:22:50 accès à ces affaires,
00:22:52 est-ce qu'il y a vraiment une envie sans système
00:22:54 pour que tout le monde ait un sens égal
00:22:56 selon ses capacités, selon ses mérites,
00:22:58 sans aucune discrimination?
00:23:00 Est-ce qu'il y a vraiment une envie sans ça?
00:23:02 Moi, je pense à une minorité,
00:23:04 une minorité grandissante, d'accord,
00:23:06 qui peut en vivre,
00:23:08 qui est très mal à l'aise dans cette situation-là.
00:23:10 Notre pays peut avoir une mauvaise réputation.
00:23:12 Ça c'est clair, de plus en plus.
00:23:14 Je ne suis pas content de cette malaisance
00:23:16 qui, comment dire,
00:23:18 décide de ce qui est qualité, ce qui est bon, ce qui n'est pas bon.
00:23:20 Je ne suis pas content de ça, mais malheureusement,
00:23:22 dans les derniers deux ans, nous avons eu une accumulation
00:23:24 de mauvaise note,
00:23:26 une série de malaisances
00:23:28 qui n'est pas bonne pour nous.
00:23:30 Je ne suis pas content que quand je voyage
00:23:32 avec un ami africain, il me dit
00:23:34 "Ah, mon frère, je veux vivre dans un pays africain".
00:23:36 (rires)
00:23:38 Et vous savez, depuis que je vous ai dit ça,
00:23:40 je me dis que c'est un outil ouvert
00:23:42 à la télévision.
00:23:44 Je ne suis pas content de ça, évidemment.
00:23:46 Donc, nous devons avoir quelque chose
00:23:48 qui change. Mais pour avoir quelque chose
00:23:50 qui change, il faut
00:23:52 effectivement qu'il y ait 10 personnes
00:23:54 qui veulent faire ce changement-là, véritablement.
00:23:56 Même si ce n'est pas un changement total, nous devons
00:23:58 au moins avoir une transition vers une situation meilleure
00:24:00 que ce qui nous est là maintenant.
00:24:02 Parce que ce qui est là maintenant,
00:24:04 n'est pas bon.
00:24:06 Définitivement, le plan social n'est pas bon.
00:24:08 Le plan de la démocratie n'est pas bon,
00:24:10 du fonctionnement de nos démocraties.
00:24:12 Le plan de la gouvernance n'est définitivement pas bon.
00:24:14 Et sur le plan économique aussi,
00:24:16 le plan économique aussi,
00:24:18 le pays est pas en bonne situation.
00:24:20 Nous ne pouvons pas nous dire combien de casse
00:24:22 nous pouvons gagner depuis l'exploitation.
00:24:24 Nous ne sommes pas contents d'évaluer.
00:24:26 Nous ne sommes pas contents de la monnaie.
00:24:28 Donc, oui, il faut un changement,
00:24:30 mais nous ne pouvons pas trouver un changement là pour le moment.
00:24:32 Allez, nous pourrions venir à notre stratégie tout à l'heure.
00:24:34 Allez, Edwin, c'est quoi que nous pourrions dire par rapport à ce qui est là?
00:24:36 Oui, il y a trois points qui me contente.
00:24:38 On peut vous pénéter, mais c'est à moi que vous pourriez dire.
00:24:40 Là, vous avez limite mandat.
00:24:42 Je trouve ça vraiment une affaire...
00:24:44 Si on a une affaire pour limiter,
00:24:46 disons les différends,
00:24:48 mais pour mettre la loi sur la limitation du mandat,
00:24:50 moi, je trouve que c'est une idée
00:24:52 qui est le plus...
00:24:54 Comment dire?
00:24:56 La plus minimaliste, la plus inutile
00:24:58 et la plus perte de temps qu'il y a.
00:25:00 Je veux dire ce qu'il y a.
00:25:02 Parce que
00:25:04 la démocratie dépend du pouvoir
00:25:06 dans l'avenir de tout le monde.
00:25:08 Si on a une révocation,
00:25:10 on finit par résoudre ce problème-là.
00:25:12 La limitation du mandat,
00:25:14 elle pose un problème suivant.
00:25:16 Vous ne connaissez pas du monde qui écoute
00:25:18 un programme radio de la France.
00:25:20 J'en ai dans mon radio,
00:25:22 je ne parle pas de l'autre.
