« On ne voit plus que tes os », « Tu es une personne influente, attention au message que tu véhicules, tu dois prendre du poids ! », « Est-ce que tu as un cancer ? »… Voici quelques exemples de commentaires que l’on peut lire sous les publications des réseaux sociaux d’Ariana Grande, depuis plusieurs semaines. La chanteuse, qui paraît amaigrie sur ses photos et vidéos, a fini par prendre la parole en se filmant sur son compte TikTok. Son témoignage a dépassé les 65 millions de vues en 24 heures.
« Je ne suis pas bonne à ça et je n’aime pas ça… Mais je voulais répondre aux préoccupations concernant mon corps et parler de ce que ça signifie d’être une personne avec un corps et d’être vue » commence-t-elle, presque à contrecœur. Faisant référence à des photos antérieures avec lesquelles des internautes la comparent à aujourd’hui, elle répond sans détour : « Sachez que le corps avec lequel vous me comparez était la version de mon corps la moins en bonne santé » et précise qu’elle prenait « beaucoup d’antidépresseurs, tout en buvant de l’alcool et en mangeant peu ».
L’artiste de 29 ans tente de sensibiliser sa large audience au « body shaming » (le fait de critiquer le physique d’autrui) même quand on pense avoir de bonnes intentions : « Soyez gentil avec les autres et avec vous-même (…) Vous ne pouvez jamais savoir ce que quelqu’un est en train de traverser, si cette personne est en train de travailler sur elle ou si elle a du soutien des gens avec qui elle travaille ».
« Je ne suis pas bonne à ça et je n’aime pas ça… Mais je voulais répondre aux préoccupations concernant mon corps et parler de ce que ça signifie d’être une personne avec un corps et d’être vue » commence-t-elle, presque à contrecœur. Faisant référence à des photos antérieures avec lesquelles des internautes la comparent à aujourd’hui, elle répond sans détour : « Sachez que le corps avec lequel vous me comparez était la version de mon corps la moins en bonne santé » et précise qu’elle prenait « beaucoup d’antidépresseurs, tout en buvant de l’alcool et en mangeant peu ».
L’artiste de 29 ans tente de sensibiliser sa large audience au « body shaming » (le fait de critiquer le physique d’autrui) même quand on pense avoir de bonnes intentions : « Soyez gentil avec les autres et avec vous-même (…) Vous ne pouvez jamais savoir ce que quelqu’un est en train de traverser, si cette personne est en train de travailler sur elle ou si elle a du soutien des gens avec qui elle travaille ».
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NewsTranscription
00:00 Le corps que vous avez comparé avec mon corps actuel
00:03 était le plus malheureux de mon corps
00:06 J'avais beaucoup de dépressants
00:09 et je les bois et je mange mal
00:13 *musique*
00:31 Je pense qu'on devrait être plus gentil et moins confortable en commentant sur les corps des gens
00:34 Si vous pensez que vous dites quelque chose de bien, bien intentionné,
00:37 peu importe ce que c'est,
00:38 encore plus encore,
00:41 ceci, cela, sexy, non sexy,
00:43 il faut vraiment travailler à ne pas faire ça
00:47 Il y a des façons de compléter quelqu'un
00:50 ou d'ignorer quelque chose que vous voyez que vous n'aimez pas
00:53 *musique*
01:04 Vous ne savez jamais ce que quelqu'un va vivre
01:06 Donc même si vous venez d'un endroit aimant et d'un endroit cher,
01:10 vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:12 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:14 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:16 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:18 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
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01:22 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:24 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:26 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:28 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:30 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:32 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:34 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:36 Vous ne savez jamais ce que vous allez vivre
01:38 *musique*
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