00:25:24 Alors, mon français ne vient pas de là.
00:25:26 Mais là-dedans, vous écoutez un programme
00:25:28 partout dans l'Afrique.
00:25:30 Tous les jours.
00:25:32 RFI ou Eurodial? RFI.
00:25:34 Là-dedans, vous avez tout un calme
00:25:36 de détails sur ce qui va arriver
00:25:38 dans une quantité de pays dans l'Afrique
00:25:40 avec un petit enfance aux francophones,
00:25:42 mais partout. Vous n'êtes pas
00:25:44 tous les temps, pas tous les mois,
00:25:46 qui m'a organisé une production
00:25:48 dans un autre pays,
00:25:50 qui m'a organisé
00:25:52 probablement pour manger dans un autre pays,
00:25:54 qui m'a organisé l'éducation
00:25:56 dans un autre pays. Vous n'êtes pas
00:25:58 pour remettre ou bien retenir
00:26:00 la limitation du mandat.
00:26:02 Vous avez abattu ça. Je ne suis vraiment pas d'accord.
00:26:04 Je le trouve extrêmement
00:26:06 self-limité. Et quand vous le mettez,
00:26:08 vous êtes Putin.
00:26:10 On sent la risque.
00:26:12 Oui, Vladimir Poutine.
00:26:14 Il fait des mandats, il donne
00:26:16 un billet d'or au premier ministre,
00:26:18 ça, il devient président.
00:26:20 Et là, il est revenu.
00:26:22 Et là, il est revenu.
00:26:24 Il n'est pas seul pays que ça arrive.
00:26:26 Alors, c'est absurde. Et vous savez,
00:26:28 ces affaires-là, c'est
00:26:30 vraiment une insulte
00:26:32 à la démocratie. La masse du monde,
00:26:34 si on coupe, nous devons développer sa vision
00:26:36 en commun pour sens
00:26:38 les écoles, on me connaît qui vous parlez
00:26:40 pas long, mais on peut biser, moi,
00:26:42 pour la pub, nous manque la pause
00:26:44 et la pub nous retrouve, nous
00:26:46 va nous dîter, moi, moi, moi, nous retrouve, nous va nous dîter
00:26:48 dans quelques secondes.
00:26:50 Oui.
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00:27:57 Le laboratoire médical Procare
00:27:59 vous propose un bilan de santé
00:28:01 générale pour seulement 700
00:28:03 roupies pour un temps limité.
00:28:05 Nous offrons également des services de prise de sang
00:28:07 à domicile à travers l'île.
00:28:09 Laboratoire médical Procare, Ramdani
00:28:11 Building Forestide et Santa House
00:28:13 au coulé, en face de la station
00:28:15 Service Shell. Nos lignes téléphoniques
00:28:17 sont ouvertes de 6h30
00:28:19 à 20h30 tous les jours.
00:28:21 Appelez-nous au 660 60 60
00:28:23 660 60 60
00:28:25 pour plus d'informations.
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00:59:02 Le laboratoire médical Procare vous propose un bilan de santé général pour seulement 700 roupies pour un temps limité.
00:59:09 Nous offrons également des services de prise de sang à domicile à travers l'île.
00:59:13 Laboratoire médical Procare, Ramdani Building Forestside et Santa House au coulé, en face de la station Service Shell.
00:59:20 Nos lignes téléphoniques sont ouvertes de 6h30 à 20h30 tous les jours.
00:59:25 Appelez-nous au 660 60 60, 660 60 60 pour plus d'informations.
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01:00:33 Voilà ce sera la dernière partie de Zoom Extra.
01:00:37 A qui point le pays va mal? C'est la question qui nous peut débattre aujourd'hui.
01:00:41 Plutôt avec nous, Amélie Dorgain, donc les films à Bézins-les, il y a un engagement personnel.
01:00:46 Mais là avec nous, en studio, nous avons Lindsay Cullen, porte-parole de la Litté et du Mouvement Libération Femme.
01:00:52 Je vous rappelle qu'elle est capable de téléphoner à nous au 213 777 777 777.
01:00:57 Si vous avez envie de réagir par rapport à tout ce qu'elle fait dire dans l'émission.
01:01:02 Et donc Lindsay Cullen, quand tu as l'air de nous tu peux dire.
01:01:06 Tu peux dire qu'il nous manque un mouvement qui pousse le lévé comme ça.
01:01:10 Ou tu peux dire que ça m'a le mouvement.
01:01:12 Quand je travaillais dans les années 30 et même dans les années 70.
01:01:17 Donc je fais le lévé, je fais un pile aux bandes associations féminines, syndicats.
01:01:22 Mais aujourd'hui, c'est bandes fausses là.
01:01:24 N'est-ce pas? Il y a même la fausse qui se tient là.
01:01:27 Donc aujourd'hui, bandes associations féminines, c'est surtout pour la décoration.
01:01:33 On invite des VIP etc. pour faire inauguration.
01:01:38 Mais et bandes fausses syndicales, tout le monde dit qu'il y a des fausses syndicales.
01:01:43 Bon, rien à voir avec les syndicats du passé.
01:01:46 Comment on verra?
01:01:47 Mais ça implique un travail depuis chaque jour.
01:01:50 Ça veut dire que chaque jour dans un secteur de travail, il y a un devoir pour enlever,
01:01:55 former un syndicat ou bien quelque chose qui est un peu comme un syndicat.
01:01:59 Qu'il y a dans le secteur de la presse, des médias, qu'il y a dans Cyber City,
01:02:04 n'importe quel côté où il y a un devoir pour faire ça,
01:02:08 ça est le travail dans lequel on travaille, au passé, entier ou la vie là-bas.
01:02:12 Ça fait que c'est un vrai travail en syndicat.
01:02:16 Ce n'est pas une question syndicaliste, c'est une question de tout le monde à la base.
01:02:19 Alors, sa qualité de conscience, quand elle le prend, elle le prend vite.
01:02:24 C'est la seule différence.
01:02:26 Elle ne le prend pas, elle passe un temps pour monter.
01:02:28 Bien vite, elle est capable de développer.
01:02:30 Tout le monde vient dire, mais qui m'a capable de faire?
01:02:33 Alors, je me dis que la première chose qu'elle a capable de faire, c'est ça.
01:02:35 Elle vient dans son rendez-vous là.
01:02:37 Mais, comment dire, quand on est dans une époque difficile pour la masse du monde opprimée,
01:02:43 beaucoup de monde se sent opprimé et sans pouvoir, pas capable,
01:02:48 de manger une puissance, nous déstinons.
01:02:50 Et ça, il est venu à travers réflexion en groupe.
01:02:54 Ça, on peut faire quelque chose, forum, débat.
01:02:57 Au niveau de chaque clip, l'un d'entre eux a beaucoup de clips, c'est l'autre affaire.
01:03:01 Il y a des clips qui sont nouveaux, les vrais, mais ça ne l'est pas.
01:03:06 Mais il y a aussi des vidéos qui sont évoquées,
01:03:09 qui peuvent associer la lutte à la donne.
01:03:13 C'est pour ça qu'il y a maintenant beaucoup plus de mouvements politiques,
01:03:18 surtout extra-parlementaires, mais c'est pour ça qu'il y a plus de mouvements,
01:03:21 mais aussi plus de fragmentation.
01:03:24 Est-ce que vous pensez, et je vais vous dire aussi un moment,
01:03:29 que peut-être une des meilleures options, une des meilleures choses
01:03:33 que peut faire un regroupement de forces extra-parlementaires,
01:03:37 est-ce que vous pensez, à certains moments, souvent nous tenons comme ça,
01:03:41 est-ce que vous pensez que ça va arriver?
01:03:43 Ça va arriver juste quand la masse du monde commence à se mobiliser.
01:03:47 Parce que c'est eux qui peuvent décider qui a raison dans un argument.
01:03:51 Quand on dit que 50 personnes dans une ville jaune,
01:03:54 ils ont trois ou quatre idées,
01:03:56 ils peuvent dire que ça va les gagner.
01:03:58 Mais ça va les perdre, ils vont dire qu'ils ont quitté l'idée.
01:04:00 Là, ils viennent possiblement pour faire sa qualité,
01:04:03 comment dire, ils viennent ensemble.
01:04:05 Mais ça implique qu'ils prennent en compte une même qualité d'analyse.
01:04:10 Si ou quoi, c'est bon pour vendre la terre agricole pour des bons,
01:04:14 pour en mettre un, pour en vendre un milliard d'euros,
01:04:17 juste pour gagner de l'argent à court terme.
01:04:19 Mais comment est-ce qu'on peut faire une alliance avec un parti qui peut-être pense ça?
01:04:24 Ou bien un parti qui se disperse en 90 points,
01:04:28 n'importe qui, 10 points, 4 points.
01:04:31 Il n'est pas basé là sur une philosophie.
01:04:33 Qui veut en avoir plus d'égalité?
01:04:36 Tout le monde, tout le monde est capable de contrôler,
01:04:39 par exemple, ce qu'on fait avec la terre Maurice.
01:04:42 Qui a la terre agricole?
01:04:44 Qui a la terre de Gorgias?
01:04:46 Qui a la terre de Galégas?
01:04:47 Nous voulons que la démocratie ait sa qualité de contrôle.
01:04:51 Et ça implique que le syndicat à la base,
01:04:54 il a un rôle bien important.
01:04:56 Parce que les travailleurs qui roulent un pays,
01:05:00 mais ils ne peuvent pas faire ça.
01:05:03 Les faits qu'ils ont trouvé dans le pays là,
01:05:05 ils sont évidents.
01:05:07 Et nous trouvons ça un petit peu,
01:05:08 mais ils sont évidents d'une drôle façon,
01:05:11 pendant la pandémie de la COVID.
01:05:14 Quand il y a une pandémie,
01:05:16 et tout le monde, l'humanité, le boule latine,
01:05:19 est menacée, avant qu'on ne sache à quel point
01:05:22 les morts ont gagné un vaccin,
01:05:26 ils étaient bien enzimés.
01:05:28 Et là, nous avons réalisé que quand tout le monde
01:05:31 est séparé, quand même il y a un service essentiel,
01:05:36 là, nous avons réalisé un infirmier,
01:05:39 quelqu'un qui peut se trôler dans l'hôpital,
01:05:42 une madame qui travaille domestique à l'hôpital.
01:05:44 Nous avons réalisé quelqu'un qui ramasse de la saleté,
01:05:47 qui travaille dans un camion saleté,
01:05:50 un service essentiel.
01:05:52 Mais on dirait, travailler dans un secteur là,
01:05:55 c'est prendre de ça, ce qu'on apprend dans la pandémie,
01:05:59 pour l'air là, comme dire,
01:06:01 c'est pouvoir contrôler ce secteur là.
01:06:03 - Il y a la force.
01:06:04 - Oui, et la force démocratique à l'intérieur du travail.
01:06:08 Ça qui est un syndicat réel.
01:06:09 - Je me disais que c'était un service essentiel,
01:06:12 qui mettait bien les palmes aux autres.
01:06:14 - Oui, nous dirais, comment se dit,
01:06:15 le métier roule tout.
01:06:17 Et on dirait, ben, Michel, je devine en plus,
01:06:20 quand on travaille bien.
01:06:21 Par exemple, si vous travaillez professeur,
01:06:23 vous êtes organisé dans un staff room,
01:06:25 pour qui l'éducation est plus bonne pour les enfants.
01:06:28 À ce moment-là, pas que tu parles à cause de ça,
01:06:31 dire au ministère, dire c'est pas qui ça fait.
01:06:33 Non, le syndicat, c'est un vrai syndicat à la base,
01:06:36 c'est quand un travailleur réalisé,
01:06:38 commence à dire, là, le fait que l'incapable,
01:06:42 quand il travaille dans un carreau,
01:06:44 il contrôle la tasse qui est gagnée,
01:06:47 s'il est groupé, dans un groupe 18 dans un carreau.
01:06:51 Comme ça, ou, comment dire, développer la force.
01:06:54 Mais quand un homme commence à faire ça,
01:06:56 il y est venu spontanément dans un certain sens,
01:06:59 mais il y a beaucoup, beaucoup de loi,
01:07:02 toute la loi travail,
01:07:04 qui donne pouvoir à un homme qui est employé dans un syndicat.
01:07:08 - Allez, l'insecoulure, je me connais,
01:07:10 il y a une analyse qui me trouve souvent,
01:07:13 souvent faite, nous-mêmes, avant,
01:07:16 avant qu'il ne nous tient pas à cause de la mission,
01:07:18 donc nous finissons avec ça.
01:07:20 Donc, ça, j'ai dit, le fait que l'exécutif
01:07:22 peut grignoter plus de pouvoir,
01:07:25 donc peut venir un peu, un homme tout puissant,
01:07:28 on peut dire qu'on a, c'est un,
01:07:30 c'est un, une facteur international,
01:07:32 donc un mouvement global,
01:07:34 donc quand on a certains des dirigeants du monde,
01:07:37 euh, c'est, euh, ben voilà,
01:07:40 vous êtes un peu un, un, un, un dictateur élu,
01:07:43 ou alors un élu, et puis,
01:07:45 je, je, je, je fais une marche vers la, vers, vers la dictature,
01:07:49 donc, c'est un, c'est un, c'est un nouveau phénomène dans le monde.
01:07:52 - Je crois qu'il y a un résultat,
01:07:54 ce nouveau pouvoir,
01:07:56 qui est venu depuis,
01:07:58 on connaît, il y a un, un moment,
01:08:00 entre Ronald Reagan,
01:08:03 quand il était président des Etats-Unis,
01:08:06 et Thatcher, quand il était
01:08:08 premier ministre dans le Grand Breton,
01:08:10 ça a dès là, tu as à la tête,
01:08:12 une mouv, une mouvance,
01:08:14 pour, comment dire,
01:08:16 rassevoir le pouvoir de la classe travaillée,
01:08:19 diminuer les services sociaux,
01:08:21 et faire tout venir des affaires qui,
01:08:23 euh, monétaires,
01:08:25 et les capitalistes qui ont choisi
01:08:27 le capital financier, ça veut dire la banque,
01:08:29 l'assurance, stock exchange,
01:08:31 tout le monde qui délire en leur temps,
01:08:33 ils ont dû venir, comment dire, plus fort,
01:08:35 dans le système capitaliste,
01:08:37 vis-à-vis des capitalistes en production,
01:08:40 même en production agricole,
01:08:42 ça veut dire, on dirait, nous, il y a une qualité capitaliste
01:08:45 qui ne sait pas trop travailler à côté d'elle,
01:08:47 elle est là, dans leur temps, elle dit leur temps,
01:08:49 fait leur temps, vient leur temps,
01:08:51 pour tout le monde qui a leur temps,
01:08:53 mais, nous, il y a près de 50 ans de ça,
01:08:56 et il y a un faible, comment dire,
01:08:58 la lutte des classes,
01:09:00 quand les classes oppriment,
01:09:02 qui se font oppression,
01:09:04 elles sont plus fortes, elles sont devenue plus fortes,
01:09:06 c'est-à-dire qu'elles ont supprimé la lutte des classes
01:09:08 pendant 50 ans.
01:09:10 Mais un assainissement peut venir,
01:09:12 il est venu dans un premier temps,
01:09:14 à travers des grands mouvements,
01:09:16 comme tu as dit,
01:09:18 je donne l'exemple de l'Égypte,
01:09:20 de l'Éthiopie,
01:09:22 de l'État,
01:09:24 - La révolution, le printemps arabe,
01:09:26 - Le printemps arabe,
01:09:28 et on dirait, mais seulement à cause
01:09:30 de la faible structure politique,
01:09:32 pour des raisons historiques,
01:09:34 Moubarak n'est pas un bon politique,
01:09:36 alors il est difficile,
01:09:38 les syndicats sont bien sous repression,
01:09:40 mais seulement,
01:09:42 il n'est pas un assainissement
01:09:44 profond, il n'est pas un assainissement
01:09:46 qui ne peut pas croire
01:09:48 qu'il est plus bon,
01:09:50 que Moubarak.
01:09:52 Mais dans ces derniers
01:09:54 six mois, nous avons
01:09:56 trouvé un grand mouvement
01:09:58 dans le Grand Bretagne,
01:10:00 en termes de la grève,
01:10:02 bien bien sophistiquée,
01:10:04 qui suit la pandémie,
01:10:06 avec des infirmiers, des docteurs,
01:10:08 des professeurs,
01:10:10 l'un après l'autre,
01:10:12 - Et là en France, la grève des retraites, etc.
01:10:14 - Dans la France, ils prennent
01:10:16 l'autre forme, la forme nationale.
01:10:18 - Donc vous pensez qu'ils ont un mouvement
01:10:20 populaire, et la population se réveille,
01:10:22 parce que quand nous étions,
01:10:24 à Indiogane, à Xi Jinping,
01:10:26 etc., nous avions une classe de dirigeants
01:10:28 qui était très autoritaire,
01:10:30 là, donc vous pensez
01:10:32 que dans certains pays,
01:10:34 il y a un réveil
01:10:36 de la société civile?
01:10:38 - Oui, dès qu'il est arrivé
01:10:40 dans la France,
01:10:42 Emmanuel Macron est venu
01:10:44 faire des affaires pour augmenter
01:10:46 les pensions.
01:10:48 - Là, je la répète.
01:10:50 - Oui, nous nous appelons les pensions,
01:10:52 62 à 64.
01:10:54 62 à 64.
01:10:56 Mais ils ont bien sophistiqué
01:10:58 pour que ça soit un peu plus simple
01:11:00 là-dedans. Il faudrait qu'ils aient une grande
01:11:02 vision politique, pas un peu à côté.
01:11:04 Ça veut dire qu'ils ont un grand
01:11:06 réveil. Là-bas,
01:11:08 qu'est-ce qu'ils font, Emmanuel
01:11:10 Macron? Ils trouvent qu'ils ne sont pas pour
01:11:12 gagner la majorité dans le Parlement.
01:11:14 Ils viennent avec un décret,
01:11:16 l'exécutif,
01:11:18 qui impose la législature.
01:11:20 Alors ils ont fait des affaires
01:11:22 dans des directions. Quand ils font ça,
01:11:24 qu'est-ce qu'ils font?
01:11:26 Ils ont fait une pliée à ras dans la France.
01:11:28 Pas juste à Paris,
01:11:30 partout, il y a eu de grandes manifestations.
01:11:32 Alors nous avons la Grande-Bretagne.
01:11:34 Nous avons des affaires plus cohérentes,
01:11:36 qui taillent le square.
01:11:38 - Premier monde.
01:11:40 - Oui, premier monde.
01:11:42 Oui, ils ont pris les premiers, ça ne coûte rien.
01:11:44 Là-bas, l'Allemagne, il y a eu ce qu'ils appellent
01:11:46 une méga-la grève dans Transpo,
01:11:48 la semaine dernière, il y a eu une dizaine.
01:11:50 Et là-bas, la grève, suite à un accident
01:11:52 séminaire,
01:11:54 un accident de train,
01:11:56 tout le secteur du travail
01:11:58 est en grève.
01:12:00 Contre le gouvernement,
01:12:02 Polski, il a fait sa privatisation
01:12:04 qui est venue pendant 50 ans,
01:12:06 avec sa néolibéralisme,
01:12:08 avec sa privatisation,
01:12:10 beaucoup, et là-bas,
01:12:12 tout ça fait un profit.
01:12:14 Alors il y a eu assez de sécurité dans le train.
01:12:16 Mais on dirait qu'il y a eu un nouveau mouvement
01:12:18 qui peut prendre une forme
01:12:20 qui a beaucoup plus de débats.
01:12:22 On peut se retrouver, quand on peut interviewer des gens,
01:12:24 on risque de les voir venir.
01:12:26 Vous êtes optimiste
01:12:28 ou non, quand vous avez
01:12:30 vu ce qu'ils ont fait, quand vous avez trouvé
01:12:32 qu'il y avait beaucoup de problèmes?
01:12:34 Vous savez ce qui me fait optimiste?
01:12:36 Quand je suis restée dans une ville,
01:12:38 et quand je fais du travail, par exemple,
01:12:40 nous mobilisons des gens qui vivent
01:12:42 dans la case cité, la case Lamiante.
01:12:44 Et encore des gens vivent dans la case Lamiante,
01:12:46 mais nous nous organisons
01:12:48 pour un faux gouvernement.
01:12:50 Et là, on est d'accord, les puissances,
01:12:52 tout ça, c'est dans la case.
01:12:54 Mais on peut venir doucement à ce changement-là.
01:12:56 Mais ces gens-là,
01:12:58 tout donne-moi confiance.
01:13:00 Parce que ce pays-là,
01:13:02 ils ont l'idée d'un petit pays
01:13:04 à l'aise, pour quoi,
01:13:06 sans un pays comme ça.
01:13:08 On dirait que tout le monde
01:13:10 a envie de le changer.
01:13:12 Mais il n'y a pas de puissance comme ça.
01:13:14 Ou il y a quelque chose à faire.
01:13:16 Et il implique l'esprit,
01:13:18 comme on dit, d'être d'accord
01:13:20 avec les autres du monde, qui peut m'en
01:13:22 dans ce changement-là.
01:13:24 La différence entre les deux,
01:13:26 c'est que nous, nous pouvons mettre la tête ensemble,
01:13:28 planifier.
01:13:30 À ce moment-là, il n'y a pas de grand machet
01:13:32 pour planifier.
01:13:34 Mais ça veut dire que je vois ça à l'esprit
01:13:36 un peu prédominant quand le monde
01:13:38 perd sa liberté de classe pendant
01:13:40 ses derniers 50 ans.
01:13:42 Mais il est puissant,
01:13:44 il est obligé de changer.
01:13:46 Et aussi, nous avons des menaces existentielles
01:13:48 dans le monde.
01:13:50 Et ça peut nous affecter
01:13:52 dans le monde.
01:13:54 Vous savez, il y a une pandémie,
01:13:56 qui a affecté tous les pays dans le monde.
01:13:58 Et Maurice est fragile.
01:14:00 Et là, il y a
01:14:02 toute cette phase,
01:14:04 cette tension autour de Taïwan.
01:14:06 Nous avons des
01:14:08 immenses problèmes.
01:14:10 Et aussi, nous avons des autres problèmes
01:14:12 un peu plus imprévisibles,
01:14:14 ce qu'on appelle des dollarisations.
01:14:16 Je remarque que MBC
01:14:18 a mis un mot là-dessus.
01:14:20 Il a gagné un billet d'exemple.
01:14:22 Mais il y a un grand mouvement.
01:14:24 Pour la première fois, il a concerté
01:14:26 pour que l'or ne soit plus servi
01:14:28 comme un geste
01:14:30 qui touche la Banque centrale
01:14:32 et touche tout le monde.
01:14:34 C'est la référence de base.
01:14:36 Et Petrodollar
01:14:38 à ce stade-là, aussi,
01:14:40 qui remplace un peu plus l'or,
01:14:42 est aussi dans sa mouvance
01:14:44 pour ne plus
01:14:46 y suivre de l'or.
01:14:48 Mais quand ça est arrivé, il y a eu
01:14:50 beaucoup d'effets politiques aussi.
01:14:52 Un des effets politiques,
01:14:54 qui peut bien dangérer aussi,
01:14:56 il n'y a pas de raison de ne pas
01:14:58 dédollariser,
01:15:00 c'est l'effet possible
01:15:02 d'extrême droite monter dans l'Amérique.
01:15:04 Parce que l'Amérique peut vivre,
01:15:06 l'or, tous les autres, tout le monde,
01:15:08 sur la terre.
01:15:10 C'est un gouvernement qui,
01:15:12 au pouvoir, c'était un gouvernement démocrate.
01:15:14 -Démocrate, Mme. Biden.
01:15:16 -Il pouvait s'accueillir.
01:15:18 -Et la droite n'a pas
01:15:20 révenu. -La droite n'a pas révenu.
01:15:22 Ce n'est pas trop optimiste.
01:15:24 Mais de l'autre côté,
01:15:26 sa dépendance, l'or,
01:15:28 le dangère.
01:15:30 Et là aussi, il y a un nouveau changement
01:15:32 avec Emmanuel Macron lui-même.
01:15:34 D'un côté, il peut agir
01:15:36 comme Napoléon, il peut décréer.
01:15:38 De l'autre côté, il peut dire
01:15:40 il ne faudrait pas nous inféder
01:15:42 à l'Amérique.
01:15:44 Il ne fait que faire un grand scandale
01:15:46 pour lui dire ça. -Il a un avion
01:15:48 et c'est une rapportée,
01:15:50 il a un journaliste, sans qu'il
01:15:52 lui dise qu'il s'était offré code.
01:15:54 Donc, ça peut faire grand débat en France.
01:15:56 Mais Lindsay Cullen, merci beaucoup.
01:15:58 Qui est au film présent, donc nous remercions aussi Amélie Dorga
01:16:00 qui est avec nous pendant une bonne partie
01:16:02 de l'émission. C'est la fin de Zoom Extrême.
01:16:04 On vous retrouve la semaine prochaine.
01:16:06 Demain, on vous retrouve à Ville
01:16:08 pour Rador les Pepe.
01:16:10 Bonne soirée à vous tous.
01:16:12 -Allez, bonsoir.
01:16:14 (Générique)
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